04/03/2014
Homéopathie, état des lieux en cours... de surprises en surprises...
Cette nouvelle version du post précédant corrige une erreur bien involontaire. Je vous conseille avant d'entamer votre lecture de bien installer votre fondement et de le caler confortablement. Vous aurez besoin, à la fin, de vous accrocher mais l'exercice devrait être éclairant. Enfin si le côté cryptique de certaines remarques vous échappe, je me ferai un plaisir de traduire les images employées. Mais ça ne me semble pas trop sorcier quant à pouvoir décoder ....
J'ai entrepris de faire un état des lieux sur l'état de l'homéopathie en Europe en recherchant d'abord toutes les nomenclatures des principaux laboratoires avec l'intention de les questionner sur les conséquences de la directive en cours d'application pour 2015.
En France, le Dr Grandgeorges fait état de 75% de remèdes disparus chez Boiron sur environ 4000 souches dans ma nomenclature datant de 1988. Il a adressé au Président Hollande une "lettre ouverte" et une "pétition" circule pour réclamer d'urgence un décret libérant toutes les souches à partir de la 11 ou 12 CH. Les pétitions vous savez ce que j'en pense... Bref, il n'a bien évidemment strictement aucune chance d'être entendu.
Lorsque j'ai questionné Debru-Tensi sur sa propre nomenclature, il m'a été répondu comme vous le savez. Envoi d'une ordonnance etc... J'ai réagi très vertement, et dans une certaine mesure, à juste titre. Ce pharmacien aurait pu me répondre qu'étant un "préparatoire", il n'a donc pas à diffuser de nomemclaure car il fonctionne sous le registre des "préparations magistrales" qui échappe, en vertu de la liberté de prescription du médecin, au moins en partie, à cette réforme dont on parle depuis un moment et qui oblige les labos de production à quérir des AMM allégés pour chaque remède proposé.
C'est le Labo Life (que l'on dit peu communicant et c'est faux) qui m'a mis la puce à l'oreille à propos de Debru-Tensi qui n'est pas un laboratoire mais bien un "préparatoire". Cette différence de statut technique et juridique ne m'avait pas sauté aux yeux car le Dr Grandgeorges, apparemment l'ignore, ou s'il ne l'ignore pas n'en a pas tiré les conséquences.
Or Labo Life a fait condamner la France car l'AFSSAPS avait ordonné aux douanes français de faire la chasse aux colis venant de ce labo ou de pharmacies diffusant en France ses produits. Life a attaqué en cour européenne et fait condamner la France à Strasbourg et c'est passé dans le Moniteur des pharmacies.
Et oui, personne ne semble avoir lu la directive qui dans son préambule déclare que la mise aux normes qu'elle préconise vise la libre circulation des médicaments dans les pays de l'Union.
Ce qui est en soit une bonne chose et se comprend parfaitement quand on connait les origines américaines de l'Europe envisagée dès 1890. Je crois me souvenir que c'est l'historienne marxiste Annie Lacroix-Riz qui a expliqué tout cela dans des vidéos que vous pouvez trouver facilement. Elle a simplement oublié de nous donner son avis sur les sources financières du nazisme et du communisme selon P.F. de Villemarest mais enfin personne n'est parfait en ce bas monde...
La directive, je commence à la connaître : elle ne peux pas entrer dans certains détails techniques, c'est une "loi cadre" que chaque pays doit adapter. Les histoires de chauffage des souches d'origine biologique c'est de la "cuisine interne" à chaque pays. Cela ne figure même pas dans la Pharmacopée française, je m'en suis assuré, et cela relève jusqu'à preuve du contraire de décrets et d'arrêtés qui peuvent être réformés en Conseil d'Etat et c'est arrivé plusieurs fois. Et bien sûr on n'a pas fait le nécessaire en temps et lieux quand on aurait pu le faire. On s'est contenté parfois d'envoyer des cartes postales : une aubaine s'il y a dans l'administration concernée des collectionneurs. Seule une association de défense des consommateurs de médicaments antroposophiques a marqué des points.
Il s'ensuit que pour résumer je dis que les médecins qui évoquent cette question sont à la masse ! Dogna n'en parlons pas c'est un con qui répand des rumeurs, un démagogue qui flatte le public en le caressant dans le sens du poil pour faire prospérer la boutique de sa fille. A propos il ne serait plus en Espagne mais à l’Île Maurice, enfin peu importe. Lisez mon livre sur le silicium, il y a là aussi des détails croustillants sur ses trafics à propos de G5. Enfin je reçois des remerciements de lecteurs qui commencent à ouvrir les yeux.
Quand je dis à la masse, je veux dire que les médecins ne sont pas à priori de brillants juristes et ils n'ont pas le temps de s'instruire dans ce domaine mais leurs syndicats auraient pu s'aboucher avec des avocats sérieux. A condition d'éviter une certaine Robard qui a tenu des propos éminemment suspects en passant sous silence la nécessité, pour qu'une plante exotique puisse concourir en Europe, d'avoir été en usage localement depuis au moins 15 ans ! Mais ce n'est pas le seul "oubli" de sa part.
Pour en revenir à la relative liberté de manœuvre laissée par la directive quand à la mise en pratique de certains contrôles, bien évidemment la France a, par tradition d'hostilité des vieux croûtons de l'Académie à l'égard de l'homéopathie en particulier, toujours choisi la ligne la plus dure.
Or je constate que la pharmacie Salvator fondée en 1760 en Autriche (http://remedia.at) propose 5500 souches déclinées dans 36 000 dynamisations. Elle a rassemblé diverses collections, les nosodes de Bach, les souches du Dr Schmidt, bref elle a tout et sort de nouvelles plantes. Il serait quand même bien étonnant que l'état autrichien puisse s'ingénieur à détruire l'oeuvre d'une pharmacie historique aussi riche. Bien sûr s'il faut commander en Autriche ça va compliquer mais au moins on aura des remèdes fiables car dynamisés à la main dit-on !
J'en conclus que s'il est regrettable que Boiron trouve effectivement avantage à justifier la procédure en cours parce qu'elle va dégager des économies, nous sommes prisonniers d'une vision franco-française qu'il faut élargir d'où ma décision de contacter le patron de Remedia. Nous avons un "hobby" commun et j'ai des chances de beaucoup l'intéresser mais il y a l'obstacle de la langue... Enfin il n'a pas l'air de trop s'en faire puisqu'il a survolé certaines régions des Etats-Unis à la recherche de plantes inédites dans un curieux drone inspiré des hélicos.
Ce disant, je ne dis pas que la directive est innocente mais que l'analyse que l'on fait de la situation est à revoir parce que s'il est clair que le lobby pharmaceutique avait des idées derrière la tête en l'inspirant, elle permet une certaine marge de manœuvre. Il est donc pour le moment essentiel d'essayer de faire des rapprochements entre ce qui se dessine dans les divers pays concernés.
Il y a quelques jours, j'ai entrepris une recherche et en recherchant dans un dossier un proving de plutonium, je suis retombé sur un projet daté de 2011 où j'avais commencé à recenser les textes et les atteintes envers l'homéopathie. Texte non publié à l'époque et que j'avais complètement oublié et j'en ai comme cela plusieurs. J'en ai réincorporé les éléments dans mon texte actuel qui était centré sur un "audit" des labos présents sur le marché. J'en suis à une cinquantaine de pages. Mais rassurez-vous, ce texte sera convenablement banalisé par des intertitres et un plan qui permettra à chacun de "naviguer" à sa convenance.
Histoire de Dream provings "homéopathico-astrologico-plutonesques"
Une précision importante avant d'aller plus loin, l'actuel Préparatoire des Archers n'a plus rien à voir avec celui qui a existé du temps du Dr Devrières. Ce dernier a vendu son fond en 2005. Il est aujourd’hui retraité et n'est plus propriétaire que des murs et il bénéficie d'une caution de l'ARS.
Mais il se trouve que je viens de découvrir de nouvelles pathogénésies qui posent de sérieux problèmes car il est des nouveaux remèdes, des "remèdes-oiseaux" en particulier, qui relèvent probablement plus d'une "magie des signatures" et pas du tout de l'homéopathie et j'entends bien me pencher un jour ou l'autre sur ce "trafic" !
Bref, j'avais plus ou moins oublié l'homéopathie à cause de Boiron et je découvre des choses intéressantes et d'autres assez suspectes qui m'incite à "compléter ma formation" et éventuellement à en tirer les conséquences...
Je suis allé de surprises en surprises (si tant est que je puisse encore être surpris par quelque chose) car c'est mon enquête sur le Préparatoire des Archers à Epernay qui a été la cause occasionnelle de la découverte d'un embrouillamini à propos du proving de Plutonium nitricum dans lequel un astrologue niçois devenu parisien a joué un rôle au moins en procurant les souches testées ou plutôt en trouvant le préparatoire qui a consenti à les confectionner pour les expérimentations, l'une anglaise l'autre allemande.
Avant d'aller plus loin, je dois préciser que le "préparatoire" en question a du changer de mains autour de 2005 à la suite d'une condamnation de l'Ordre pour charlatanisme. Elle portait sur des homéopatchs inventé par un certain Dr Marchandise (ça ne s'invente pas !) Cette officine ayant été agrée en 2010 par l'ARS comme sou-traitante des pharmaciens, l'ancien propriétaire et directeur n'a du conserver que les murs en vendant son fond. Il n'y a donc pas lieu de faire un lien entre l'histoire ancienne qui va suivre et l'officine actuelle qui a été entièrement remaniée. Mais c'est à vérifier !
Cet astrologue, il s'agit d'un certain Didier Lustig, est très scorpionique et très plutonique ce qui se devine au travers de ses centres d'intérêt et il est amusant de constater qu'il a découvert les liens symboliques entre astrologie et homéopathie à la suite de ce que l'on appelle une "chaude pisse" (blennoragie, gonoccocie) suite à une relation sexuelle imprudente (sic).
Voir http://www.interhomeopathy.fr/un-astrologue-chez-les-home...
Sans avoir forcément l'esprit mal tourné, ce genre d'aveu incite à des questions. Je sais qu'il existe une relation entre le Scorpion et les organes de la génération et quand je vois que le seul cas qu'il évoque est celui d'un jeune "homo" et qu'il se sent tenu de présenter comme ancien élève alors que beaucoup de ces gens, a l'instar de beaucoup de femmes aiment à fréquenter les cabinets de divination, cette justification m'incite à sourire vu qu'elle n'était pas nécessaire.
Enfin il est clair qu'il existe bien une relation analogique entre Pluton et un type particulier de relation imprudente, surtout en l'absence d'armure assez souple pour s'y esbattre sans gêne puisque ce cher Pluton est censé régner sur les cavités souterraines, cavernes, tunnels, bref les lieux obscurs et mal damés où se rencontre de la vermine. Bien évidemment, c'est sur ces critères symboliques que Plutonium nitricum alias Plutosidum, avait été envisagé comme remède du Sida.
Passons sur la relation sexuelle imprudente : attraper une "chaude pisse", c'est arrivé à des gens bien mais il vaut mieux éviter de s'en vanter. J'ajoute à cela que le mieux étant l'ennemi du bien, le meilleur remède c'est Cannabis sativa. Mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !
Enfin, Lustig a découvert l'homéopathie après l'astrologie au termes d'une double illumination. En ce qui me concerne, cela aura été juste le contraire, j'ai commencé par l'homéopathie avant d'être initié à l'astrologie par un ... marxiste... Je crois que cela m'a préservé de bien des choses en matière de santé mentale car il faut avoir des semelles plombées pur s'aventurer dans ce domaine. Saturne en milieu de Ciel aide beaucoup surtout s'il est accompagné de Pluton dans un lieu doublement solaire...
Quant à Cannabis Sativa, il y a de cela plusieurs décennies je m'en étais procuré chez Schmidt-Nagel, à toutes fins utiles. Le tube étant resté intact cela me rappelle qu'il m'avait été fourni sous un nom bizarre, un synonyme sans doute. Il s'agissait encore de tromper les douaniers. Les deux cannabis, le chanvre à faire les ficelles (sativa) et l'indica avait été supprimés du fait de la vogue du H (années 70). C'est du reste cette suppression qui m'a fait comprendre qu'en matière de médecine, nous sommes gouvernés par des nullités et c'est alors que j'ai compris qu'on finirait par complètement détruire l'homéopathie en France. On y est, c'est presque terminé !
Je reviens donc a Plutosidum envisagé dans un premier temps pour être essayé sur des sidéens, mais ça n'a pas marché. Ensuite deux pathogénésies sont orchestrées qui donnent des résultats contradictoires.
Les Anglais qui ne savaient pas ce qu'ils suçaient font des tas de rêves plutoniens. Le superviseur qui n'avait rien absorbé mais gardait les tubes voit fondre sur lui des malheurs : tout pète dans la maison et c'est un miracle si elle est restée debout. Il se dit ruiné et pense devoir faire appel à un exorciste... Les Allemands esprits sages et posés qui sont au courant du contenu des granules sortent une pathogénésie assez pâle. Problème !
Mais ce n'est pas tout : je viens d'avoir la confirmation par un "contact" que Devrière qui dirigeait le préparatoire sparnacien a bien déclaré à l'époque que la première souche a été obtenue par un procédé de "radionique" et a évoqué des "trous blancs" qui manquaient pour ce type de souche, d'où échec sur le Sida.
J'interroge Lustig par téléphone dans le cadre de l'état des lieux que je cherche à finaliser et il me répond qu'il n'a jamais entendu parle de "radionique" et qu'il n'y a eu qu'une souche. Je relis son texte de 1996 présent sur le site de Grandgeorges et je m'aperçois qu'il a bien évoqué deux souches. Je présume que la première souche ("radionique" ou pas) à servi sur les malades du Sida et a échoué et la seconde (une souche classique) aurait servi aux expérimentations mais ce rien n'est clair dans son texte. C'est du travail d'amateur !
Le problème c'est encore que la description des deux souches par Lustig (p. 34) est très problématique. Il se pourrait qu'il ait inventé une souche non dynamisée constituée de 0,1 microgramme de plutonium dans 20 ml d'eau pour camoufler le recours à la "radionique". Je l'ai senti tiquer quand j'ai aborder le problème mais ça ne signifie pas grand chose.
Il est à noter qu'il eut été assez intrépide d'utiliser un remède élaboré avec un produit radioactif sans l'avoir testé par les moyens classiques. Bref, je suis persuadé que Lustig a menti. J'ai disséqué son propos en long en large et en travers et je démontrerai en détail que le passage évoqué p. 34 ne tient pas debout !
Voir : http://www.homeopathe.org/Docupdf/plutonium.pdf
Attention, ne pas lire ça le soir au lit le soir, votre sommeil en sera perturbé, c'est très "contagieux" j'en ai fait l'expérience. Mais bon çà n'est pas mortel ! Le soleil étant revenu pour une semaine au moins qui a chassé les fantômes suscité par cette littérature surréaliste...
Un moment j'ai pensé que Devrières pourrait avoir été un mythomane car il semblait s'être attribué la paternité d'une publication sur les hautes dilutions qui s'avère être de Rolland Conte et de Yves Lasne (et Lustig a oublié le troisième auteur) mais l'utilisation de souche confectionnées par "radionique" a été confirmée de deux sources orales différentes pour des substances comme plutonium qu'on ne trouve pas sous le pas d'un cheval.
Restait à trouver des traces sur le Web afin de ne pas être accusé d'avoir inventé une histoire de "trous blancs" dans le but de nuire or les "trous blancs" apparaissent sous la plume de Lustig et en plusieurs endroits du Web, la source étant dans le livre évoqué plus haut. Donc mes "contacts" n'ont pas rêvé.
Reste à expliquer la contradiction entre les résultats de l'équipe anglaise et allemande. Ce sont les allemands qui auraient du faire des tas de rêves plutoniens et pas les Anglais. Il faut donc expliquer cette anomalie flagrante. Je pense détenir la solution : elle réside dans une histoire "métapsychique" qui s'est déroulée jadis au 17 rue des Canettes, une adresse qui ne manquera pas de réveiller les souvenirs de certains "initiés". Manifestement Lustig qui devrait la connaître est passé devant sans rien remarquer, il n'a donc pas point été visité par le "Saint Esprit"... On m'excusera de rester évasif et de n'en pas dire plus. Je serai un peu plus disert dans mon mémoire qui atteint 50 pages pour l'instant. Mais je ne souhaite pas parler de l'auteur qui habita l'ancienne résidence des archevêques de Paris.
Explication de l'inversion des résultats : les expérimentateurs anglais ont tout simplement vécu dans un climat psychique d'intense suggestion où les superviseurs qui attendaient des résultats conformes à la mythologie plutonienne ont influencés sans le savoir les expérimentateurs qui ont produit ce qu'ils attendaient d'eux. Mais il s'est probablement ajouté à ce phénomène au demeurant banal des influences préternaturelles pour qu'il ait atteint une telle intensité. Et il n'est pas impossible qu'un exorcisme aurait été justifié. Cela m'incite à examiner de plus près les productions du groupe concerné mais je sais à quoi m'attendre.
Curieusement la clef de ces histoires se trouve dans un interview de Grandgeorges. Je ne sais pas s'il a mesuré l'importance de sa "révélation" mais il parle de Dream proving (proving rêvé ou par le rêve) or ce qui frappe dans les expérimentations visées c'est l'absence de symptômes physiques. Ces symptômes quant ils en sort sont banaux et comme on n'a aucune information statistique, le caractère "rêvé", de ces provings dit bien la source exclusive des symptômes mentaux produits. Et cela se résume à un climat de suggestion très dense du côté des anglais.
Enfin, cerise sur le gâteau pour moi qui ait étudié lesdiverses astrologies sous toutes les coutures, je ne suis pas sans savoir que le symbolisme astrologique tel qu'il est envisagé actuellement n'a plus grand chose à voir avec le symbolisme traditionnel. Un climat de pansexualisme freudien est venu se greffer sur les mythes de sorte que tout est probablement devenu inextricable. Bien sûr je pourrais indiquer les derniers responsables de cette déformation parmi lesquels on compte deux auteurs français dont un André Barbault...Vaste problème qui en plus d'un certains climat de folie m'a poussé à prendre mes distances.
Si j'ai un conseil à vous donner, c'est de garder vos distances avec cette catégorie de provings. C'est très intéressant à disséquer quand on dispose d'un minimum de repères mais on est là dans un domaine excessivement problématique qui fait bon ménage avec des théories "quantiques" plus ou moins folles car pouvant être ruinées par une approche authentiquement métaphysicienne. Les physiciens quantiques n'ont manifestement pas la connaissance des degrés de la manifestation et je les surprend à tout mélanger.
C'est le cas de Lustig quand il pérore sur Baglis.TV à propos de "ses" souches radioactives. La symbolique a bien un sens : selon cet augure, Californium est la dernière substance radioactive à pouvoir être dynamisée car au delà le temps de vie de ces éléments est si court qu'il devient impossible de les manipuler. Mais il déduit des choses extravagantes, à savoir que si la chose était possible, les expérimentateurs changeraient probablement de forme c'est à dire de plan sous entendant qu'ils passerait dans l'invisible.
Mais puisque l'on est dans le symbolisme et que la pensée analogique permet des raccourcis étonnants, cela me rappelle que le foyer principal des communautés de type new age avec son néo spiritualisme, ses utopies, son attrait pour les genders studies et leur arrière plan féministe et subversif (sans parler de l'origine de la vague du Sida occidental) c'est bien la Californie.
Californie de l’espagnol California, utopie dirigée par la reine des Amazones. Pas besoin de dessin et si on veut faire de la cabale phonétique à la manière de Grandgeorges (qui fait du nirukta sans le savoir), je lis Kali noir fornie fornication. Noires fornication... Que ce soit au propre ou au figuré de fornication mentale, on reste dans une atmosphère plutonique. Notez l'ambivalence du plutonique : c'est plus du tout ou encore plus ! Ne pas oublier non plus que s'il est revenu aux américains de nommer la planète qui est devenu Pluton, ils ont surtout pensé au chien Pluto, une créature de Walt Dysney mais on va encore y voir Cerbère le gardien des enfers !
Mais je suis pas sur qu'une souche de californium correctement dynamisée puisse guérir les individus atteint de la pathologie que j'essaie de cerner (spiritualisme qui ressemblent à un "plats de nouille" donc "nouillagique" et nuageux donc neptunien). Ce qui est assez extraordinaire c'est que ceux qui révèrent l'auteur réputé être un antidote sont parfois les plus atteints parce qu'il a dénoncé. Mais qu'y faire ?
Enfin puisqu'on est dans les étymologies subtiles : Lustig signifie amusant (Ich kenne einen lustigen Witz = Je connais une blague amusante), joyeux, gai. Il est vrai en effet que tout ce que j'évoque ce sont probablement des "blagues" mais je les trouve un peu sinistres...
Sont-elles amusantes ? Pour moi oui car je cultive le sens de la dérision mais je ne suis pas sur que Lustig puisse partager mon avis. Joyeux, gai ? A le voir prendre des poses inspirées dans ses vidéos, c'est un homme qui doit rire seulement quand il se brûle... Mes propos pourraient constituer un remède (allopathique) en l'incitant à se moins prendre au sérieux mais je risque de l'aggraver. Enfin qu'importe, ces histoires, passé le (court) moment de surprise ont le don de me mettre d'assez bonne humeur...
10:14 Publié dans Homéopathie, phytothérapie, "fleurs de Bach" | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
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