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30/10/2014

Vitamine C et niacine contre la dépression et la schizophrénie

foucestfou copie.jpgComme nous sommes tous sujets à devenir plus ou moins "dépressifs" lisez (attentivement) ceci :

http://gestionsante.free.fr/pignarre_depression.htm

L'apparition d'une épidémie de dépression est une illusion créée en grande partie par un changement de paradigme médical. 

Quand la dépression a commencé à se répandre dans les années soixante-dix, les psychiatres, se détournant de la psychanalyse, ont opté pour la psychiatrie biologique : l'origine de la dépression ne serait pas dans le psychisme du patient, mais dans ses neurones.

En d'autres termes : au lieu de chercher des causes psychologiques, on a tablé sur des causes biochimiques pour vendre des médocs et parallèlement on a par le DSM élargi les définitions.

Les organisateurs de cette construction sont l'industrie pharmaceutique du côté de l'offre, les modèles descriptifs et diagnostiques des troubles psychiques comme le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) dont l'auteur montre qu'il est très largement assujetti aux préoccupations commerciales de l'industrie pharmaceutique, l'OMS largement instrumentalisée par l'industrie, les médecins généralistes qui pour des raisons numériques sont devenus, en prenant le relais des psychiatres, les principaux sergents recruteurs de déprimés pour le compte de l'industrie, les médias, et enfin les patients eux-mêmes qui dans l'organisation sociale dominante peuvent trouver dans l'étiquette de dépression et son traitement médicamenteux une façon de traiter leur souffrance sans stigmatisation ni remise en question existentielle majeure.

J'ai pu constater moi même que le DSM fait des dégâts : parmi mes lectrices et correspondantes j'ai une dame que son "psy" à persuadée d'être "hystérique". Mais on appelle çà autrement, on parle maintenant de personnalité histrionique. En voici la définition :

Le trouble de la personnalité histrionique (TPH ; anciennement hystérique) est défini par l'Association américaine de psychiatrie (AAP) comme un trouble de la personnalité caractérisé par un niveau émotionnel et de besoin d'attention exagéré. Le patient est en quête d'attention de la part d'autrui, essaie de se mettre en valeur, de séduire, ou simplement d'attirer le regard ou la compassion. La séduction devient un besoin pour la personne qui vit avec ce trouble affectif.

Bien sûr cela existe et le remède est à chercher en homéopathie entre Platina et sur Palladium. Cela correspond bien à certains traits féminins mais le diagnostic n'était absolument pas justifié chez ma "patiente" ou alors elle aura bien caché son jeu mais c'est impossible : l'hystérie je la pressens à 10 lieues à la ronde. Et chez les "homos" elle donne lieu à des traits particuliers. Mais les matières ne sont pas très explicites pour distinguer les deux remèdes. Platina présente un caractère tapageur assez grossier, je ne sais plus quel auteur parlant d'une de ses patientes comédienne évoquait une sorte de "faisan doré". C'est insister sur l'importance d'une véritable inversion car chez les oiseaux se sont les mâles qui sont les plus rutilants tandis que les femelles sont petites et assez grises.

Chez Palladium les choses sont beaucoup plus subtiles. On retrouve le besoin d'approbation. Certes le Dr Didier Grandgeorges a bien saisi quelque chose en parlant de "pur esprit" et en se basant sur la mythologie. Pallas Athena serait née directement du crâne de Jupiter et non des organes génitaux. Pour ma part je rattache deux choses à Palladium, la brillance de l'esprit en vue d'une séduction purement intellectuelle certes mais ce que l'auteur cité n'a pas dégagé c'est qu'il y a derrière tout cela l'idée d'une élection plus ou moins avatarique !

Prisonnier d'une confusion avec Platina, il donne un exemple féminin mais à mon sens ce serait surtout un remède masculin notamment pour certains intellectuels gays en particulier parce que précisément tout ce qui est incarnation tant à faire défaut... C'en est même le refus. Espèce au demeurant plutôt rares de nos jours où ils se préoccupent de consommation avant tout. Simple intuition mais mes recherches m'ont confirmé que Palladium est toujours lié à une idée d'excellence ultime surtout chez les "homos". J'ai noté à ce sujet un palace à Ibiza, une boîte en Suisse et quantité d'autres coïncidences de cet ordre. Il y a là quelque chose de mystérieux à creuser. Je constate des "connexions" significatives mais il y aurait tout une recherche à faire pour déterminer comment ces choses ont cheminé dans l'inconscient collectif.

Pour en revenir à l'article, Jacques Valentin y a trouvé l'occasion de signaler un thérapeutique de la schizophrénie qui mérite d'être tentée :

Déjà dans l'historique des psychotropes que fait l'auteur (il s'agit du compte-rendu d'un livre de Philippe Pignarre) (p. 77) et qui commence avec les antipsychotiques dans les années 50, l'auteur semble ignorer (suivant il est vrai en cela la vulgate des historiens de la psychiatrie) les découvertes du Dr Abram Hoffer. Celui-ci a utilisé la niacine et la niacinamide (deux formes de la vitamine B3), à des doses de 1g, trois fois par jour, avec de la vitamine C à dose élevée pour traiter avec succès la schizophrènie (essais validés par plusieurs essais en double aveugle). Cette thérapie a été utilisée à partir des années 50 par Dr. Abram Hoffer avant la mise sur le marché des neuroleptiques, lorsqu'il n'existait aucun traitement disponible. Le traitement stabilisait la schizophrénie en deux à trois mois et le Dr Hoffer estime, sur la base des dizaines de milliers de schizophrènes traités selon cette approche, que l'efficacité de ce type traitement, sans être parfaite, était excellente, est largement meilleure que ce qui est obtenu actuellement avec les neuroleptiques compte tenu de ce que les vitamines n'ont aucun des effets secondaires très invalidants liés à l'utilisation des neuroleptiques. Le refoulement paradigmatique de cette thérapeutique majeure utilisant des produits non brevetable est sans doute l'une des plus instructives et des mieux occultée de l'histoire de la psychiatrie médicamenteuse. 

La forme no-flush étant l'Inositol hexaniacinate, on la déconseille assez généralement. Je prends régulièrement ces deux compléments et je ne sais pas si je suis devenu moins "schizo". Pour l'anecdote un "psy" complètement givré m'avait classé hébéphréne catatonique. Si l'on suit la définition c'est une forme de cyclothymie. Or toute personne normale peut passer par des période de repli alternant avec des périodes d'activités et la tendance à voir du morbide partout fait que leurs diagnostic sont souvent assez franchement délirants et même criminels. Il faut rappeler que selon le DSM on n'a pas droit à plus de 15 jours pour faire son deuil d'un proche sinon un "psy" devrait vous bourrer de médocs. Ils sont vraiment à flinguer ces connards ! Donc le DSM quelqu'en soit la version : poubelle !

Je signale le protocole à toutes fins utiles... 

Vous pouvez également chercher les occurrences de niacine et nicinamide sur :

http://www.nutranews.org

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