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14/10/2017

Qui est Jean-Daniel Metzger ?

JDM.jpgOn me demande assez souvent d'où je viens et d'où je sors.

Voici la réponse que je donnais :

Voir : http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article2446

Je cite  pour vous éviter le déplacement :

Metzger, né à Strasbourg, a cultivé avec succès l’anatomie, la physiologie ,la pathologie, la chirurgie, et surtout la police médicale. Son activité était telle, qu’il ne négligea aucun des points historiques, théoriques ou pratiques de l’art auquel il avait consacré sa vie.

Aussi prit-il part à toutes les discussions qui s’agitèrent de son temps, telles que celles sur l’irritabilité et la sensibilité, la nature du tissu de la matrice, l’origine et l’entrecroisement des nerfs optiques, le magnétisme animal, la cranioscopie, la classification des races humaines, la docimasie pulmonaire, la léthalité des plaies, le danger des inhumations précipitées, etc. Mais, ce qui le distingua principalement, ce furent ses recherches continuelles sur la médecine légale, dans laquelle son nom est cité maintenant comme une autorité, la plupart du temps imposante.

Il est mort en 1805, à Kœnigsberg, où il remplissait une chaire d’anatomie.

Je conviens que cette réponse était un peu courte. En voici une, nettement plus extensive, je crains cependant quelle ne satisfasse pas les mécontents et aggrave leur "complexe". Il est à craindre qu'il n'y a que la vérité qui fâche...

Ce n'était pas du cynisme mais de l'humour !

On m'a reproché quelque part du cynisme ainsi que de la "mysoginie" (j'y reviendrai...) le problème est que si les Français avaient la réputation d'être des gens "spirituels", il y a belle lurette que cette réputation est imméritée. Je reviendrai là-dessus à propos de la nécessité de l'anonymat.

Pourquoi "Jean Daniel Metzger" comme pseudo ?

Le choix de ce pseudo blaze découle d'une "divination" particulière qui a consisté à laisse s'ouvrir une bibliographie portative à une page sortie par hasard et à chercher le nom le plus euphonique. Je suis à l'origine un "nordique" et plutôt albionique bien que la tribu soit présente dans l'hexagone depuis le XV ou XVIème ième , ce nom sonne bien. j'ignorais que Metzger signifie "boucher". Comme celui qui m'a servi de modèle, je fais beaucoup de "dissection", le hasard à bien fait les choses. Pour une autre activité, j'ai choisi un nom qui signifierait "bourreau". Là encore le hasard a fait preuve de pertinence car j'ai bien été le bourreau et l'exécuteur d'une certaine "secte".

La formation et les centres d'intérêt de JDM

Je n'ai fait que des études secondaires très classiques, en revanche, pour des raisons personnelles j'ai du, pour défendre mes droits en matière littéraire et surtout artistique faire des études de droit. J'ai suivi les années de Capacité en droit et je peux vous assurer que cette formation basique est solide. Les gens qui préparent la capacité sont des gens motivés et je peux vous assurer que j'en ai remontré à une paire d'avocat et notamment à une avocate qui a fini par aller se faire voir sur je ne sais plus quelle ile exotique où la concurrence est forcément moins vive. Plus tard je me suis fait inscrire sur une liste d'expert judicaire auprès d'une Cour d'appel.

Autre sujet d'intérêt, la musique, ancienne et baroque en particulier. J'ai été à la meilleure école et j'ai produit un livre qui fait autorité sur un sujet pour lequel il constitue la référence. Référence à mon avis insurpassable car ce furent 12 ans de recherche dans 36 langues dont le latin et bien sur l'anglais pour les études modernes avec un mode de vie quasiment monastique tant le sujet s'est avéré prenant. Le livre qui en est résulté est dans toutes les bibliothèques universitaires spécialisées du monde entier. Il s'agit d'une spécialité très pointue et très technique qui concerne certains facteurs d'instruments et quelques "baroqueux"...

Autre centre d'intérêt : toutes sortes de questions "ésotériques" avec pour conséquences d'avoir exercé un ravage considérable dans un certain milieu dont j'étais devenu la "bête noire". Parce que je n'avais pas jugé utilise d'user d'un pseudonyme (ça a commencé dans les années 80 et Internet n'existait pas encore...) j'ai eu les pires ennuis, à savoir une sorte de fatwa, et encore récemment , un acteur du milieu concerné a essayer de me salir sur un blog. La technique est toujours la même : essayer de me faire passer pour un extrémiste de droit doublé d'un "pédophile" car j'ai osé, dans ce milieu, parler d'homosexualité sans tabou. c'était plus que des vieilles barbes et des vieux croutons catholiques n'en pouvaient supporter. Mais enfin je puis me féliciter d'avoir fait la peau à tous ces imposteurs et en particulier à un universitaire nancéen qui s'est donné comme "professeur" alors qu'il n'a jamais été qu'attaché de conférence ! Ce sale type s'est trouvé compromis par son copinage avec un "gourou" assez haut en couleur qui fut l'objet aux U.S.A. d'un procès retentissant...

Je me suis également intéressé à l'histoire en remontant jusqu'à l'orée de la période que l'on peut qualifier d'historique. Et ce dans une perspective assez sociologique. Je crois avoir reçu en partage une facilité à voyager dans le temps et si je ne suis pas très doué pour les langues, j'ai acquis un sen aigu des anachronismes.

Mis à part cela je suis tout de même assez adroit de mes 10 doigts et mis à part la mécanique auto, je sais pratiquement tout faire : construction, menuiserie, électricité, montage de gadgets électroniques, et éventuellement plomberie quand c'est nécessaire, sans parler du jardinage bio.

Je tiens pour acquis que la spécialisation et le formatage que ça implique, ça rend autiste. C'est évidemment une gageure que de vouloir être un "homme universel" comme le fut un certain Léonard mais il est nécessaire d'acquérir, par ses propres efforts, un minimum de polyvalence si on ne veut pas être complètement largué.

De la nécessité de l'anonymat 

Cette faculté n'est pas dans les mœurs "franchouillardes", elle relève plutôt d'un sens aigu de l'habeas corpus. Mais le problème c'est d'abord que la France n'est plus la France et que sa mentalité a été irrémédiablement corrompu par l'influence du jacobinisme (et sa doctrine de la souveraineté populaire) et celle de la terreur révolutionnaire qui en est découlé.

Que l'on ne se méprenne point : je ne suis pas un nostalgique de l'Ancien régime ! L'alliance du sabre et du goupillon qui le caractérisait est une "sainte horreur" ! La corruption de ce régime était patente. Quant à la démocratie, elle nécessite pour bien fonctionner, un minimum d'intelligence et d'honnêteté de la part des citoyens. Aux dernières nouvelles, M. Louis-Georges Tin, auteur par ailleurs d'un livre excellent sur L'invention de la culture hétérosexuelle et patron du "CRAN" milite en ce moment pour qu'on déboulonne la statue de Colbert qui se trouve devant le palais Bourbon au motif qu'il est l'auteur d'un "Code noir". franchement, lui et ses semblables nous emmerdent. Comme l'a fait remarquer un journaliste un peu plus intéressant que ses confrères, il faudrait regarder du côté d'un certain Napoléon qui aurait rétabli l'esclavage.  Pour le reste , sans défendre le fameux "Code" car je n'en connais pas la teneur, j'aurais tendance à croire que la situation aurait été pire s'il n'y en avait pas eu, je suppose qu'il a fixé des limites... Mais enfin si les gens de couleur ne se sentent pas bien chez nous, et bien qu'ils retournent chez eux, il y a bien à faire dans la vaste Afrique pour relever le niveau et chasser les potentats négroïdes qui détournent les richesses locales et les subventions à leur profit quasi exclusif...

S'il était en mon pouvoir de changer le monde, j'installerai une dictature éclairée. La dictature, avec le régime des "ordonnances" et de la pérennisation de l'Etat d'urgence nous y sommes presque. la problème de la révolution française c'est qu'on oublie que le peuple parisien n'en n'est pas à l'origine.  Elle commence par une révolte de la haute aristocratie composant les Etats généraux tandis que Louis XIV voulait la faire cracher au bassinet de son Trésor public.

Une mentalité de cafards teigneux

Voilà ce que son devenus la plupart des français et en particulier certains jeunes crétins. Quand quelqu'un énonce des idées qui déplaisent (surtout quand on affecte de les comprendre de travers...), on veut tout savoir de lui et en particulier de ses mœurs pour éventuellement le diffamer en lui chiant dessus.

On s'attaque de préférence aux personnes et non aux idées. Les "idées", il faudrait d'abord les comprendre à s'abstenant de les déformer de manière plus ou moins caricaturale et dans ce domaine quelqu'un qui n'est pas disposé à se laisser intimider par la dictature de la rue, est forcément un fasciste mais cela reste à démontrer...

Les manifestations de rue, on voit où ça mène avec le régime des "ordonnances" dans un régime visant à abolir ce que l'on appelle les "corps intermédiaire"... Ainsi quand on a devant soit des citoyens qui se font piéger par la promesse d'une ablation de la taxe d'habitation sans comprendre que c'est une manœuvre pour priver les communes de ressources propres tandis que les dotations de l'Etat fondent comme neige au soleil et bien rien ne va plus et tout peut arriver !

Je rappelle à propos des dangers du Linky, que je ne crois pas à un danger d'atteinte à la sacro sainte vie privée car c'est complètement stupide. En effet, ceux qui braillent à ce sujet se laissent pister en se promenant avec leur smartphone dernier cri allumé. En revanche, le risque d'être coupé à distance soit par erreur, soit parce que l'on peut être un adversaire politique et un empêcheur de tourner en rond, ça c'est grave.

A ce propos, j'ai connu un syndicaliste très efficace et haï au dernier degré par ses collègues des formations dites "représentatives" car il a maintes fois prouvé leur complicité avec le patronat où tout simplement leur incompétence et inculture judiciaire. Ce personnage qui a défrayé une chronique locale avant de disparaître sous 36 000 attaques malveillantes, s'est vu, à plusieurs reprises privés sciemment de téléphone. Je vois encore le raccordement de sa ligne pendouiller dans la rue comme une invitation à sectionner le fil. Dans ces conditions, on peut comprendre tout le parti que représente, la possibilité de couper le jus sans avoir à déplacer qui que ce soit.

J'ajoute que pour l'instant le seul gain pour les compagnie, c'est de faire l'économie d'une armée de releveurs car pour ce qui concerne les possibilités de délestage partiel chez chaque abonné, certes c'est prévu mais ça implique d'édicter de nouvelles normes pour les installations. Evidemment c'est encore un sale coup pour faire marcher le commerce ou plutôt l'artisanat et on en a ras le bol.

Pour en revenir à l'anonymat, bien évidemment le genre d'ordure auxquelles j'ai été affronté sur un autre théâtre sont passées expertes en anonymat. Sauf que celui qui m'a littéralement persécuté pendant plus d'une décennie s'est fait bêtement identifier de manière fort cocasse. Pour ne rien vous cacher, celui qui a voulu me pourrir en tant que "pédophile" supposé a été démasqué par le biais d'un gigolo d'origine polonaise. J'ai publié quelque part les échanges très gracieux des deux partenaires après un cocufiage qui était à prévoir. 

Pourquoi avoir bloqué les commentaires ?

Il n'est que de voir ce qui se passe dans les forums pour imaginer que les laisser ouverts aurait surtout servi de défouloir à des gens que mes remarques ne peuvent pas manquer de piquer au vif. C'est sans intérêt quant aux compliments je m'en méfie. Mais voilà j'expliquerai plus loin comment le jacobinisme à pourri notre malheureux pays... Je ne suis pas démagogue et il faut s'en faire une raison.

Enfin si on est pas d'accord avec ce qui est exprimé et si on a des arguments à faire valoir on peut m'écrire. Personne n'est à l'abri d'une erreur, mais à part des protestations non documentées ou des insultes, j'attends toujours des rectifications susceptibles de tenir la route. Ou les informations pertinentes dont je n'aurais pas connaissance. Il en vient mais elles sont fort rares...

Suis-je misogyne, stupide et agressif ?

Voir https://www.ca-se-saurait.fr/tag/jean-daniel-metzger/

C'est l'opinion d'un certaine Sabrina Debusquat que j'ai ridiculisée...

Tout ce que je peux répondre c'est qu'il faut demander aux lectrices qui ont fait appel à mes conseils mais évidemment elles n'ont pas l'occasion de me faire de la pub. Je confesse que le comportement de beaucoup de femmes m'agace et je ne vois pas pourquoi je me gênerais pour le dire. La dernière trouvaille de certaines féministes c'est de vouloir imposer à l'école primaire ce qu'elle appelle l'orthographe inclusive. Je vous laisse découvrir par vous-mêmes ce que c'est que ce DELIRE !

Je constate que le côté provoquant de certaines saillies a atteint son but : on évite de me faire perdre mon temps avec des questions sottes et grenues.

Mon expérience des deux sexes

Certes, je ne pourrais pas supporter une femme mais en y réfléchissant bien ça ne marcherait pas mieux avec un mec même jeune et tout-à-fait à mon goût. Tout simplement parce que ça me fatigue d'avoir à faire les frais d'une conversation surtout si c'est pour décider de l'organisation de choses assez contingentes. Quant à des échanges plus "culturels" voir "spirituels", la différence d'âge et surtout de culture constitue un obstacle insurmontable. Qu'on soit "hétéro" ou "homo", je pense que le chacun chez soi est la meilleure formule et des "connexions" programmées autour d'une bonne table ou d'un petit voyage d'agrément, c'est amplement suffisant.

Je n'ai pas fait l'expérience à domicile de la cohabitation avec l'un ou l'autre des deux sexes mais j'observe ce qui se passe autour de moi et l'expérience je l'ai vécue avec une chatte d'abord et un petit matou ensuite. La chatte a atterri sur ma fenêtre et un voisin l'a expertisée en tant que chat, certes je l'eusse hébergée provisoirement s'il n'y avait pas eu méprise car mon dessein était de retrouver le légitime propriétaire. j'ai su par la suite que c'était un arabe du voisinage qui l'avait jetée après l'avoir plus ou moins maltraitée.

Donc la bestiole s'est installée et nous avons frôlé plusieurs fois le divorce. Devant son comportement, J'ai fini par avoir des doutes et j'ai levé la queue de la bestiole. Alors j'ai compris ma déveine ! Madame prétendait être chez elle. Si je ne m'occupais pas assez de la servir séance tenante et selon son désir, elle griffait mes papiers en me regardant du coin de l'œil et que de cérémonie pour se faire câliner quand au temps mis à tourner autour du pot. A la longue tout ça est fatigant, certes j'en ai pris mon parti en rigolant mais à présent je suis incollable sur le sexe des chats. Rien qu'en les caressant je sais si j'ai à faire avec un "garçon" ou une "fille". Il va de soi que je préfère le garçon du voisin, en plus n'étant pas raciste, côté chat, j'apprécie particulièrement les chats noirs. Les matous ne sont pas embarrassants : il arrivent aux heures des repas, un petit câlin et il repartent faire leur vie. Il ne vous squattent vraiment que durant les nuits d'hiver...

Bonne nouvelle, la tyrannie de la "mixité" est en train de prendre un sacré "bouillon" ! 

Un article du cahier n°  2754 du Nouvel Obs (août 2017) intitulé La tentation de l'entre-femmes m'est tombé entre les mains. Le titre est fort trompeur car il examine le problème tant du côté féminin que du côté masculin et ce qui en ressort, c'est que la tendance de chaque sexe à revenir à un "développement séparée" est des plus flagrantes. Il est démontré que là ou se pratique un enseignement non mixte, le taux de réussite est supérieur. D'une part les garçons ont moins tendance à vouloir faire les coqs entre eux et les filles n'ont pas à subir leurs regards et réflexions narquoises.

Côté femmes les espaces réservés aux femmes se multiple, notamment dans le domaine des salles de sport, ce qui permet aux musulmanes d'y venir voilée et de pouvoir se dévoiler à l'intérieur. cette histoire de voile est certes une calamité mais ceci est un autre problème.

Là où l'exercice de la mixité reste la plus délicate c'est dans le monde du travail et tout concourt en direction d'une "mixité fugace" à la maison. Mâles et femelles se supportent de moins en moins, ce qui témoigne d'une différence fondamentale de tempérament qui n'est pas du à l'éducation puisque ça fait un bout de temps, savoir plusieurs décennies, que la mixité est devenue la règle à l'école et à l'Université.

La "mixité fugace", c'est pour les femmes, le fait de considérer les hommes comme simples donneurs d'orgasme, sans qu'il ait à se mêler de l'éducation des enfants que dans bien des cas elles préfèrent assumer seules. Inversement la tendances chez les hommes est au célibat et au chacun sait soi, avec des relations sans obligation d'une fidélité à vie.

Tout cela est très facile à analyser : c'est le résultat d'une culture fondée sur la liberté et l'on ne me convaincra jamais que le modèle du couple traditionnel constitue un summum. La notion d'égalité est secondaire, il se trouve qu'elle est en train de voler en éclat puisque la poursuite de l'idéal de liberté est en train de mettre en évidence une différence de psychologie entre les deux sexes qui est très facile à expliquer. Je l'ai déjà dit : la vocation la plus évidente de la femme c'est d'enfanter ce qui nécessite un besoin de sécurité matérielle et d'un minimum de bien être. L'homme est prédisposer à semer à tout vent et c'est plutôt un joueur, il est plus apte à spéculer dans l'abstrait ce qui à toutes les chances de gonfler les femmes quand il n'assure pas le confort et la sécurité. 

Le seul problème c'est les enfants et il n'est nul part démontré qu'il ont besoin d'un papa et d'une maman particulier. D'une mère, oui jusqu'à un certain âge pour les garçons, il y a évidemment un risque si l'emprise de la mère se poursuit au delà de 7 ans... Mais ceci est un autre problème. Enfin nous avons, à travers les diverses civilisations qui ont vu le jour des exemples de modèle autre qui ont fonctionné.

Certes actuellement, c'est un peu le bordel, ça part dans tous les sens mais en définitive les seuls vrais problèmes sont des problèmes purement économiques et l'on assiste à une inversion complète du modèle basique avec les "papas poules" et la femme qui bosse. Il n'y a sans doute aucun espoir de revenir à la "tradition" et je ne pense pas que ce soit un mal car ni les hommes ni les femmes n'y trouvaient vraiment leur compte. Au contraire, l'état de chose actuel, le problème de la précarité mis à part permet à chacun d'adopter le modus qui lui convient.

Le seul vrai problème c'est le caractère pernicieux d'un certain féminisme quand il aspire à devenir "dominant" et il l'est bel et bien devenu. Enfin ce qui est réjouissant à mes yeux c'est que l'on assiste à la faillite de ces mixité, et par la même occasion à cette foutue parité qui en est découlée...

Raison pour laquelle, personne n'est en mesure de me culpabiliser avec des accusations de "misogynie". Le nord et le sud sont très différents quant au relations entre les deux sexes. Je viens d'u nord de la Loire où, à ma connaissance, les femmes compétentes et détentrices de l'autorité quand elles sont capable d'impartialité, n'ont jamais eu vraiment de mal à se faire respecter. Cela n'empêchait pas le hommes de les tacler systématiquement surtout entre eux. J'ai entendu bien pire que ce qu'à pu dire un Trump, certes je n'ai jamais aimé la vulgarité. En attendant, si je constate que les femmes sont plus nettement dominantes au Sud et que cela devient très contagieux, le machisme méridional (qui s'étend à l'Afrique) vient surtout de ce que par fainéantise, en esclavagisant les femmes, les hommes ont finit par beaucoup déléguer et comme jusqu'à présent elles vivaient plus longtemps, on assiste avec la dominance statistique des veuves à un déséquilibre inévitable.

Enfin que cela plaise ou non, je suis certain que mes analyses sont absolument irréfutables de sorte que si elles devaient faire encore grincer des dents, je ne pourrais que m'en réjouir...

Le cynisme est-il un obstacle à l'empathie ?

On m'a qualifié de "cynique"... J'invite ceux que cela intéresse à consulter Wikipédia sur le sujet.

Voici la définition du cynisme philosophique grec : Le cynisme est une attitude face à la vie provenant d'une école philosophique de la Grèce antique, fondée par Antisthène, et connue principalement pour les propos et les actions spectaculaires de son disciple le plus célèbre, Diogène de Sinope. Cette école a tenté un renversement des valeurs dominantes du moment, enseignant la désinvolture et l'humilité aux grands et aux puissants de la Grèce antique. Radicalement matérialistes et anticonformistes, les cyniques, et à leur tête Diogène, proposaient une autre pratique de la philosophie et de la vie en général, subversive et jubilatoire. L'école cynique prône la vertu et la sagesse, qualités qu'on ne peut atteindre que par la liberté. Cette liberté, étape nécessaire à un état vertueux et non finalité en soi, se veut radicale face aux conventions communément admises, dans un souci constant de se rapprocher de la nature.

Mis à part le "rapprochement avec la nature" (enfin ça dépend de ce que l'on entend par là...), je découvre que j'étais cynique sans le savoir. Ben oui c'est une découverte car je me suis contenté de laisser parler mon intuition.

Mais il y a tout de même problème en ce que cette "encyclopédie collaborative" (sic) n'en donne pas une définition correcte de la forme contemporaine qui ne peut qu'être une déviation.

La définition du Larousse est plus proche de la réalité qui dit ceci : attitude cynique, mépris des convenances et de l'opinion (sous entendu publique) qui pousse à exprimer sans ménagements des principes (ou des opinions) contraires à la morale, à la norme sociale.

Dans cette perspective le cynisme est présenté comme quelque chose de foncièrement négatif, et c'est finalement une inversion complète du modèle original puisque le motif est censé être une pure provocation...

Pour que cette attitude puisque être considérée comme fautive, il faudrait d'abord prouver que la morale en usage et les normes sociales qui prévalent encore sont bien fondées. Sans entrer dans la polémique, je pense que l'on tombera d'accord sur le fait que personne ne songe plus à nier qu'il existe à ce sujet un sérieux problème de légitimité.

Donc en résumé pour nos contemporains le cynisme consiste en un mépris à vocation purement subversive qui, non seulement, est supposé s'opposer à toute espèce d'empathie envers les victimes d'un "système" (objet même de la critique du cynique) de sorte que le but poursuivi serait d'exprimer et de manifester un goût immodéré pour la méchanceté gratuite, voire quand les circonstances le permettrait, d'exploiter autrui... Et c'est ce que l'on m'a reproché sans le dire ouvertement. Evidemment comme c'est faux je m'en tape et cela ne peut que m'encourager à être encore plus "cynique" !

Nous sommes là aux antipodes du cynisme grec qui vise la vertu, vertu qui reste évidement à définir... ce n'est pas la vertu comme l'entendent les catholiques et les monothéistes en général quand ils la ramènent au niveau du ... cul..

Le problème est qu'un excès d'empathie n'est pas quelque chose qui peut prédisposer à l'objectivité quand il s'agit d'analyser une situation car tout le monde sait qu'il existe des victimes qui méritent le sort qui leur est dévolu à cause de leur absence de courage, voir de leur complicité à l'égard de leur bourreaux. Le problème est qu'en tant que complice de ces derniers, elle s'opposent à la liberté dont chacun à droit de sorte qu'elles constituent un obstacle à tout progrès On ne peut certes pas les tuer mais on peut au moins les dénoncer et leur foutre le nez dans leur caca...

Certes mon empathie à des limites mais j'espère que l'on sera rassuré en sachant que lorsque j'apprends qu'un enfant de 10 ans vient d'être retrouvé pendu, de sa propre initiative, c'est évident, ça ne me laisse pas indifférent...

Enfin quand on s'est donné pour tâche d'essayer d'éclairer les gens sur le fonctionnement des mécanismes de l'aliénation, il faut s'attendre à ce que tout ceux qui gagneraient beaucoup à mettre un mouchoir sur leur susceptibilité plus ou moins maladive tout en évitant de se moucher pour bien montrer qu'ils se sentent morveux, ceux là sont bien les premiers à accuser à tort et à travers. Alors évidemment, il tendent à inverser la réalité, ce sont eux les orgueilleux.

Enfin je tiens à préciser une chose : je n'ai pas fait de hautes études spécialisées et je sors d'un milieu modeste de simples fonctionnaires de première génération. La culture assez étendue que j'ai acquise par mes propres moyens et mes seuls efforts est la preuve que l'on peut, quand on le veut, s'élever au dessus de sa condition de naissance. Et ceux qui se bornent à envier les autres en s'imaginant que tout leur est du, y compris un respect qu'ils n'ont pas mérité, ceux là ne doivent pas s'attendre à autre chose qu'à du mépris. Le problème est que deux religions au moinsles incitent à revendiquer au point une parcelle de divinité et là rien ne va plus...

J'espère avoir répondu de façon exhaustive à la curiosité, plus ou moins légitime, d'une partie de mon lectorat.

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