21/06/2018
Dénonciation d'un certain féminisme : une réaction typique et la réponse fulminante...
Je m'attendais à recevoir des courriers désagréables... En voici un que je trouve particulièrement inconvenant et qui montre bien que la gent masculine ne veut pas voir les choses en face. J'ai bien dit que dans l'histoire ce qui pose problème c'est quand des hommes, appelés à être bafoués si l'occasion s'en présente, veulent voler au secours des détraquées de l'espèce des "féministes" dont le but est de présenter la gent masculine comme n'étant qu'une espèce prédatrice.
A propos des guerres, il n'est que de voir comment les femmes se crêpent le chignon pour les plus mal éduquées et pour les autres le genre de saletés qu'elles se font en douce. Les hommes sont volontiers batailleurs, certes mais leur guerres étaient "ritualisées". Sauf quand il s'agit des petits caïds de banlieue. Mais c'est un certain Giscard qui est à l'origine de l'importation massive de ce genre d'engeance !
Ce qui est déplorable et même révulsant, c'est le jeu des étiquettes que l'on est appelé à se voir coller sur la tronche. On critique les femmes alors on est forcément misogyne. Non c'est faux ! J'apprécie certaines femmes et en particulier les femmes qui ont occupé des postes de responsabilité et qui ont acquis une "mentalité virile" dans le bon sens du terme. C'est peu fréquent mais ça existe. On n'a pas pensé à un détail à savoir que parmi les gens qui m'écrivent, les femmes sont majoritaires et certaines sont étonnées du contraste en la courtoisie dont je fait preuve au téléphone et certains propos. Est-ce contradictoire ? Non absolument pas !
A propos des "étiquettes" on ne peut plus j'aime ou j'adore les enfants sans préciser avec insistance en bon père de famille sans risquer d'être traité de "pédophile". Qui n'aime pas les enfants du moins avant la puberté car là ça se complique est un monstre. J'ai eu le malheur de dire çà chez un voisin gay qui m'avait invité à un repas. Un autre invité, un individu mélangé, style descendant d'esclave libéré m'a fait tout un procès. Je me suis retenu pour ne pas lui retourner la table et tout son attirail sur la gueule. Je limite la fréquentation de l'espèce humaine car toute question de sexe mise à part, 95 fois sur 100 çà menace de virer à l'aigre. On n'a pas encore compris que la démocratie, terme qui rime avec démagogie, est le pire des systèmes. On flatte les gens en les persuadant qu'ils constituent des exemplaires uniques et originaux alors qu'à peu d'exceptions près je ne vois que de vulgaire "clones".
Alors quand des aliénés osent me juger, je ne vois pas d'autre solution que de leur rentrer dans le lard. Et l'avantage des relations anonymes et virtuelles c'est qu'il n'y a pas de raison de se gêner.
Alors je commente :
Bonjour Monsieur,
Je reviens vers vous, ce n'est pas souvent, mais parfois il me semble bon aussi de pouvoir émettre un avis.
Vous avez le droit d'émettre des avis encore faut-il qu'ils soient cohérents.
Concernant votre récent article sur le Levothyrox, je dirais plutôt contre la gente féminine, je le trouve exagérément à charge contre cette dernière et quasi hors-sujet nonobstant que vous puissiez avoir des griefs personnels et justifiés contre celle-ci.
Hors sujet : c'est moi qui décide et si ça ne vous convient pas vous dégagez et vous abstenez de lire si c'est une souffrance. Est-ce clair ?
Hors sujet : ça me rappelle l'interdiction des "digressions" dans les dissertations. Ce genre de censure consistant à interdire et censurer toute considération sur un thème si on décide de le camper dans un contexte plus large que le sujet lui-même fait partie de ce que l'on appelle la "langue de bois".
Je vous rappelle que j'ai pris la peine de baliser le texte, vous pouviez sauter les passages ne concernant pas directement la thyroïde. La vraie question est pourquoi vous réagissez ainsi ! Réponse : il n'y a que la vérité qui blesse ! Et puis pourquoi vous occupez vous de vouloir défendre les femmes, elles n'ont pas besoin de vous pour cela. Vous devriez vous occuper en priorité de vos fesses !
Misogynie, c'est vite dit ! Je vous signale au cas où vous ne le sauriez pas que les "homos" ont, en général de mailleurs relations avec les femmes que les "hétéros". Tout simplement parce qu'elles n'ont pas à redouter des relations intéressées. Enfin la différence de psychologie à raison du sexe n'empêche nullement une certaine empathie, encore faut-il avoir à faire avec des femmes matures et non des révoltées.
D'autre part et dans la mesure ou sexuellement parlant je n'ai jamais mis une seule femme dans mon jeu, je ne vois pas comment elle aurait pu me poser des problèmes insurmontables. J'ai cité l'exemple des dégâts causé dans le monde clérical mais ma fonction de musicien d'église est bien loin d'occuper toute mon existence.
En parlant de la sorte et en mélangeant outrageusement les genres, la barrière entre les femmes et les féministes est ainsi réduite à sa portion congrue et vous n'avez bien sûr pas manqué de vous attirer les foudres de ces dernières (mais pas seulement), et pour le coup je ne vous soutiendrais pas dans ce délire mysogyne plutôt récurent.
"Mélanger outrageusement les genres" ! Je refuse toute espèce de langue de bois. Encore une fois si vous souffrez allez voir ailleurs et oubliez moi.
"La barrière entre les femmes et les féministes". D'abord je n'ai stigmatisé qu'une seule espèce de "féministes", celle qui veut persuader le monde que tous les mâles seraient des prédateurs. L'obsession de la "pédophilie" amplifiée grâce à la caisse de résonance que constitue les médias modernes fait partie du tableau et on va jusqu'à oublier que la femme peut être à l'origine de véritable abus sexuels. Voyez ce qu'il en est résulté au plus haut niveau de part le soutien de deux "grand mères" envers un adolescent prolongé qui prétend tout savoir et tout maîtriser. Faut-il rappeler ce qu'un observateur du monde de la banque et des finances a dit à son sujet. Ce fut assez "outrageant" et la charité me commande de ne pas répéter le terme employé car de toutes façons le mal est fait !
Donc il n'y a pas les femmes et les féministes, mais des femmes ordinaires et différentes sortes de féministes donc une espère en particulier mérite d'être combattue avec la dernière énergie.
Enfin la "barrière" est quand même très mince car si une majorité de femmes ne sont pas aussi excessives que certaines tribades, c'est quand même du pain bénit pour elles. Il est assez normal que les femmes éprouvent le besoin de sortir de l'enfermement dans lequel on les a parquées. Du reste je pense que s'il est un espèce d'homme qui peut comprendre cela spontanément, ce sont bien les "homos". Ce qui est "outragent" en l’occurrence ce sont vos jugements expéditifs me concernant. Alors je vous dis d'aller vous faire foutre, cela pourrait peut-être contribuer à vous éclaircir les idées !
Mais à vous lire, la mysogynie que vous affichez ici rend à Molière toute la noblesse d'âme que l'on a pu lui discuter.
Molière parlons en ? Nous avons un point commun : il était marié et son attachement envers un certain Michel Baron a donné lieu à des soupçons d'homosexualité que l'on cherche à écarter en prenant comme point de comparaison l'homosexualité moderne. C'est évidemment le plus sur moyen de ne rien trouver. Peut-être faudrait-il commencer par prendre conscience que ce qui caractérise les temps anciens c'est une "homophilie" latente. D'une certaine manière c'est la montée en puissance des femmes qui a provoqué cette "ghettoisation" qu'est la "culture gay". Horreur avec laquelle je n'ai rien à voir car si j'ai conscience d'une chose c'est d'être une sorte de rescapé du monde antique perdu au milieu d'un zoo d'aliénés modernes à divers degrés. Alors quand ces gens là prétendent avoir accompli des progrès je ne saurais me contenter d'un sourire de mépris, j'ai vraiment envie de taper dans le tas ! L'arrogance n'est pas de mon côté ! Enfin merde ! Ouvre les yeux sur votre véritable condition !
Quant à la noblesse d'âme de Jean-Baptiste Poquelin on me permettra de rire. J'ai évoqué ce me semble la "galanterie" d'une certaine époque caractérisée par des hommes déguisés en faisans dorés baisant la main de gonzesses plus ou moins emplumées elles aussi. Bref c'est un genre d'hypocrisie auquel on était tenu et qui n'est plus de mode et si le fameux Jean Baptiste venait à se réincarner j'ai des raisons de penser qu'il ferait pire que ce que je puis faire !
Bref j'ai bien des raisons de postuler en tant qu'héritier du Sieur Poquelin sauf que je n'ai pas jugé utile de trop tourner autour du pot en me donnant la peine d'écrire des pièces. Le temps presse ! On court à une catastrophe généralisée du côté de la Syrie en particulier ! Faut arrêter de dormir et de rêvassouiller ! Cela dit on peut "faire du théâtre" de bien des manières... Ne pas comprendre qu'un immense éclat de rire se cache derrière une colère apparente, c'est avouer qu'on souffrirait d'une cataracte ! Malheureusement je ne dispose pas de remède contre la cataracte intellectuelle ! Elle n'est curable qu'en se donnant la peine de beaucoup lire, encore faut-il comprendre ce qu'on a sous les yeux et ne pas rétroprojectionner ! Le paradoxe est qu'en matière de médecine, si on dispose réellement d'avancées spectaculaires tout ce qui pourrait être opérant est littéralement confisqué ! Mais c'est d'abord la faute aux médecins qui se sont laissés enrôler dans un ordre archiviste qui relève du "nazisme" plus que d'autre chose !
Vous auriez dû vous contenter de rappeler les éléments factuels et largement sous-mediatisés des dernières analyses de ce nouveau Levothyrox et de vos commentaires documentés sur le sujet.
Quel culot que d'oser me dire ce que je dois faire et ne pas faire ! Je n'ai donc le droit de causer qu'à partir du moment où j'accepterai de dire ce que l'on à envie d'entendre. Dites vous bien que si j'ai entre 20 et 30 000 visiteurs mois, c'est qu'en dépit de propos parfois abrupts pas mal de gens s'y retrouvent.
Mais, s'il vous plaît, évitez ce type de prétexte pour lyncher cette moitié de l'humanité qui a dû laisser quelques traces douloureuses dans votre vie. (pardon pour cette petite psychologie de comptoir !)
"Psychologie de comptoir" en effet car personnellement, je ne peux pas dire que j'ai été victime de manigances féminines. En revanche, je connais des pères qui ont été outragés au dela de toute mesure. Un voisin a vu sa grosse lui d'éclairer qu'elle ne l'aimait plus après s'être fait défoncer lors d'une réunion chez des concitoyens. Elle a pris les mômes, il doit faire tout un tas d'extras pour payer la pension et à friser non seulement la dépression et même le suicide. Un autre qui est pharmacien, s'est fait escroquer deux fois de suite par deux femmes et bouffer sa baraque. La seconde est une polonaise, elles sont terribles. Mais il faut dire qu'il est tellement con qu'après cela il voulait m'embaucher pour distribuer des roses aux femmes lors de je ne sais quelle journée nationale. Inutile de vous dire que je l'ai envoyé ... sur les roses en souhaitant qu'elles aient beaucoup d'épines cette année là.
En d'autres termes ce n'est pas parce que vous êtes trop sentimental et confit en dévotion devant les femmes qu'il faut vous permettre de me juger comme vous le faire. Désolé mais vous n'avez pas les mesures adéquates pour cela. D'autre part, je suis très objectif et je ne suis pas plus tendre envers les excités du milieu LGBT. Voir mes considérations sur la Gay Pride et Cie... Mais vous ne voyez que ce que vous voulez voir. c'est de la myopie au dernier stade.
On peut parler de l'effet nocebo, et il est sans doute présent dans un certain pourcentage de ceux qui se plaignent aujourd'hui (pas que des femmes non plus...) de la nouvelle formule. Je connais précisément deux personnes, dont ma propre mère, qui ont été très mals pendant un mois, bien avant le battage médiatique, et dont aucun médecin dont elles avaient alors poussé la porte, n'avait posé le bon diagnostic.
Justement, n'ai-je pas souligné que le problème en l’occurrence c'est que l'ensemble de la profession médicale est, en ce qui concerne les problèmes de thyroïde, littéralement à la masse. Mon propre généraliste est attentif au problème quoique très décontenancé par certaines observations, il se trouve qu'étant d'origine savoyarde il a été sensibilisé par un phénomène local qui a donné lieu à une injure : crétin des Alpes...
Concernant l'AFMT, j'ai parcouru certains échanges. Là encore on voit bien que le fabrication de certaines associations n'est assez souvent qu'un biais pour leur fondateur afin d'essayer d'exister socialement. Maintenant quant à la pertinence des échanges, ce n'est que bavardages d'ignorantes crasses. Je pense aux coupages de cheveux en 4 à propos de l'Euthyral. Je ne dis pas que les femmes sont toujours sottes à ce point mais celles qui connaissent le sujet ne vont pas se commettre dans ce genre de forum populiste. Voyez tout le mal que cause les "assos" notamment à propos des histoires de migrants.
Une petite digression : on court le risque, à plus ou moins brève échéance, de voir certaines portions du territoire complètement colonisées par l'Islam et pas mal d'églises sont appelées à être transformées en mosquée. Très franchement, je ne manquerais pas de souscrire si j'étais sûr que cela puisse constituer un moyen de faire rentrer dans le rang certaines excitées. Mais il ne faut pas rêver, l'enfermement des femmes dans des harems (ou des gynécées chez les Grecs) procèdent d'une véritable "peur". La question est celle de savoir ce qui fait si peur chez les femmes ? Je crois avoir fourni des éléments de réponses. Notamment en parlant de la psychologie "chien" qui prédomine chez les mâles.
Le Levothyrox, s'avérait être le vrai responsable et il fallut nombreux ajustements dans le dosage avant de retrouver un équilibre de vie à celles-ci.
Personne ne nie qu'il y a eu un problème. Je rappelle que je me suis tué a répéter que ce qui ressort des symptômes observés relève d'une hypo, donc d'un défaut de supplémentation. Mais encore une fois les toubibs n'ont pas fait leur boulot. Ils n'ont pas redosé la TSH et monté la dose.
Mais ceci dit j'apprécie vos articles plutôt bien documentés et votre curiosité à la recherche ; quant à la forme donné à la rédaction de ceux-ci il faut bien leur reconnaître leur forme très personnelle et parfois un peu décalée...
Bonne continuation tout de même.
Vous vous contredise, vous parlez de "hors sujet", cela relevait donc du "fond" et voilà qu'il n'est plus question que de "forme", autrement dit de l'emballage. Certes je ne fais pas dans le genre "papier cadeau". Soit vous vous habituez et avant de faire un "caca nerveux" il faut réfléchir un peu.
Enfin merci de m'avoir donné l'occasion de "rebondir". Oui le problème est que vous n'avez pas mesuré les capacités d'empathie de la part d'un "homo". Ce que je déplore c'est que les premiers militants aient fait la courte échelle aux femmes pour avoir l'occasion d'acclimater le public à leur propres revendications. Le problème c'est que les "féministes" de l'espèce des "tribades" qui mènent la sarabande n'avaient absolument pas besoin de ce coup de pouce. Elles se sont vite "affranchies" et la simple observation démontre l'existence d'une inégalité naturelle entre "tribades" et "homos". D'un côté la possibilité d’accéder à l'insémination artificielle (PMA) et de l'autre la quasi impossibilité de recourir à l'adoption et à la GPA.
Alors calmez vous et prenez du recul.
Cordialement
PJ
Analogie n'est pas identité
PS : Mon agresseur a récidivé, voulant avoir raison contre toute vraisemblance. Je lui ai demandé de me lâcher la grappe. Qu'il garde ses jugement de Café du commerce. Il est revenu sur la perspective mytho symbolique employée au sujet des Sabines.
Qu'il n'ait rien compris à ce type de perspective en montrant qu'il est hermétique à tout notion de symbolisme est un signe très caractéristique. L'un des traits qui permet de distinguer entre un psychisme masculin et un psychisme féminin, c'est la fermeture à la notion même de symbolisme.
On est là dans une pensée analogique. Cette fermeture est un trait essentiellement féminin, ce qui ne veut pas dire que tous les hommes aient accès aux modes de pensée dit analogique. Avant de vouloir poser un regard norminatif et judiciaire sur ce dont il est question il faut commencer par faire la différence entre identité et analogie.
Rares sont les individus ayant eu vraiment accès à la pensée dite analogique. C'est quelque chose qui ne s'apprend pas, qui doit être inné et peut se développer et je crain que cela ne puisse s'acquérir. L'exercice de la logique doit prendre en considération les deux modes sans jamais les confondre. J'ai fréquenté jadis le milieu bouddhiste tibétain et j'ai été horrifié de constater à quel point de futurs lamas pouvaient être "bouchés" à cet égard. Et oui, ce qui ne facilité pas l'ouverture intellectuel c'est que nous subissons la tyrannie du mode purement identitaire... Les propos courants regorgent de preuve à cet égard, la crispation est générale autour des identités. Quelle merde !
Qu'on se li dise : la médecine n'est pour moi qu'une occasion parmi d'autres de parfaire une certaine critique de l'esprit dit "moderne" ! Il est exclu que je puisse me laisser enfermer dans un sujet aussi étriqué !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! J'ajoute qu'à ce propos je ne dois rien à personne !
Et encore une fois si quelqu'un ne trouve pas ici "chaussure à son pied" qu'il ait l'humilité de dégager sans faire de commentaires ! Je crois diffuser suffisamment d'informations pertinentes pour être dispensé de certaines récriminations ! Bref je n'ai pas le souci de plaire et d'étendre mon audience. Ca ne me rapporte absolument rien, seulement un risque d'emmerdements...
11:07 Publié dans Féminisme sexologie, Féminisme, pédophilie et Cie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
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