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25/03/2020

Coronavirus - Chloroquine, sur le premier essai du Pr Raoult

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Extrait d’un article qui évoque et résume l’essai thérapeutique du Professeur Raoult :

"D’autres victimes de cette épidémie seront dénombrées et peut-être à déplorer. L’essai de l’équipe marseillaise portant sur une vingtaine de patients ne tenait compte que de résultats biologiques pour juger de l’efficacité de l’antipaludéen de synthèse administré.

6 étaient asymptomatiques, 22 avaient des symptômes au niveau des voies aériennes supérieures et 8 avaient le tractus respiratoire inférieur atteint (bronchite ou pneumonie). La détection du virus s’est faite quotidiennement pendant 14 jours par prélèvement sur écouvillonnage du naso-pharynx. Elle était réalisée selon la technique de l’obtention d’un effet cytopathogène sur des cultures cellulaires. Le surnageant a été ensuite testé par amplification génique en cas de positivité.

Parmi les 26 patients ayant reçu la Nivaquine, six sont sortis de l’étude. Trois parce qu’ils ont été transférés en réanimation, l’un car il est décédé le jour 3 après avoir été trouvé négatif le jour 2. Les deux autres ont quitté le protocole, l’un pour avoir eu des nausées, l’autre parce qu’il a quitté l’hôpital. Parmi les 14 patients traités à la Nivaquine seule, 8 sont négatifs à J6, contre 2/16 chez les témoins non traités. Un sous-groupe de 6 patients a été traité par Nivaquine et azithromycine, tous étaient négatifs à J6.

Donc, le résultat à retenir est que 8 patients sur 14 traités à la Nivaquine ont négativé leur oropharynx en Sars-cov-2 au 6èmejour du traitement. Il n’est pas question de guérison clinique mais d’un critère biologique sur un groupe initial d’où ont été exclus 3 malades graves conduits en réanimation et un mort en cours de traitement.

On peut considérer qu’en période de crise, la rigueur scientifique exigible des essais cliniques n’est pas de mise. Ce travail est prometteur car réduire le temps du portage pour les patients a ou pauci-symptomatiques amoindrit le risque de dissémination du virus. L’autre voie possible, celle du confinement sans traitement de ces formes bénignes apporte le même résultat. Le véritable intérêt de ce traitement médicamenteux serait qu’il guérisse les formes potentiellement graves, auquel cas le confinement ne serait plus nécessaire. Cette étude ne le démontre pas. Des essais ultérieurs le feront, nous l’espérons. »


Donc il s'est bien agi de prélèvements nasopharingés, la pratique et le protocole sont susceptibles d'évoluer. Pour les formes graves, il existe une série de plantes chinoises efficaces mais c'est un sujet tabou, enfin de toutes façons il ne peut pas y en avoir assez pour tout le monde...

Source : https://www.dedefensa.org/article/apoptose (à la rubrique"Victimes de guerre").

Lire les résultats détaillés de cette étude (en anglais) ici :

https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads...

 

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