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17/03/2025

A propos des "délires endocrino-psychotiques" du Dr Jean Gautier repris par Jean Du Chazaud

L'enfant, ce glandulaire inconnu - Santé, Médecine | RakutenAccueil | EndocrinoPsychologie

Post-Scriptum

Vous le verrez dans l'oeuvre que j'ai entrepris de descendre en flamme, les masturbateurs et ceusses qui préfère un commerce avec les représentant de leur sexe ont été injuriés gravement par des manipulations "scientistes" qui heureusement n'ont pas fait école et sont ignorées des endocrinologues de profession.

C'est en rédigeant la newsletter que je me suis avisé d'un oubli dans un texte sur "Sexualité et loi naturelle".

dans cet article où il est beaucoup question d'homosexualité j'ai oublié de commenter un long passage qui comporte un passage positif en ce que la chose "ne relève pas d'un déterminisme endocrinien absolu et inéluctable", Dieu merci ! Mais il y a cependant un revers...

Ainsi quand à définir les "homos" il s'agirait  d'hypogénitaux interstitiels et je découvre soudain qu'il entend par là des individus dont les attributs de leur sexe sont émoussés...

Pour en être resté à ce cliché abominable datant de la pleine floraison d'un certain "proustisme" lequel relève de la pire ordure bourgeoise, celle qui a consister à systématiquement efféminer des gens qu'il eu mieux valu oublier.

Je suis désolé mais il faut être un connard de la pire espèce pour oser proférer pareille injure mais ces "hétéros" dominants qui ne se sentent plus pisser ont vraiment toutes les audaces quand il s'agit d'insulter les gens qu'ils détestent.

Peut-être faudrait-il rappeler que l'homosexualité antique était l'apanage d'individus virils autant au sens étymologiques de "vertueux" qu'au sens ordinaire plus ou moins "machiste".

Il s'agit bien d'un érotisme propre aux guerriers de profession et cela sous toutes les latitudes.

Mais hélas tous ces machos attiré comme des mouches par les seuls vagins ont l'outrecuidance de se prendre pour des "gaulois" !

Faut-il rappeler que ces derniers, lorsqu'ils étaient encore en âge de faire leur "service militaire" ont choqué une bonne demi douzaine de philosophes et d'historiens antiques ayant été pires que leurs collègues grecs qui eux pratiquaient une sorte de "monogamie". Il leur fallait deux desservants pour porter leur armes et pour ce qui concerne les temps de repos de ces guerriers il me semble superflu de vous faire un dessin...<p>

Il faut vraiment avoir de la merde dans les yeux pour ne pas s'être rendu compte que le temps des "folles tordues" est sans doute terminé. Les horribles "drags queens" que l'on nous a imposé en guise de porteuses de la flamme olympique n'ont absolument rien à voir avec la pratique d'un certain "péché philosophique" très estimé des Jésuites qui ont probablement inventé la formule. Je pense qu'il va falloir un jour se résoudre à balancer des grenades à plâtre sur les défilés carnavalesques appelés Gay Pride, à titre d'avertissement pour commencer. 

Certains hétéros feraient bien de méditer sérieusement un adage antique c'est en aimant trop les femmes que l'on devient efféminé et éventuellement traître à la cause masculine.

Ras le bol de toute cette MERDE, il faut que cela cesse !

A noter que le dessin qui sert de sigle à la secte des endocrino-psycho machin chose à bien quelque chose de très "lubrique".

A propos quelle est la racine étymologique du mot "lubricité". Il s'agit de quelque chose de "glissant" d'où le rapport avec les "lubrifiants" qui sont constitués par des substance visqueuses telle l'huile qui fait briller la musculature de l’athlète choisi par Gautier ou Du Chazaux comme emblème pour son officine toxique. Ce qui est extraordinaire c'est justement de voir à quel point certains "psys" projettent ces fantasmes dont il essaient de se défendre en les courant d'opprobe... A moins que le dessinateur n'ai voulu jouer un mauvais tour à son client...

Bref, tout çà me fatigue !

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Mon attention a été attirée sur ce livre paru pour la première fois en 1961 et La Vie Claire l'a réédité 20 ans plus tard en poussant également d'autres ouvrages du même auteur.

Les hyperthyroïdiens des obsédés du sexe et des débauchés ?

Ce livre m'a immédiatement "titillé" car son auteur a stigmatisé les hyperthyroïdiens comme étant censé être addict à toute espèce de jouissance sexuelle, à commencer par la masturbation (22 occurrences) comme passerelle vers l'homosexualité : une occurrence unique dans ce livre mais l'héritier spirituel (sic) de Gautier, Jean du Chazaud a développé cette thématique dans un papier traitant de la "loi naturelle"... Tout un programme...

Cela dit étant tout le contraire d'un "hyperthyroïdiens", je ne me sens pas concerné par l'injure qui me paraît assez franchement gratuite... Cela dit mon "hypothyroïdie" n'a guère que comme conséquence qu'une certaine fatigue et de la somnolence si je néglige de me faire violence mais sur le plan intellectuel, je suis loin d'être "handicapé" : nul doute à ce propos qu'il m'arrive d'être inspiré et de pouvoir sévir de manière assez "foudroyante" à l'encontre d'une certaine catégories d'intellectuels qui finalement sont à ranger, je m'en excuse, dans la catégorie de ces "branleurs" qui polluent l'atmosphère et le paysage de leurs cogitations en roue libre....

Un exemple emblématique de hantise de la masturbation

Autant dire que le propos est franchement  "daté"... Je ne vais pas faire ici l'historique de la hantise de la pratique qui vient d'être évoquée car cela nécessiterai un livre entier. Aussi je me bornerai à vous faire cadeau d'une consultation de "Gepeto"...

ChatGPT surpris en flagrant délit d'une censure ahurissante

J'ai demandé à cette IA de me faire un topo historique que le sujet, il s'est exécuté de façon fort admirable en reprenant le sujet depuis les origines mais quand il s'est agir d'essayer de vous faire partager cette consultation j'ai été bernique. Il a jugé que çà violait ses règles et impossible de faire un copié collé car je me sers d'une tablette et je n'ai pas accès à mon abonnement par le PC.

J'ai du reposer ma question à partir d'un accès gratuit et j'ai obtenu un résultat moins performant mais néanmoins suffisant. Je vous le donne dans son intégralité :

L'enquête de "Gepeto" sur la hantise de la masturbation

Je voudrais que tu me fasse un topo historique au sujet de la hantise de la masturbation
ChatGPT a dit :

La hantise de la masturbation est un phénomène historique qui a profondément marqué les sociétés occidentales, particulièrement entre le XVIIIe et le début du XXe siècle. Voici un aperçu de son évolution :

1. Antiquité et Moyen Âge : Une vision ambivalente

Dans l’Antiquité, les Grecs et les Romains avaient une attitude relativement détendue envers la masturbation, considérée comme une pratique sexuelle normale, bien que moins valorisée que les relations sexuelles classiques. Cependant, dans un contexte philosophique et religieux, des penseurs comme Platon ou Aristote la voyaient comme une perte d’énergie vitale.

Avec l’avènement du christianisme, la vision change radicalement. Saint Augustin (IVe siècle) et Saint Thomas d'Aquin (XIIIe siècle) condamnent la masturbation comme un péché grave, car elle détourne l’acte sexuel de sa finalité procréatrice. L’influence de la Bible et des textes religieux renforce cette perception négative.

2. XVIIIe siècle : L’obsession médicale et morale

Le vrai tournant dans la diabolisation de la masturbation survient au XVIIIe siècle avec la publication d’un livre anonyme en 1712 : Onania, or the Heinous Sin of Self-Pollution. Ce texte alarmiste popularise l’idée que la masturbation cause des maladies physiques et mentales.

En 1760, le médecin suisse Samuel-Auguste Tissot publie "L’Onanisme, dissertation sur les maladies produites par la masturbation", un ouvrage influent qui prétend que la masturbation entraîne affaiblissement, troubles nerveux, voire folie. Ses thèses, bien que fausses, sont prises très au sérieux par la communauté médicale et alimentent une panique durable.

3. XIXe siècle : La médicalisation et la répression

Avec l’essor de la médecine et de la psychiatrie, la masturbation devient une obsession médicale. Des médecins affirment qu’elle est responsable de l’épilepsie, de la tuberculose et du retard mental. Des traitements drastiques sont proposés :

  • Port de ceintures de chasteté pour les enfants et adolescents
  • Circoncision « thérapeutique » sans anesthésie pour les garçons
  • Cautérisation du clitoris chez certaines jeunes filles
  • Régimes alimentaires censés réduire les « pulsions » (Graham Crackers et Corn Flakes sont créés pour cet usage !)

Les éducateurs et moralistes multiplient les campagnes de prévention. Dans les écoles et les internats, des stratégies de surveillance sont mises en place pour éviter les « mauvaises habitudes ».

4. XXe siècle : Déclin progressif des tabous

Avec les progrès de la science et l’évolution des mentalités, les idées médicales du XIXe siècle sont progressivement remises en question. En 1948, Alfred Kinsey, dans son Rapport sur la sexualité humaine, montre que la masturbation est une pratique courante et sans danger.

Dans les années 1960-70, la révolution sexuelle et le développement de la psychologie freudienne contribuent à normaliser la masturbation. Aujourd’hui, elle est reconnue comme une pratique sexuelle saine et naturelle, bien que certains milieux religieux ou conservateurs continuent à la stigmatiser.

Conclusion

La hantise de la masturbation est le fruit d’un mélange de croyances religieuses, d’erreurs médicales et de normes sociales répressives. Si elle a causé des souffrances inutiles pendant des siècles, elle est désormais largement dépassée par les connaissances scientifiques modernes.

A la question de savoir si c'est bien Tissot qui a prétendu que la masturbation rend sourd il a répondu ceci :

Oui, Samuel-Auguste Tissot (1728-1797) est bien l’un des principaux propagateurs de l’idée selon laquelle la masturbation entraîne des conséquences désastreuses pour la santé, y compris la surdité.

Dans son ouvrage L’Onanisme, Dissertation sur les maladies produites par la masturbation (1760), il affirme que l’éjaculation excessive affaiblit le système nerveux et le corps tout entier, en raison de la prétendue perte de « fluide vital » contenu dans le sperme. Il compare cette perte à celle subie lors d’une hémorragie, allant jusqu’à affirmer que les masturbateurs invétérés deviennent émaciés, épuisés, sujets à des maladies nerveuses… et, parmi d’autres affections, sourds.

Cependant, il n'a pas su me dire où l'intéressé a pu pécher cette idée...

Ma position sur le sujet

Il ne saurait s'agir de banaliser la chose. La masturbation étant une pratique "autiste" elle ne saurait être totalement banalisée. Elle peut "rendre des services temporairement" et calmer momentanément une frustration mais elle réclame la formation d'images mentales et implique des "projections" d'atteintes sexuelles sur des personnes existantes ce n'est donc pas quelque chose de tout-à-fait anodin.

Et ce si j'ai posé la question des sources d'inspiration c'est que la Médecine Traditionnelle chinoise justifie parfaitement le lien entre épuisement sexuel et l'organe de l'audition par entité du rein interposé. Et l'économie présente dans le "Tao sexuel" incite à ne pas dépenser son énergie sexuelle surtout en vain. Mais comme je l'ai indiqué plus haut derrière la hantise de la masturbation se cache très mal celle de l'homosexualité qui n'est absolument pas de la même nature car elle ne conduit pas à des pratiques autistes mais à un véritable échange.

Mais laissons çà de côté pour l'instant, ce n'est pas le plus important car j'ai fini par découvrir que tout la construction dont il va être question repose sur un vision tendancieuse à propos de la thyroïde, or celle-ci s'est appuyée sur une sorte de "légende" qui se révèle n'avoir jamais revêtu la moindre consistance et je parle de l'histoire saugrenue que Gautier a épousé à propos de celle d'un homme né sans thyroïde à qui on en aurait greffé une et il s'agit de celle, totalement abracadabrante et même impossible de l'homme-plante répandue par un certain Dr. Roesch et cette imposture caractérisée va, tel un boomerang, pour parler poliment, s'écraser sur la figure de l'héritier telle une volée d’œufs pourris... 

Ainsi quand on aborde un sujet aussi "scabreux" que celui qui consiste à persévérer dans le genre d'oeuvre répressive que je viens de dénoncer, il faut faire gaffe aux "chocs en retour"...

Un dossier datant de 2015 resté en souffrance

J'ai constitué en 2015 un dossier sur les conceptions en "endocrino-pyscho" des intéressés que j'ai gardé sous le coude en vue d'investiguer la chose et jusqu'alors si j'étais persuadé que tout ce que les intéressés ont publié est foireux, je ne savais pas par quel bout prendre la chose pour neutraliser le caractère éminemment toxique de ces sortes de théories...

Je me suis promis de tirer la chose au clair et le projet de livre en rapport avec les problèmes thyroïdiens m'a obligé à reprendre ce dossier très problématique. J'avais du reste promis à une correspondante suisse de mettre mon nez dans cette histoire car elle m'a parue avoir été séduite notamment par un appareil nommé Equilios.

Jean Gautier (docteur) : sa notice Wikipedia

Par rapport à la version encore en place le 11 août 2015, la notice actuelle a maigri notamment a propos du chapitre sur la "jeunesse" de l'intéressé dont voici la teneur :

Gautier.jpg

J'ai plusieurs remarques à faire sur cette version. En réalité dans la dernière décennies du XIXème siècle, on savait à l'époque parfaitement soigner les déficits thyroïdiens puisque l'emploi de l'opothérapie thyroïdiennes date de 1890 mais le père de notre héros a ignoré la chose ce n'est que 20 ans plus tard que son fils sera frappé par la description de l'hypothyroïdie par le Pr Mongour. Désolé mais ce n'est pas une bonne pub pour la lignée familiale  car ce livre paru en 1899 a fait pas mal de bruit :

https://archive.org/details/b24906530

Bref, cette version de la jeunesse de notre héros nous l'a présenté comme n'étant pas loin d'être un "crétin" et la version actuelle a été bien inspirée de supprimer le passage relatif au "génie" qui lui fut prêté dans la version de 2015...

Voyons maintenant en quoi consiste le "génie" allégué

Mon dossier est constitué de "prints" de texte qui doivent toujours se trouver sur http://www.endocrinologie-psychologie.org

D'abord l'auteur ne considère que 4 glandes : hypophyse, thyroïde, surrénale et génitale moyennant un aspect double qui est sujet à caution... Et il s'est hasardé à brosser un portrait de chaque type. Mais sur quelle base ? Je mets au défi son héritier de justifier ces portrait. L'observation ? Pardonnez moi je vais être grossier !

Je réponds à çà : mon cul ! Ce discours ne tient pas la route !

Comment a t-on distingué un type pur pour chaque glande parmi celles retenues alors que chacun de nous est forcément le produit complexe d'influences nécessairement croisée. Je pose la question : où trouve t-on la source de ces portraits ? Elle n'existe nulle part. Ainsi quand les astrologues se réfèrent à des "types planétaires", il existe des traditions et surtout une logique symbolique mais là il n'y a RIEN ABSOLUMENT RIEN derrière toute cette construction.

Les "hypophysaires" auraient des pieds "monumentaux" : est-ce une blague ?

Et une face triangulaire c'est-à-dire "mercurienne" dans la typologie planétaire. Le thyroïdien l'aurait "ovoïde" donc "vénusienne", le "génital" l'aurait rectangulaire ou arrondie (sic) donc "lunaire", là il faudrait choisir, et le surrénal l'aurait "carrée...

Je m'excuse mais il s'agit là de pure "conneries", çà n'est appuyé sur rien de tangible. Je le répète il ne peut pas exister de type pur ou alors il faudrait le démontrer à l'aide d'un album photographie appuyé sur des dosages hormonaux...

Sexualité et loi naturelle

Ce texte de jacques Chazaud est daté de janvier 1986.

La sexualité est ce qui touche aux organes et aux phénomènes de reproduction...

On peut voir çà comme cela mais il faut prendre garde de ne pas oublier de faire la part d'un certain Eros...  Faut arrêter de déconner, l'idée de faire des enfants çà ne fait pas bander, il n'y a guère que des vieux curés complètement tarés pour croire une chose pareille...

La sexualité implique une communication, soit ! Et sa finalité immédiate est la génération d'un semblable à soi...  Ben non parce qu'on ne peut pas faire abstraction de l'attraction domaine d'Eros laquelle détermine le rapprochement, soit une conjonction (se joindre avec...) qui n'est absolument pas tenu d'opter pour le sexe opposé. les Grecs l'avaient fort bien compris et il leur a manqué de formule une explication à base de ruse divine, ce qu'en sanskrit on connaît sous le nom l’appellation d'upaya...

Ben oui faut quand même réaliser que si c'était la seule possibilité, c'est pour le coup que ce serait l'enfer !

Je partage avec les partisans de d'un certain Thomas Robert Malthus leur souci de limiter la reproduction des bipèdes humains car ils n'ont fait que saloper notre vaisseau spatial. Et voilà que les chinois viennent de se découvrir un fabuleux gisement de lithium, je ne vous dis pas les soucis qui s'annoncent...

A noter que le mentor de Du Chazaux a publié un bouquin intitulé Les Glandes : beauté et charme de la femme en 1978 alors si vous rapprochez çà de la hantise de l'auteur à propos de masturbation laquelle cache mal celle de l'homosexualité on a là un exemple de conformisme galant absolument vomitif. Oui tout cela est "archi daté" et quant au charme féminin, je renvoie ceux qui en ont plein la bouche et plein la tête à l'histoire que raconte la Genèse en son premier chapitre. Et j'ajoute qu'avec les derniers avatars du féminisme essentiellement lesbien les choses ne se sont vraiment pas arrangées. Cela dit si je ne ressens aucune espèce d'attraction sexuelle qui m'ait incité à me reproduire, il s'agit sans nul doute d'une grosse perte pour la société puisque la fatalité veut que les gens les plus intelligents doivent s'abstenir de se dupliquer j'apprécie les femmes dotée d'une certaine virilité intellectuelle, il en existe encore qui, Dieu merci, sont à même de professer des jugements bien moins accommodants que ceux que je peux concevoir à l'égard d'une bonne partie du sexe opposé au mien...

A ce propos, j'ai eu le plaisir récemment de voir un ami, qui a perdu récemment, dans une circonstance dramatique, une compagne avec lequel il a entretenu une relation assez fusionnelle reconnaitre, après avoir tenté vainement de combler sa solitude par sites de rencontre interposé se trouver dans l'obligation de constater qu'il n'a vécu, avec les femmes avec qui il a tenté sa chance, que des expériences de prédation. Ce qui l'a mené à constater en comparant ce qu'il a pu entrevoir du côté "homo" que ce type de rapport n'existe pratiquement pas. Il y a certes de la "concurrence" beaucoup d'appelés et nettement moins d'élus, il existe des candidats mal dans leur peau qui ne savent pas trop où ils habitent mais les rapports sont simples, çà tilte ou sa tilte pas. Je n'ai pas été sidéré par tout ce qu'il m'a raconté, et je pense au cas d'une prétendante qui est allée jusqu'à lui montrer la branche à laquelle son défunt mari s'était pendu, j'ai certes croisé des mythomanes assez tourmentés mais les délires qu'il m'a dépeint sont impensables...

Définition de la "loi naturelle"

Qu'est-ce que la loi naturelle ? C'est l'ensemble des "mécanismes" qui régissent les esprits, les êtres et les choses dans une logique toute d'harmonie et de finalité...

Telle est la définition de celui qui plastronne en temps qu'héritier du Dr Gautier.

Désolé mais ce sont encore des connerie. D'abord le monde dans lequel on s'est trouvé précipité est assez purement "binaire"... Il est sujet à ce que l'on appelle entropie. Où sont l'harmonie et la finalité ? Depuis que le monde est monde l'homme est devenu pire qu'un loup. On peut rêver, on peut imaginer tout ce que l'on voudra mais ce sont toujours les mêmes qui font les frais de l'exploitation par les puissants et on arrive à un moment de l'histoire où la prétendue élite à bel et bien pulvérisé tous les records en matière de bêtise, de méchanceté, d'abus de pouvoir, de corruption etc...

La philosophie dite "naturelle" est une vieille histoire et même une sinistre histoire inventée au moyen-âge pou tenter de réguler les mœurs surtout sexuelles en conformité avec ce qu'à voulu justifier le Lévitique et cette philosophie s'est appuyée en particulier sur des exemples animaux soigneusement sélectionnés pour condamner ce dont on ne voulait pas. A commencer bien sûr par l'homosexualité...

Seulement voilà, les méchants font toujours une oeuvre qui les trompent. On est allé jusqu'à soutenir que l'homosexualité n'existerait pas chez les animaux. Et bien il a fallu en revenir car on a fini par découvrir que de très nombreuses espèces animales l'a pratique plus ou moins occasionnellement. Dans une des sources sur laquelle je suis tombé par hasard il est question de plus d'un milliers d'espèces impliquant les lions, les girafes et des très petites animaux qui renoncent à procréer en période de famine afin de ménager au mieux les ressources disponibles et qui pour cela se divertissent entre mâles. Je crois que les bestioles dont il s'agit on beaucoup de chose à nous apprendre en matière d'écologie.

Cela étant çà ne veut absolument pas dire qu'il faille s'extasier à propos de l'innovation parfaitement carnavalesque qu'a constitué l'invention du "mariage pour tous". les "homos" ont bonne mine de vouloir se conformer à l'intitution purement bourgeoise qu'est le mariage après avoir vomi tant et plus dessus.

Il existe un bouquin de 742 pages sur "L'invention de la loi naturelle"

Il est du à une femme, ce qui est plutôt inattendu. Cette femme est allé puiser à tous les râteliers, grecs, juifs, arabes, chrétiens et elle n'a fait que gloser autour du "mythe créationniste".

Je veux bien admettre qu'il existe des lois naturelles ou du moins une sorte de programmation mais quand des humains veulent théoriser là-dessus ils ne font guère qu'essayer de justifier ce qui les arrange à savoir leurs propres préjugés.

Pour ce qui concerne l'homosexualité, dans un de ses livres un certain Dominique Fernandez à posé la question à ce sujet : naturel ou culture ? Il l'a posé en termes d'alternative, ce qui suffit à prouver qu'en dépit de ses qualités au plan purement littéraire, il ne peut s'agir que d'une question parfaitement con ! Ben oui parce que la chose est naturelle, elle existe depuis que le monde et bon, elle a par ailleurs été fort bien partagée entre les pôles extrêmes de la société : les philosophes éminents et les grands guerriers aussi bien que parmi des gens très ordinaires tels ces "routiers sympas" qui avait choisi ce métier par pure opportunité érotique et il a fallu l'intervention des compagnies d'assurances pour mettre fin aux aventures qu'ils aimaient collectionner...

Sexualité n'est pas génitalité

La "génitalité" conduit à la reproduction mais nos endocrino-psychomachin on inventé de toute pièce deux facettes pour la glande génitale et je suis désolé mais ça m'échappe complètement et je ne suis pas le seul. D'après mes recherches rien de ce qu'on théorisé nos deux lascars n'a fait l'objet d'un consensus.

Assez perdu de temps ! Venant on à la fameuse histoire de l'homme plante d'un certain Roesch...

Je cite Wikipedia :

Premièrement, la vie de l'embryon humain est impossible sans la sécrétion de l'hypophyse maternelle. Sans celle-ci, pas de développement du fœtus. C'était une expérience de choc : c'était reconnaître à nos glandes un rôle de toute première valeur dans nos existences.

Franchement, je ne vois pas ce qu'il y a de remarquable là-dedans ! Personne ne nie ce qui relève du mystère que constitue la "vie"...

À cette première expérience venait s'adjoindre une autre, celle de l'homme-plante de Roesch. Comment se faisait-il qu'un individu qui nait sans thyroïde, avec un cerveau et un système nerveux intacts, n'ait aucune intellectualité possible, aucune sensation, aucun besoin ni désir ni pensée ni aucune vie psychique ?

Remise en question des dogmes Que faisait donc le cerveau si puissant ? Les yeux voyaient pourtant, les oreilles entendaient, mais le sujet était comme aveugle et sourd. Il vivait toutefois, mais privé de toute activité et, s'il fonctionnait, le cerveau "tournait" à vide.

Une greffe de thyroïde survint et ce fut le miracle !

Une greffe de thyroïde, et la vie intellectuelle lui était rendue... Il commença sérieusement à mettre en doute le rôle majeur du cerveau et du système nerveux dans le fonctionnement humain, reconnaissant au système glandulaire le rôle initial.

Seulement il y a un hic ! Le D Roesch inconnu au bataillon et les greffes de thyroïde ? Impossible car impraticables !

Il me reste à vous faire profiter d'une consultation de "Gepetto" et vous n'allez pas être déçus du voyage. Je ne citerai que ce qui est important car c'est d'un véritable fleuve que ChatGPT m'a gratifié. Je cite :

Je voudrais un topo sur l'histoire de l'homme plante de Roesch
ChatGPT a dit :

L'« homme-plante de Roesch » est une référence à une observation médicale rapportée par le Dr. Roesch concernant un individu né sans thyroïde, mais avec un cerveau et un système nerveux intacts. Cet individu était dépourvu d'émotions, de sensations, de désirs et de pensées, vivant dans un état végétatif. Cette condition souligne le rôle essentiel de la thyroïde dans le développement et le fonctionnement psychique de l'être humain.Endocrino Psychologie+2Wikipedia+2Manaturopathie+2

[...]

Le cas de l'homme-plante de Roesch a ainsi servi de preuve pour le Dr. Gautier de l'importance cruciale des glandes endocrines, en particulier de la thyroïde, dans la constitution de la personnalité et des facultés intellectuelles. Il a démontré que sans une fonction thyroïdienne adéquate, même un cerveau anatomiquement normal est incapable de soutenir une vie mentale active.Wikipedia+4Endocrino Psychologie+4DocGillard+4

Démonstration de l'impossibilité de greffer une thyroïde

Notez que pour commencer je n'ai pas douté de l'histoire de l'homme-plante puis un soupçon s'est immiscé en mon esprit : une greffe de thyroïde à quoi bon et d'abord est-ce possible ?

À l'époque où le cas de l'homme-plante de Roesch a été décrit, soit vraisemblablement au début du XXe siècle, la greffe de thyroïde n'était pas une option viable. À cette époque, la médecine endocrinienne était encore en développement, et les traitements des déficiences thyroïdiennes reposaient principalement sur l'administration d'extraits de thyroïde animale (souvent bovine ou porcine).

J'ai souligné le "vraisemblablement" car il a engendré ensuite une autre question encore plus capitale...

Pourquoi les greffes de thyroïde n'étaient-elles pas possibles ?

  1. Rejet immunitaire : Les techniques d'immunosuppression nécessaires pour éviter le rejet d’une greffe d’organe n’existaient pas encore. Ce n’est qu’après les années 1950 que la transplantation d'organes a progressé grâce aux immunosuppresseurs.
  2. Absence de vascularisation efficace : Contrairement à d'autres organes comme les reins ou le cœur, la thyroïde est un organe endocrine très vascularisé, ce qui rendait sa transplantation particulièrement complexe.
  3. Problèmes de régulation hormonale : Même si une thyroïde était transplantée avec succès, il aurait été difficile d'assurer qu’elle fonctionne correctement sans dérèglement du système endocrinien.

Quels étaient les traitements possibles à l’époque ?

  • Extraits thyroïdiens animaux : Dès la fin du XIXe siècle, des traitements à base de broyats de glandes thyroïdiennes animales étaient utilisés pour traiter le crétinisme et le myxœdème (formes sévères d’hypothyroïdie).
  • Thyroïde desséchée : En 1891, George Murray a utilisé des injections d'extraits thyroïdiens pour traiter une patiente atteinte de myxœdème, marquant une avancée majeure.
  • Traitement hormonal substitutif moderne : Ce n’est qu’à partir du milieu du XXe siècle que la lévothyroxine (hormone thyroïdienne synthétique) est devenue le traitement standard.

Est-il possible aujourd’hui de greffer une thyroïde ?

Non, la transplantation de thyroïde humaine n'est toujours pas pratiquée aujourd’hui, principalement pour les mêmes raisons :

  • La thyroïde est un organe endocrinien hautement vascularisé et difficile à transplanter.
  • Les hormones thyroïdiennes peuvent être facilement remplacées par des traitements médicamenteux, rendant une greffe inutile.
  • La médecine régénérative et la bio-ingénierie pourraient éventuellement offrir des solutions alternatives à l’avenir, mais nous n'en sommes pas encore là.

Conclusion

À l’époque de l’homme-plante de Roesch, une greffe de thyroïde était techniquement impossible, et aujourd’hui encore, ce n'est pas une option médicale. Le traitement de l’hypothyroïdie repose toujours sur l’administration d’hormones de substitution, qui sont très efficaces pour compenser l'absence de fonction thyroïdienne.

Enfin l'histoire de l'homme-plante d'où sort-elle ? De nulle part on va le découvrir !

La thèse de l'homme plante a-t-elle été critiqué
ChatGPT a dit :

Oui, la thèse de l’homme-plante de Roesch a été critiquée, principalement parce qu'elle repose sur une interprétation radicale du rôle des hormones dans la psychologie humaine. Plusieurs aspects ont suscité le scepticisme au sein de la communauté scientifique et médicale :

Critiques principales :

  1. Une vision réductionniste du rôle des hormones

    • L'idée selon laquelle les hormones contrôlent entièrement la pensée, les émotions et la conscience, indépendamment du cerveau, est considérée comme une simplification excessive.
    • Si la thyroïde joue un rôle crucial dans le développement cérébral, notamment chez le fœtus et le nourrisson, elle n’est pas la seule responsable de l’intelligence ou de la conscience. Le cerveau, les neurotransmetteurs et d'autres systèmes endocriniens (comme l'hypophyse) jouent également un rôle clé.

Il y a là une grosse méprise : on sait désormais que la "conscience" ne réside pas dans le cerveau et çà un médecin conseil de la Mutualité Agricole pour laquelle j'ai travaillé jadis comme rédacteur "sinistres corporels" (la crème des rédacteurs poste se gagnant par concours) avait en une certaine occasion attiré mon attention sur ce point, je n'ai plus de souvenir sur quelle expérience il s'était basé mais je n'avais pas oublié la chose... A propos des hormones thyroïdiennes vu qu'elles déterminent le niveau d'énergie, il est assez logique que l'hyperthyroïdie se solde en tant que sur-carburation par un surcroît d'énergie à dépenser et que cela s'inscrive au crédit de l'activité sexuelle et érotiques qui sont inséparables. Sauf qu'on ne saurait admettre que cela génère une activité "dévié". bref, on peut admettre un effet quantitatif mais nullement qualitatif.  Et à partir du moment où l'on porte un jugement dans ce domaine on sort de l'endocrinologie.

En fait aucune glande n'a de rapport avec l'intelligence et encore moins avec la conscience. On peut dire çà autrement, il faut distinguer ce qui est matériellement et grossièrement "fonctionnel" de ce qui lui échappe. L'intelligence relève du "spirituel" et le souffle dont il s'agit est au dessus de l'animique...

  1. Absence de preuves solides et de documentation rigoureuse

    • Le cas de "l’homme-plante" semble être basé sur une observation isolée plutôt que sur une étude approfondie avec des preuves cliniques solides.
    • Aucune publication médicale largement reconnue ne semble confirmer officiellement cette description.
  2. La médecine moderne et l’hypothyroïdie sévère

    • Aujourd’hui, les personnes souffrant d’hypothyroïdie congénitale sévère (non traitée) peuvent développer un crétinisme, qui entraîne un retard mental et moteur important.
    • Cependant, ces patients ont encore des émotions et des réactions, même s'ils sont altérés. La description d'un être purement végétatif comme « une plante » semble donc exagérée.

Encore un point capital : cette histoire d'homme-plante est d'autant plus stupide que l'on admet désormais que les êtres végétatifs communiquent entr'eux : ils possèderaient par conséquent une forme de "conscience"...

  1. Opposition avec les connaissances neurologiques et psychiatriques

    • Le fonctionnement du cerveau repose sur une interaction complexe entre l’endocrinologie et le système nerveux.
    • Si l’absence de thyroïde peut causer des déficiences cognitives sévères, les émotions et la conscience ne sont pas uniquement pilotées par la thyroïde mais impliquent des structures cérébrales comme le cortex préfrontal, l’amygdale et l’hippocampe.

Conclusion :

La thèse de l’homme-plante de Roesch est aujourd’hui largement critiquée et considérée comme une exagération des effets d’un déficit thyroïdien. Si la thyroïde est indispensable au développement neurologique, elle ne peut pas être la seule responsable de la pensée et de la conscience. La médecine moderne privilégie une approche plus nuancée, intégrant à la fois la neurologie, la psychiatrie et l’endocrinologie.

Raesch ? Aucune trace palpable et ça c'est le bouquet !

Vous avez dit :
Je voudrais savoir qui est roesch
ChatGPT a dit :

Le Dr. Roesch est mentionné dans le contexte de l'« homme-plante », un cas clinique historique décrivant un individu né sans thyroïde, vivant dans un état végétatif en raison de l'absence de cette glande essentielle. Cependant, les informations spécifiques concernant le Dr. Roesch, telles que ses prénoms, dates de naissance et de décès, ou détails de sa carrière médicale, sont limitées. Il est possible que ce cas ait été rapporté dans des publications médicales anciennes ou des archives spécialisées, rendant l'accès à des informations détaillées sur le Dr. Roesch difficile.

Pour obtenir des renseignements plus précis sur le Dr. Roesch, il serait recommandé de consulter des archives médicales historiques ou des bibliothèques spécialisées en histoire de la médecine. Ces sources pourraient fournir des publications ou des documents relatifs à son travail et à ses contributions dans le domaine médical.

DeepSeek n'a rien trouvé. Il n'existe aucune trace sérieuse de l'observation végétative alléguée ce qui fout par terre toutes les cogitations du duo Gautier/Du Chazaux...
 

Enquête sur les tentatives d'une greffe de thyroïde

Poser la question est devenu superflu mais puisque j'ai une réponse je vous la donne !

Peut-on citer une seule expérience de greffe de thyroïde connu et parfaitement attesté historiquement
ChatGPT a dit :

Oui, une expérience historique bien documentée de greffe de thyroïde a été réalisée à la fin du XIXe siècle par Emil Theodor Kocher (1841-1917), un chirurgien suisse pionnier de l'endocrinologie.

L'expérience de Kocher sur la greffe de thyroïde

  • Kocher était un spécialiste de la chirurgie de la thyroïde et avait observé que l'ablation complète de la glande (thyroïdectomie totale) provoquait un syndrome grave aujourd'hui reconnu comme l'hypothyroïdie sévère (appelé alors myxœdème).
  • Pour tenter de traiter ces effets, il a expérimenté la greffe de fragments de thyroïde (autogreffe et allogreffe) sur des patients qui avaient subi une thyroïdectomie.
  • Les résultats furent mitigés :
    • Certaines greffes semblaient fonctionner temporairement, mais elles étaient généralement rejetées ou se résorbaient.
    • À long terme, elles ne parvenaient pas à rétablir complètement les fonctions thyroïdiennes.

Autres tentatives marquantes

  1. Gustave Roussy (France, début XXe siècle)
    • Il a tenté de greffer des tissus thyroïdiens pour traiter le myxœdème, mais sans succès durable.
  2. Serge Voronoff (années 1920-1930)
    • Il a essayé des xénogreffes thyroïdiennes (de singe à humain), mais les résultats étaient également décevants.

Pourquoi ces greffes ont-elles échoué ?

  • Rejet immunitaire : Sans immunosuppresseurs (qui n'existaient pas encore), le corps détruisait les cellules greffées.
  • Mauvaise vascularisation : La thyroïde est un organe très vascularisé, et les fragments greffés ne recevaient pas assez d'oxygène pour survivre.
  • Alternative efficace : Avec l'avènement des hormones thyroïdiennes synthétiques (comme la lévothyroxine dès les années 1950), les greffes sont devenues inutiles.

Conclusion

Bien que Kocher et d'autres médecins aient tenté des greffes de thyroïde, elles n’ont jamais abouti à un traitement efficace et viable. Aujourd’hui, la greffe de thyroïde n’est plus pratiquée car un simple traitement hormonal substitutif suffit à pallier l'absence de la glande.

Quid de l'appareil Equilios ? Réponse de Gepetto

La méthode Équilios est une approche thérapeutique visant à rééquilibrer le système endocrinien à l'aide d'ondes électromagnétiques pulsées. Cependant, les preuves scientifiques concernant son efficacité restent limitées.

État actuel des preuves scientifiques

  • Absence d'études cliniques publiées : À ce jour, il n'existe pas d'études cliniques publiées dans des revues scientifiques à comité de lecture qui démontrent l'efficacité de la méthode Équilios. Cette absence de données rend difficile l'évaluation objective de ses bienfaits.

  • Témoignages et rapports anecdotiques : Certains praticiens et patients rapportent des améliorations après des séances d'Équilios, mais ces témoignages ne constituent pas des preuves scientifiques solides en raison de leur nature subjective et de l'absence de protocoles contrôlés.

Air connu... Renseignement pris il n'existe pas un seul praticien utilisant cet appareil en PACA. J'eusse été un bon candidat, j'aurais volontiers consenti à une dizaine de séances dans le but de recouvrer le degré centesimal qui me fait défaut au réveil. Mais bon assurément je suis loin d'avoir été ou d'être devenu un crétin. Mon langage est riche et même très imagé et mon bagage intellectuel est loin d'être "maigre".

Ma conclusion est sans appel, les discours signé Gautier et du Chazaux illusionne par leur verbosité mais tout çà c'est absolument creux.

J'oubliais nos phénomènes aurait découvert par un teste des plus ingénieux la testostérone prédisposerait à l'honnêteté. Je présume qu'il y a derrière çà l'idée que cette hormone qui domine chez le type "génital" fait les bons "hétéros", enfin si ça les amuse de faire des gosses pour servir bientôt de chair pour les canons ou les drones du Sieur Poutine c'est leur problème...

Hormis le besoin de projection conformes à une certaine morale conventionnelle des plus bourges on est en présence d'une confusion philosophique absolument lamentable. Faire résider l'intelligence à ce niveau particulièrement grossier et purement fonctionnel où opère les glandes endocrines c'est vraiment ce qu'on peut trouver de plus aberrant et n'avoir pas la moindre notion de ce qui sépare la physique de ce qui est proprement "métaphysique" et donc au delà de la physis des anciens grecs. Enfin il faut se rendre à l'évidence : on ne saurait discuter de choses sérieuses avec des êtres n'ayant guère dépasser le niveau ontologique des gallinacées !

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