Variole du singe et homosexualité : un cas éxemplaire de "langue de bois" made in Ladépêche.fr (08/06/2022)
Voir mes divers commentaires intercalés en romain...
Voir pour l'article en son entier : https://www.ladepeche.fr/2022/05/20/vrai-ou-faux-variole-...
Les personnes homosexuelles sont-elles plus à risque ?
Le mode de transmission habituel de la variole du singe n'est pas directement lié aux relations sexuelles. Les personnes homosexuelles infectées ont certainement été infectées via une lésion lors d'un rapport sexuel, mais cela n'a rien à voir avec leur orientation sexuelle.
L'image représente un couple de lesbiennes d'origine africaine: quel rapport avec ce dont on parle. Les lesbiennes ont besoin de recourir à des plugs pour se donne rl'illusion d'une pénétration, de tels objets ont peu de chance d'avoir été préalablement contaminés d'où la question de savoir à quoi rime cette image attendu qu'il est établi clairement que l'épidémie se propage parmi des hommes gays ou bis menant une vie très festive. Pas de rapport en effet avec l'orientation sexuelle qui soit directe mais bien avec le risque engendré par la fréquence de ce type de relations et leur multiplicité parmi une certaine clientèle bourgeoise en friquée en particulier. Cela dit même si la variole du singe est en principe résolutive lorsque le risque de surinfection des boutons est conjuré, on ne va pas plaindre ces "agités de la queue" mais il importe qu'il soit informés sans détours des risques qu'ils encourent.
De sorte que même si la relation avec l'orientation que sanctitue l'homosexualité masculine est secondaire, elle reste néanmoins FLAGRANTE. Il faut donc arrêter de jouer aux cons et de mentir à outrance !
"Le mode de transmission prédominant se fait de lésion à lésion, cela peut donc arriver lors d’un rapport sexuel non protégé. Le terme de 'maladie sexuellement transmissible' est maladroit, le virus se diffuse simplement par contact étroit", précise le biologiste médical.
Je dirais "Maladie occasionnellement transmissible par voie sexuelle" ! Ce qui est "maladroit" c'est de se révéler incapable d'employer les termes adéquats quand il suffit d'ajouter la caractéristique occasionnelle !
Anne Goffard rappelle qu’il ne faut pas "paniquer" et que "les cas mortels sont des gens qui ont d’autres comorbidités ou qui sont immunodéprimés... Dans 98 % des cas, ça donne des gros boutons et ça peut donner des cicatrices, mais ça s’arrête là".
Il reste à évaluer le rôle éventuellement joué par la vaccination massive contre Covid 19 et le "sida" momentané qui peut en résulter et que le Dr Zizi (sic) serait d'environ un trimestre après injection. Rien que cela constitue une raison nécessaire et suffisante pour "arrêter le massacre" en cours !
D'après les experts, l'orientation sexuelle ne favorise donc pas la transmission de la variole du singe. La contamination peut simplement se produire lors d'un rapport sexuel non protégé. Dans ce cas, faut-il se tourner vers le "safe sex" ?
Mais enfin comme la population homosexuelle est de part la "gratuité" de son objet de consommation favori porté à des excès ce qui précède revient à énoncer un pur mensonge qui se solde du reste par une contradiction puisqu'il en découle que la moindre des prudence impose, dans le cas de figure, le safe sexe !
Quand on est "normal" (j'entends intellectuellement parlant, c'est-à-dire au point de vue du sens le plus élémentaire de la logique, on ne peut être qu'assez franchement scandalisé par le genre de "langue de bois" qui prévaut en donnant lieu à des propos aussi ambigus. On est passé d'une véritable hantise de l'homosexualité à une autre hantise, celle de heurter la susceptibilité de la population concernée. Bref, on peut conclure que d'une certaine manière si l'homosexualité n'est pas en cause, les excès, très naturels, auxquel elle donne généralement lieu fait que cela revient au même.
Il y a vraiment de quoi être ULCERE par ce type de langage se voulant politiquement correct !
14:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |