02/03/2013
L'influence de la psyché sur les maladies
Mon attention a été attirée sur le livre du Dr Pierre-Jean Thomas-Lamotte intitulé et si La maladie n'était pas un hasard ? par une correspondante qui m'a demandé conseil à propos d'un cancer. Je précise que s'il est un domaine où je ne peux que refuser toute espèce d'orientation c'est bien celui-là. Les raisons sont les suivantes :
- Il n'y a pas le cancer mais des cancers souvent très différents.
- Je me suis penché sur les solutions alternatives mais je n'en ai aucune expérience.
- De toutes façons la médecine académique arrive toujours trop tard.
- Les traitements conventionnels et en particulier la radiothérapie et surtout les "chimios" invalident toute possibilité de traitements alternatifs quand la chose était jouable.
Maintenant personne n'est tenu de me croire et je ne me hasarderait jamais à vouloir détourner qui que ce soit des traitements en vigueur, non seulement c'est peine perdue mais on ne risque que des emmerdements. Alors j'ai déjà assez des mes propres soucis, je ne ressens pas la nécessité de proter les autres sur mon dos. Bien qu'à en juger par la somme des "histoires" qui me sont tombées dessus, je dois l'avoir assez large.
Pour affimer cela je me base en particulier sur l'expérience du Dr Janet et ce qu'il a observé en pratiquant la cancérométrie de Vernes. D'autre part, il ne faut pas s'en tenir à une seule arme, la cancérométrie, le jeune ou la cure de Gerson et j'en passe. Voir à ce sujet ce que dit le Dr Luc Bodin qui propose une liste non exhaustive mais représentatives d'un certain nombre de possibilités. Bref, il faut combiner plusieurs moyens, pouvoir s'y tenir car il y a un prix à payer et ça suppose d'avoir accès à des contrôles biologiques et c'est toujours très compliqué. Les médecins généralistes se mêlent de plus en plus rarement de traiter ce genre d'affection alors ce n'est pas un particulier complètement démuni qui peu s'aventurer à conseiller un malade. Il pourrait tout au plus se prendre en charge s'il était concerné.
Toutefois, sentant que ma correspondante était désemparée, je lui ai téléphoné. Son mari était atteint d'un cancer de la langue ça a commencé par un petit aphte, il me souvient qu'il en était à sa troisième "chimio". Les précédantes avaient provoqué un déplacement du problème par une métastase.
Je connais ce scénario, je l'ai vu se produire sur une infirmière qui a été atrocement brûlée par la radiothérapie. Tout ce que j'ai pu faire c'est lui proposer un médicament homéopathique qui l'a soulagé pendant quelques semaines de ses brûlures. Mais l'agression ayant été répétée, il ne restait plus que la morphine. La doctoresse qui suivait le cas a démandé le nom du médicament. J'ai refusé qu'il lui soit indiqué car je l'avais choisi en fonction de signes très individualisés prenant en compte le caractère de la personne. Donc ça n'aurait pas marché pour d'autres... A ce moment là, je n'avais pas encore fait de silicium en gel. Il est probable que l'on aurait obtenu un soulagement plus ou moins important et forcément temporaire.
Je savais en fait que l'issue serait fatale, ce sont des choses que l'on sent... Cette femme, une lesbienne assez agressive était venue s'enterrer à la campagne et elle buvait et fumait comme un pompier, par frustration et son alcoolisme lui avait valu un licenciement. Elle attendait une naissance dans sa famille et je savais qu'elle "lâcherait" une fois que l'heureux évenement se seriat produit. C'est ce qui est arrivé, l'infirmière l'a retrouvée sans vie un matin.
On peut d'ores et déjà constater que cette infirmière était en situation d'échec complet, elle n'avait devant elle aucune perspective, aucun espoir de trouver un sens à la vie qu'elle menait.
Peu de temps auparavant j'avais vécu la situation suivante : un amie me dit un jour: tu connais Untel, l'électricien qui a travaillé pour nous ? Je répondis : Oui je vois qui tu veux dire, ce type assez renfermé... Et elle d'enchaîner : Oui c'est bien de lui que je parle, et bien il s'est fait un cancer en trois mois...
Et votre serviteur de dire : Ben ça ne m'étonne pas du tout, il avait visiblement un gros souci, est-ce que par hasard, il se se serait pas trouvé en situation d'échec, une impasse dans sa vie professionnelle ou familiale ?
L'amie de me répondre : Oui tu as mis dans le mille, il a eu un procès d'un employé, un immigré qui a usé de faux témoignage pour le faire condamner alors qu'il est l'honnêteté même. Il s'est muré et il est impossible de l'en sortir...
Et votre serviteur de conclure : C'est clair, c'est un suicide, c'est plié, il en a pour deux trois mois. Vois tu, c'est malheureux à dire mais si j'avais été à sa place, je crois que j'aurais flingué le type ou le juge quitte à finir en taule mais au moins je n'aurais pas attrapé de cancer et par dessus le marché j'aurais jeté un sort sur le juge lors du prononcé du jugement !
Il y a une chose qu'il faut savoir c'est que pour éviter une maladie mortelle genre cancer et Cie, il faut éviter d'avoir à perdre la face. Les Chinois le savent ! Cela veut dire qu'il faut être assez clairvoyant pour ne pas se mettre dans des situations où l'on risque d'être une victime impuissante d'une saloperie quelconque... Plutôt bouffer de la vache enragée que d'être odieusement exploité ! Le cancer se présente souvent chez des gens qui ne se sont pas défendus parce qu'il est des choses qui ne se disent pas ou ne se font pas. Or la légitime défense ça existe !
Pour en revenir à l'exemple initial : le mari de la dame avait travaillé dans un de ces établissements financiers qui nous ruinent et ça se serait mal passé à tel point qu'il serait partis sans rien dire et ne s'en serait jamais remis. Or symboliquement ce qu'il n'a pas voulu dire pour défendre son honneur s'est soldé par un cancer du principal organe de la phonation ! Arrivé au stade d'une seconde "chimio" qui a aggravé la situation et fait flamber le cancer, il faut bien dire qu'il n'y avait plus rien à tenter. En mon for intérieur je lui donnais deux à trois semaines. Son décès est survenu 3 ou 4 jours plus tard. Une hémorragie...
C'est son épouse qui m'a branché sur le livre indiqué plus haut, en me disant je commence à découvrir des choses !
Cet ouvrage dont on peut trouver un extrait en pdf démontre de façon incontournables que toutes sortes d'échecs sont susceptible de se solder par une maladie gravissime présentant souvent un lien symbolique direct avec sa cause psychique. C'est par exemple le cancer du testicule du Dr Hamer (Dr Marteau en bon français) quand son fils est mort bêtement d'une balle perdue tirée je crois par un aristocrate italien en goguette. La première question que je me suis posée est celle-ci : qu'est-ce qu'un médecin sérieux a à foutre avec des mondanités façon people, tabloïds et Cie. Déja ce genre de fréquentation, les rumeurs à propos de dettes que l'intéressé aurait laissées derrière lui dénote une personnalité pas très "éthique". La médecine il faut le rappeler est un véritable sacerdoce ! je hurle quand je vois des jeunes médecins qui voudraient pouvoir fait les 35 heures et gagner entre 5000 et 10 000 € net par mois....
Je n'ai pas lu le livre et il ne présente guère d'intérêt pour moi puisqu'il ne fait que confirmer ce que je savais. Il m'a ôté mes derniers doutes quand aux liens entre les stress majaurs et les maladies gravissimes voir mortelles. Alors que je travaillait dans un établissement hospitalier, la doctoresse en poste prétendait que les statistiques avaient démontré le caractère aléatoire de ces maladies. A présent les choses sont très claires, à par le rhume, les refroidissements et pour résumer les maladies saisonnières et les accidents bénins, les dysfonctions et les maladies graves sont soit le résultat d'un héritage génétique et/ou karmique ou la conséquence d'un gros stress.
Maintenant, il faut être très clairs ! J'ai une correspondante qui s'est ruinée pour acheter un dictionnaire qui lui a coûté plus de 100 € et qui prétend donner l'explication symbolique des toutes les maladies. ce genre d'ouvrage est comparable à ces dictionnaire d'interprétation des rêves généralement basés sur le legs traditionnels de civilisation disparues et passées entre temps par le filtre d'une vulgarisation populaire de l'époque. Et bien souffre que je dise que c'est de la merde ! Dans le cas de l'interprêtation des rêves s'il existe un symbolisme présentant des caractères parfois universels, notamment en matière religieuse ou spirituelle, le langage du rêve n'est pas tenu de se conformer aux traités savants ni à des traditions qui ont vécu. De plus il faut distinguer entre le rêves ordinaires et les songes par la consistance et le contenu. Tout le monde sait que les rêves sont souvent un tissu de situations contradictoires à peine descriptibles. En plus au réveil on en perd vite la mémoire.
Je peux donner un exemple pour illustrer mon propos : je faisais assez régulièrement un rêve où j'avais plusieurs domicile. Deux correspondaient à quelque chose de réel, l'un appartenant au passé et l'autre au présent, mais transformé de telle manière que tout en les reconnaissant comme tels, ils étaient malgré tout très différent de la réalité. En plus j'en avais deux ou trois autres n'ayant pas de fondement réels mais plus ou moins liés à des personnes existantes. Des appartements prêtés en somme mais l'un d'eux n'était pas limité communiquant avec un espace qui ne m'était pas dévolu. Cette sorte de bizarrerie n'a rien que de très commun. Ca exprime un attachement au "home" et un souci de protection qui est caractéristique d'un signe astrologique représenté par un animal à coquille, ça pourrait être la tortue si ce signe n'était pas très sédentaire et attaché à ses racines. Ce qui dans mon cas ne joue pas : je suis né près d'un pont de chemin de fer et voyant les locomotive manoeuvrer j'ai toujours senti que mon destin se jouerait plein Sud mais comme j'ai horreur de l'eau je me suis arrêté au bord de la mer. J'ai du reste reçu le conseil de ne jamais la traverser...
La table des matière du livre de Thomas-Lamotte n'indique pas qu'il se serait livré à un décryptage systématique des éléments symboliques mais dans bien des cas, le lien est facile à trouver. Mais comme ça ne présente qu'un intérêt à postériori et qu'il s'agit de ne pas se retrouver dans l'une ou l'autres des nombreuses situations dramatiques décrites dans l'ouvrage, l'intérêt c'est d'abord de comprendre qu'il faut à tous prix les éviter ou à défaut de prévoir une porte de sortie. Ne jamais mettre ses oeufs dans le même panier en matière de projet. Pour un bouddhiste c'est une évidence : les chrétiens disent tout n'est que vanité, les bouddhistes disent tout n'est que précarité et impermanence. Ce disant il n'y a pas de "vanité" à vouloir réussir, à fonder une famille, à avoir des enfants, à vouloir qu'ils aient une situation ou encore à briguer un diplôme ou a être reconnu en tant qu'auteur de ceci ou cela. Il faut simplement connaître les limites et toujours penser que ce qui a un commencement a forcément une fin. L'idéal c'est d'avoir 36 cordes à son arc, çà présente des inconvénients d'avoir beaucoup de centre d'intérêts et à plus fortes raisons des dons variés car on risque la dispersion mais une solution consiste à prendre cela pour des distractions tant que l'on est seul en cause.
On m'a souvent posé la question de savoir ce que je pense de la théorie élaborée par le Dr Ryck Hamer, la fameuse loi du marteau d'airain du cancer avec l'histoire des foyers cérébraux qui lorsque le stress causal a été surmonté disparaissent. Il ne me semble pas avoir abordé cette affaire.
J'avais de très sérieux doutes, je ne sais pas lire les scanners mais ceux que j'ai vu ne m'ont pas du tout convaincu. Il s'agit bien d'artefacts et l'auteur commenté le confirme. Mais ce n'est pas tout les progrès de la technologie qui ont éliminé ces artefacts permettraient malgré tout de constater des traces au niveau cérébral mais c'est d'un intérêt limité car il s'agit avant tout d'éviter les stress et d'y remédier pour éviter le pire. Il s'est formé autour du personnage une véritable secte peuplée de détraqués plus ou moins délirants à l'instar de leur idole. Pour quelqu'un qui a un peu de discernement ça se flaire à plein nez. j'ai évoqué plus haut les tendances excessivement "mondaines" du personnage. S'est greffé sur cette personnalité avide de reconnaissance et encline à une vie d'aisance un gros délire de la persécution.
C'est ce que confirme le Dr Thomas-Lamotte avec toutes les nuances psychologiques et les explications désirables. Voir à ce sujet :
http://pansemiotique.com/12-interview-du-dr-thomas-lamotte/
http://pansemiotique.com/22-interview-du-dr-pierre-jean-t...
Je n'ai rien à ajouter, c 'est clair et limpide comme de l'eau de roche. Je ne peux que remercier ma correspondante d'avoir été la cause occasionnelle de cette clarification. Malheureusement, c'est un service qu'elle a du payer fort cher. Mais elle n'y pouvait absolument rien.
Si j'ai quelque chose à ajouter, à savoir qu'à mon avis les maladies cardio-vasculaires (angines de poitrine, infarctus et Cie) sont bien le résultat de stress mais de stress en partie surmontés. Je crois que les gens prédisposés sont des "battants". Le profil coronarien type c'est Nux Vomica... Mais il faut bien un jour cesser de vivre dangereusement, et arrêter de présumer de ses forces ce qui n'implique pas de se taire mais au moins d'éviter les conflits en sachant jusque où on peut aller.
A ce propos si M. de Lorgeril préfère les diurétiques aux bêta-bloquants, j'ai observé que ces médicaments très particuliers, parce qu'ils agissent comme modérateur des poussée d'adrénaline (je simplifie) ont des effets intéressants sur l'humeur, ils n'empêchent pas l'expression des émotions mais tendent à supprimer rapidement et quasi instantanément leur retentissement négatif encore faut-il avoir amorcé le processus de détachement par le jeu d'une certaine intelligence. Les artistes qui doivent se produire en publics, les gens de théâtre et les musiciens en particulier y ont recours et ça aide bien en cas de trac. mais il est des médecins antroposophes qui raconte que cela nuit à l'âme. j'aimerais bien qu'ils nous expliquent comment ils arrivent à cette conclusion mais personnellement je n'y crois pas. Si un médicament chimique a nécessairement des effets sur la psyché, ils ne sauraient perdurer par dela la séparation du corps d'avec les éléments subtils, âme, esprit et tout ce que l'on voudra. Là encore la lecture du livre de Schnetzler, De la mort à la vie s'avère très profitable pour comprendre bien des choses. excepté le "complexe d'Oedipe" qui est une connerie monumentale que certains psychanalystes ont dénoncé. Je n'invente rien et j'ai du reste puisé des arguments supplémentaires dans la mythologie car on a omis le début de l'histoire. mais passons... Bref, si des effets secondaires sont toujours à craindre, le recul que procure certaines molécules est quelque chose d'assez étonnant, plusieurs personnes me l'on confirmé. Enfin il faut bien se dire qu'une substance quelconque ne fait que manifester ce qui est latent ou du moins possible chez un individu et si ça aide au détachement, c'est bon à prendre si par ailleurs on y est contraint.
La leçon de tout ceci c'est que pour éviter ce genre d'issue il faut probablement être un rebelle. C'est de plus en plus rare de nos jours. Je suis frappé par la passivité ambiante. Non seulement les gens sont passifs, n'osent pas dire un mot plus haut que l'autre quand il sont lésés mais il vous jugent fort mal et ne sont pas loin de vous vouloir donner des leçons de "spiritualité". On encontre beaucoup de ces gens là dans les librairies ésotériques et ces gens qui se prennent pour des "gourous" en se mêlant de foutre leur grain de sel dans des conversation qui ne les concernent pas tendent à déteindre sur bien des gens ordinaires. C'est même un trait particulier du monde actuel, c'est l'histoire de la censure par le "politiquement correct" qui se manifeste au travers d'une nouvelle langue de bois consistant à s'ingénier à ne jamais appeler un chat un chat et en osant traiter un bandit de crapule ! Il est en quelque sorte interdit de juger et de discriminer, c'est là une déviation typiquement chrétienne mais qui s'observe également du côté du bouddhisme et ça c'est catastrophique. Il est nécessaire de "juger" sinon on ne comprend rien à rien. Il y a bien sûr le risque de se tromper mais la vie n'est qu'une cascade de risques que l'on encourt à chaque instant.
21:34 Publié dans Psyché, psychologie, psychiatrie et psychanalyse | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
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