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20/06/2018

L'affaire du "nouveau Lévothyrox" : les dernières nouvelles analysées sur un fond de féminisme revanchard

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Pathologie sociale émotionnelle

On ne saurait me reprocher d'avoir refusé de céder devant le caractère assez purement "émotionnel" qu'à pris l'affaire avec ses manifestations féminines de rue. Que cela plaise ou non il faut en reparler un peu.

Sauf qu'à l'heure actuelle, les femmes peuvent tout se permettre impunément de sorte que la moindre critique se solde immédiatement par un véritable lynchage. Et cette situation est devenue insupportable ! D'autant plus insupportable que ce sont en général des "cons" qui aiment à voler au secours des "meufs" afin de pouvoir poser en défenseurs respectueux des droits des femmes. Évidemment ces gens là font partie des "idiots utiles" et des "traîtres" les plus haïssables car ils ne voient pas qu'à terme, on va nous les hommes, se faire complètement "bouffer". Ainsi on est allé jusqu'à vouloir m'interdire de parler de ce qui suis en décidant que ce serait hors sujet !

Jusqu'à preuve du contraire nous sommes toujours en France et la liberté d'opinion est un droit absolu qui ne connaît que certaines limites (apologie de crime etc...) et à partir du moment où je ne cite pas de noms j'ai le droit de dire à un lecteur qui n'apprécierai pas mes propos que c'est un "connard" en lui disant d'aller se faire foutre... Nous sommes arrivé à une époque où il est exclu de faire dans la dentelle si on veut être compris !

Je me suis donc fait haïr et INSUTER en privé par une certaine Anne Duperey et par diverses harpies membres de l'AFMT pour m'être insurgé contre les manifestations massives de ces femmes qui sont descendues dans la rue pour protester à propos des problèmes posés par la nouvelle formule à base de T4. J'ai fait l'objet de spams sauf qu'il est une chose que l'on doit savoir : il est hors de question que je capitule devant des menaces. C'est même le plus sûr moyen de s'en faire rajouter une couche ! Que les excitées me lâchent la grappe et à défaut que le diable les emporte !

Ce qui m'a tapé sur les nerfs dans ces fameuses manifestations de rue, c'est que cela a encore été une occasion pour un nombre impressionnant de femmes dont la majorité sont passées au nouveau "Lévo" sans douleur de se faire remarquer. Il est clair en effet, que la recherche de l'égalité et de la parité est dépassée, une forte proportion de femmes veulent dominer les hommes et la tendance est à les présenter comme des prédateurs constitutionnels. Je suis d'autant plus révulsé contre cette révolte que je peux bien dire que je suis sans péché à leur égard pour l'excellente raison que les femmes ne m'ont jamais intéressé sexuellement parlant. Sauf que nous avons le même genre de problème en commun : à savoir la haine de ces "machos" de merde qui n'ont qu'une "bite" en guise de cerveau. Seulement voilà : je me suis rendu compte d'une chose, à savoir qu'en défendant les femmes mes confrères "homos",se sont bornés à seulement élever des chiennes pour les mordre ! Ils ne se sont pas rendu compte qu'elles allaient s'affranchir de toute espèce de tutelle et l'argement dépasser les bornes !

Un examen "sociologique" du phénomène s'impose avant d'entrer dans des considérations "techniques" ! J'entends initier ici un véritable procès d'un certain "féminisne" et je ne vois pas ce qui peut m'en empêcher.

Concernant l'aspect médical, je tiens à souligner que même si Merck devait être condamné, une telle victoire est sans doute bonne à prendre mais elle ne changera rien au fond du tableau : le problème je le rappellerai plus loin c'est que la voie consistant à tabler sur une seule hormone, la T4, inactive par elle-même est une CONNERIE.

Il ne sera possible de soigner correctement les hypothyroïdie que si les médecins recouvrent la faculté d'user de poudre ou 'extrait de thyroïde de porc. Il y a 4 hormones thyroïdiennes, l'Euthyral qui contient de la T4 et de la T3 est un progrès mais il en manque encore 2 qui ont forcément un rôle à jouer. Alors comment se fait-il quez personne n'a parlé de passer à l'Euthyral ?

Si la poudre de thyroïde de porc devait faire son retour, çà ne ferait pas l'affaire des musulmanes. Et bien tant pis pour elles ! Les tabous, alimentaires en particulier, basta ! On en a plein le cul ! Voyez le terrorisme véganiste sous prétexte des violences faites aux animaux, élevés en batterie. Faut pas tout mélanger ! On ne peut pas se priver de protéines animales, ces enfoirés de Vegans, à force de ne bouffer que des courges, sont devenus débiles et qui plus est méchants. Ils sont pire que les témoins de Jéhovah et autres "évangélistes". Ce sont de véritables inquisiteurs, il faut leur dire de le fermer, et s'il négligent d'obtempérer, leur botter le cul ou les claquer. Je n'apprécie pas particulièrement les carnivores qui engloutissent de la viande rouge à tous les repas. Mais chacun est libre. Quant à la maltraitance animale, c'est à la justice à sévir en fermant les abattoirs et les élevages défectueux et en foutant en taule les dirigeants...

Le monde actuel, il faut en être bien conscient, est dominé par une "moraline laïque" qui s'avère infiniment plus tyrannique que la "moraline catholique", cette dernière est devenu un véritable "plomb" mais la "moraline citoyenne" est encore pire car totalement dénuée d'intelligence. Basta, on n'en plus plus ! 

Il va vous falloir un peu de patience avant d'en arriver à ce qui concerne la thyroïde. Notez que je "balise" mes articles, vous pouvez aller directement à ce qui vous intéresse mais après revenez en arrière sinon vous allez perdre le plus important !

Si j'inclus un long préambule sur le "complot" à peine voilé d'une certain féminisme c'est parce qu'en le joignant à un article sur le Lévothyrox, il a toutes les chances de ne pas passer inaperçu. Soit dit en passant, j'aimerais être un petit rat pour voir la gueule que vont faire les dévergondées de l'AFMT en me lisant. C'est que j'ai une très mauvaise opinion de le teneur de leur échanges, leurs bavardages et leur pinaillages, en particulier sur le dosage de l'Euthyral, témoignage d'une parfaite méconnaissance du sujet. A vrai dire, ce n'est pas étonnant puisque les médecins et même les endocrinologues sont rarement à la hauteur !

Enfin certaines adhérentes ont osé me menacer d'une procédure : et bien à présent qu'elles osent !

J'ai pris le parti de piquer une "sainte colère" et de cadrer l'affaire à partir d'un bref historique du féminisme qui fait appel à une vision symbolique telle qu'on peut la développer à partir d'une base mythologique. Le problème dans ce domaine c'est que même les hommes ont, pour la plupart, perdu la faculté de recul nécessaire, le regard "panoramique" que réclame une telle interprétation. Les femmes jugent volontiers d'un Tout à partir d'un de ses plus infimes détails. Malheureusement la dégradation générale des qualités intellectuelles est l'une des rares choses qui soit assez franchement "égalitaire" et qui plus est assez notoirement "contagieuse" !

Je me réserve de revenir sur le sujet et d'évoquer en particulier la folie délirante de l'écriture inclusive ! C'est que j'envisage la médecine avec la plus grande "largeur  de vue". Et ceux que cela énerverais sont priés de se désabonner. Il est hors de question que je doive chercher à plaire. Ce blog m'attire plus de soucis qu'autre chose.

Le silence "assourdissant" des médecins

Il faut se méfier, lorsqu'on examine un phénomène, des apparences. On risque en regardant trop d'où vient l'agitation d'oublier le principal. Les femmes ont réagi parce que leurs toubibs ont été en dessous de tout mais ce n'est pas une raison pour tout excuser. On devrait savoir depuis longtemps que les manifestations publiques et le tapage médiatique n'a jamais rien fait avancer. On va s'en rendre compte avec la fameuse "maladie de Lyme".

Un récent article paru dans le Figaro expliquerait que le gouvernement n'ait pas tenu une certaine promesse qui devait s'incarner récemment. Rien de vraiment surprenant à cela ! Voir le prochain article à paraître sur la prévalence des spirochètes chez des porteurs sains. Il n'y a pas que les souteneurs du consensus de 2006 à avoir tout faux. Vu cette prévalence apparemment fort importante c'est quoi au juste la "maladie de Lyme". Il faudrait plutôt parler de "poly cryptos infections", on peut ajouter "froides" car elles ne déterminent que rarement des fièvres. Rien, ou pas grand chose à voir avec la "maladie de Lyme historique".

Concernant le Lévothyrox, mis à part l'intervention du Dr Dupagne à propos de la question des "bioéquivalences", je n'ai vu personne parmi les techniciens de santé chercher à faire la lumière hormis quelques pharmaciens, au demeurant peu nombreux, qui ont rappelé la nécessité d'un dosage de la TSH à terme après passage à la nouvelle formule. En fait les médecins n'ont rien vu venir et sont restés complètement passifs. Ils ont été LAMENTABLES !

Mais qu'attendent leur victimes pour hausser le ton, non pas contre les labos tous puissants mais contre leurs complices, les distributeurs patentés de médocs plus ou moins pourris. Oui certes si elles leur renverse le bureau sur la gueule, elles seront traités de folles, voire internées, comme pour les prétendues "maladies de Lymes imaginaires". Sauf que ce n'est pas en me vouant aux gémonies alors que j'essaie d'apporter des éléments de clarification que cette situation va se résoudre.

Première question : comment se fait-il qu'aucune parmi toutes ces femmes révoltées de s'en soient prises aux généralistes et aux endocrinologues en leur demandant des comptes ? A contrario qu'un particulier l'ouvre et c'est le risque d'un lynchage médiatique !

Eléments de réponse : Est-ce à dire que l'ensemble de la profession médicale serait misogyne ? Sûrement pas ! D'autre part, c'est un métier "paritaire". Les femmes médecins ça existe et le domaine de la santé est un espace où la mixité est évidente. Alors comment se fait-il que j'ai été traîné dans la boue par quelques "garces" alors que, lorsqu'on gratte un peu, on constate une complète passivité des prescripteurs ! Plus encore, nulle patiente à ma connaissance ne l'a déploré. En revanche, je reçois régulièrement des demandes pour indiquer un toubib capable de soigner les problèmes de thyroïde, sauf que je n'en connais pas hormis deux "stars" qui s'enrichissent de façon indécente en exploitant le créneau laissé vide par une carence devenue évidente. J'ai passé plusieurs mois à lire quantité d'articles sur le sujet et j'ai traduit l'ouvrage du Dr Starr donc j'ai le droit de prétendre m'y connaître un peu mais ça ne veut pas dire que je possède la maîtrise parfaite du sujet : ce qui frappe lors de la mise en place d'une supplémentation, c'est la possibilité de réactions paradoxales avec, sur un fond d'hypo, des signes cardiaques qui sont plutôt d'hyper de sorte que ce dont se plaignent les femmes mécontentes de la nouvelle formule est difficile à interpréter. Et je m'empresse de souligner que personne n'a cherché à clarifier tout cela !

Dans ces conditions, je ne saurais trop conseiller à ces femmes de diriger leur ire contre les véritables responsables ...

Une révolte essentiellement féministe

Je suis sûr que ce qui suit va faire chier non pas seulement des femmes plus ou moins revanchardes mais surtout des "mecs", c'est que je ne voudrais pas qu'on s'imagine que par solidarité je serais susceptible de les couvrir ou de les excuser systématiquement. En vérité si l'on en est arrivé là où l'on en est, c'est qu'une majorité de mes confrères sont plus ou moins tarés ! Il est du reste très symptomatique que la première personne à avoir réagi au point de s'être fait recadrer est un homme. Depuis c'est le silence, j'espère que ça va continuer. A moins que ce ne soit pour m'adresser quelques petits encouragements mais il n'y faut pas trop compter !

Quelques repère dans l'histoire du "féminisme"

Je me suis beaucoup intéressé au "féminisme" et ça ne commence pas avec la révolte des suffragettes anglaises. Je situe la première fracture dans la "guerre des sexes" au début même de notre "civilisation" qui n'est pas "grecque" mais bien romaine. Nous n'avons rien pris au grecs. La démocratie sans le tirage au sort est un imposture et une entourloupe. Certes la démocratie est une invention grecque, mais ce n'est pas suffisant pour définir la grèce. En fait d'originalité, il faut un second terme pour pouvoir prétendre à un rapprochement, je ne vois que la "pédérastie" comme comme candidat. En vérité, ce n'est pas un trait spécifique à la Grèce, on trouve ce genre d'institution chez tous les peuples guerriers, y compris chez ce que l'on appelle les "peuples premiers". Ceux qui désireront chercher un peu constaterons à cet égard que nos ancêtres les Gaulois n'étaient pas en reste, loin s'en faut.

En d'autres termes, je me sens plus "gaulois" que tous ces "machos" qui sont actuellement visés par une nouvelle loi sur les "outrages de rue". Il va leur en coûter 750 € à chaque dérapage et si l'interdiction de toutes relations sexuelles avant 15 ans est votée, ce sera la Cour d'Assises pour le moindre attouchement ! Évidemment, tout cela est excessif mais il va sans dire que si je pouvais fouetter jusqu'au sens tous ces "machos" qui sont contraints aujourd'hui de se faire caniches, j'y prendrais énormément de plaisir car on leur doit aussi ce que l'on appelle l'homophobie. Cette "sale race" n'a vraiment rien pour plaire et le seul vrai problème et que l'espèce de féministes qui sévit veut systématiquement criminaliser tous les mâles sans exception.

S'agit-il de retourner aux "fondamentaux gaulois" ?

Mais n'allez pas croire que je souhaite le retour aux "fondamentaux gaulois". A 70 ans tout ce qui relève de la libido est plus ou moins en berne et je n'aspire pas du tout à rajeunir car lorsque je vois ce qui attend les générations montantes, ce que j'ai eu à en chier n'est probablement rien ou peu de chose en comparaison de l'aliénation qui les attend et on est en présence d'un retour de balancier du aux excès de mai 68 et ça je l'avais senti venir depuis longtemps. J'ai connu un peu l'avant mai 68 et avec le recul, je peux dire que, tous comptes faits, c'était mieux avant pour des milliers de raison. Mais ce n'est pas une raison pour se laisser enrôler sous la bannière intégriste d'une certaine Ludivine, celle-là qu'elle aille se faire défoncer par un diable transformé en bouc !

Je dis : après moi le déluge ! Mais comme j'aimerais vivre encore un siècle pour voir la suite de la mauvaise pièce à laquelle on assiste, cela devrait vous laisser un répit !

Et si on parlait de l'enlèvement des Sabines 

louvr17.jpg

Le féminisme, ça commence avec l'enlèvement des Sabines. Rappelez-vous l'histoire immortalisée par un tableau de Delacroix.

Je me rappelle que ce tableau était présent dans mon premier Larousse. Il m'avait "titillé" sans que j'arrive vraiment à situer la cause exacte de mon trouble. Il m'a fallu du temps pour discerner que ce n'était pas les seins de la femme sise au milieu de la composition.

Une version présente sur youtube parle du "viol" des Sabines. Il n'y a pas eu "viol" mais enlèvement.

Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Enl%C3%A8vement_des_Sabines et

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fondation_de_Rome

fetch.php.jpgSauf que wikipedia néglige de s'étendre sur le peuplement de la rome initiale : on parle de Rémus et Romulus, allaités par une "louve", en réalité une "pute" mais on néglige de vous dire pourquoi il a fallu trouver des femmes. C'est qu'une fois tracées les limites de la nouvelle ville il a fallu rameuter des hommes et on a du tout simplement accepter toute espèce de proscrits en provenance des territoires voisins soit en grande partie des gens devenus indésirables dans leur patrie d'origine. Donc une bonne part de criminels et donc de bandits... Au fond la formation de Rome s'est avérée très semblable à celle du "nouveau monde" qui, à partir de Washington, prétend imposer son "nouvel ordre mondial".

Oui c'est quoi l'Amérique ? C'est une colonie fondée par des aventuriers et des hérétiques devenus des indésirables chez eux, plus évidement un contingent de "putes". On voit ça très clairement dans les saloons tels qu'ils sont campés dans les aventures d'un homme qui tirait plus vite que son ombre...

Donc il y a des hommes mais pas de femmes ! Et les peuples voisins ne veulent pas en fournir. Qu'à cela ne tienne, on invite les Sabines à une fêtes et on les rapte à la fin. Problème ces femmes il faut les apprivoiser. Et oui Wikipedia c'est vraiment de la merde! Pour connaître le fins mots de l'histoire il faut se référer au texte d'un bouquin portant sur les légendes romaines destiné aux enfants ! Sauf erreur c'est dans le livre ci-contre que j'ai découvert le pot aux roses !

Les Romains primitifs ? des "enculés" !

On nous explique à demi mot que ce sont les Sabines qui, se retrouvant entre les bras vigoureux de leurs ravisseurs se dirent qu'il fallait tout de même songer à profiter de la situation soit d'en jouir dans les meilleurs conditions. Donc OK se dirent-elles on est d'accord pour s'envoyer en l'air ensemble, on va même arranger le coup avec nos pères et frères Sabins, mais en échange vous devrez policer vos moeurs, plus de "gros mots", vous vous couvrez de cadeaux et d'attentions, bref on vous tient par la barbichette. Si donc vous respectez ce pacte secret, on ne fait la fiesta que si vous acceptez qu'on tire les ficelles en douce...  

Résumons : un ramassis d'hommes brutaux et pas très recommandables, du "gibier de potence" pour partie, enlèvent par surprise des femmes et doivent composer avec ces dernières qui, et oui, les tiennent par les couilles ! Voilà quelle est en réalité la véritable histoire de cette civilisation issue de Rome dont nous sommes si fiers ! J'ose espérer que vous conviendrez que ce n'est pas franchement brillant. Mais qu'à cela ne tienne, je suis un celte probablement d'origine albionique et Rome n'est pas ma patrie. Né pile poil au moment de l'affaire de Roswell, je viens probablement de Sirius de sorte que j'ai l'impression d'avoir débarqué dans un monde où ce sont des aliénés qui dirigent tandis qu'on remplirait les hôpitaux psychiatriques des rares gens encore plus ou moins "éveillés" mais qui, faute de maîtriser leur "communication", se font ramasser.

La suite de l'histoire : la montée du féminisme

culture hétérosexuelle_.jpgQui connait l'histoire des romains a appris qu'à une époque, les femmes étant devenues assez dominantes, elles auraient acquis la faculté de divorcer à l'insu de plein gré de leur mari. Et si ma mémoire est bonne c'est en particulier chez Martial que l'on découvre que pour se libérer de la tyrannie de leurs matrones les citoyens romains préfèrent draguer des garçons... A vrai dire, ils n'ont jamais eu besoin de ce prétexte pour commencer. Le seul interdit existant préconisait de ne jamais s'en prendre aux fils de bonne famille, distingués par une toge spéciale. Mais on se doute que si théoriquement seulement les esclaves et les vaincus étaient seuls consommables, on n'a point manqué de contourner la loi.

Ensuite, des siècles plus tard survient un phénomène étrange et très irrationnel dans une société médiévale hyper masculine, c'est ce que l'on appelle l'amour courtois comme acte de naissance de la "culture hétérosexuelle". Aucun historien n'explique vraiment cet espèce de météore... D'après Duby, le mot amour ne se serait employé qu'entre hommes, des hommes qui s'embrassaient un peu comme le font encore les Russes... Heureusement époque où une véritable convivialité ne nécessitait pas de recherche des preuves plus concrètes d'amour partagé !

Arrive la Grande Peste, il faut repeupler : Les ecclésiastiques fortunés vont jusqu'à investir dans des bordels. Plus question de tolérer des déperdition de sperme, entre temps la hantise de la "sodomie" est apparue avec la distinction, très biaisée, de ce qui serait naturel et contre-naturel. La somme théologique du maudit Saint Thomas est remplie de supputations ridicules. L'erreur a consisté a manipuler les preuves naturelles censées avoir été fournies par le monde animal en ne parlant que d'animaux et d'oiseaux monogames. Erreur funeste car on a depuis lors découverts que les pingouins formeraient des "couples gays". Entre temps Gide avait déclaré : puisque les chiens s'enculent allons y gayment ! Ce qui ne prouve rien !

L'homosexualité, nature ou culture ? On nous ressasse depuis un millénaire cet ultimatum en forme de fausse alternative fausse alternative ! En vérité tout ce qui est penchant naturel sauf les pulsions sauvages de meurtre peuvent servir de substrat culturel, les Grecs ont fait servir la chose dans le cadre de l'éducation. On peut bien trouver autre chose et de toutes façons un certain John Boswell a prouvé que les églises chrétiennes particulièrement orientales ont béni des couples de même sexe bien avant que la formalisation du mariage n'ai eu lieu. Soit 1215 (Latran IV) pour la partie orthodoxe je ne sais pas et puis à dire vrai je m'en fous. On ne sait pas quelle aurait été la finalité de ces rites mais il est établi qu'ils ont servi à couvrir et légaliser chez des clercs des relations que le nouveau catéchisme tient pour intrinsèquement désordonnées. Certes elle le sont si on considère que l'attrait du sexe ne doit servir qu'à procréer. Mais ça ne tient pas ! Les Bonobos, si tant est qu'ils soient nos ancêtres ont compris que les théologiens allaient se planter ! En effet pas d'autre solution que de considérer que si "Dieu" est dans le coup, il ne peut s'agir que d'un upaya (ruse divine). Quand il s'agit d'amour de type "homo" entre un nanti et un prolo, cela a pu permettre un changement de caste avec parfois des effets bénéfiques pour la société toute entière.

Post moyen Age : des femmes deviennent écrivaines et à la veille de la révolution, elles tiendront des salons à prétention littéraires, humanitaires et scientifiques : des hommes fardés, déguisés en faisans s'y pressent et y font assaut de galanterie. C'est le sommet de la déchéance mondaine. Au plus haut sommet de l'Etat le retour à la nature, autre thématique contemporaine s'illustre entre l'affaire du collier de la Reine qui s'isole dans une fausse ferme façon Dysneyland. A l'origine des idéaux pro révolutionnaires au sein de l'aristocratie des Lumières : un goût pour un avant Mai 68 qui s'enracine dans le mythe arcadien qui met en scènes des bergers bisexuels assez lubriques. Rien a voir avec l'Arcadie historique qui aurait pratiqué des sacrifices humains. Comme quoi il y a toujours une histoire de frustration sexuelle à l'origine des grands chambardements !

Un siècle plus tard c'est la vogue de l'amour dit "romantique" ! On est bien loin des envolées médiévales des amours viriles et guerrières en l'honneur d'un Roland dit de Ronceveaux... Le monde est presque quasiment tombé en quenouille. Viennent les suffragettes, le MLF et le tournant hyper agressif du "Balance ton porc"...

La chaos contemporain

A présent rien ne va plus, on observe des tentatives de retour à la non mixité. Les bourgeois pleins aux as font relève leurs ados dans des internats libres et on les enseigne dans des classes uniquement garçonnières. C'est que les filles sont pubères et relativement plus mûres bien avant les garçons, elles ont compris qu'en étant assidues, elles peuvent leur damer le pion. Ces derniers, au même âge restent très "ludiques", résultat ils sont surtout des grands "décrocheurs". Ils ont donc besoin d'être protégés contre eux-mêmes. Maintenant si les femmes ont fait leur place dans les milieux scientifiques, je suis pas certains pour autant qu'elles soient "égales" dans des domaines faisant appel à un type de spéculation abstraite, en revanche tout ce qui est assez franchement "utilitaire" tend à leur aller comme un gant...

Ainsi quand j'entends parler de "femmes philosophes", cela me fait l'effet d'une mauvaise blague et même d'une incongruité ! J'observe par exemple qu'un auteur dont la lecteur m'a marqué, n'a suscité aucun intérêt de la part de femmes. Précisons que la marque ne s'est exercée que jusqu'à un certain point puisque j'en suis revenu en finissant par littéralement vomir ses continuateurs. Toutefois, ce seul exemple est particulièrement révélateur de certaines limites intellectuelles qui s'explique du reste assez aisément du fait même de la vocation la plus évidente pour une femme, savoir la maternité. On pourrait du reste sur ce seul exemple, appuyer la thèse, autrefois très librement professée et selon laquelle les femmes n'ont pas le sens du sacré. Cela s'explique du reste assez aisément attendu que la vocation la plus évidente d'une femme, c'est bien la maternité ! La gestation d'un enfant réclame un environnement sécurisé et si possible très confortable de sorte qu'il n'y a pas lieu de s'étonner que d'une manière assez atavique les femmes soient majoritairement marquée par des soucis essentiellement "matérialistes". On m'accordera, je l'espère, que les femmes capables d'une vie "spartiate" sont rares et ne sauraient constituer des exemples mais bien des exceptions !

La fin de l'histoire : la arrières petites filles des Sabine ont décrété un pouvoir sans partage

Il est clair que les Sabines historiques ont "collaboré" pour à la fois assagir leurs frères et leurs pères car elles y avaient intérêt, elles eussent été folle de ne point profiter de la vigueur de leurs ravisseurs. Les femmes sont souvent admirables quand il s'agit de ménager le beurre, l'argent du beurre en conjuguant tout cela avec la bite du crémier. A présent, elles veulent surtout le cul du crémier.

J'ai été frappé par l'évolution des fantasmes avoués par les femmes car il ressemblent étrangement à des fantasmes de "pédés" quand il se fixerait sur les cuisses et le postérieur plus que sur la largeur des épaules...

Enfin peu importe, le rapt n'était pas autrefois un article des codes pénaux de l'époque. Les filles les organisaient volontiers pour forcer les parents à accepter un mariage non consenti mais à présent que c'est devenu un article hautement criminel, les arrières petites filles des Sabines se sont mises en tête de faire payer à tous les mâles l'enlèvement de leurs arrière arrières grand mères.

Parenthèse sur l'affaire Weinstein

Quand on nous parle de l'affaire Weinstein, je hurle ! Il faut être clair : non seulement absolument rien n'obligeaient les actrices à passer dans le lit de cet abominable individu. Si ça ne leur convenait pas, soit elles auraient du renoncer à un rôle quelconque, soit elles avaient la faculté de balancer un coup de tatane dans les "roubignolles" de leur abuseur, soit de lui mordre la bite jusqu'au sang et au besoin de lui casser un potiche sur la tête, de profiter de la confusion pour balancer ses fringues par la fenêtre avant de se rhabiller  et de sonner le tocsin.

Il est clair et indiscutable que quand on consent à coucher pour obtenir un avantage quelconque on est et on reste une "PUTE". Point barre !

Alors maintenant qu'il existe des réalisatrices qui ont percé, ces actrices la ramènent. C'est un peu tard ! Je leur réponds : et bien si le crime n'est pas prescrit rendez d'abord le pognon mal acquis et on verra ensuite si vous méritez réparation !

D'autre part, oser réclamer des punitions pour les "outrages de rue" quand la plupart des femmes se baladent quasiment à poil, c'est vraiment nous prendre pour des imbéciles.  Il n'est que de voir ce qui s'est passé récemment à Cannes : d'un côté des mecs en smoking avec nœud papillons et de l'autre des gonzesses vêtues de façon plus ou moins transparente. 

Que les choses soient claire : les femmes qui parce qu'elle se sont ainsi déguisées en "pot de miel", je ne saurais les plaindre quand elles se font violer. Cela m'est totalement INDIFFERENT. En effet, comme l'a fait remarqué un ami, ancien réalisateur, qui écrit régulièrement aux parlementaires et spécialement aux Sénateurs ainsi qu'au Conseil d'Etat, les hommes ne sont pas des porcs mais des ours. Et pour ma part, je suis un ours qui déteste les sucreries, et jusqu'à nouvel ordre on a bien le droit de préférer le salé au sucré !

Le défaut du sens sacré, un apanage assez féminin !

A mon avis il existe deux sortes de femmes, ce que j'appelle les "femmes converties" (à un christianisme sincère) et les "femmes naturelles". Ces dernières sont celles que vous appelez "libérées" alors qu'en fait elles n'ont jamais été apprivoisées et n'ont eu à s'affranchir de rien. Elles sont restées à l'état de nature, elles n'ont pris de la civilisation que les biais susceptibles de leur permettre d'arriver plus vite à leur fins.

La différence avec les hommes, c'est que s'il peut s'agir de loups dominants, à l'instar des canidés en général les garçons sont nettement plus domesticables que les filles. Il y a des "humains chats" ce sont, à mon avis, les plus évolués, ils vivent en solitaires, recherchent l'autonomie et ne se lient qu'avec des gens qu'ils jugent dignes de confiance. Soit dit en passant les garçons chiens ne manquent pas de charme quand on leur donne de bonne raisons d'éviter de mordre.

Défaut du sens du sacré ! C'est ma foi bien vrai ! Sauf qu'il s'agit d'un concept malaisé à définir. Qu'importe, ce n'est pas le lieu d'en parler ici. Disons qu'en matière de spiritualité, la simple dévotion n'est pas loin de constituer la pire disqualification. Ce n'est pas un genre de dévotion très masculin...

Vous allez me dire que ce sont surtout les femmes qui vont à l'église. Oui est c'est bien là le problème !

Certes oui car un certain nombre d'entre elles emmerdent, sèment la zizanie et font fuir les hommes que ce soit par maladresse, bêtise ou pure malveillance. Il est souvent difficile de trancher car la logique n'est pas une chose très féminine. Donc elles montent la garde autour des curés, les manipulent, exigent de connaître le motif de l'entretien quand elles s'érigent en secrétaires et que l'on réclame un RV dans l'espoir de pouvoir régler un problème contingent.

Ma vie d'organiste spécialisé dans la musique dite baroque est empoisonnée depuis des années par la malfaisance ou simplement l'incompétence de ces sortes de pestes.

Il faut dire hélas que la majorité des curés n'ont guère de "couilles" que lorsqu'il s'agit d'abuser de leurs enfants de choeur. J'ai vu, quelque part dans la vallée du Rhône, une coalition de paroissiennes dire au patron : c'est lui ou nous simplement parce que sa tête ne leur revenait pas. J'ai donc mille et une raisons d'être remonté contre par mal de femmes car certaines sont d'un culot et d'une arrogance phénoménale.

Le sens du sacré n'a évidemment rien à voir avec la dévotion des grenouilles de bénitiers, grenouilles d'une espèce assez particulièrement venimeuse dans la religion romaine. Là aussi on a tendu à démocratiser de sorte que même pour l'ordinaire de la messe on perd les pédales dès qu'on passe une frontière vu la généralisation des langues vernaculaires. Et là où souffle un courant plus ou moins "charismatique" on se trouve convié à former une ronde pour la récitation du Notre Père. Il va de soi qu'ayant goûté à diverses formations plutôt orientale, je suis toujours quelque peu "ébouriffé" par ces manifestation d'une démagogie des plus creuses ! 

Mieux vaut ne pas s'étendre sur le spectacle de ces "lectrices" quand elles sont basses sur pattes, boulottes, et se dandinent en jupe courtes et montées sur les échasses de leurs talons hauts. On a oublié que toute personne officiant dans un choeur devrait porter un vêtement distinctif, savoir une aube ! Cela dit l'église catholique est à tout égards une véritable pétaudière dirigée, au plus haut niveau par des chapons, c'est à dire des gallus domesticus ayant subi une castration. Encore une autre engeance pernicieuse qui prétend être qualifiée, après presque 10 siècles d'abstinence obligatoire pour donner des conseils en matière d'économie conjugale et sexuelle en particulier. Enfin l'on sait à présent que toute secte vit de promesses fallacieuses du style plus tu en chiera ici bas, plus tu sera récompensé dans l'eau delà

Il est certes normal d'en chier car le paradis est censé être derrière nous mais seulement jusqu'à un certain point. Il ne saurait être question, que l'on soit né homme ou femme, de continuer à accepter indéfiniment d'avaler des couleuvres et, par dessus le marché, d'être obligé de se répandre en remerciements. Soyons clair : à partir du moment ou le christianisme est devenu "catholicisme" sous la férule d'un certain Constantin (dont on n'est même pas sûr qu'il aurait été baptisé à l'article de la mort), les carottes ont été cuites ! On nous raconte, pour mieux nous flatter, que l'homme aurait été fait à l'image de Dieu mais c'est l'inverse qu'il nous faut considérer : à savoir qu'on nous a fabriqué un "Dieu" à l'image de ces patriarches couillus mais "homophobes" pour qui, certains aspects de la diversité humaine serait pure "abomination". Tout cette clique ne parasites ne peut survivre qu'en prônant un type de famille très étriqué, avec un papa et une maman que l'on aliène avec des contes sentimentaux afin de se faire entretenir par eux...

Cela dit si la Ludivine s'est fait ramasser lors d'un récent débat télévisuel portant sur la P.M.A et la G.P.A., s'il se trouve que des spécialistes ayant autorité ont osé dire clairement que le fait pour un gosse d'avoir été élevé soit par deux mamans soit par deux papas n'est aucunement traumatisant en soit, il se trouve que le fait que les couples de lesbiennes soient favorisés vu que les couples masculins doivent recourir soit à la G.P.A (20 à 40 000 $) soit aux possibilités très réduites d'adoption fait que ce facteur s'ajoute à quantité d'autres facteurs aboutissant à une prédominance massive des femmes dans l'éducation des garçons : maternelles, garde au profit quasi exclusif des femmes en cas de divorce, décriminalisation du statut de mère célibataire etc... Je note du reste, à propos des divorces que le "mariage" n'est souvent qu'une étape pour aboutir à un maternage de célibataire avec en plus une pension alimentaire copieuse, l'accaparement de la moitié du produit de vente de la baraque quand le couple possède un toit, en sus du rapt des enfants et de la rançon qui s'y attache. Je m'excuse mais il faut être soit un idiot congénital, soit un adepte d'un masochisme suicidaire pour aspirer au mariage "hétéro" !

Vouloir des "enfants à soi" ? c'est la marque d'une tendance à l'abus de pouvoir !

Je note que vouloir des "enfants à soi" n'est pas une preuve de générosité mais fondamentalement un pur abus de pouvoir. La doctrine de l'Eglise catholique, au moins sur ce point est claire : les enfants sont un don du Ciel. On oublie que cela peut être également une malédiction, notamment en cas de trisomie ou de handicap. mais en vérité c'est uniquement une loterie ! Qui veut des garçons risque d'être crédité d'une ribambelle de fille et si une correspondante d'origine algérienne a rectifié mes idées fausse en m'apprenant que la parité des naissance est très légèrement en faveur des garçons et non des filles, leur goût pour le risque les fait minoritaires en fin de course.

Si l'on désire vraiment accéder un jour à une société plus égalitaire, il faudra inventer ou réinventer un mode de gestion de la progéniture où, pratiquement dès la naissance les gosses seraient soustraits aux parents et élevés ensemble. Je sais, je vais faire hurler, je risque de passer pour fou, mais il n'empêche que l'on sait que l'élite ou plutôt les riches" se co-produisent indéfiniment et toujours au détriment des pauvres ! Et cela ne fera que s'aggraver ! Je dis cela d'abord parce que je ne souhaite pas passer pour un promoteur de la P.M.A ou de la G.P.A.. A propos de cette dernière la levée de boucliers contre la marchandisation du corps des femmes comme productrices d'enfants est d'abord une sombre hypocrisie car le monde dans lequel nous vivons est bien un monde ou le plus vil des esclavages persiste de manière parfaitement légale par des conditions de travail et de rémunération absolument abjectes ! Pôle emploi peut radier un chômeur s'il a refusé à plusieurs reprises de prendre un emploi au diable vauvert !

"Balance ton porc" ! Un tournant dans la révolte "féministe"

Depuis l'apparition du mot d'ordre style "balance ton porc", un cap assez terrifiant a été franchi. Notez que j'ai donné le lien en cache, sur Libération il est désormais impossible de lire un article sans s'abonner. Il est impossible de faire disparaître le panneau qui s'interpose. J'invite les hackers a tout simplement faire sauter le site de ce canard. Ce genre d'emmerdement tend à devenir une pure obscénité. Vu la soumission de la presse française en particulier, je lui souhaite de tout simplement crever ! Je ne parle pas de la nécessité, à chaque page consulter, d'accepter les cookies avant de pour lire quoique ce soit. Si c'est la CNIL qui a imposé ce manège, il faut la faire sauter également. La pratique de l'Internet tend à devenir un véritable calvaire... Soit dit en passant la Sandra Muller, qui est à l'origine, de cette campagne a une très sale gueule, je me demande comment un hétéro peu avoir eu envie de la faire grimper à un septième ciel. Soit dit en passant le patronyme de cette dame n'est pas très auspicieux : Müller = meunier, un profession très "instable" qui dépendait des caprices des vents...

Ainsi toutes les occasions sont bonnes pour monter au créneau en descendant dans la rue. Et c'est à chaque fois cela donne lieu à un déluge d'hystérie au vrai sens du terme. A entendre les rebelles, tous les gynécos seraient d'odieux abuseurs soucieux d'user de toutes sortes de procédés pervers pour humilier les femmes. Etc, etc... C'est du n'importe quoi ! Il y a certes partout des monstres mais de là à oser dire que tous les gynécos seraient des tortionnaires, il y a un pas que l'on ne saurait franchir à moins de soutenir que le fait d'occuper la meilleure loge pour assister à leurs "incommodités" et au sautes d'humeur censée être impliquées par les "quatre saisons" (c'est nouveau et ça vient de sortir !) de leur cycle hormonal finissent par devenir une sorte de "pousse au crime". Quoiqu'il en soit, il existe un remède et il consisterait pour les femmes médecins à investir massivement cette spécialité !

Je persiste et signe ! Ras le bol de tous ces débordements, n'en jetez plus la cour est pleine ! On est littéralement "gavé" ! D'autant plus que l'inventeuse du mot ordre en question est une ignoble salope ! Cette immonde créature a crucifié un homme, en l’occurrence un journaliste en le conduisant à la ruine, non parce qu'il l'aurait harcelée, ce qui nécessiterait une répétition (récidive) mais simplement parce qu'il lui a fait une proposition qui a été jugée "malhonnête". Un notion très relative puisqu'il est des actrices qui osent dire qu'elles prennent beaucoup de plaisir quand on leur pelote le cul !

Catherine Deneuve et les 343 salopes à la vue courte

Soit dit en passant, ce n'est pas ce type de réplique qui va solutionner le problème. La grande actrice (Catherine Deneuve et ses 343 salopes) dont il s'agit n'a pas pris conscience qu'elle ne peut guère servir qu'à convaincre les mâles que beaucoup de femmes ne seraient que des "grosses cochonnes". Une fois de plus, on est obligé de constater qu'en matière de stratégie et même de philosophie les femmes ont de fortes chances de toujours se singulariser par des vues excessivement "courtes". C'est à dire en portion exacte de leurs robes, quand elles en portent encore, et qu'un feu de plancher les a outrageusement raccourcie. Nous avons comme "modèle national" une "trogneuse" qui lorsqu'elle a traversé la cour de l'Elysée avant son mari m'a surtout fait l'effet d'une "sauterelle" affublée de chiffons bleu. Cela dit je n'ai rien contre cette femme à laquelle la télévision nationale vient de consacrer une évocation des plus romantiques. Simplement son côté "midinette" me fait douter qu'elle puisse avoir été un grand professeur de littérature française. Quant au fait de savoir si son mari serait "gay" et bien que son narcissisme soit assez évident, j'en doute ! Il se pourrait tout simplement qu'il ne soit pas vraiment "fini" de sorte que je pencherais plutôt pour une forme rare d'asexualité chez un ado prolongé... Qu'importe, le seul problème est que s'il consulte les gens sur les réformes à faire, il ne tient aucun compte de l'avis des français et ça pourrait se mal terminer !

"Plus belle la vie !" Un excellent miroir pour des études de sociologie contemporaine !

Conasse.JPGCe feuilleton est vraiment une révélateur extraordinaire des "pathologies sociales" contemporaines. Ci-contre dans le rôle de la femme libérée devenue boss d'un média une journaliste tyrannique qui distille les propos humiliant avec de l'autre le couillon de service un certain Sacha qui encaisse tout sans broncher. Si j'avais du supporter une patronne pareille, je crois que je n'aurais pas pu résister à la tentation de l'étriper et de la réduire en bouillie. Voilà une excellente illustration du genre de femmes qui prétends à mener le monde. Ce type de connasse et de salope perverse existe aussi dans les ménages sous une forme plus voilée de ces concubines qui font tout pour pousser à bout leur homme pour ensuite se présenter comme victimes.

Les séries contemporaines, policière en particuliers, sont très révélatrices des tendances sociales existantes. Côté anglais, avec Inspecteur morse, un cadre très classique, où les femmes restent à la maison, n'intervienne en fond que pour des "amourettes" et côté français des scénarios où le commissaire est toujours une femme qui mène à la baguette des hommes dont un "ex" plus ou moins déclassé. Une seul exception sympathique: la figure du "commandant Marleau" qui, sous des dehors assez "ours", dissimule des trésors de finesse voir d'éducation... Les deux exemples évoqués pourraient du reste servir à illustrer une différence nord/Sud.

Féminisme du Nord et du Sud

Je viens du "Nord", je n'ai jamais vu de conflit de travail sérieux entre hommes et femmes. Si une femme, fut-elle un peu "hommasse" fait preuve de compétence et de bonhommie, elle est plébiscitée par les hommes. C'est le style commandant Marleau !

Au Sud l'horreur absolue, ce n'est du reste pas un hasard sir la journaliste ci-dessus est censée être marseillaise quoique les vrais marseillaises sont sans doute très différentes des grandes bourgeoises de la métropole niçoise. Au sud, le soleil tape fort et rend les hommes fainéants, ils ont beaucoup délégués au point d'être aujourd'hui totalement dépassés et soumis, sauf au café où il continuent de se vanter. Sauf que les femmes étant aussi présentes, ils ont du mettre une sourdine à leur vantardise. En plus les femmes vivent plus longtemps. Cela risque de changer car elles fument et sont contrainte d'assumer le stress du monde du travail. Sauf qu'il y a une différence : les hommes restent à cheval sur certains principe, tandis qu'à cet égard les femmes font généralement preuve d'une "moralité à éclipse". Un patron peut se les accommoder assez facilement sans avoir à les mettre dans son lit.

Plus on va vers le Sud plus les hommes se reposent sur les femmes. Jusqu'à en faire des bêtes de somme en Afrique. N'empêche que la claustration dans les harems témoigne surtout d'une peur des femmes et que cette claustration est relative. Les maisons communiquent par les toits et pendant que les mâles fument le narguilé en ville, il s'en passe des vertes et des pas mûres dans leur dos.

Le Sud a été pour moi une série de "chocs" parfois excessivement pénibles mais au moins ai-je des chances de ne pas mourir idiot. Un dernier détail en passant. J'ai trouvé un excellent ostéopathe qui me suit depuis des années. Son cabinet est situé dans une rue où sont concentré une proportion phénoménale de commerces de fringues de luxe pour dames. Les propriétaires sont toutes des femmes ou des maîtresses de notables fortunés qui occupent leur loisirs en vendant du chiffon. C'est tellement caractéristique que rien qu'en les voyant évoluer je devine presque tout de leur origine sociale.

Du lesbianisme, du gouinage et de la trahison des mâles

Mais enfin le plus pénible dans ce genre d'affaire, ce ne sont pas tant des femmes mais d'anciens "machos" qui parce qu'ils ont mauvaise conscience, en arrivent, par pure flagornerie, à faire chorus avec les ennemies patentés du genre masculin. Que des dévergondées me haïssent je m'en tape mais le problème c'est qu'elles trouve des "souteneurs". Soyez certains qu'en agissant ce genre d'ordure ne gagnera jamais rien au change, bien au contraire. Qu'il ne s'imaginent pas qu'en se comptant dociles envers les nouvelles amazones, ces dernières leur concéderont la possibilité de "tirer un (ou plusieurs) coup" car il faudrait commencer par prendre la mesure exacte de l'origine de la volonté de domination des femmes.

Or il faudrait tout de même commencer par se rendre compte que les meneuses les visibles et les plus acharnées à systématiquement criminaliser les hommes sont ce que l'on appelle vulgairement des "gouines".

Je tiens à faire une différence entre ce qui relève du lesbianisme d'une part et ce dont il vient d'être question d'autre part. Le lesbianisme est une culture à caractère féministe qui possède une histoire au même titre que le versant opposé des amours dites grecques. Le lesbianisme a surtout fleuri à la Belle époque, j'en ai eu un aperçu en découvrant assez récemment l'existence d'un travail de recherche assez fouillé sur la folle histoire d'un certain château des Avenières. Je n'en connais pas l'auteur mais il a campé la propriétaire américaine du château dans le milieu lesbien de l'époque, celui de Renée Vivien alias Pauline Tarn et Cie.

Cette culture n'est pas chose susceptible de me passionner puisque les "mecs" en sont exclus et que son caractère à la fois mondain et futile n'est aucunement susceptible de me passionner. Mais au moins peut-on affirmer que tout cela était relativement innocent. Les femmes qui ont décidé de se courtiser entre elles laissaient la politique au mains des hommes et ne paraissent pas avoir voulu s'en mêler.

Le "gouinage" c'est tout-à-fait autre chose et c'est une "culture" reposant sur des frustrations et un désir d'inverser l'ordre établi. C'est en réalité une entreprise purement vengeresse qui se fonde sur la fausse thèse d'une "colonisation" systématique et abusive des femmes. Les meneuses qui ont contaminé l'ambiance (et dont je ne citerai pas les noms) sont, c'est très clair, des femmes qui n'aiment pas les hommes, les haïssent au point de vouloir les détruire ! Lorsqu'une femme se balade en mettent en avant un "balcon" proéminent et autres soit-disant "appâts", ceux que cela excite devraient l'imaginer portant une pancarte attention je peux vous détruire !

Il est un point sur lequel aucune religion n'a pu se tromper : la femme tend à être par nature un piège ! C'est écrit noir sur blanc dans la Bible et dans le chapitre de la Genèse ! Eve nous est présentée comme l'interlocutrice privilégiée du serpent. Il faut dire que les hommes n'ont jamais été très clairvoyants à cet égard puisque Adam n'a guère hésité avant de tomber dans le panneau et de croquer la pomme maudite ! Je ne suis pas loin de croire que j'appartiens à une espèce assez supérieure puisque étant totalement immunisée à l'égard d'un tel drame. On oublie que les listes d'hommes que l'on tient pour "grands" appartenaient à cette espèce, et lorsqu'il s'est agi de philosophes non complètement immunisé, la censure de l'époque aidant ils se sont révélés être très misogynes.

Non non et non ! Il faut arrêter de nous rebattre les oreilles, la femme n'est pas naturellement douce, aimante et maternelle. Elisabeth Badinter nous rappelle qu'il s'agit seulement d'une possibilité et que pour qu'elle se manifeste il faut que son enfant la séduise !

Puisque l'on parle de cet auteur, procurez-vous X Y de l'identité masculine ! Vous y découvrirez qu'à l'époque où on dispose de machines et même de robot, il a cessé d'être le sexe fort. Le mâle a besoin d'avoir une vie sociale et d'être accepté par ses pairs, on lui en demande beaucoup. Chez la femme quand rien ne va à son gré, il arrive que la fin justifie les moyens ! Nous formons à présent le sexe faible. Les garçns ont le plus grand mal à trouver des copines car elles font volontiers monter les enchères. Ils sont en général beaucoup plus pudiques, les garces sont assez souvent d'une vulgarité outrancière. Ils sont assez doux entre eux excepté quelques futurs poivrots qui peuvent instantanément changer de visage à la moindre offense supposée. Des femmes même âgés et par ailleurs éduquées tombent dans le mauvais goût de vous brandir leur "couilles" à la figure et je dois dire que ça m'agace ! Je ne manque jamais une occasion de leur dire d'arrêter de parler de ce qui n'existe pas !

Pathologie sociale germanique évocatrice d'un avenir peu engageant

Je viens d'apprendre que ce qui est en train de se cristalliser chez nous a déjà causé en Allemagne des dégâts considérables. Une française venant a débarquer outre Rhin va, durant le premier mois s'extasier en découvrant qu'on lui fiche la paix car elle ne risque ni d'être sifflée ni d'avoir à supporter des mains dites "baladeuses". Le mois suivant elle ne manquera pas de commencer à s'inquiéter en se demandant si tout cela est bien naturel. Enfin le troisième mois, elle en arrivera, ne pouvant plus supporter l'indifférence, à plus ou moins fatalement se rapprocher de milieux d'expatriés européens ou même "exotiques".

En Allemagne, le nombre des célibataires, sans doute des deux sexes, serait en train de grimper !  J'avoue que d'apprendre cela m'a fait grand plaisir...

La France, aime à faire du buzz autour de ses revendications et de ses polémiques et comme on y a tendance à se prendre pour le centre non pas seulement du monde mais de l'univers entier, nous ne voyons guère ce qui se passe ailleurs. Non seulement notre système médical n'est pas la panacée mais en matière de féminisme la merde vient d'ailleurs et s'acclimate avec un temps de retard.  D'Outre Atlantique en particulier...

Peut-on arrêter ce délire ?

Pour faire obstacle à la féminisation revancharde du monde qui nous tombe dessus (en attendant une éventuelle quatrième guerre mondiale !), je ne vois qu'une solution apprendre aux hommes à s'aimer plus ou moins concrètement. Mais il ne s'agirait pas pour autant d'abandonner les leviers de commande aux femmes mais plutôt de les reprendre de façon énergique mais en pratiquant la justice et l'équanimité à l'égard des femmes matures qui aspirent sincèrement à participer à la gouvernance du monde.

Ce qui me débecte dans la "culture LGBT" c'est son côté consumériste qui incite les mâles à vivre dans un ghetto rempli de leurs seuls semblables une vie de loisir dans un monde totalement utopique. Il ne faut pas s'y tromper ce "renfermement" arrange énormément les "mégères" qui rêvent de supplanter aussi totalement que possible toute espèce de gouvernance venant des mâles. A ce propos, il faut tout de même se résoudre à considérer la relative bégninité des aspirations des "gays", comparés à la virulence de ces plus ou moins "gouines" qui mènent la danse et ne conçoivent plus les hommes que comme pouvant être à la rigueur des objets de plaisir jetables. Il est vrai qu'une majorité à tout fait pour mériter ce traitement mais ceux qui ne seraient coupables à la rigueur que d'indifférence envers les femmes ne méritent absolument pas d'être traités en esclaves !

J'observe que si le fait d'avoir les yeux rivés essentiellement sur ce qui se passe dans les médias peut conduire à surestimer l'influence des "agitées de la matrice", il ne faut pas attendre des hommes la moindre réaction salutaire. Hier, au sortir d'une visite chez l'ophtalmo, une bonne niçoise typique, pour un fond d'oeil périodique qui m'a valu de me voir gratifié d'un fond d'oeil de jeune homme (après le constat de globules rouges increvables sauf après 2 H 30 d'observation, c'est toujours bon à prendre à près de 71 ans...) il m'a été conseillé d'aller me restaurer au Flunch qui se trouve en face du cabinet.

Soit dit en passant, on y bouffe vraiment de la merde ! J'ai eu le tord de choisir une pizza au saumon fumé. On m'a servi un machin excessivement mince et pâle chauffé au micro onde mais étant sous le charme de la bonne nouvelle reçue, j'ai pas fait gaffe qu'on ne "cuit" pas ainsi une pizza ! Mais enfin j'ai pu observer des couples. C'est clair que c'est toujours la femme qui conduit l’attelage, ce sont elles qui parlent le plus mais les hommes, surtout âgés apprécient d'être ainsi coachés. Je vois aussi des jeunes père ravis de se mettre au même niveau que leurs gosses.

Quand le sort des femmes françaises se trouve placé entre les mains d'une "courge" !

Mais il est vain d'attendre un sursaut de la part des confrères et au niveau du gouvernement, c'est l'horreur avec une ministresse qui prône la garde des enfants au seul profit des femmes. Je parle de l'horrible Marlène Schiappa qui a accédé à ce poste suprême après avoir pondu des livres porno dont l'un s'intitule Les filles n'avalent pas ! Soit dit en passant, ce titre en dit long sur les limites de son amour envers les mâles. A moins d'être complètement vérolé le sperme est plein de vitamines !

Je me suis penché sur la traduction de Schiappa et voici ce que cela donne :

Schiappa.JPG

Seul des femmes ne risquent pas grand chose en critiquant d'autre femme mais de façon acerbe. L'injure d'un homme à l'égard d'une femmes coûte 750 € mais entre femmes c'est bénin, ça ne coûte que 38 € et je suppose que d'une femme envers un homme c'est kif kif. Bonjour l'égalité !

Il faudrait que des femmes s'élèvent contre cette volonté de domination sans partage que l'on constate partout de la part de certaines meneuses populaires.

Mais ce n'est pas en revendiquant la faculté de se laisse peloter le cul. On s'est extasié devant le courage d'une Catherine Deneuve et de ses 343 salopes mais force est de constater que ça vole bas. 

Il faut se résoudre à constater qu'en matière de flamboyance littéraire je ne sache point que les femmes aient été très "procréatives" ! J'ose espérer que l'on n'aura point le mauvais goût de me reprocher d'avoir voulu combler un carence qui chez mes confrères n'est datée que depuis l'apparition de la tyrannie du "politiquement correct". L'efficacité, nécessairement relative dans un contexte aussi troublé, impose un renversement en faveur du "politiquement incorrect". Il ne saurait plus être question de tourner autour du pot !f

Thyroïde ! Revenons aux "fondamentaux" !

Revenons aux problème de thyroïde. Force est de constater que l’hypothyroïdie était mieux soignée à la fin de XIXème siècle que de nos jours. On avait recours à la poudre de thyroïde de porc qui n'est contre-indiquée qu'en cas de problème auto-immun. Les 4 hormones, de T1 à T4, y étaient présente. Certains amaigrisseurs français ont abusé des extrait thyroïdiens et il en est résulté des accidents. Au lieu de sévir contre ces dangereux charlatans, on a carrément interdit l'usage de la poudre de thyroïde de porc. 

Je rappelle une fois de plus que l'on a guère de chance de pouvoir équilibrer une thyroïde déficiente en se contentant de T4. Il faut que cette T4 soit correctement transformée en T3 car la T4 est inactive. De plus il faut que les cellules cibles de la T3 soient fonctionnelles. Donc en ce qui me concerne, si j'étais médecin, je me contrefoutrais du Lévothyrox et j'opterai pour l'Euthyral. Ce n'est pas la panacée mais chaque fois que j'ai pu convaincre une femme de houspiller son généraliste et son endocrino pour avoir accès à ce mélange de T4 et de T3, il en est résulté un mieux être, avec parfois des rechute car rien n'est simple dans ce domaine.

Or je constate que la crise survenue à propos du Lévothyrox nouvelle manière n'a pas eu pour effet d'inciter à un essai de l'Euthyral. D'où la question de savoir pourquoi ce médicament parait faire si peur aux médecins. Réponse: la demi vie de la T3 est assez courte et si on a la main lourde les effets indésirables risquent d'apparaître sauf qu'en raison même de cette demi vie courte, il sont appelés à disparaître d'autant plus rapidement. Bref je ne vois pas du tout en quoi le médoc en question serait difficile à manier. J'ai réalisé un peut tard que j'ai des tendances hypothyroïdiennes. Il est arrivé que ma TSH monte à 9 sans que celui qui l'avait prescrite réagisse. Je me suis donc procuré de l'Euthyral. Tout ce qui m'est arrivé c'est d'éprouver des difficultés à parler sous la forme d'un serrement au niveaux des cordes vocales. L'essai n'a pas eu d'effet très net sur la fatigue matinale. Finalement j'ai cessé de prendre de l'Euthyral et si je reste exposé à un risque de cyclothymie, je veille à soigner mon mental en m'efforçant de toujours stimuler ma curiosité intellectuelle et je trouve toujours le moyen de remonter la pente quand le tonus vient à faiblir.

Merchandising asiatique

Le seul fait intéressant est qu'une journaliste a fini par découvrir que le changement d'excipient a été motivé uniquement par des velléités de conquête du marché asiatique. Il fallait remplacer le lactose par de l'acide citrique. Quelques temps après on découvre que le recours à l'acide citrique aurait été le meilleur moyen de neutraliser une partie au moins de la thyroxine. Il paraît que du point de vue pharmacologique, il se serait agi d'une véritable "connerie" qu'un étudiant déjà avancé aurait pu prévoir.

Une chose est certaine : la conquête du marché asiatique est loin d'être acquise.

Découverte d'une très mystérieuse dextrothyroxine

Merci a l'AFMT d'avoir finalement soulevé un assez gros lièvre. Mais au lieu de bavasser dans le genre victimisation à outrance, il aurait sans doute fallu penser un peu plus tôt à faire analyser le produit litigieux.

Enfin on vient de découvrir, grâce à l'analyse diligentée par l'AFMT, que la thyroxine serait sous dosée jusqu'à - 30%. Ce n'est pas à proprement parler une découverte, la chose était assez visible au vu des principaux symptômes, les signes d'hypothyroïdie étant dominants. La cause ? Sous dosage ou simplement neutralisation partielle par l'acide citrique ? Enfin on aurait découvert la présence de dextrothyroxine. Une molécule qui aurait été utilisée comme anticholestérol et qui serait interdite aux USA ? Est-ce un produit de transformation accidentel et si la présence de cette molécule est intentionnelle à quoi cela peut-il avoir rimé? Cela fait déjà plusieurs jours que l'on connait le résultat de la fameuse analyse et aucun pharmacologue ni aucun toxicologue n'a été foutu d'avancer la moindre hypothèse voir le minimum d'information que l'on est en droit d'attendre au sujet du caractère éventuellement toxique de la dextrothyroxine. Bien sûr du côté du labo on nie farouchement et ça risque de durer !

Force est de rappeler que le % de femmes à qui le nouveau Lévothyrox n'a pas réussi est relativement infime. J'ai fait une petite enquête dans mon entourage et personne a ma connaissance n'a rien remarqué avant que la presse ne s'empare de l'affaire. Il est clair que la suggestion par l'effet nocebo médiatique amplifié le phénomène et que si les toubibs avaient fait leur boulot il auraient constaté que l'essentiel des symptôme étaient typique d'une hypo et qu'en conséquence la première chose à faire était d'augmenter la dose.

Mais voilà que la présence d'un "molécule clandestine" est bien de nature à renforcer la thèse conspirationniste d'un empoisonnement volontaire sauf que je ne vais pas jusqu'à penser qu'un labo puisse avoir conçu le dessein de nuire délibérément aux femmes rien que par pure misogynie !

Enfin, on peut constater que la campagne à base de "victimisation" qui est résultée de cette lamentable affaire, a pleinement atteint son but. On n'a pas fini d'en causer !

Je terminerai par une observation personnelle. J'ai eu l'occasion, en revenant d'un stage de microbiologie sur sans frais, de parler dans le bus avec une dame qui est passée de l'ancien au nouveau Lévothyrox. Elle aurait noté une amélioration avec l'ancien, puis avec le nouveau ce fut la dépression dont un signe d'hypo. Elle n'avait plus de goût a rien, traînait au lit. Elle a pris le taureau par les cornes et a jeté le nouveau Lévothyrox en décidant de ne plus rien prendre et miracle : elle se porte à présent comme un charme. Pas le moindre signe suspect. La question qui se pose est celle de savoir si elle a vraiment eu besoin de Lévothyrox à un moment où un autre. On voit de tout dans le domaine soit beaucoup de femmes qui auraient besoin d'être supplémentées et qui ne le sont pas du tout ou pas assez. Et probablement quelques unes qui auraient pu se passer de la moindre "béquille". La seule chose donc je suis sûr c'est qu'une majorité de toubibs et même des endocrinologues sont incapables de maîtriser la question parce qu'il se fient à la TSH tandis que les valeurs de références ne sont pas fiable et qu'en tout état de cause on devrait s'en remettre d'abord aux signes cliniques.

L'inconvénient dans cette affaire est que le fait d'avoir le regard braqué sur une fraude de Big Pharma empêche de voir qu'il s'agit là d'un faux problème qui occulte la trivialité de la réalité. On ne peut pas escompter soigner toutes les hypothyroïdies avec seulement une ration de T4, ça serait beaucoup trop simple ! J'ajoute que lorsque certaines femmes ont été tirées d'affaire, elle peuvent l'oublier assez rapidement. Je pense à une personne de mon entourage qui a été soignée avec succès par une praticienne de MTC (Qi Gong thérapeutique) et n'a plus a prendre de Lévothyrox qui, lorsqu'on lui demande si cette thérapeute est efficace, vous répond qu'elle n'a pas ressenti grand chose...

Force est de constater que les femmes constitue environ 50 % d'une clientèle potentielle fort difficile à contenter. Fort heureusement, je n'ai contracté aucune obligation ni de moyens, ni de résultat à l'égard de qui que ce soit. Une seule chose vaut d'être défendue : la liberté de parole ! Oser la pratiquer contre vents et périls divers me semble être un des meilleurs moyens de conserver et de développer cette précieuse immunité sans laquelle un minimum de santé ne saurait exister. 

Je rappelle également que si l'accumulation de colères rentrées lèse le foie (staphysagria n'est pas toujours efficace), vider son sac de bile et en vaporiser subtilement le contenu au visage de ceux et celles qui emmerdent, cela détends énormément cet organe vital.

 
 

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