19/06/2017
Une étude du phénomène MMS par Richard Haas
J'ai reçu ce jour un émail de cet auteur ainsi conçu :
Bonjour M. Metzger, (pseudo ??)
" MMS" : un vrai faux ami ?
Malheureusement, n'ayant pas le droit de diffuser ce texte sans le consentement de son auteur, et ne pouvant livrer au public son email qu'il est impossible de trouver sur la toile en raison de la pluralité d'homonyme.
J'ai parcouru très rapidement ce texte conçu en trois parties. La première reprend les affirmation et témoignages en provenance de Jim Humble, la seconde envisage une critique et la science officielle que selon la médecine académique. Quand il s'agit de se référer à la BEV, à Antoine Béchamp, à Gaston Naessens et Günter Enderlein (p 19) comment peut-on parler de "science officielle". Je parlerais plutôt carrément de point de vue de la médecine étendue, raisonnable et alternative !
Mieux vaut sauter aux conclusions : l'auteur se demande si quelque chose n'a pas échappé à la science académique officilleen raison des résultats obtenu par Humble et coll, l'institut Bradford, le Dr Hesselink, le Dr Theresa Forcades etc (p. 33)... Tout en notant de nombreuses incohérences majeures dans les discours pro MMS, l'auteur souligne que les chlorites sont des oxydants puissants (p. 35).
D'où la question suivant, je cite p. 35 :
Une question délicate et très importante ne répond en rien à notre interrogation. Malgré toutes les données positives qui se prononcent en faveur de l’utilisation du « MMS » par voie orale, y a-t-il oui ou non déplacement du terrain de la santé vers l’oxydation par une utilisation du dioxyde de chlore sur le long terme pouvant ainsi générer d’autres maladies ??
Enfin p. 36
Dans certains cas et situations exceptionnelles, il est indéniable que le « MMS » peut être utile et rendre des services incontestés, mais de préférence sous surveillance médicale.
Rappel de mes propres conclusions
J'ai mis l'accent sur l'expérience d'un ami qui a pratiqué le "MMS" pendant de nombreux moins et s'est retrouvé épuisé. Il avait imaginé d'après les symptômes être victime d'une valvulite, ce redoutable effet secondaire du Mediator. C'est en me souvenant qu'il m'avait parlé de "MMS" que l'ayant questionné il m'a répondu que oui il continuait d'ne prendre. Lui ayant conseillé de cesser immédiatement, je lui ai prédit avec succès que dans quelques semaines il n'y paraîtrait plus. Il a effectivement retrouvé son énergie d'avant.
Conclusion
Le mérite et l'intérêt du texte commenté, c'est d'avoir passé au peigne fin la documentation et les témoignages existants et de les avoir confronté à un raisonnement basé sur les acquis de la BEV en particulier. Richard Haas en arrive au fond à la même conclusion que votre serviteur, à savoir que les usages positifs du MMS ne peuvent être que ponctuels et que dans l'état actuel des choses à moins d'être soit même un thérapeute en mesure d'observer finement le cas de patients, on ne peut pas délivrer de conseils précis et l'on se doit de maintenir une ferme mise en garde contre l'usage inconsidéré de ce genre de produit par des particuliers. Il est à noter que les témoignages de succès que l'on trouve sur les sites vendant du "MMS" sont absolument inexploitables. Ne peuvent être considérés comme probants que la publication de dossiers convenablement documentés avec résultats d'analyse et autres constatations objectives.
Il est certes dommage que ce texte ne soit pas largement accessible mais d'un autre côté il est à craindre qu'il n'y ait rien de nouveau sous le soleil.
En ce que concerne le projet des 11 vaccinations
Dans un second émail Richard Haas me précisait que :
Les lois d'obligations vaccinales en France sont en contradiction avec la loi sur la liberté de choix thérapeutique. L'article L.1111-4 du code de la santé publique (LOI n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé - dite loi "Kouchner". De plus l'arrêt de la Cour Européenne des Droits de l’Homme rendu en 2002, qui précise « qu’en tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée, garanti par l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales » (Arrêt SALVETTI c/Italie – CEDH Décision du 9 juillet 2002 ; n° 42197/98)
Nous le savons tous, il n'empêche qu'une obligation vaccinale minimale existe toujours et que cette liberté thérapeutique, lorsqu'elle relève du "viol" caractérisé et du risque d'empoisonnement s'avère inopérante.
Nous ne sommes donc pas en désaccord sauf que je me fais l'effet d'être moins naïf que mon collègue.
14:48 Publié dans MMS and co Dioxyde de chlore, Vaccinations | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
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