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28/04/2013

De la technique du "grain de sel" en matière de "communication"

Cum grano salis.jpgOn me reproche une communication assez brutale. Je n'en disconviens point. Elle a sa raison d'être. Tout ce que j'écris, à de rares exceptions près, est à prendre cum grano salis. On m'a reproché de parler de cancer des mamelles au lieu de cancer du sein.

Je l'ai fait à dessein et sans intention de me moquer des femmes qui en sont atteintes. Je pourrais très bien parle de cancer de la plomberie sanitaire pour désigner le cancer du colon.

C'est d'abord une manière de prendre de la distance avec cet envahissement de l'émotionnel dès qu'il est question de problèmes de santé et surtout de scandales sanitaires. Je dois d'autre part adopter un ton provoquant pour tenter d'être entendu au dessus du brouillage infernal des copiés/collés. Au moins les marchands ne risquent pas trop de me piller car il y a toujours quelque part un os dans le potage qui les en dissuade.

Il est vrai et je l'admets que j'ai tendance à cultiver la misogynie mais les femmes équilibrées me le pardonneront car elles aussi souffrent de certaines tendances revendicatrices et passablement hystériques. Celles qui possèdebnt une compétence et une autorité naturelle n'ont pas vraiment de mal à s'imposer. Pas plus de mal que les hommes qui en fait de concurrence peuvent être excessivement féroces entr'eux et ça commence dans les cours de récréation avec en particulier l'humiliation systématique des "petits gros"...

Enfin et d'autre part, on nous bassine avec des histoires de cerveau droit et de cerveau gauche, l'un serait masculin, rationnel l'autre intuitif. Pour commencer, l'intuition n'est nullement un attribut des femmes. J'ai souvent trouvé des preuves du contraire. Je pense à ces voyantes qui alors que je fréquentais (à titre expérimental seulement car je n'ai jamais persévéré dans le domaine) des milieux astrologiques n'ont cessé de me prédire le mariage et un genre de rencontres sentimentales dont je n'ai jamais raffolé. J'avais droit en tant que "chercheur" à des consultations gratuites, alors çà ne me coûtait rien puisqu'elles espéraient une pub par le téléphone arabe. Qui n'est jamais venue, je le précise...

Je note d'autre part, une inversion est particulièrement visible jusque dans le fin fond de la campagne avec des "garçons toutous" et de plus en plus douillets, dans le Grand Sud surtout ou un petit courant d'air froid fait immédiatement surgir des capuches rembourrées en peau de lapin (forcément synthétique vu le prix). Avec en face des "greluches" vulgaires, aux paroles dures qui jurent par les "couilles" qu'elles n'ont pas et ce n'est pas l'apanage des adolescentes mais de femmes plus que mûres qui sans avoir été lesbiennes en ont adopté certaines apparences. Je note au passage qu'elles ont aussi un problème car une enquête de ces dernières années a démontré que beaucoup de femmes ont des fantasmes de "pédés"... Elles sont fascinées par les poitrines larges et puissantes (encore que ça dépend...), par les bosses des pantalons au niveau de l'entrejambe mais ce qui est plus surprenant par les fesses et les cuisses des mecs. Quand j'ai découvert çà, çà m'a tuer ! Ben oui ça signifie que celles là rêvent de nous bananer ! Au figuré bien sûr puisqu'elles n'ont pas les moyens de le faire concrètement et proprement... Et c'est justement cette impossibilité qui décuple la haine de certaines hyènes féministes en particulier.

Je n'ai rien, soit dit en passant, contre les "homos" quand ils ne sont pas faisandés par les artifices de la doctrine LGBtruc... Ils représentent, sous certaines conditions, une possibilité de sauvegarde contre cet empoisonnement qu'est une mixité envahissante où les choses tendent à s'inverser. La fréquentation au moins d'une saine masculinité me parait le meilleur antidode à l'empoisonnement de cet égalitarisme militant qui nous tue. Je ne suis pas disposé à admettre le principe d'une égalité entre les hommes et les femmes. Un chien n'est comparable à un chat que sous le rapport de leur domesticité, ils ont des caractères très différents. Je ne déteste pas les chiens mais il faut les sortir, je préfère les chats, s'ils sont féminins alors c'est que je ne suis pas complètement taré par la misogynie que j'oppose en surface par souci de protection contre certaines emprises. Mais à mon avis tous les animaux domestiqués sont d'abord "enfantins", surtout les chats.

Bref, j'ai tendance à exploser quand j'entends certains discours et certaines revendications des femmes à la radio. Je nie l'existence d'une égalité naturelle entre les sexes puisque je constate qu'un chat et une chatte n'ont pas le même comportement et ce à tel point que je n'ai plus besoin de leur lever la queue pour savoir avec qui j'ai affaire. Minets ou minette la manière de se faire caliner témoigne d'une différence. Le matou vous saute sur les genoux sans trop de façons, la minette va tourner longuement autour du pot, je veux je veux pas , ah je ne sais pas trop et ca dure... A quand même il est au lit, la place est bonne, excellent radiateur mais vais-je me poser ici ou là. Et je tourne et de ratourne... Or dans ce cas de figure je m'empresse de souligner que les chats ne sont pas formatés dans des écoles républicaines qui comportaient autre fois des écoles de filles et de garçon séparées. La division a disparu faute de crédits mais pas pour des raisons idéologiques...

Maintenant dans la pratique, j'aborde les choses sans préjugés. Je suis naturellement disposé à l'égalité mais çà m'a joué trop de tours pour que je ne prenne pas de précautions. Il y a des moyens simples de limiter l'amprise des débordements féminins c'est de se cantonner dans une rationnalité minimale. Au moins Dame Cambayrac sous ce rapport me convient bien. Francine Lehner porte sur son visage une certaine tendance caractérielle. Du reste je viens d'avoir la confirmation qu'elle a bien causé des problèmes à sa consoeur qui a fini par faire l'impasse sur elle, ce qui a amputé son livre de données que j'estime déterminante. En ce qui me concerne, j'ai abonné cette dame. Elle n'a pas moufté, elle a du sentir que le cas échéant elle se heurterait à un bloc de téflon. J'ai laissé entendre dans un autre blog qu'à moins d'être un peu sorcière, elle n'a aucune chance de me faire changer d'avis sur sa marotte en faveur de la chlorella. Mais, je dois avouer dans le même souffle que je me suis intéressé d'assez prêt au moyen de se protéger contre les attaques psychiques en tous genre... Soit dit en passant, cette Dame Lehner ne réalise pas que son discours sur la chlorella devrait être contre productif si ses lecteurs étaient des gens censés. En ce qui me concerne un remède qui vous flanche une sorte de jaunisse, vous fait tomber les tifs et en un mot vous rend malade je n'en veux pas surtout quand on dit qu'il faut augmenter les doses pour s'en sortir. Comment ne pas voir l'arnaque. Grossière au demeurant !

A ceux qui m'objectent la psycho rigidité masculine en faveur du caractère vénusien des femmes, je réponds donc que si l'excès de rigidité, une rationnalité mal informée sont préjudiciables, lorsque cette rationnalité se base sur une documentation exhaustive (quand elle existe !) est le seul moyen d'éviter de tomber dans les illusions et éventuellement de se faire pigeonner par le racket éhonté de certaines marchands. De plus en plus nombreux ! Finalement, j'en viens à penser que c'est une très bonne chose que de leur interdire le recours à des allégations maintenant il faudrait être juste et opposer à Big Pharma des exigences draconniennes et frapper durement en cas de fraude et pas seulement au compte en banque mais carrément foutre en taule ceux qui biaisent ou sont complices de biais. Mais le problème vous le savez c'est que les scientifiques dépendent des crédits des labos. En fait le seul moyen que l'on ait de mettre fin au trafic des études bidonnées ce serait de taxer lourdement les producteurs de médicaments et de consacré l'argent à une dotation de la recherche par l'Etat après avoir fait le ménage parmi les hauts fonctionnaires et les experts, où se trouve la plus forte proportions de "pourris". Enfin avant toute chose il faudrait réhabiliter à l'école non pas la morale mais l'instruction civique et c'est pas la même chose. Le moralisme on en crève surtout lorsqu'il conduit à l'égalitarisme et donc à un nivellement préjudiciable.

Enfin et puisque l'on n'a fait valoir les droit de la psychologie vénusienne (j'aurais envie de dire vénérienne...) je voudrais rappeler car il me semble en avoir déjà parlé une donnée de l'astrologie ancienne. La typologie se faisait sur 3 planètes et pas 7 et encore moins avec les transaturniennes (Uranus , neptune et Pluton quoique cette dernière aurait été déclassée...).

Mercure représente l'intellectualité, Mars la force et Vénus la recherche du bien être. Mercure c'est l'intellect ou plus exactement le mental et donc la rationnalité. La force doit être soumise à l'intelligence ainsi que la recherche du bien être car si le bien-être passe au premier plan c'est carrément le BORDEL et je l'entends au sens propre tant le sens figuré et le sens propre tendent à se rejoindre. On va me dire que Hermès donc Mercure a eu pour finir Hermaphrodite... Donc Mercure serait un peu "bique et bouc" au plan psychologique. Je dirais plutôt qu'il est en deça de toute division. En fait l'hermaphrodisme est une monstruosité de sorte que la progéniture de la planète la plus haute dans cette hiérarchie à 3 niveaux ne plaide pas du tout en faveur d'une effémination généralise à laquelle participent les pesticides et les résidus de pillules pissés par des légions de femmes. C'est horrible que je penser que l'on boit de l'eau polluée par ce genre de saloperies qui plus est, tend à leur foutre le cancer, les rendre frigides et les tuer à coup d'AVC. Notez en passant qu'un livre du Pr Joyeux assez décapants devrait paraître sur ce sujet. Ca bouge en ce moment...

Bref l'espèce humaine est bien menacée au propre et au figuré par les "valeurs" féminines les plus détestables. Ce ne sont pas des "valeurs" à proprement parler féminines mais le produit d'un type de déviation qui guette le féminin. La "valeur féminine" fondamentale, je regrette, c'est la maternité. Je ne dis pas que les femmes doivent seulement enfanter et la fermer. Pas du tout ! Du reste, il n'est pas souhaitable de susciter des vocations de pondeuses, il y a en a déjà trop et la sélection naturelle ne contribue plus à réguler les naissances et la sorcellerie médicalme chimique conjuguée à mille source de pollution fabrique des estropiés de naissance, des handicapés mentaux et quantité de maladies artificielles. 

En conclusion, mon souci c'est de pouvoir me fier à des données probantes et cela nécessite de ne pas s'encombrer de considérations sentimentales et le cas échéant de les décourager pour éviter d'être empoisonné voir ligoté par les mots d'ordre du climat que je viens de décrire. Bien évidemment, si je devais soigner un cancer du sein, je ne demanderais pas en rigolant à la patience alors comment vont vos mamelles aujourd'hui ? Empoisonné, je l'ai été par une lectrice qui continue du reste à m'envoyer des choses pour dénoncer le calvaire des femmes battues et violées. Je lui ai répondu que cela m'est indifférent. Indifférent dans la mesure où je n'ai pas le pouvoir d'y remédier et qu'en tant que mâle je ne me sens coupable de rien à cet égard. Ce disant il est vrai que la gent médicale tend à se protéger de trop d'empathie par sa prétendue rationnalité mais enfin et surtout elle se protège contre son incompétence qui découle en partie de ce que Big Pharma ne propose guère que des remèdes souvent pires que le mal.

J'allais oublier de dire que si les mâles ont tendance à être excessivement rigide, la plaidoirie des femmes visant à inciter les hommes a s'équilibrer par le développement de leur part féminine, c'est aussi une façon de nous laisser bananer pendant qu'elles tendent à prendre le pouvoir. Elle l'on du reste pris et les hommes par peur d'être dénoncés comme étant des bourreaux, s'écrasent mollement. Je ne parle pas des hommes à femmes qui en les aimant trop sont destinés à n'être que d'odieux traîtres à la cause masculine, ces vendus qui n'ont qu'un bite excessivement polarisée, je les passerai carrémet par les armes si c'était permis. Ce type de jouisseur et de flatteur, c'est une des choses les plus immondes que je puisse connaître. A la téloche ils sont rien moins que puants de veulerie même lorsqu'elle se veut élégante et très parisienne.

Quel est le sale con qui a dit que la femme est l'avenir de l'homme ? Et bien on a va en voir le résultat sur une grand échelle prochainement, non pas tant avec des hommes impuissants mais des mecs stériles. La  pollution aurait du bon si elle se bornait à limiter la surpopulation mais hélas elles produit des monstres dont le coût sanitaire plombe gravement l'Assurance Maladie

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