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23/12/2024

A propos du livre de Laurent Schwartz sur le bleu de méthylène

Le bleu de méthylène - Un nouvel espoir contre le cancer, la dépression et les maladies du cerveau

C'est à partir de 2020 que j'ai commencé à évoquer le retour en grâce de ce vieux remède. Voici un accès au références faites à cette molécule. Les notes ne sortant pas dans un ordre chronologique, il faut procéder par recherche textuelle avec un seul mot méthylène.

Le livre est paru le 23 octobre 2024 et il a été question pour la première fois chez cet auteur de ce vieux remède au début des années Covid (2020). Comment est-il venu a s'intéresser à cette molécule ? Mystère ! Je me rappelle qu'il a lancé un appel en vue de reconstituer une bibliographie et on en a eu aucun écho et le livre ci-dessus dont ce doit être la couverture du plus récent retirage ne compote que des notes.

Un livre qui commence par induire le lecteur en erreur en reportant l'intérêt du "bleu" en 2017

Il commence par le témoignage d'un certain Ghislain qui, atteint d'un méchant cancer en 2017 à déjoué les pronostic des cancérologues académiques. Oui mais l'intéressé ne fait pas mention d'un recours au "BM" mais seulement au protocole métabolique de base 'Extrait de Garcinia + acide alpha lipoïque" + du et au CDS

Association du bleu de méthylène et du CDS : je saute en l'air !

Noter qu'à propos de l'acide alpha lipoïque, il ne me semble pas avoir insisté sur la seule forme stable et correctement assimilable, savoir le Sodium R. Lipoate, nettement plus coûteux que la forme synthétique à 2 énantiomères dont la moitié au moins ne sert à rien. Du moins si elle n'est pas toxique.

Je trouve l'association du CDS et du BM fort critiquable vu ce qu'à publié à ce sujet le Dr Jean-Yves Henry qui après des tests avec son BNS24 a trouvé chez des patients ayant fait usage de dioxyde de chlore les dégâts classiques d'une chimio" anti cancer conventionnelle, du moins quand le patient n'en crève pas plus ou moins promptement...

Je n'ai rien contre le "BM" mais à des doses de cheval allant jusqu'à 250 mg 4 fois par jour je me sauve en courant.

BM.jpg

Ce cliché d'un flacon de 1 g de BM avec une page du livre de LS comme échelle vous donne une idée de ce qu'il faut ingurgiter quand quelques parcelles de ce produit quasi invisible vous tâche un évier en faïence d'un bleu profond assez soutenu... Soit 1 g. c'est le tarif extrême mais le livre ne donne que 9 cas très sommairement évoqué.

Rappel en ce qui concerne le curriculum de Laurent Schwartz

Laurent Schwarz du fait qu'il est l'héritier d'une lignée de médecins estimé en Alsace et qu'il est l'homonyme d'un célèbre mathématicien a bénéficié d'un crédit et d'une relative protection qui lui ont permis de bénéficier de concours divers mais il n'a jamais été oncologue même s'il s'est intéressé au cancer lors d'un séjour aux USA. Officiellement, il n'a jamais été que radiologue.

Laurent Schwartz ne connais pas grand chose en biologie, il a tout pris des travaux de Maurice Israël. Bien sûr le R lipoate de sodium et l'hydroxycitrate sont des anti-oxydants mais ce n'est pas pour ce rôle qu'ils sont utilisés dans le protocole métablolique. Le but est d'empêcher la formation de lactate au cours de la glycolyse par le R lipoate de sodium, ainsi que de bloquer la voie de formation de molécules utilisées pour la réplication des cellules, l'hydroxycitrate bloquant le citrate lyase.

Rappel d'un scoop récent...

J'ai du reste noté dans le traitement du dénommé Ghislain, une erreur faramineuse, savoir l'emploi de 7 à 10 g. de vitamine C par voie orale. Aussi bien qu'on ait pu savoir depuis un article paru dans science et Avenir en 2019 qu'une équipe brésilienne a mis en exergue le fait que les cellules cancéreuses se gorgent autant de glucose que d'acide L-ascorbique car c'est bien un glucide personne n'avait soulevé le problème. C'est bien votre serviteur qui le premier à débusqué la chose en prenant conscience que vu la différence de 8 atomes d'hydrogène entre ces 2 molécules de forme CHO, il fallait s'attendre à une "surprise" qui, à y bien réfléchir, n'en est pas une...

En effet la vitamine C à grosse dose par voie orale est un excellent carburant pour les cellules malignes !

Le refus de l'artémisinine : quelques remarques en passant !

LS n'a pas voulu intégrer l'artémisinine dont les propriétés intéressants de tueur de cellules cancéreuses sont bien connues. Cette molécule fait le même job de péroxydation que la vitamine C injectée à haute doses (minimum 50 g . par injection)  à moindres frais.

Soit environ 30 € pour une cure de 3 jours (60 gélules d'extrait concentré d'Artemisia annua) contre 100 € les 10 ampoules de 5 g de C. + la difficulté à trouver un médecin qui ordonne la perfusion à une infirmière à qui on risque d'avoir à "graisser la patte" si elle estime que la rémunération d'une "perf" n'est pas à la hauteur du risque encouru. A ce propos, je suggère de demander une prescription hors A.M.M. et donc de ne pas faire intervenir le remboursement du soin histoire d'éviter d'attirer l'attention de la SS... Au final ça risque de faire cher de l'opération. Or l'artémisinine se conjugue avec le fer présent dans les cellules cancéreuses et produit un peroxyde d'hydrogène qui fait le même job.

Il est donc plus discret de n'avoir à réclamer un contrôle sanguin avant et après chaque cure (NS + ferritine + fer sérique). A noter que la présence d'une ferritine élevée en cas de suspicion d'un cancer peut constituer un indice.

A ce propos j'avais noté que que Guy Tennebaum s'était inquiété d'une l'élévation de la ferritine après usage d'artémisinine. Or j'interpréterais çà plutôt comme un signe positif. A savoir que le fer engagé au niveau tumoral par la peroxydation se retrouve forcément quelque part lorsque les cellules malignes se font hara kiri et le rôle de la ferritine c'est justement de stocker le fer sérique en excès. Entouré de "grands "professeurs américains" (qui ne lui font sans doute pas cadeau de leur sollicitude vu qu'il a largement les moyens de "mettre le paquet"...) je suis étonné que personne ne lui ai expliqué ce que je viens de décrire. Je ne suis pas biologiste, simplement j'ai des bases et je sais me servir de ma logique et des bons soins de chatGPT qui lorsqu'on sait poser les bonnes questions renvoient en quelques secondes une réponse cohérente et documentée.

LS et la Metformine

Pour rester dans le coup, il a essayé tout d'abord de se raccrocher à la Metformine, bien que les essais sur des souris payés par l'ACM aient démontré que ce produit n'apportait rien.

Oui j'ai eu des échos selon lequel il a bourré certains de ses cobayes de doses excessives de médoc de première intention dans le diabète de type II ou la résistance à l'insuline.

Étant dans ce second cas de figure, je me suis fait mettre sous ce type de traitement sous la forme de Stagid. Et là ces jours-ci j'ai pu constater au vu d'un suivi de la glycémie en direct de la glycémie sa parfaite inefficacité lors des pics glycémiques postprandiaux.

Poubelle, çà fait le 3ème médoc que je "dégage".

En revanche la berbérine prise avant un repas et un ordre précis dans l'entrée en bouche de chaque classe alimentaire çà joue, or la berbérine dont je dispose, à la couleur n'est pas pure à 97%.  Là sur la courbe l'effet sans et avec est net.

Même chose mais effet moindre pour la cannelle de Ceylan en poudre.

Restera à comparer éventuellement avec un le recours à un "stylo à insuline"

LS avait préconisé le retour aux "pompes à protons" genre oméprazole...

Je me rappelle également qu'il avait proposé ce genre de recours pour désacidifier l'organisme alors que la seule pratique licite est celle que je viens de décrire savoir le recours aux citrates. J'ai du évoquer cette erreur mais il est plus malaisé d'en retrouver trace par une recherche textuelle.

Dernier épisode : le bleu de méthylène associé au dioxyde de chlore une "panacée" très populaire

Ensuite il s'est lancé sur le Bleu de Méthylène et le Dioxyde de Chlore après de simples recherches bibliographiques. Les essais réalisés au Canada avec le Bleu de méthylène sur 8 souris! ne sont qu'exploratoire et n'auraient pas montré en tout cas pas de progrès par rapport au traitement métabolique.

Quoiqu'il en soit ces malheureuses souris ont coûté chers à l'ACM lors de ses débuts...

Un traitement métabolique simplifié à outrance

Comparé au protocole mis au point ces dernières années pas l'ACM après s'être dégagé complètement de toute tutelle de la part de LS, on arrive à quelque chose d'assez dérisoire.

Evidemment, si vous googuélisez Laurent Schwartz + cancer (en version image), il vous en saute à la figure des centaines avec le portrait de l'intéressé, son livre comportant également sa physionomie en première de couverture + quantité de vidéos répétitive ne comportant rien de précis que des redites... 

Avec l'accent mis sur le recours au BM + CDS on retourne à un "chimio" visant à tuer les cellules malignes

La découverte du mécanisme de fermentation caractérisant les cellules cancéreuses débouche sur la nécessité de les "affamer". Et l'hydroxycitrate et le R. Sodium lipoate ne sont que les deux pierres essentielles. On trouve dans la doc fournie par l'ACM un inventaire des diverses solutions privatives.

Ce qui revient à dire qu'en ayant mis l'accent sur le duo sur le BM à des doses massives, LS ne s'est pas très bien rendu compte qu'en fait il est en train de tourner le dos à la voie métabolique du départ.

Certes je veux bien croire que le BM ait des effets sur la conductivité électronique mais aux doses massives préconisées, je présume qu'on est bien dans de la "chimio". La parenté entre benzène, "BM", phénothiazine et finalement le Largactil qui eut ses heures de gloire dans les années 50  

Oui l'Artémisinine c'est aussi de la "chimio" sauf qu'en cures courtes de 2 ou 3 jours alternées avec des cycles de 21 jours de Garcinia + Sodium R. Lipoate + des cures courtes alternées d'autres "bloqueurs éventuels" + un régime approprié et une activité physique suffisante on reste dans une orthodoxie parfaitement cohérente.

Enfin pour la diététique, LS déclare qu'il n'existe pas de régime parfait. Il n'existe de régime parfait et infaillible pour aucune maladie et je vois là une belle pirouette pour éviter d'avoir à aborder une question aussi cruciale que le traitement proprement dit.

Il n'aborde la question qu'entre la page 134 et 139. où il balance entre régime hypoglycémique et régime cétogène, ce dernier produisant des corps cétoniques dont les cellules cancéreuses finissent par se gorger. Le régime cétogène lisserait les pics glycémiques et c'est à voir, ce n'est pas ce que j'avais constaté en ce qui me concerne.

J'avais pratiqué le régime cétogène et constaté des pics j'ai alors profité d'un Carême pour pratiquer 7 jours de jeûne hydrique, non en vue d'un quelconque gain spirituel mais parce que le carême et l'Avent sont bien, selon les principes en usages dans la MTC des périodes favorables à un délestage ce qui est le but de tout jeûne.

En fait, LS ne s'est pas mouillé et c'en est tenu à des généralités assez passe partout. Et un praticien sérieux aurait recommandé le recours à ces capteurs style Free Style qu'on se colle à l'arrière d'un bras et qui envoie en temps réel à une appli dédiée les données de sorte qu'on dispose d'une courbe journalière.

Intérêt d'une surveillance glucométrique par capteur

Ayant perdu l'usage d'un vieux glucomètre condamné par une obsolescence programmée et l'ayant remplacé par un appareil qui ne fait pas l'affaire je me suis décidé à dépenser 40 € par 14 jours d'observation pour optimiser au mieux mon jeûne alterné et voici quelques exemples  de courbes !

Avant d'aller plus loin, je dois émettre une réserve : hormis les cas de diabète insulinodépendants où ce recours s'avère incontournable et fait l'objet d'un remboursement, bien que cette aide soit précieuse dans le cas d'une simple résistance à l'insuline dès qu'on dépasse une IMC de 25, il est évident qu'on ne peut pas mettre ce genre de contrôle entre toutes les mains.

Cela nécessite de n'être pas "hypocondriaque" et on ne l'est que quand on se trouve dans l'incapacité de maîtriser tel ou tel problème de santé...

Adoption du jeûne intermittent

J'ai adopté un jeûne intermittent assez strict depuis plusieurs semaines, au moins un mois et je ne peux pas envisager de retourner en arrière. J'ai pris cette décision en constatant tque lorsque je suis occupé intellectuellement je ne pense jamais à manger avant 16 ou 17 heures. Cela faisait longtemps que je ne prenais rien le matin ou un pain au raisin et un thé genre Roïbos parce que c'était l'occasion d'un contact social non pas au café d'en face où je ne mets jamais les pieds tellement les tenanciers sont peu agréables mais dans une petite épicerie conviviale où il y avait des tables et des chaises à l'intérieur. A présent que les légumes ont pris les places de premier plan, il n'y a plus de table qu'en terrasse et la température ayant chuté, à 8h30 ou 9h elles sont généralement désertées...

Les "viennoiseries" c'est la mort !

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Le pic que vous voyez est monté après 9 h est n'est redescendu que vers 15 h. Qui eut pu croire que si peu de farine blanche fasse un tel dégât ?

Vous voyez ensuite une petite montée à partir de 15 h, c'est le véritable repas pourtant copieux en comparaison de quantité. Ensuite entre 17 et 18 h la courbe amorce un fléchissement, c'est l'effet d'un peu de Berbérine. Ensuite la remontée reste comparativement modeste et la courbe s'infléchit et chute pendant la nuit. Les creux et éventuelles hypoglycémiques surviennent entre 3 et 6 heures du matin. Et dès le réveil le foie fabrique du glucose donc je ne vois pas l'intérêt de se bourrer de céréales surtout et moins encore de confiture...

Courbe de droite : je suis toujours en jeûne intermittent. Le niveau moyen se situe à 140. La chute est plus tardive (6 h. du matin). Vous avez ensuite 2 petits pics correspondant à des prises alimentaires avec l'effet d'un peu de berbérine pour un pic énorme. C'est le résultat d'un acte de sociabilité qui veut qu'après un concert de l'Avent on ne refuse pas un demi gobelet de vin chaud évidemment sucré même s'il contient un peu de cannelle. J'ai commis la chose en parfaite connaissance de cause : pour voir ! Circonstance aggravante, on a servi des oursons façon "nonnette" donc sucre et miel. Inutile de préciser que les pizzas le soir c'est terminé ou alors seulement pour fêter la mort éventuelle d'un (...) évêque selon l'adage populaire... Quand je vois des gens se goinfrer d'une pizza au Nutella je me dis qu'il creusent leur tombe avec leur dents et c'est en un sens heureux qu'elles n'aient pas la solidité adéquate pour retirer le pain de la bouche des croquemorts et autres agents funéraires.

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La courbe ci-dessus correspond à un jour de jeûne hydrique. Elle conserve la même allure mais un registre plus bas puisque les valeurs basses sont en accord avec la norme qui se situe actuelle entre 0,9 et 1,1 g/l alors qu'autrefois l'OMS avait fixé le taux de glycémie matinal comme ne devant pas dépasser 1.26 g. mais c'était il y a presque une vingtaine d'années. Ce qui ressort de ces courbes c'est la capacité du foie à se démerder pour fabriquer du glucose dès qu'on devient un actif, le premier petit pic étant après 7 h...

Autant vous dire que j'ai envie de frapper quand je vois une vieille prétendre que je vais mourir sir je ne fais pas mes 3 repas. C'est dingue ce que les gens peuvent être attaché à la "bouffe", çà me tue, je ne connais rien de plus méprisable.

Enfin quand je lis dans des articles des mises en garde contre l'hypoglycémie... Je ne risque rien de ce côté et en fait il faut tenir compte de choses comme les doshas en médecine ayurvédique, les deux qui sont dominants m'autorise à pratiquer un certain ascétisme. Et à présent que je ne fais qu'un repas j'en fait toujours de trop. Enfin c'est du temps et des économies de budget. Evidemment, je ne manque pas mon multivitamines et multiminéraux chaque jour ou presque.

Le système par capteur est intéressant sauf qu'il est des images existantes (comme les taux de glucose moyen) qu'on ne peut pas partager, que leur récupération est laborieuse de sorte que si on veut faire un travail scientifique, il faut les transmettre une par une en passant par Whatapps par exemple en les accompagnant d'un commentaire le jour même. En plus, les notes ou commentaires sont perdus le jour d'après. La HbA1c estimée est juste.

Reste dans chaque cas à déterminer les objectifs la plage imposée est assez large et il n'existe pas de possibilité de la modifier et contrairement aux anciens glucomètres, on ne peut rien récupérer par une jonction avec un PC que des vues partielles partageables avec une équipe de contrôle encore faut-il qu'elles connaissent bien le patient et se donnent la peine d'étudier préalablement son cas de sorte que dans ce domaine j'estime que l'on n'est jamais mieux servi que par soi-même.

Excellent outil mais très coûteux en l'absence de recours à de l'insuline soit 80 € par mois !

Que vaut le livre de Laurent Schwartz au final ?

On dira qu'il a le mérite d'exister et en existant grâce à la publicité qu'il a suscité il joue un rôle de sensibilisation mais outre la partie historique concernant les divers usages du bleu de méthylène mais cela reste un simple survol.

Le livre comprend aussi une évocation des divers traitement académiques des cancers mais quand à en tirer des informations pratiques pour la mise en place d'un traitement métabolique cohérent, je ne peux que renvoyer les patients désireux de tenter leur chance vers l'ACM et il y a de quoi faire.

La chose comporte du reste deux parties les conseils pratiques qu'il faut lire crayon et surligneur en main et éventuellement résumer dès lors qu'il s'agirait d'une mise en pratique. Ensuite il y a les articles techniques disponibles sur le site qui ne sont que des ouvertures vers des recherches plus pointues.

Bref, de mon point de vue et à l'instar d'un Alain Soral je suis convaincu d'avoir toujours la raison de mon côté, l'accent mis sur le BM et le CDS au détriment de l'artémisinine relève d'un nouveau dérapage. Le BM a son intérêt mais à des doses ne dépassant pas 0,5 à 2 mg par kilo de poids et de toutes façons comme l'immense majorité des médecins n'est pas prête à s'y intéressé en préférant la sécurité plus ou moins illusoire des protocoles imposés par Big Pharma le recours à de telles solutions alternatives implique une part de risque personnel. 

 

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