24/12/2020
Urgences sanitaires: Le diable a abandonné le visage séduisant, il apparaît tel quel, avec ses cornes et sa tête de bouc
Voir : https://brunobertez.com/2020/12/22/urgences-sanitaires-le...
Je remercie le correspondant qui m'a fait découvrir le blog de l'auteur de l'article portant le titre que j'ai repris. Voici l'essentiel, je cite :
L’Assemblée « nationale » a enregistrée ce 21 décembre 2020 un projet de loi déposé par le premier ministre Castex instituant, selon l’intitulé même de celui-ci (les mots en gras sont dans le texte) « un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires » !
Soyons bref : ce « projet » a pour ambition de doter, par simple décret, les pouvoirs publics des « moyens adaptés » pour :
- Déroger au secret médical
- Mettre en œuvre des traitements de données à caractère personnel concernant la santé des personnes, le cas échéant sans leur consentement. Il est même prévu un « partage des données ».
- Ordonner des mesures de mise en quarantaine des personnes
- Ordonner des mesures de placement à l’isolement des personnes
- Réglementer la circulation des personnes,
- Interdire les sorties hors du domicile
- Limiter les rassemblements dans les lieux publics
- Limiter la « liberté d’entreprendre » ( ?)
Mais tout cela, pour les Français domestiqués que nous sommes, accoutumés maintenant à demander une autorisation pour faire usage de libertés élémentaires, reconnaissants envers un gouvernement qui nous accorde généreusement le droit de fêter Noël en famille (pas plus de six personnes quand même), tout cela nous paraît donc, esclaves que nous sommes, presque « naturel » et « normal ».
On s’habitue à tout.
Mais ce « projet de loi » comporte une autre disposition dont les conséquences pourraient s’avérer catastrophique pour notre santé et même notre intégrité biologique.
En effet, les déplacements (c’est-à-dire la sortie du domicile, pour aller travailler par exemple), l’accès aux moyens de transport (trains, avions, taxis, bus…), l’accès à certains lieux (cinémas ? théâtres ? commerces ?) l’exercice de certaines activités (professionnelles ? de loisirs ?) peuvent être « subordonnés » à l’administration d’un vaccin.
Autrement dit, le projet de loi en question laisse toute latitude au pouvoir en place pour conditionner notre droit à une existence normale, et même à la vie, à l’acceptation d’une sorte de thérapie génique, un vaccin à ARN messager qui pourrait faire de chacun d’entre nous des organismes génétiquement modifiés, avec potentiellement des conséquences sur plusieurs générations (selon le professeur Montagnier, prix Nobel de médecine).
Dans tout ce fatras de dispositions plus liberticides les unes que les autres, un passage laisse toutefois perplexe. On le trouve dans l’article 1, section 3. Le voici :
« En Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française, ces mesures sont prises dans le respect de la répartition des compétences entre l’État et chacune de ces collectivités. »
Qu’est-ce que cela veut dire ?
Pour l'instant le projet a été remis aux calendes grecques mais cette loi, le gouvernement va la faire passer en douce, et sans doute de nuit avec une poignée de députasses de la majorité. Inutile de préciser qu'avant même le printemps ça risque de chauffer dans les rues des grandes villes.
18:10 Publié dans 1 - Coronavirus -actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
Les commentaires sont fermés.