VRAI OU FAUX. Variole du singe : les homosexuels sont-ils vraiment plus concernés ?

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Voir mes divers commentaires intercalés en romain...
Voir pour l'article en son entier : https://www.ladepeche.fr/2022/05/20/vrai-ou-faux-variole-...
Le mode de transmission habituel de la variole du singe n'est pas directement lié aux relations sexuelles. Les personnes homosexuelles infectées ont certainement été infectées via une lésion lors d'un rapport sexuel, mais cela n'a rien à voir avec leur orientation sexuelle.
L'image représente un couple de lesbiennes d'origine africaine: quel rapport avec ce dont on parle. Les lesbiennes ont besoin de recourir à des plugs pour se donne rl'illusion d'une pénétration, de tels objets ont peu de chance d'avoir été préalablement contaminés d'où la question de savoir à quoi rime cette image attendu qu'il est établi clairement que l'épidémie se propage parmi des hommes gays ou bis menant une vie très festive. Pas de rapport en effet avec l'orientation sexuelle qui soit directe mais bien avec le risque engendré par la fréquence de ce type de relations et leur multiplicité parmi une certaine clientèle bourgeoise en friquée en particulier. Cela dit même si la variole du singe est en principe résolutive lorsque le risque de surinfection des boutons est conjuré, on ne va pas plaindre ces "agités de la queue" mais il importe qu'il soit informés sans détours des risques qu'ils encourent.
De sorte que même si la relation avec l'orientation que sanctitue l'homosexualité masculine est secondaire, elle reste néanmoins FLAGRANTE. Il faut donc arrêter de jouer aux cons et de mentir à outrance !
"Le mode de transmission prédominant se fait de lésion à lésion, cela peut donc arriver lors d’un rapport sexuel non protégé. Le terme de 'maladie sexuellement transmissible' est maladroit, le virus se diffuse simplement par contact étroit", précise le biologiste médical.
Je dirais "Maladie occasionnellement transmissible par voie sexuelle" ! Ce qui est "maladroit" c'est de se révéler incapable d'employer les termes adéquats quand il suffit d'ajouter la caractéristique occasionnelle !
Anne Goffard rappelle qu’il ne faut pas "paniquer" et que "les cas mortels sont des gens qui ont d’autres comorbidités ou qui sont immunodéprimés... Dans 98 % des cas, ça donne des gros boutons et ça peut donner des cicatrices, mais ça s’arrête là".
Il reste à évaluer le rôle éventuellement joué par la vaccination massive contre Covid 19 et le "sida" momentané qui peut en résulter et que le Dr Zizi (sic) serait d'environ un trimestre après injection. Rien que cela constitue une raison nécessaire et suffisante pour "arrêter le massacre" en cours !
D'après les experts, l'orientation sexuelle ne favorise donc pas la transmission de la variole du singe. La contamination peut simplement se produire lors d'un rapport sexuel non protégé. Dans ce cas, faut-il se tourner vers le "safe sex" ?
Mais enfin comme la population homosexuelle est de part la "gratuité" de son objet de consommation favori porté à des excès ce qui précède revient à énoncer un pur mensonge qui se solde du reste par une contradiction puisqu'il en découle que la moindre des prudence impose, dans le cas de figure, le safe sexe !
Quand on est "normal" (j'entends intellectuellement parlant, c'est-à-dire au point de vue du sens le plus élémentaire de la logique, on ne peut être qu'assez franchement scandalisé par le genre de "langue de bois" qui prévaut en donnant lieu à des propos aussi ambigus. On est passé d'une véritable hantise de l'homosexualité à une autre hantise, celle de heurter la susceptibilité de la population concernée. Bref, on peut conclure que d'une certaine manière si l'homosexualité n'est pas en cause, les excès, très naturels, auxquel elle donne généralement lieu fait que cela revient au même.
Il y a vraiment de quoi être ULCERE par ce type de langage se voulant politiquement correct !
14:35 Publié dans Variole du singe | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
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Voir : https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-vario...
En dépit de son nom prédestiné pour parler d'une MST (assez purement occasionnelle) le Dr Martin Zizi, qui est belge, nie qu'il s'agisse d'une MST ce qui est vrai tout en étant partiellement faux. Car les relations sexuelles donnant lieu à une abrasion de certaines muqueuses font que la transmission uro génitale est possible et il est bien clair que l'épidémie se transmet principalement dans des lieux festifs destinés aux gays et au bisexuels et a peu de chance de déborder ce petit monde.
Ceci étant ce médecin attire l'attention sur l'hérésie que constitue les prescriptions vaccinales notamment à l'égard des "cas contacts" qu'il tient pour inexistants. Il rappelle que la vaccination en période d'hérésie est le plus sûr moyen de favoriser des recombinations et de contribuer à une reviviscence de la véritable variole qui peut occasionner 30% de morts.
Il est regrettable que l'on ne puisse pas extraire de transcription de cette vidéo pour en tirer l'essentiel. Une fois de plus je tiens ce mode de communication pour une CALAMITE. Non seulement ce mode est un BOUFFE TEMPS INFERNAL mais il ne permet pas de retenir des informations précises car les intervenants se répètent et s'agissant de questions très techniques on reste à la surface des choses en ne pouvant pas se servir de cette sorte de déclaration comme moyen de preuve.
Enfin c'est de l'amateurisme, France Soir aurait pu faire figurer un résumé succincts mais RIEN. C'est lamentable car ces documents contiennent visiblement des informations capitales qu'il faudrait pouvoir extraire. Enfin on trouve 2 liens en bas de page vers des articles de référence.
On est vraiment dans une SOCIETE DE MERDE ou le bavardage est roi. J'enrage en constatant que les gens adorent se gaver de cette "société du spectacle". Mais le dire et le répéter revient à pisser dans un violon !
Le problème n'est pas tant qu'on est en présence d'un complot si public qu'il n'en est plus un de la part d'une caste mondialisée mais que la majorité des esclaves que nous sommes reste passive devant le genre de communications merdique qui prévaut.
La règle serait, lorsqu'on recours à une vidéo de se donner la peine de produire un résumé succincts mais précis du contenu ne seraient que pou n'avoir pas à courir le risque de dérouler en vain ce genre de média !
Même l'IHU s'abstient de ce devoir minimal et c'est dire à quel point la fainéantise et, d'une certaine manière l'incompétence, règnent en hauts lieux !!!!
Le drame actuel consiste entre la différence de niveau entre les articles scientifiques très "ésotériques" et limite incompréhensible pour des non spécialistes et le genre de "vulgarisation" brouillonne et inefficace qui en est donnée à titre de pseudo traduction.
Peut-être y aurait-il un moyen de récupérer la vidéo, de la poster sur Youtube et de récupérer la transcription et d'en extraire la plus substantifique moelle. J'ai autre chose à faire que de me livrer à ce genre de sport mais des lecteurs pourraient s'en charger.
14:00 Publié dans Variole du singe | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
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Le "bobard" se précise on dirait
https://twitter.com/UPR_Asselineau/status/146170786497685...
Le 09/11/2021, adam a écrit :
Bonjour M. Metzger,
Bill Gates a prévu de relâcher bientôt le virus de la variole, ils n'ont
plus de limite...
Aucun traitement mais au siècle dernier les scientifiques ont découvert que
la plante carnivore SARRACENIA PURPUREA pouvait combattre ce virus.
On en trouve en formulation homéopathique, et comme je sais que vous
maîtrisez le sujet (je crois que vous avez soigné des maux de dos ainsi),
savez-vous quelle dilution prendre, granules ou globules, version à
l'alcool...? Voici un lien où l'on peut acheter toutes ces variétés,
laquelle conseillez-vous svp?
https://www.pharmacie-prado-mermoz.com/SARRACENIA-PURPURE...
D'après ce que j'ai lu sur l'homéopathie, les petite dilution (5CH) sont
réservés aux symptômes locaux alors que les plus grosses dilutions (30CH)
sont pour des symptômes + généraux. Peut-être qu'une dilution intermédiaire à 9 ou 15CH serait un bon compromis?
Merci pour votre aide et votre blog d'utilité publique
Adam
13:00 Publié dans Variole du singe | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
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Sitôt après avoir ouï les dernières déclarations de Raoult j'ai cherché la confirmation du caractère spécifiquement gay de l'épidémie en cours. Les premières recherches assimilant cette "variole" à une MST étaient restée négative à cause de ce que l'hypocrisie et la malfaisance qu'elle engendre ne permettait pas de cibler aisément les articles allant dans ce sens.
Cela étant, je reproduit un article trouvé hier et j'en commenterai certains passages. La citation est en italique, les commentaires éventuels en "romain" (caractères droits). J'ai ajouté divers caractère des hiérarchisation du texte dans la citation de l'article en son entier.
La crainte de la stigmatisation ne doit pas conduire à reproduire les erreurs qui se sont révélées tragiques au moment du VIH
Antoine Flahault : Le virus de la Variole du singe a été identifié la première fois en 1958 chez des primates contaminés dans une animalerie de Copenhague au Danemark, d’où son nom. Ce nom est un peu malheureux car en réalité ce virus n’entraîne pas la variole, maladie redoutable qui a été éradiquée de la planète en 1980 et ne vient pas non plus des singes, mais plutôt de petits rongeurs sauvages, notamment des écureuils que l’on retrouve dans des palmeraies d’Afrique équatoriale.
Cette indication recoupe ce qu'a déclaré Raoult à propos des rongeurs et des chiens de prairie élevés autrefois dans des vastes terrarium par des gens riches. Je reviendrai sur ce point à savoir que l'épidémie actuelle n'est pas à proprement parler une épidémie de "variole" mais d'une maladie apparentée par ses signes cliniques extérieurs d'où la nécessité de faire la différence avec ce que l'on met sur le dos de Bill Gates and Co...
Le virus a été identifié chez l’homme à partir de 1970, puis de plus en plus souvent une fois que la variole a été éradiquée (parce qu’on pouvait avant la confondre avec une forme bénigne de variole). La variole du singe survient en Afrique le plus souvent chez des enfants de moins de 16 ans, qui s’étaient contaminés auprès de rongeurs en milieu rural.
Les chaînes de contaminations s’éteignaient alors assez rapidement, généralement après 6 ou 7 générations au maximum, en faisant un virus peu transmissible entre humains. La transmission par voie sexuelle n’est pas rapportée comme une voie habituelle de transmission de ce virus.
La faible transmissibilité apparente explique en revanche qu’une forte promiscuité des corps soit nécessaire pour permettre la contamination, notamment par contact entre les vésicules d’une personne contaminée et la peau d’une personne saine.
L’émergence de l’épisode actuel, préférentiellement dans la communauté homosexuelle masculine, peut donc s’expliquer par la promiscuité des comportements au sein de cette communauté, couplée à son interconnexion internationale et sa mobilité.
Il est peu probable que le mode de transmission du virus ait changé, et la transmission par voie sexuelle ne doit pas jouer de rôle déterminant dans l’épisode actuel, même si on ne peut pas exclure totalement une participation de cette voie de contamination.
Donc la question se pose de savoir si le contact intime entre muqueuse à vocation sexuelle (pénis anus) joue un rôle. C'est à l'évidence très probable.
Voici ce qu'a déclaré Raoult :
(...) donc il faut faire attention c'est une saison qui prêtent salir (? se contaminer) à partir des différentes Pride. Il faut faire attention moi je préfère avertir les gens qui ont un risque en disant faites attention, il y a un risque d'attraper çà, il apparaît que pour l'instant la forme que nous avons présente une délocalisation essentiellement génitale et anale donc c'est un signe d'appel pour lequel les gens doivent aller se faire tester.
Les communautés LGBT sont très souvent stigmatisées. Elles ont payé un tribut particulièrement lourd à la pandémie de VIH/Sida, en souffrant doublement, dans leur corps lorsqu’ils étaient contaminés et du fait de la stigmatisation sociale dont elles ont été alors les premières victimes.
Il ne faut donc pas ignorer cette histoire récente à chaque fois qu’un phénomène épidémique atteint ces communautés et d’une manière générale à chaque fois qu’une minorité est ciblée lors de ce type de phénomène.
Au début de la pandémie de Sida, les Haïtiens avaient été ostracisés tant aux USA qu’en Europe. Dans le cas du COVID-19 on se souvient aussi de réactions anti-chinoises initiales qui furent parfois très violentes. Dans le cas de la Variole du singe, il faut veiller à ne pas faire resurgir les démons de ce passé très récent.
D’une part, répétons-le, il ne s’agit en rien d’une maladie liée à la sexualité et encore moins à l’homosexualité masculine. D’autre part, il ne s’agit pas d’une maladie chronique et irrémédiablement fatale comme pouvait l’être le Sida avant les traitements anti-rétroviraux.
Il s’agit au contraire d’une maladie qui pour le moment semble d’une gravité voisine de celle de la varicelle, que l’on veut certes empêcher de voir se propager dans des populations naïves vis-à-vis de ce virus, mais qui n’est pas aujourd’hui source d’inquiétudes majeures de la part du corps médical.
Pendant une fenêtre de temps qui pourrait être assez courte, l’impératif de santé publique est de tenter d’empêcher aujourd’hui la propagation du virus de la Variole du singe dans le monde. Les gouvernements de tous les pays concernés peuvent encore, s’ils le décident, démanteler toutes les chaînes de transmission sur leur territoire.
Pour ce faire, ils doivent alors proposer un test PCR pour ce virus à toutes les personnes présentant des lésions cutanées suspectes. Certains résultats s’avèreront peut-être des varicelles (qui surviennent parfois chez l’adulte) ou même des zona (dus aussi au virus de la varicelle), mais les cas positifs pour le virus de la Variole du singe devront être isolés pendant trois semaines, car c’est la durée présumée de la période contagieuse.
Comment pratique t-on les tests pour cette variole et ou la varicelle. Autrement dit où faire le prélèvement. Au contact des lésions je suppose !
L’isolement devrait être recommandé à l’hôpital, ce qui est encore faisable lorsque le nombre de cas est très limité comme actuellement.
Il faut aussi rechercher tous les contacts rapprochés, en se rappelant que la transmission nécessite un contact physique direct avec la peau du malade, ou indirect avec ses vêtements ou ses draps. Il faut alors mettre en quarantaine les cas-contacts, pendant 21 jours (car c’est la durée de la période d’incubation).
On peut aussi vacciner les contacts à risque dans les quatre premiers jours suivant le contact présumé avec le malade. Enfin, il faut éviter tout contact des personnes infectées avec des animaux de compagnie, pour ne pas risquer de constituer de nouveaux réservoirs animaux, puisqu’on se rappelle que les rongeurs sont le réservoir originel de ce virus.
Et l'auteur en arrive à une déclaration qui montre que tout en ayant voulu briser la censure en cours il a fauté !
Vous pouvez constater qu’il n’est pas beaucoup question de sexualité dans toutes ces recommandations. Il n’est pas fait mention de communautés à risque particulier, ni d’usage du préservatif.
Certes les travailleurs du sexe, hommes ou femmes, sont également à risque, à cause de la promiscuité des corps que leur travail entraîne. En réalité un couvent, une famille, un club de sport ou un pensionnat sont probablement tout aussi à risque et pourraient devenir les prochaines communautés ciblées par le virus s’il venait à se propager dans la population.
C'est moi qui ait posé la question. La distinction implicite entre "travailleurs du sexe" (prostitués en bon français) et les pratiquants d'une sexualité purement ludique entre compagnons de rencontre relève d'une casuistique qui n'a pas lieu d'être et qui montre bien que ce médecin est lui aussi infesté par cette odieuse LANGUE DE BOIS qui à court.
C'est à GERBER ! Les détails relevés à partir de la dernière déclaration de Raoult daté d'hier démontre qu'hormis le cas de couples homos fidèles et exclusif LE PRESERVATIF S'IMPOSE A MINIMA. C'est même un "minimum syndical" qui ne saurait être présente comme un bouclier efficace à 100 %. Notamment si les boutons ont un autre siège que sexuel.
En clair la variole du singe s'avère sexuellement transmissible mais elle n'est pas liée à l'homosexualité. Elle ne concerne que les gays et les bis qui à cet égard mènent une vie débridée. Ce n'est pas un problème d'orientation sexuelle mais de probabilité purement arythmétique.
Enfin, comparé à la chape de plomb qui régnait cet article constitue un progrès. Je compte sur mes lecteurs pour faire la publicité de cette version avec commentaires. Merci d'avance...
12:23 Publié dans Variole du singe | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
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