24/04/2013
Chlorella, chélation ou adsorption ? Réactions !
J'ai reçu plusieurs emails me reprochant plus ou moins de mettre toutes les chlorellas dans le même sac. Il existerait une chlorella asiatique cultivée en vase clos et très appréciée des Japonais qui offrirait toutes les garanties. J'ai parlé d'une chlorella européenne qui pose problème. Je ne peux connaître toutes les offres et si un producteur ou un distributeur a des informations à communiquer ou des objections à faire, ce n'est pas à moi de les solliciter et il doit bien être entendu que je ne me contenterai pas de simples affirmations.
Le problème n'est pas tant de savoir s'il existe une chlorella indemne de toute contamination mais de cerner les limites à l'action de la chlorella.
J'ai opposé la notion de chélation à la notion d'adsorption. Chimiquement ce n'est pas la même chose. L'adsorption ça fonctionne comme un buvard qui ramasse l'encre en excès. Si le buvard tombe dans un récipient contenant de l'eau, il va dégorgé. Si donc les intestins fonctionnent mal, la chlorella risque de relargue.
La chélation c'est différent. Il y a complexion chimique entre le chélateur et le métal indésirable qui est pris en tenaille et conduit sans ménagement vers la sortie.
Bien que le terme ne convienne pas du tout, on pourrait dire que la chlorella "chélate" ce qu'elle trouve sur son passage, tube digestif essentiellement. Mais c'est pas une vrai chélation. La vrai chélation se fait avec le DMPS et ler DMSA dans l'ordre indiqué. je viens de recevoir quelques éclaircissements d'un dentiste qui reproche à Cambayrac d'être excessive et qui dit ceci :
04:38 Publié dans Métaux lourds, amalgames dentaires | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
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