17/04/2015
A propos des parutions de nouveaux livres
Mes lecteurs et mes lectrices m'écrivent régulièrement pour me demander ce que je pense de tel livre qui vient de paraître ou est paru sur tel ou tel sujet. J'en suis flatté, c'est me prêter à tort ou à raison une grande expertise, c'est aussi et bien souvent une manière égoïste de se reposer sur un tiers en s'évitant de réfléchir par soi-même.
On est prié, pour commencer, de noter que je n'ai pas les moyens d'acquérir l'énorme flot de publications qui sort chaque mois et le temps d'en faire le tour. Je n'arrive même pas à lire les news auxquelles je suis abonné. Notez également que si je voulais recenser certains livres ce qu'on en dit sur la Toile, et les sommaires qui paraissent sont le plus souvent bien suffisant pour se faire une idée de la vacuité ambiante. Quand je pense au nombre de livres déclinés autour d'un même thème, surtout en matière de diététique, il est visible qu'il n'existent que pour remplir les caisses de l'éditeur. Dans bien des cas certains livres ne se vendent que parce que leur auteurs organisent de nombreux stages. Ils pourraient tout aussi bien gagner plus d'argent en les éditant à compte d'auteur. Sauf qu'avoir un éditeur ça vous pose !
Les dons sont là pour permettre éventuellement de sélectionner quelques ouvrages qui paraissent émerger de la médiocrité ambiante, malheureusement le rendement du "petit cochon" n'est nullement à la hauteur de sorte que je ne me sens pas tenu de parler des parutions qui, sous réserve, d'un examen semble mériter une recension positive.
Quand à mes propres fonds, je les consacre actuellement à des livres "spirituels" ou prétendant l'être sur la "Claire Lumière", la "nature de l'esprit" et tout ce qui tourne autour de le phénoménologie supposée, à tort ou à raison, concerner une "êtretée" post-mortem. Comme personne n'a envoyé encore de cartes postales, tout ce que l'on raconte est assez hypothétique mais il y a tout de même possibilité de faire malgré tout preuve de sens critique.
Un détail qui fâche
Il se trouve que l'extrait en pdf du livre dont on vient de me parler (insignifiant en quantité) s'est avéré non imprimable. Cela m'a exaspéré au plus haut point. C'est mon droit le plus strict d'imprimer sur papier tout ce que je veux étudier de manière sérieuse. Je ne suis pas tenu de me tuer les yeux en scrutant un écran, ou d'utiliser une tablette polluante donc on ne peut pas arrêter le Wi-Fi car en plus on ne voit qu'une page ou un bout de page à la fois, il est donc impossible de faire des allers et retours rapides dans un document. Et cela m'est absolument insupportable car on a l'impression d'être littéralement "incarcéré" !
Evidemment, on va me dire que je gaspille du papier, que c'est criminel. Non ça n'a rien à voir avec l'abus du plastique et tous ces résidus pratiquement indestructibles de ces maudits téléphones portables que certains changent tous les 6 mois et autres cochonneries du même tonneau ! Au lieu de construire des cabanes à lapins pour des zombies qui se multiplient sans discernement, on devrait inciter au contrôle des naissance et reboiser au fer et à mesure qu'on déboise. mais évidemment les marchands gueuleraient car ça ne ferait pas leurs maudites affaires ! Il ne faut donc pas tout confondre et ne mettre le doigt que des détails non problématiques quand on ne fait rien de vraiment "durable" par ailleurs et qu'en fait rien ne change en profondeur ! Mais patience au train où vont les choses les ressources seront vite épuisées, tout indique que le cycle devrait se terminer vers 2030 et c'est dans 15 ans et d'ici là il y aura hélas du vilain !
A propos de ces maudits extraits non imprimables, on m'a répondu qu'on protège les auteurs contre la copie. Copie de quoi puisque les extraits comprennent tout au plus la première et la dernière page de couverture, le sommaire ou la table des matière et au plus un misérable chapitre. Et puis on ne protège pas les auteurs, on les exploite, ce sont les éditeurs qui se protègent or en l’occurrence il n'y a strictement rien à protéger !
C'est donc une "maladie névrotique" que de diffuser des pdfs non imprimables ! Et à tout le moins faire preuve d'un mélange de sottise et d'outrecuidance que de répondre ce qui m'a été répondu. En plus le pdf ne s'ouvrait pas sur Acrobat 6 ! J'ai du essayer plusieurs lecteurs, d'où ma colère amplement justifiée par la contrariété due à cette perte de temps.
L'institution des "services de presse"
Il existe ce que l'on appelle des "services de presse" mais je ne suis pas reconnu comme journaliste, je n'ai pas de carte de presse et je m'en soucie comme d'une guigne. Et un éditeur que je ne nommerai pas vient donc de m'en faire l'affront tout en me menaçant de publier mon mail qu'il a évidemment interprêté selon sa propre sauce. Il a reçu en retour une réponse cinglante et je l'ai mis en demeure de tout publier ou de ne rien publier dans l'une de ces "feuilles virtuelles" qui pullulent sur le Net sauf à vouloir risquer un procès.
Soit dit en passant vouloir exploiter l'intérêt que j'ai porté au livre en question et l'exploiter comme une caution alors que je ne sais rien du contenu de ce livre est une sottise que je qualifierai de "suicidaire". Ce serait attirer l'attention de plusieurs milliers de personnes sur le présent blog. Est-il utile que ces lecteurs sachent qu'il existe un J.D. Metzger qui fait métier de défendre les citoyens contre les exploiteurs de la misère humaine ? J'ai donc prévenu cet éditeur qu'au cas où il ferait allusion à l'échange privé que j'évoque en me citant de façon tronquée que je le contraindrai par voie de justice de publier la totalité de l'échange sans caviardage et sans tronquage et qu'en outre je réclamerai des dommages.
J'ai vous vous le savez une expérience en tant que juriste et aussi en tant qu'habitué de longue date des milieux de l'édition. Je n'ai pas à vous raconter ma vie mais je suis bien placé, en tant qu'ami d'auteurs et de petits éditeurs, pour savoir à quel point ce milieu de l'édition est un milieu archi pourri. Je pourrais écrire un livre sur tout ce qui a tué l'édition en France particulièrement, ce sont évidemment les distributeurs qui gagnent le plus de fric grâce à des contrats léonins. Cependant, il n'y a pas que cela. Il faudriat aprler d'un certain type de "cavalerie". Enfin dans les domaines "ésotériques" où sévit un certain amateurisme, tous les procédés sont bons pour ne pas verser ou rogner les droits des auteurs sous divers prétexte, dont le pillonage. Des éditeurs honnêtes il en existe. Le mien est devenu un ami mais c'est là une exception qui confirme la règle.
Parlons des journalistes
En effet, il est d'usage quand on sollicite un "SP" de s'entendre répondre qu'ils sont réservés aux journalistes et que le quota est épuisé. Mon éditeur a consacré je ne sais combien d'exemplaires de mon livre sur Loïc le Ribault à ces foutus "journalistes" qui, en France particulièrement sont en dessous de tout, les journaux sont du reste payés par le pouvoir pour se taire sous le faux prétexte qu'ils sont en danger de disparition. Mais si ce qui n'ets pas utile ou ce qui fout la merde disparaissait, où serait le problème ? Mon éditeur a même payé une "attaché de presse" et qu'en est-il ressorti : rien aucun commentaire ! Ce livre, je l'ai même fait envoyer au service de presse de la Gendarmerie Nationale sachant qu'il y avait entre elle et LLR un contentieux dont j'ai parlé. Rien, aucun écho !
Est-ce à dire que mon livre serait mauvais ! Non pas du tout ! Ceux qui l'ont lu, l'ont dévoré comme on dévore un roman policier à suspense car toutes les facettes psychologiques du personnage principal et ses impostures scientifiques ont été mises en lumière. rappelez vous qu'on voit encore des gens qui s'imaginent que LLR a mis des bactéries au travail sur du sable pour fabriquer du G5. Je vous rappelle au cas où vous l'auriez oublier que ce n'est qu'une dilution assez infinitésimale de Rhodorsil 51 T et c'est vendu 38 € le litre !
Evidemment, il ressort de mon livre que le G5 n'est pas la panacée que l'on a cru, il existe une efficacité mais beaucoup de gens se sont eux-même abusés. Enfin même la revue Prescrire qui a reçu un exemplaire aurait pu en parler. Le médecin chargé de recevoir les "SP" était très intéressé. La revue aurait pu évoquer l'objectivité scientifique de ma démarche, ça allait dans son sens : rien.
Ce que j'ai compris c'est que le public ordinaire n'aime pas qu'on lui casse la baraque. J'ai vu une femme changer d'attitude quand mon livre est paru. Avant on échangeait, on parlait d'ouvrages rares (Le Cazin) puis du jour au lendemain, elle a eu envie de me tuer car j'ai liquidé une de ces idoles. ce fut une réaction purement passionnelle. Ce qui a eu pour résultat de me faire surtout rire. Elle a tout simplement perdu ses moyens et jeté le masque. Les témoins, ça s'est passé dans une librairie, s'en sont rendu compte.
Le public est ainsi fait qu'il ne veut pas voir et se protège de façon mystérieuse contre toutes les informations qui pourraient l'obliger a réviser ce qu'il pense être acquis. Mais qu'une revue médicale qui avait là l'occasion d'abonder dans le sens d'une mise en garde contre le charlatanisme de certains pourvoyeurs de "compléments" n'ait pas sauté sur la perche tendue c'est à la limite incompréhensible, ou alors c'est qu'il y avait des point trop sensibles pour des médecins... Il faut toujours lorsqu'on écrit choisir un parti contre l'autre et ça je le refuse. Statistiquement il faut dire qu'on a plus de chance d'être dans le vrai quand on met tout le monde ou presque dans l'embarras. Et ça c'est quand même assez "excitant" ! Après tout je n'ai pas demandé à venir dans ce monde ! Et maintenant que j'y suis j'ai décidé de ne m'incliner devant aucun pouvoir abusif et de résister !
Bref, quand on s'efforce de dire autant que cela est possible, la vérité, toute la vérité du moins celle qui est accessible, il est toujours des intérêts qui s'en trouvent lésés. Je le vois bien quand mes lecteurs et lectrices s'efforcent d'oublier ce que j'ai écrit en en faisant abstraction.
Le ton et la manière
On a le droit de refuser de satisfaire une demande mais il y a le ton et la manière de le faire et pour un ouvrage qui viendrait de paraître, c'est assez insultant de s'entendre dire que le quota serait épuisé et qu'on ne fait pas partie de la prétendue "élite" à qui le privilège est réservé. Dans le cas que j'évoque mes propos ont évidemment été déformés car pour indiquer que si on m'accordait ce genre de service, je ne souhaitais pas en abuser, j'ai indiqué que je manque de place sous-entendant que je ne pourrai envisager de réclamer que des ouvrages dont j'aurais à priori une bonne opinion. Aussi a t-on ajouté qu'on ne voudrait pas encombrer mes rayonnages en faisant semblant de mal me comprendre... Il n'y a vraiment que des esprits médiocres à pouvoir réagir de cette manière.
Là où ça devient grave c'est que l'on m'a menacé de faire état de l'échange dans le but manifeste de convaincre les lecteurs de la "feuille" en question que cette manifestation positive d'intérêt pour le livre sollicité serait une caution de ma part. Il est des choses que je ne supporte pas : c'est l'arrogance quand elle persifle, et ce genre de comportement pervers et à la limite démoniaque consistant a vouloir entraîner les gens malgré eux dans une querelle lorsqu'on est le plus fort en terme d'audience. Mais tout est relatif la quantité est forcément antinomique de la qualité ! Je préfère donc être du "petit nombre"...
Cerise sur le gâteau la réponse se termine ainsi : C'est avec grand plaisir que vous pouvez informer vos lecteurs que l'ouvrage est en vente dans notre boutique.
En d'autre termes : je dois rendre grâce gratuitement et puis quoi encore. Le sommet de l'insulte a été atteint. Mais enfin vous aurez compris que ce genre d'éditeur ne travaille pas pour aider les gens mais pour amasser un fric pourri qui risque dans peut de temps de fondre comme neige au soleil quand va arriver le crash que l'on ne cède de nous promettre.
De toutes façons même en léchant respectueusement les bottes des éditeurs, je ne suis même pas sûr d'obtenir quoique ce soit. Et en vérité je m'en tape ! Ne pas pouvoir rendre compte cela me fait des soucis en moins et plus de temps dégagé pour faire de la musique par exemple, ce qui est plus profitable que je parler en vain car cela revient à pisser dans un violon !
Si vous voulez un compte-rendu d'un livre qui vous intéresse, que faire ?
Il n'est pas question que je mette en péril mon budget domestique déjà très serré pour rendre compte de ce qui parait. A l'impossible nul n'est tenu ! Et j'ajoute que compte tenu de l'ingratitude ambiante je ne dois rien à personne.
Comme je n'ai jamais réclamé de "SP" connaissant la réponse rituelle : vous n'êtes pas journaliste alors allez vous faire foutre, je retourne le compliment aux éditeurs qui ne sont pas capables de comprendre que je fais une différence entre le commerce éhonté des compléments tel qu'il se pratique en France et en Europe et la promotion éventuelle, non pas des éditeurs, nuance capitale, mais des auteurs qui éventuellement le mériteraient et sont contraints de passer sous leurs fourches caudines. Ce n'est quand même pas la même chose ! Je ne confonds pas les particuliers qui ont des choses à communiquer et ces intermédiaires qui ont tendance à leur bouffer un maximum de laine sur le dos.
Autre chose : ce n'est pas parce qu'un livre aurait été écrit par des médecins et des pharmaciens qu'il mériterait plus de considération. Quand on sait à quel point Big Pharma règne sur ces deux corporations, c'est montrer en fait l'absence de toute indépendance intellectuelle et faire preuve d'une attitude excessivement conventionnelle.
Il y a donc deux solutions : les auteurs qui souhaitent une recension peuvent me demander leur accord et envoyer ou me faire envoyer leur livre. Il faudra que je trouve une "boîte à lettre" pour n'avoir pas à donner mon adresse des fois qu'on voudrait me faire descendre... Un particulier peut aussi acheter le livre et me l'envoyer (si accord préalable) avec une enveloppe matelassée et timbrée pour le retour.
En dehors de ces cas de figure, fichez-moi la paix à propos d'ouvrages dont je n'ai pas parlé où alors vous pouvez me donner votre opinion si vous l'avez lu et en avez une mais ne pas réclamer un avis s'il me faut pour cela dépenser de l'argent ! ce sont toujours les mêmes qui doivent payer, c'est rageant et insupportable à la fin quand on siat à quel point les droits des auteur sont fondus sauf cas de best-seller de la grande édition.
L'engeance ce sont les "marchands"
Ce gouvernement socialiste est rempli de belle (censuré) mais il s'apprête quand même à faire quelque chose de bien en voulant obliger les grandes surfaces à ne plus détruire, en les mazoutant, les invendus encore consommables. Réussira t-il cette entreprise salutaire qui pouvait enlever une épine du pied des restaurants solidaires, du coeur et autres ? Nous allons être fixés rapidement, l'échec sera un signe gravissime... A ce propos, une polémique est survenue à Nice à propos d'un curé médiatique, le Père Fiorini, qui tient justement un restaurant solidaire et à concocté une recette de pastis que l'on dit réussie. Les gargotiers du coin veulent le faire fermer prétendant qu'il leur enlève des clients et qu'ils vont devoir déposer le bilan. L'intéressé à répondu du tac au tac qu'il donne à manger à qui il veut et que lui donne à manger au clochards tandis qu'il arrive de des restaurateurs ou leurs aides de les frapper ! J'ai surtout observé dans cette histoire la "timidité" de l'évêché qui s'est contenté de dire que les entreprises du curé sont suivies et contrôlées mais personne parmi ces Messieurs n'a relevé les invraisemblances, il est clair en effet que les gens qui vont au resto du curé n'ont pas le moyen même de fréquenter un snack.
Nice c'est vraiment spécial. Je me rappelle que la première fois que j'y suis venu un été, un bistrotier m'a refusé un simple verre d'eau. Tête en l'air je n'avais même pas 1 franc sur moi parce qu'avais changé de froc sans transférer ma monnaie d'une poche à l'autre. Je n'étais pas à la rue, je ne ocuchais pas sou un pont mais je me suis fait carrément insulter ! Du style : vous les congés payés allez vous faire foutre ailleurs, sans fric, parasites, du balai ! C'était pas le bar du Negresco, cela s'est passé dans un café minable sur le boulevard qui passe devant la gare SNCF. le genre de bouge fréquenté par des poivrots qui s'essaient à refaire le monde ! C'est révélateur du niveau d'accueil qui n'a fait qu'empirer !
Ce n'est pas le peuple, qui a fait la révolution française, ce sont bien les classes bourgeoises et marchandes en particulier et en vue d'un libéralisme qui est en train de triompher. Avec la complicité des gens de robe, francs macs ou pas. Un président aura été particulièrement criminel c'est un certain Giscard, auteur pour le compte de Pompidou (et donc des Rothschild) de la manip de 1973 créatrice de la fameuse "dette" par l'obligation d'emprunter aux banques qui ma foi ont toujours été "privées" en dépit de leur appellation. Auteur également de la suppression du contrôle des prix et qui est à l'origine du "regroupement familial" qui nous vaut des banlieues toujours prêtes à l'explosion, c'est aussi sous son règne qu'est apparue une "novlangue" consistant à ne plus jamais appeler un chat un chat. Vous savez les techniciennes de surface, oui c'est encore sous Lui ! Maudit soit ce personnage qui prétend descendre par la cuisse gauche d'un certain Louis XV plus occupé de jeunes cul que de gouvernement et qui a fini par se faire détester après avoir été surnommé le "Bien aimé"... Et ça continue !
20:51 Publié dans Livres, revues, parutions, sites Web, recensions | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
Les commentaires sont fermés.