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09/11/2021

Observations sur le Rapport Sauvé, sur le dernier "docu" de Karl Zero et l'imporutre de la "théorie du genre"

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Mise à jour du 23/11/2021

J'ai évoqué dans ce texte l'enquête sur le satanisme de Massimo Introvigne car il pointe l'origine de cette intoxication monumentale que constitue les rumeurs délirantes portant sur l'existence d'un réseau "pédosatanique" censé constituer un lien entre pour l'élite mondialiste.

Il vous suffit de vous reporter à l'article de Wikipedia sur Michelle Remembers pour avoir les principaux éléments de compréhension.

Je vous invite également à lires les articles suivants :

http://silicium.blogspirit.com/apps/search/?s=l%C3%A9o+Ta...

http://silicium.blogspirit.com/apps/search/?s=%22Stan+Mai...

http://silicium.blogspirit.com/archive/2014/06/25/la-faut...

Et quantité d'autres rubriques de détails impossible à rassembler dans un titre limité à une ligne où deux...

Les mise à jour pour commencer

Voir le post original plus loin... La formule blog qui offre des possibilités typographiques et de mise en page très limitées ne permet pas les notes en bas de page ou en fin de texte. Je vais solutionner le problème en rajoutant des intertitres et en soulignant le caractère de "parenthèses" de certaines réflexion. Un ami qui lit mes textes et me signale d'éventuelles anomalies de frappe me dit que ce que j'ai énoncé se tient et n'est pas discutable. Ce texte restera donc en façade mais je l'améliorerai au fer et à mesure des idées ou infos qui me viendront.

Vous verrez plus loin qu'a propos de l'affaire Duhamel j'ai fait fort. Mais les seuls êtres à vraiment pouvoir être furibards sont ces féministes et d'abord lesbiennes qui haissent systématiquement les mâles. Etant "homo" et même pas "bi", je les emmerde à pied, à cheval en voiture, en avion et même en navette spatiale. Elles ne peuvent, devant mon propos que s'écraser mollement car elles sont foncièrement, non seulement hostiles systématiquement aux mâles mais également, et de façon indirecte, au genre humain dans son entier. Je prévois une réaction, un jour ou l'autre, qui risque d'être violente et le sang de quelques théoriciennes féministes et frapadingues risquerait fort de couler en cas de guerre civile sauf que pour l'instant , on ne se polariser guère qu'en faveur, si je puis dire, de l'immigration sauvage...

Non seulement je bénéficie d'une sorte d' "immunité parlementaire" mais on ne peut rien contre l'humour qui est mien car s'il est apte à clouer le bec des cons et des connes, il ne peut les "tuer" que de manière purement figurée !

MAJ du 10/11 - LGBT le "tétragramme sacré" d'une nouvelle "socio religion" laïque?

Soit "L" pour lesbiennes (gouines dans le langage courant) G pour gays (masculins s'entend) B pour "Bi-s" et T pour "Trans".

A présent j'analyse cet "idéogramme cabbalistite". Pourquoi pas GBLT. Parce que les lesbiennes qui mènent la danse veulent le pouvoir sans partage. Je l'ai dit elles ne tolérés les "pédés" que s'ils daignent leur manger dans la main et s'écraser pour leur laisser la gouvernance du monde. Alors pour ce qui me concerne , çà jamais de la vie. Je mourrais l'arme (un plume acérée trempée dans du vitriol) à la main s'il le faut mais on n'en est pas encore là, dieu merci !

Je changerai don l'ordre du nouveau tétragramme ainsi : G(B)TL en mettant les "gouines" à la fin vu leurs tendances antisociales et plus que çà très inquiétantes aussi pour les femmes normales qui ont bien raison d'aimer les mecs. Un mec c'est tout de même plus gratifiant que ces "godes" que les "gousses" ou "gougnottes" doivent utiliser entre elles pour s'imaginer être des mâles.

Je rappelle que nous autres n'avons pas besoin de prothèse pour "changer de rôle" : on peut même fermer un cercle tandis qu'une seule femme est susceptible de le rompre. Qu'on s'en accommode ou non, c'est bel et bien une preuve de supériorité au moins sous un certain rapport symbolique mais relative supériorité a bien sûr des limites comme tout chose crée en ce bas monde...

J'associe les "bi" aux gays car ils peuvent se comprendre mais je les range dans la catégorie des "idiots des villages". Ils sont aptes à boucher tous els trous qui se présente quelque soit le sexe associé aux trous. Ca n'aide pas à développer le discernement ni intellectuel et surtout pas ... spirituel. Il ressemblent à une majorité d'arabes qui ont à ce sujet une maxime s'énonçant ainsi : zobe qui bande n'a pas de conscience ! Et çà concourt à une certaine innocence qui me convient assez, je n'ai guère d'expérience avec des arabes  sauf s'ils sont "islamistes" je les trouve souvent beaucoup plus sain et surtout plus drôle que quantité de franchouillards BCBG

Je place donc les "trans" en seconde position car il y a bien un problème à régler quand se présente un individu qui nait "bique et bouc" c'est très peu fréquent mais cela arrive. Rien a voir avec les fréquentes "dysphories de genre" qui résultent uniquement d'une contagion psychique par réseaux sociaux interposés. La seule conduite à tenir : ne pas répondre à la demande (hormonale) dès l'âge de 8 ans comme ça se fait aux USA avec comme corollaire une vague de suicide. Donc opposer un NIET et attendre largement que la puberté soit dépassée ! Et le cas échéant mettre l'opération à la charge des demandeurs, à eux de créer des association pour quêter les fonds.

10 /11 Sur l'âge du consentement sexuel

On a rendu récemment en France et en Belgique tout consentement sexuel impossible avant 15 ans. reste à voir comment les juges vont se dépatouiller de cette limite théorique si le consentant mineur de moins de 15 ans en parait nettement 16 voir 17 ! De vastes polémiques en perspectice. De quoi largement encombrer la justice qui a autre chose à faire de plus vital que de s'immiscer dans la vie privée des citoyens.

Je rappelle que cette évolution suffit à ruiner la thèse d'une amie pourtant intelligente qui prétend qu'on va vers une banalisation de la "pédophilie". C'est tout le contraire du reste CE QUI ARRIVE ET BIEN C'EST DE LA FAUTE A PLATON ! Que je tiens pour un sinistre individu et un pur dualisme, autrement dit un "connard historique" !

10/11 : Sur les anticipations platoniciennes

Ce qu'on appelle homosexualité, et le terme est apparu en 1868 (et n'a commencé à être employé que l'année même de ma naissance, comme c'est curieux...), a commencé de faire problème à l'époque dudit Platon. Et c'est dans les lois que Platon propose d'assimiler les relations pédérastiques de son époque à de (...) l'inceste et 20 siècle plus tard, le "nouveau catéchisme" (et souvent ce qui est nouveau s'avère merdique...) à repris ça à son compte et je peux le prouver en reprenant un extrait de ma recension parue à l'époque.

En matière de relation sexuelle entre jeunes et adulte, la seule règle qui vaille c'est que la demande doit venir du jeune autrement dit du mineur par rapport à celui qui est le majeur. Ensuite seulement le majeur doit répondre en vue du bien du mineur. Dans bien des cas la relation si elle est découverte va faire deux malheureux : le jeune s'il s'est fait enculer sera traité comme une vulgaire pute et rejeté, et le majeur sera honni comme prédateur. C'est regrettable mais c'est pratiquement la règle au moins du côté des classes populaires. Donc l'éventualité d'une telle demande me semble assez dissuasive. Est-ce que j'y répondrai ? Peut-être mais en prévenant d'abord le demandeur que la relation risque vite de se transformer en "amour platonique" et il faudrait d'abord que je trouve un appartement plus vaste et quant à ce que je viens d'évoquer la question importante est celle de savoir si le candidat serait à même d'assumer le discrédit qui peut en résulter pour lui-même. Surtout dans dans un village où il existe des gens assez réactionnaires...

Je parle d'anticipations platonicienne car particulièrement du côté de la clientèle évangéliste à tendance intégriste, et donc des parents concernés par ce genre de croyance, il existe une tendance à vouloir prolonger la minorité indéfiniment surtout dans le cas d'une relation homo-sexuelle. Et la tendance dépasse largement ce cadre notamment en réaction à la promotion de la "pédophilie" après 68, promotion qui visait non pas à libérer les jeunes mais bien à détruire autant que possible la famille conçue étroitement sur le mode chrétien.

Or c'est Platon le premier qui dans les Lois (c'est à vérifier...) a proposé quantité de vues qui anticipent sur ce qui caractérise l'approche chrétienne formatée très tôt par Paul de Tarse et ensuite Augustin.

A ce propos, je tiens pour acquis que le christianisme n'était pas destiné à devenir une religion d'Etat extensible au monde entier. Or la déviation apparaît très tôt. C'est pendant les 150 première années de la secte que tout s'est goupillé dans l'ombre. Et c'est au 4ème siècle que Constantin instrument la secte pour en faire la religion de l'empire et on n'a aucune certitude qu'il ait été baptisé à l'article de la mort.

Quant aux problématiques qu'on engendré le premier monothéisme, je vous renvoie à Laurent Guyénot dans Du yahisme au sionisme, dieu jaloux, peuple élu, terre promise : 2500 ans de manipulation. Le propos de l'auteur est en partie fondée sur un cours donné au Collège de France par Eric Rohmer. Soit dit en passant, ne me reprochez surtout pas de sortir du domaine de la médecine car je vous répondrais que tout en ce domaine commence par la santé mentale et qu'adhérer à des vues aliénantes constitue le meilleur moyen de s'en éloigner ! Au cas où vous l'ignoreriez je vous signale que Jehovah a eu un moment donné une parèdre comme les couples divins chez les hindous et que le monothéisme est tardif et qu'il est le produit d'une influence perse. Donc je regrette d'avoir mis tant de temps à m'affranchir de certaines manipulations.

Cela étant, je ne suis ni athée, ni agnostique : quand je vois une belle maison je me dis qu'elle n'a pas poussé comme pousse un champignon, qu'il a fallu un architecte et des maçons. Sauf que le "plan divin" tel que l'envisage le christianisme en particulier avec un sauveur que l'on aurait attendu seulement depuis 4000 ans, ça implique de se référer à une cosmologie plus que simpliste.

Donc ce que professe la grande église, qui n'est plus représenté que du côté de l'orthodoxie, personnellement je ne suis pas loin de chier et de pisser dessus. Mais bon il faut rappeler que pour ce qui concerne certaines amitiés particulières, les églises orientales ont béni des couples de même sexe avant la formalisation du mariage latin (Concile de Latran III, 1179). Sauf que pour diverses raisons je ne militerai jamais en faveur de la résurrection de cette pratique. Il faut simplement savoir que ça s'est fait et je suis stupéfié que lors de la préparation du vote en faveur du "mariage pour tous", une "bidouille" anticléricale, les promoteurs aient été aveuglés au point d'ignorer la chose car s'il avait voulu clouer le bec des leaders d'opinion dans la secte romaine, sur ce sujet scabreux, il avait là de quoi les envoyer au tapis ! Oui le mariage pour tous est un sujet scabreux mais uniquement du fait de l'emploi du mot mariage. Il fallait faire la même chose mais appeler çà autrement.

Pour en revenir à Platon, je peux vous ressortir des extraits d'une recension du "nouveau catéchisme" qui m'a donné l'occasion  de publier la découverte que j'évoque ci-dessus. Publier çà uniquement à destination d'un lectorat spécialisé serait rater le coche, raison pour laquelle j'ai pris le pli d'opter pour élargir mon sujet vers une médecine spirituelle. On ne peut du reste faire aucune bonne médecine en se limitant au domaine purement organique et çà va plus loin que le "psychique" qui est forcément en lien après le registre qui se situe au dessus !

Donc si je décidais de ma "lâcher" vraiment ça risque de chier des bulles assez malodorantes du moins pour ceusses qui ont une vue de l'histoire du monde réduite à des clichés très scolaires ! Mais rassurez-vous je garde le sens de l'opportunité...

Enfin attendez-vous à être secoués, j'envisage de pondre un article sur les "joujous sexuels" ne serait-ce que dans l'intérêt du porte monnaie de mes lecteurs. cela fait quelque années que j'observe l'évolution de ce "marché" considérable et, sans avoir eu besoin de me ruiner en investissements à caractère expérimental, j'ai des choses à dire... Mais bon je ne suis pas pressé...

MAJ du 10/11 : Karl Zero un INDUSTRIEL de l'exploitation de l'émotion que suscite l'évocation de la "pédophilie"

Voici une image partielle de la liste des vidéos consacrées au sujet qui sort lors d'une recherche sur Google. J'en ai compté une quinzaine sans compter les innombrables productions tierces. Sauf que les "bis" sont un peu à mes yeux les "idiots du village, ils ressemblent à la plupart des arabes, en ce sens qu'ils sont prêts à boucher tous les trous qui se présentent. Pas de quoi les traîner en justice ou même les haïr mais cette polyvalence handicape forcément leurs capacités de discernement.

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Concernant ses livres je ne m'étais pas attaché à les recenser, or il y en a près d'une quinzaine a vu de nez et tout cela rapporte un fric fou entre les droits télévisuels et les droits d'auteur qui doivent être considérables car j'imagine que l'intéressé s'est débrouillé pour créer une société d'édition ou a négocier pour obtenir au moins 30% du prix public. En passant par Worldcat je ne suis pas arrivé à déterminer le nombre de publications auxquelles ce phénomène a participé mais c'est ahurissant.

Il est clair que la quantités de manifeste toujours au détriment de la qualité. Je sais ce que c'est que d'écrire un ouvrage sérieux, dans certains cas c'est 10 ans de recherche de la documentation et deux ans pour la mise au point de la rédaction pour 500 pages...

Un post à parfaire

Je ne suis pas satisfait de ce post trop dense. Il n'est même pas possible de consacrer un livre au sujet car indépendamment du caractère nauséabond de la chose quantités d'infos de détails qui était disponibles sur le Net dans la seconde moitié des années 90 a disparu.

Un oubli à propos d'une manipulation de Serge Garde

Un oubli : à la fin de la vidéo de 1h30 de Karl ZERO : Serge Garde qui est en fait le documentaliste du réalisateur fait miroiter une douzaine de CDS de Zandvorst qu'il aurait obtenu par des moyens mystérieux mais je ne vois pas comment : c'est de la manip pure pour faire mousser l'affaire qui est déjà assez sinistre sauf que je rappelle que les clichés exposé desquels des parents ont tirés 81 reconnaissances est autant que je me souvienne le résultat d'une sélection de la police.

L'affaire est considérable mais de quelque façons qu'on s'y prenne il est impossible de déterminer le nombre de victimes violentées de la masse très considérable des photos de collections plus ou moins anodines.

Il mer revient qu'à un moment donné quand on fait parler un proc français on ne pose pas la question de savoir comment il a obtenu l'info selon laquelle beaucoup d'enfants ont été livré par leur parents. On ne souligne seulement en un autre point de la vidéo que la réflexion est curieuse car s'agissant de proxénétisme le proc ne mentionne pas de poursuites mais j'en déduis que l'infos concerne les pays bas et je ne sache point qu'il autorise la prostitution infantile.

Je ne voulais pas faire de pub à la vidéo dont j'ai parlé mais la voici :

Notez que le tartinage de Karl Zero sur la pédocriminalité relève d'une industrie journalistique très très suspecte dans la mesure où on ne peut traiter de ces choses que dans un livre correctement conçu. Le débit d'image des vidéos SIDERE ceux qui les contemple et ne laisse pas la possibilité de recul sauf pour des gens comme votre serviteur qui, à l'époque, on suivi quasiment au jour le jour en cherchant de leur côté à vérifier ce qui s'est dit.

Toute cette littérature résulte d'une véritable INDUSTRIE, Karl Zero a du publier une vingtaine de vidéos sur le sujet. Quant aux oeuvres tierces sur le même sujet, on voit bien que loin de démoraliser il EXCITE pas mal de gens...

Cette FASCINATION du public est aussi NAUSEABONDE que les faits dénoncés car je l'ai dit, elle est évidemment très malsaine et ça me rappelle une histoire qui s'est passée du côté de Troyes de l'organisateur d'une société de chasse aux pédophiles et qui s'est révélé "pédophile" lui même. Evidemment avec un ami qui s'est penché sur la question nous avions de suite deviné que ce type n'était pas clair du tout !

Malheureusement j'ai la preuve qu'il y a encore parmi mes abonnés des gens qui ne sont pas conscients de ce que j'évoque et qui font de Karl Zero une bonne personne, çà se voit à sa gueule que le sort des enfants il s'en tape, c'est un SALTIMBANQUE, et même une sorte de "parasite" rien de plus !!!!!!!!!!!!!!!!!!! Mais brasser de l'air dans certains cas ça rapporte gros !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

La-Pedocratie-a-la-francaise.jpg

Je viens de découvrir l'existence de ce livre dont le titre postule, au moins indirectement, en faveur de la thèse très populaire d'un culte "pédosatanique" qui constituerait le lien entre les étraqués qui constitue l'oligarchie à l'origine du "Nouvel Ordre mondial". Il va de soi que c'est du délire que bien sûr beaucoup de membres de l'oligarchie en questions sont plus ou moins dépravés à divers titres mais qu'il ne saurait y avoir de "pédocratie".

Remarques en marge de l'affaire Duhamel

Rectificatif : dans la version antérieure de ce chapitre j'avais cru, faute de m'être penché sur l'histoire de Camille Kouchner était la mère de Victor, soit disant victime d'un inceste. Renseignement pris il s'agit de sa soeur jumelle qui évidemment n'avait pas la possibilité de dénoncer le traitement subi. Mais il n'empêche que la dénonciation publique de ce qui est considéré comme un abus, tant de temps après les faits constitue un initiative répréhensible. Elle s'inscrit bien dans le courant de révolte initié par la clique des féministe lesbiennes qui sont les grandes ordonnatrices d'une "croisade anti-mâle" et qui ne manquerait pas de les éradiquer si on le leur permettait et si elles n'avait pas besoin de garder en réserve au moins quelques spécimens pour leur prélever par des sortes de trayeuses leur sperme en vue de perpétuer l'espèce. 

Nous en serions bien là si on les laissait faire car leur haine est palpable. Quoiqu'il en soit la "théorie du genre" n'est pas seulement une imposture mais une pure imbécilité. J'ai discuté ce soir avec une voisine qui sans être masculinisée comme le sont beaucoup de lesbiennes possède une certaine virilité. Elle a été élevée avec des garçons et n'a pas eu que des garçons. Et tout en restant parfaitement féminine d'apparence elle est très mal vu par ses camarades femelles dans son job parce qu'elle est franche et qu'elle l'ouvre quand ça ne va pas et ses collègues femmes la haïsse car elles sont toujours en train de mijoter plus ou moins de saloperies.

Je vais donc amender le  texte et rayer les passage fautifs  dans ma première version qui étaient erronés pour bien montrer que si j'ai commis une erreur c'est que je ne suis pas du tout curieux de ce type de déballage.

Et j'attends qu'on m'indique les justifications ou plutôt le but du livre de la soeur : je n'en vois qu'un contraindre son frère à porter plainte s'il en était encore temps.Nul doute qu'elle ne soit animé de l'esprit du temps façonnée par le besoin de revanche féministe !

Là encore je n'ai suivi que d'un œil l'histoire et à supposer qu'il n'y a pas eu prescription, je dis que le délai accordé après l'obtention de la majorité est parfaitement excessif, je l'aurais pour ma part réduit à 3 ou 5 ans car c'est toujours la même chose s'il est démesuré c'est pour complaire à toutes ces féministes revanchardes qui veulent casser du mâle. Il n'est du reste même pas certain qu'elles aient elles même subi des mauvais traitement : le goût d ela revanche est dans l'air du temps et ce n'est pas chrétien...

L'intérêt non pas du livre sur la "pédocratie à la française" mais de sa seule existence et qu'il célèbre le chute de gens de pouvoir qui ont fauté et montre qu'ils ne sont pas intouchables et finissent par être démasqués. L'Affaire Duhamel en est un des plus beaux exemples. sauf que l'on va voir que l'on a commis une grossière erreur en qualifiant les abus commis sur son beau fils d'inceste...

Sur l'inceste

Il faut tout de même signaler qu'en Suisse il existe un courant qui cherche au moins adoucir la répression qui s'attache aux incestes. L'inceste ne pose de problème de corruption génétique qu'entre personne de sexe différents quand aux méfaits biologique de trop de consanguinité. Autrefois l'Eglise était extrêmement sourcilleuse sur le sujet et on n'exige plut autant de degré d'éloignement entre les futurs conjoints.

Y a t-il "inceste" entre des jumeaux (homos) ?

Je me rappelle à propos de la conception fautive que l'on a de l'inceste, avoir connu un couple de jeunes jumeaux, au début de leur histoire, ils couchaient ensemble après ils ont continué à partager le même toit et chacun "chassait" de son côté. Ils avaient des moyens d'existence honnêtes alors, franchement, je vois pas quel problème çà aurait pu poser poser.

Donc les jugements sommaires sur quantités de cas qui, en dernier recours, doivent être examiné individuellement dans leur propre contexte, bref cet acharnement d'une populace inculte à vouloir s'ériger en "petits juges" car je sais ce dont elle serait capable si on lui permettait de lyncher ceux qu'elles vient à détester. est à mes yeux choses haïssable.

Pour en revenir à l'affaire Duhamel, je trouve que s'il est passible d'un "délit de salle gueule", que si du Conseil constitutionnel comme du Conseil d'Etat j'ai une très mauvaise opinion, il faut éviter de se laisser piéger par des impressions subjectives et je n'ai pas suivi les détails de l'histoire.

Ce qui me débecte c'est le déballage public d'une bonne femme, Camille Kouchner, je ne sais même pas quelle position exacte elle occupe dans le roman de l'affaire. Je présume qu'elle s'était remariée avec Duhamel mais si c'est le cas, la question qui se pose est celle de savoir pourquoi elle aurait attendu si longtemps pour prendre le public à témoin de la victimisation de son propre fils.

Mais ce qui compte dans cette histoire, c'est avant tout le point de vue de la victime. A t-il apprécié les attentions de son beau père ou non, a t-il porté plainte et si oui n'a t-il pas été forcé.

Bref dans cette histoire ce qui me fait gerber c'est cette femme qui vers le soir de sa vie bien baver publiquement sur une combinaison à laquelle elle aurait participé. Parce que c'est c'est une façon pour elle de se dédouaner de sa complicité mais quand a chié au lit il est trop tard pour serrer les fesses !

Si j'ai écrit cela c'est tout simplement que la père aurait pu avoir un compte à régler tardivement et en tout état de cause, la seule personne à pouvoir se plaindre et exiger réparation c'est la victime présumée. S'il en était encore temps !

Dans ce cas de figure, ce qui me répulse ce n'est pas tant une certaine promiscuité sexuelle car tout cela ne nous regardait pas. Oui ce qui me hérisse c'est la trahison tardive de l'auteur du livre.

Mais comme je vous l'ai dit je n'ai même pas une idée précise de la configuration en cause, preuve de mon peu d'intérêt et d'une vive répulsion pour ce genre de "traîtrise" féminine.

Qu'il s'agisse de la mère ou de la sœur : la seule personne à pouvoir se plaindre et dénoncer ce qu'elle a subi c'est le frère de sorte que dans les deux cas de figure on note une pression illégitime qui oblige à envisager que la soeur s'inscrit dans le sillage de l'esprit de revanche féministe en vogue

Car en fin de compte c'est dans la ligne directe de la "croisade anti-mâles" des nouvelles féministes qui toutes sont lesbiennes, il faut le rappeler et le souligner avec insistance car du côté des homos masculins on ne saurait trouver une telle animosité envers les femmes en général.

Finalement, par rapport à la version fautive il n'y avait pas grand chose a changer dans l'évaluation des seules motivations possibles. Et j'attends qu'on me démontre que mon analyse serait fausse !

Réflexion faite : l'affaire Duhamel n'est qu'un "inceste administratif"

C'est dans une conversation qu'un ami (Paul de Metairy) qui a mis l'accent sur la chose. C'est vrai qu'il n'y a pas d'inceste entre rejeton de parents différents comme dans les familles recomposées.

Ce qui revient à constater, au passage, l'incompétence des journalistes sur le sujet, y compris au sein de la rédaction du journal "Le Monde" qui n'en rate pas une... Je parle de "conneries" multiples et diverses. Oui dans l'histoire que l'on a en vue l'inceste ne ressort que d'une vision superficielle du registre de l'Etat civil. Même l'avocate consultée par Camille Kouchner a partlé à tort et à travers d'inceste.

Voir : https://www.leparisien.fr/faits-divers/accusation-d-inces...

Evidemment, en faisant les mis des au point qui précèdent  je risque de passer pour complice des "pédophiles" sauf que je suis à ce propos de mes relations avec les enfants d'une prudence extrême et surtout d'une grande timidité quand c'est eux qui m'adressent la parole. Je me suis éloigné de ma parentèle dès que j'ai pu et mis 900 km entre elle et moi de sorte que depuis la fin de mon adolescence je n'ai plus eu d'occasion naturelles de côtoyer des gosses.

J'adresse rarement la parole à un enfant, je me suis certes détendu assez récemment car je promène le chien d'une famille qui a deux petits garçons et le plus âgé m'adore. J'ai donc réappris à me mettre à leur portée sauf que je ne suis pas du tout inspiré pour prolonger la moindre conversation car j'aspire à une qualité d'échanges culturels que j'atteins fort rarement avec des adultes. J'ai du écrire quelque part que je vais sans doute devoir donner des cours de musique à des enfants de façon à éventuellement préparer ma succession quelque part. Là si j'ai tendance à envisager la chose à reculons c'est parce qu'il va me falloir apprendre ou même imaginer la pédagogie adéquate pour ne pas lasser leur attention.

Pour en finir avec l'affaire Duhamel si tous les protagonistes savaient la prescription acquise, l'enquête, au 21 janvier dernier, n'était pas terminée et viserait encore à débusquer des "crimes" non prescrits. C'est donc une preuve supplémentaire qu'un personnage de l'envergure politique d'un Duhamel n'est plus à l'abri de poursuites pour cause de "pédophilie".

Encore quelques mots sur la thèse des réseaux "pédosataniques"

Encore une fois quand on m'affirme que les mecs qui violent un(e) mineur(e) sont mieux traités par les juges que les Gilets Jaunes, à me révulse surtout quand ça vient d'une personne abonnée à ce blog (et qui ne lit pas mes articles car elle les trouve trop longs) mais qui tout en ajoutant foi plus ou moins à la thèse de réseau  dont la religion serait à base d'un culte"pédosatanique" avec mise à mort d'enfants, quand cette même personne refuse de lire le livre de Massimo Introvigne, Enquête sur le satanisme et qui montre comment la chose a commencé et comment elle s'est développé à partir d'une véritable "panique" apparue au Canada, j'ai envie de hurler.

Notez que c'est le même genre de personne qui déplore que la discussion sur les vaccinations est impossible parce que çà braque les gens à la manière même des opinions politiques ou religieuses sont bien connues pour résister à toute approche critique et surtout rationnelle.

De toutes façons, croire que les gens qui nous gouvernent et agissent au niveau d'une gouvernance mondiale aurait besoin pour acquérir leur puissance et conserver les leviers de commande d'enlever des gosses et de les sacrifier comme on le faisait à Moloch, à plus forte raisons s'il s'agit d’athées et d'agnostiques, non seulement à se contredire à cet égard mais surtout à ne pas comprendre qu'un tel culte serait superflu puisqu'ils ont pratiquement réuni tous les leviers de commande entre leurs mains. Tout ce qui peut exister ce sont des simulations pour impressionner les victimes ou au pire des dérapages avec sévices réels dans des groupes très exigus de parfaits tarés. L'affaire de Zandvorst révèle l'existence de commandes de films comportant des scènes réalistes hyper hard, le nombre de tarés susceptible de mettre du fric dans l'achat de ce genre de produits n'est certes pas négligeables mais ce sont autant de gens qui ne prendront pas le risque de passer à l'acte de d'organiser ce genre d'honneur.

Je suis vraiment révulsé par cette attitude consistant à ajouter foi à des vidéo grossièrement torchées qui flattent le goût d'un assez large public pour l'évocation des plus noirs complots visant à quasi systématiquement bafouer l'enfance quand par ailleurs on ne veut pas lire les rares ouvrages ayant valeur de documentation fiable. Evidemment pour se coltiner le pavé des 3 journalistes flamandes qui ont rendu compte du déroulement détaille de l'enquête menée avec l'aide (façon de parler...) des témoins sous X dans l'affaire Dutroux çà demande plus de temps et de vigilance que de se laisser intoxiquer par l'une des vidéos de Karl Zero et autres zèbres...

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Ici commence la version originale du post

Je tâcherai de remettre tout les éléments dans un meilleur ordre mais comme ce qui suit consiste en une recension critique de ce qu'engendre la hantise actuelle de la "pédophilie" il suffira de distinguer les parenthèses par une astuce quelconque. Plus d'intertitres et une grosseur de caractère inférieure.

Le présent post est très long, je devrais sans doute ne faire figurer, en façade, qu'un très court résumé et poster le développement dans un pdf à télécharger. Mais j'entends  ne pas avoir à trop faire d'effort et me décharger de ce que j'ai sur le coeur.  Je ne pense pas que, si l'on daigne faire preuve de l'attention que mérite un texte où je me "mouille" assez franchement, me reprocher quoique, ce soit excepté des fautes de frappe et des mots manquants qui pourraient rendre certaines phrases incompréhensible ou en changer le sens comme cela est arrivé parfois. C'est le risque que l'on prend en pondant un texte à caractère "jaculatoire" pour se débarrasser au plus vite d'un sujet particulièrement ingrat.

 

Pour ne pas trop risque de complexer les lecteurs on se doit également de manifester un certain degré d'imperfection.

J'ajoute qu'il me semble difficile de concentrer ce texte sans nécessairement y passer un temps fou, y perdre pas mal d'énergie de sorte que le marché est clair : c'est à prendre ou à laisser...

Maintenant si on a des remarques à faire et si on peut les justifier sans agressivité aucune, je peux les entendre sauf que je doute que l'on puisse me prendre en défaut sur quelque détail que ce soit. Je crains plutôt l'indifférence et l'inattention, toutefois le sujet étant de ceux qui fâchent, il est probablement qu'il risque d'attirer pas mal de "mouches" plus ou moins bien intentionnées... On verra bien...

Si  par bonheur un lecteur voulait proposer, pour concentrer des passages jugés trop extensifs, proposer un rewriting pour certains d'entre eux, J'en serais ravi...

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Vous avez sans doute entendu dire ou vu que "Karl Zero (absolu) vient de sortir un "docu" qui prétend que 1 gosse sur 5 est victime, en France, d'abus sexuel. Je suis désolé mais s'il est clair que si les abus ont été fréquents tant de la part des curés (et surtout avant mai 68) et aussi dans les familles sans que l'on puisse établir le moindre rapport de fréquences d'un milieu à l'autre de manière fiable, il est non moins clair que la proportion envisagée est manifestement grossie à outrance ! Le journal Marianne n'a pas manqué d'émettre de sérieux réserves sur la vraisemblance et la pertinence de ce prétendu "document" dont je ne veux rien savoir.

Hélas une forte proportion de nos contemporains est prête à gober non seulement ce genre d'exagération mais également la thèse, très populaire, selon laquelle une certaine élite dirigeante serait coutumière, non seulement de pratiques "pédocriminelles" mais également et par la même occasion de la pratique d'une sorte de culte satanique à base de sacrifices d'enfants... Karl Zero, je le présume, n'est pas allé jusque là mais je me souviens d'avoir entendu énoncer ce genre de thèse bien avant que l'affaire Dutroux ne survienne au tout début des années 80 su siècle passé.

A ce propos, ce qui est troublant et qui devrait faire réfléchir celles et ceux qui ont adhéré à cette "mythologie" c'est que cette croyance est partagée certes par des chrétiens plus ou moins starbés mais qu'elle est présentement le fait d'une majorité de citoyens athées ou du moins franchement agnostiques qui, en tant que tel nient et la possibilité d'un "Bon Dieu" omniscient et celle d'un "Diable" nécessairement présent, comme en "miroir" !

Et ça m'offusque d'autant plus que j'ai vu, récemment, une praticienne de médecine alternative que j'estime énormément me faire l'aveu d'une croyance en la possibilité de ce genre de phénomène.

Ce à quoi je réponds que l'on ne saurait se faire une opinion sur les problèmes de société qui sont à l'ordre du jour (abus "pédophiles" et traitement d'une fausse pandémie) en puisant son information dans le genre de vidéos qui inondent les réseau sociaux, un certain nombre de compte youtube voir des chaînes d'infos sur Telegram. En agissant ainsi on ne peut guère qu'encourir le risque de se laisser manipuler et ça marche à tous les coups... Je revendique, un tout autre niveau de compétence !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Pédophilie : les effets pervers du rapport Sauvé

J'ai vu récemment que l'espèce de "connasse" qui a créé et maintient la page "Face de Bouc" de la chronique du patelin que j'habite a publié un post prétendant qu'il faut compter, en moyenne, par classe d'écoliers, 3 victimes d'abus recensés, ce qui ferait 12 dans le cas précis que j'évoque, sans compter ceux restés secrets. Comme on ne précise pas le lieu de commission de ces crimes ou délits, les instits et les maîtresses doivent avoir été ravis.

Il faut arrêter d'urgence ce genre de "connerie" et je répète qu'il ne peut exister aucune statistiques ou estimation fiable de la proportion des abus au sein des différentes classes sociales. Il existe en faveur de ce genre de pratique qui tend à scandaliser nos contemporains une fascination trouble et même, quand il s'agit de condamner de façon plus ou moins hystérique ce genre de dérives, une dose considérable d'hypocrisie.

C'est un fait que si l'on prête, à juste titre d'ailleurs, la possibilité, aux élites présumées, de satisfaire ses pulsions les plus déplorables et d'en jouir avec en prime la quasi certitude de l'impunité, l'excitation répressive que cela suscite, surtout chez les mâles, comporte une bonne part de jalousie.

En plus quand on parle d'abus sexuel, il faudrait pouvoir faire la part des attouchements plus ou moins anodins des véritables viols, voir des meurtres qui peuvent s'ensuivre pour empêcher les victimes de dénoncer qui que ce soit.

Je présume que la cinglée évoquée s'est basée sur un estimation statistique globale tout aussi foireuse que ce qui résulte de la méthode employée pour l'élaboration du fameux rapport.

Chaque fois que le sujet vient sur le tapis de la part d'un curé qui tente à l'occasion de vouloir tirer de ce rapport la conviction que la fréquence des abus serait plus importantes chez les laïques  j'objecte d'une part qu'on ne peut rien en savoir et que la chose est impardonnable de la part d'ecclésiastiques qui sont astreint à respecter l'interdit du Lévitique.

Au surplus, le livre de Frédéric Martel, Sodoma (et le contenu de son audition par la commission Sauvé) est nécessaire et suffisante pour se rendre compte du caractère massif des abus commis au sein de la secte romaine. Et l'Eglise de France s'est tirée une balle dans chaque pied en commandant ce rapport a un type qui est probablement une victime du prêtre qui lui a enseigné l'orgue en classe de 5ème, ou du moins solidaire d'autres victimes qui furent ses camarades les plus proches qu'il aurait découvertes à son entrée en 4eme.

En plus du "conflit d'intérêt", on se demande comment un personnage aussi éminent au sein du Conseil d'Etat a pu préconiser la résurrection d'une justice ecclésiastique en version PENALE sans se rendre compte de l'impossibilité d'une telle chose en contexte républicain ! Il existe des tribunaux "canoniques" mais tout ce qu'ils peuvent faire c'est réduire à l'état laïque un prêtre qui aurait dérapé et pour mettre hors d'état de nuire le cinglé que fut un Tony Anatrella, il leur en a fallu du temps !

Sur le dernier "docu" de "Karl Zero absolu"

Revenons au dernier docu de Karl Zero, le chiffre relève d'une pure affabulation. La publicité faite depuis quelques années au type d'abus actuellement réprouvé a incité beaucoup de femmes à témoigner dans ce sens. C'est le cas d'une amie musicienne que j'ai évoqué dans un autre post. Elle n'a subi que des importunités pas très graves et cela a eu l'heureux effet  de l'inciter à compenser en cultivant d'autres centres d'intérêt.

Il faut noter également qu'actuellement on considérerait comme "abus" des choses qui autrefois étaient très anodines particulièrement dans le Nord de la France et de l'Europe, je pense à la Belgique en particulier dont j'ai bien connu la sociologie. Je pense à un fait très anecdotique me concernant. J'ai passé mon enfance dans un village d'une centaine d'habitants. Lors des moissons quoique mon père était fonctionnaire, je participait à certains travaux des champs. Alors que monté sur le tracteur d'un oncle à droite avec un cousin à gauche, ce dernier m'a mis la main à la braguette en déclarant que j'étais devenu un homme. Evidemment, j'ai rougi, j'ai été très mal à l'aise mais si je m'étais plaint, je me serais fait foutre de moi car les adultes, et les hommes surtout, ne se gênaient guère pour faire des "chatouilles" aux enfants qu'il s'agisse de filles ou de garçons ! Il est bien possible qu'il s'y mêlait un zeste de "pédophilie" assez inconscient mais çà n'allait jamais plus loin. Donc non seulement ce que j'évoque fera scandale aujourd'hui mais la proportion de l'abus d'un gosse sur cinq relève d'un pur délire.

Karl Zero est à mes yeux un assez sale type qui exploite un certain goût pour le sensationnel et je vais évoquer une de ses productions antérieures qui dure 1 h 37 et dont je ne peux que constater que tout en évoquant des faits bien réels, elle n'en comporte pas moins une large part de manipulation.

Sur la compétence de votre serviteur

Si vous voulez bien vous donner la peine de lire mon livre sur Loïc de Ribault et le G5 vous constaterez une chose, c'est que le genre de mythologie dont a fait preuve ce personnage est à l'origine d'une intuition qui s'est avérée fondée. J'ai deviné qu'il s'agissait d'un "pédé" et la chose m'a ensuite été confirmée non seulement par des détails apparus au grand jour mais également par une femme. Or sans cette intuition, et la pénétration qu'elle m'a permise dans la psychologie de l'intéressé, je n'aurais pas pu découvrir et démêler tous les linéaments de la geste de ce singulier personnage.

En d'autres termes, l'orientation sexuelle de l'individu, à joué un rôle déterminant dans la façon dont il s'y est pris pour manipuler ses dupes.  Et sur ce point je suis absolument certain d'avoir vraiment "décortiqué" la mentalité et la façon de fonctionner du personnage en question. Je dirai même qu'il n'y a qu'un autre "homo" mais celui là assez parfaitement équilibré qui pouvait percer à jour le fonctionnement et la véritable nature "parasitaire" de mon héros.

Je pourrais évoquer une enquête qui a duré au total plus de 25 ans sur les menées d'un "gourou" qu'un ancien disciple a taxé de "pédophilie" alors que le véritable problème se situait ailleurs. Je ne peux pas en dire plus sur cette sombre affaire sans me dévoiler et cette dénonciation m'a attiré suffisamment d'ennuis et de maltraitance purement diffamatoire. On est allé jusqu'à me traîner dans la boue en tant que supposé "pédophile d'extrême droite" sauf que l'accusation est tellement invraisemblable que je ne m'en soucie plus guère.

Simplement étant natif du signe du Cancer doté d'un ascendant Balance, je n'ai jamais aspiré à attirer la lumière. J'ai été débarqué assez brutalement selon ma perception dans cette asile de dingues que constitue la planète terre durant un été très caniculaire et si j'ai besoin de chaleur, j'aspire a demeurer dans l'ombre non pas que j'aurais des choses à me reprocher mais il se trouve que je ne suis pas du tout exhibitionniste mais étant conscient d'avoir acquis une grande lucidité, je ne saurais me taire !

j'ajouterai qu'en ce qui concerne la "pédophilie", le fait d'être "homo" est une raison nécessaire et suffisante pour expliquer et justifier mon souci de voir clair le plus objectivement possible dans les affaires qui ont défrayé la chronique. Non seulement j'ai disposé, lors de mon passage en tant qu'informaticien dans un département particulier de la Fac des sciences d'une connexion Internet à haut débit alors que la livraison au public de ce réseau commençait à peine, j'ai disposé du temps nécessaire et de la guidance nécessaire d'un universitaire belge pour effectuer des recherches très poussées sur les détails de la fameuse affaire Dutroux.

Ce n'est pas tout, j'ai bénéficié de l'expérience que peut procurer un assez long parcours au contact d'abord d'un milieu "occultisant" (adonné à l'astrologie...) et ensuite d'une autre milieu, très différent, qui lui était censé s'être adonné à un "ésotérisme" nettement, du moins en principe, plus "orthodoxe". Domaine où j'ai plus ou moins foutu la zone... Il n'empêche qu'après avoir mis à disposition du public toute la documentation existante sur une imposture évoquée plus haut, il est devenu impossible de récuser mes analyses sans être de mauvaise foi. Je dois ajouter que lisant à peine l'anglais (langue de mes ancêtres dotés d'un blason trinitaire) que la totalité des documents nécessaires soit d'abord venus à moi sans que j'ai à faire le moindre effort relève d'une sorte de "miracle". 

Je n'en ai pas terminé : en tant que juriste cette fois, ma formation dans ce domaine m'a permis de deviner que l'affaire des "magistrats pédophiles" n'a pas pu consister en l'histoire de ces "messes noires pédophiles" qui a hanté l'imaginaire public d'une certaine époque parce qu'en plus j'avais les repères historiques et littéraires nécessaires pour débusquer les éléments toxique qui ont préparé l'opinion à gober les divergences moutures plus ou moins apparentées à ce mythe d'une religion élitiste à base de "pédo-satanisme". Ceusses qui aspirent à se désintoxiquer de ce genre de fable sont invités à rechercher, ici-même, les infos que j'ai donnée sur l'influence de l'affaire Taxil d'une part et celle beaucoup plus récente, de l'album consacré à la "Méchante Lulu".

J'ajoute qu'il se trouve, pour "couronner" tout cela, que dans le cas d'une autre affaire de "pédophilie", celle de Mgr Paul, être évêque siégeant jadis en la cathédrale russe de Nikkaïa, quoique ne faisant aucunement partie des fidèles de ladite église, j'ai su, avant tout le monde, qu'une affaire allait éclater. Je peux du reste ajouter que j'ai joué un rôle occulte assez particulier à l'arrière plan de l'affaire de la légitime récupération de ladite cathédrale par la Fédération de Russie. En faisant en sorte que l'actuel Maire de la cité soit informé des risques qu'il aurait encouru en faisant un pas de travers dans ce domaine. ce n'est pas un hasard s'il a pu s'abstenir de faire une connerie. Même chose en ce qui concerne un certain Procureur qui bien sûr ne m'a jamais remercié pour les éclairages que je me suis permis de lui communiquer en ma qualité d'expert dans un tout autre domaine.

A ce propos, j'avais à l'époque comme voisin un de ses substituts en ce que se fenêtres donnaient sur une venelle où j'ai tenu boutique. Je reproche à ce dernier d'avoir complètement foiré une affaire d'exercice illégal de la pharmacie par un médecin vençois corrompu qui se procurait des flacons de Rivotril et les revendait, entre autres diffuseur par un acupuncteur comme produit de la pharmacopée chinoise. Seulement l’arôme que comporte ce médoc aurait suffit pour le confondre. Il n'était pas besoin de procéder à une analyse coûteuse, il aurait suffit de déclencher une "perquise" chez ce médecin et ses élèves et d'interroger les pharmaciens du secteur pour prouver l'existence du trafic évoqué. Soit dit en passant, il se trouve que c'est la femme de ce substitut qui alors qu'elle tricotait dans le bureau de son mari a pris une communication qui ne lui était pas destinée et est allé discuter dans un célèbre hôtel de la promenade avec un femme venue des U.S.A. et cela sous le regard de flics appartenant au FBI...

Comment j'ai su cela ! Je peux indiquer ma source, elle n'est plus de ce monde ! Il s'agit d'un certain Alain Rouillé-Laurens ou Roullié qui s'est passionné pour une célèbre affaire judiciaire de disparition jamais élucidée en lien avec le fameux Palais de la Méditerranée. Ce personnage, alors connu comme éditeur (du genre de ceux qui ne font guère que de l'édition à compte d'auteur en proposant monts et merveilles, a commencé sa carrière en tant qu'assureur de mobylette) s'était mis en tête de fabriquer un parti local ayant pour dessein de redonner à l'ancien comté une autonomie qui n'a du reste jamais existé puisqu'il s'est agit d'un département du royaume de Savoie-Sardaigne qui n'existe plus qu'au travers du puzzle qu'on a baptisé "Italie". Ce citoyen appartenait à la même "confrérie" que votre serviteur et partageait avec lui la même conjonction d'Uranus et de Vénus dans le signe des Gémeaux, ce qui m'a fait bien rire quand une dame qui s'est éprise de ce Monsieur m'a montré le thème. Je me vois et m'entends encore me fendre la pêche en découvrant la chose... cela dit cette conjonction n'est qu'une possibilité d'indication parmi d'autres et je profite de l'occasion pour affirmer que ce qu'une certaine Huguette Hirsig a publié sur le sujet est à brûler carrément...

Mon informateur avait réussi l'exploit de séduire et de vivre avec deux frères et d'en faire ses amants en les associant à son commerce en tant que collaborateurs. Et j'ai découvert qu'il avait connu et couché avec un garçon qui a fait carrière par la suite en tant qu'évêque vagant dans le domaine excessivement surréaliste de ce que l'on appelle les "petites églises", milieu qui s'est distingué à la fois par des abus pédophiles caractérisés et qui tire ses subsides d'un trafic à base d'exorcisme. J'ai du reste hérité d'un vaste complément de documentation sur le sujet lors d'un équipée dans la région de Poitiers où doit encore résider l'amant occasionnel d'un personnage qui a tenté sa chance en voulant devenir khalife en la métropole sudiste. J'ai connu cet éditeur, non pas en couchant avec, je l'eusse trouvé trop vieux mais en fréquentant un marché aux livres d'occasion qui se tenait devant une cathédrale dédiée à Sainte Réparate... Et ce citoyen quoique qu'assez franchement mythomane n'était pas inintéressant et il était, m'a t-il affirmé, ami avec le juge d'instruction qui a instruit le procès à l'encontre de Mgr Paul évoqué plus haut. D'où le détail a propos de l'ingérence de l'épouse, pas très distinguée, d'un substitut qui a fini par y gagner une mutation.

Tout cela étant qu'une assez infime partie des circonstances d'une vie replie de beaucoup de stress, surtout à partir du moment où l'occasion s'est présenté de m'établir dans l'extrême sud est du très cristallin hexagone que constitue notre pauvre France. Ne sachant pas nager et ayant été prévenu par une médium de ne jamais foutre un pied en Afrique à moi de vouloir me faire tuer, je ne saurais franchir l'obstacle que constitue la Mare Nostrum.

Sur une autre enquête de Karl Zero Absolu

Pour commencer, on devrait cesser une bonne fois pour toutes de parler de "pédophilie", ce n'est ni un terme "scientifique" ni un terme juridique. Le Code ne connaît que des abus sur mineurs de moins de 15 ans. Il existe une autre vidéo du "ZERO absolu" qui du reste, vient de se faire étriller par Marianne pour sa dernière prestation. Elle fait 1 h 37. Je me la suis collée, c'est une série d'amalgame entre plusieurs affaires, principalement l'affaire Dutroux et l'affaire de Zandvorst d'une part et celle du réseau Toro Bravo avec deux dérivés de cette dernière.

Régina Louf et les témoins X et la pollution de l'enquête par des X aussi mythomanes que tardifs

Karl Zero a évoqué le témoignage du témoin nommé X1 qui fait l'objet d'un article de Wikipédia. La fameuse Régina Louf-(dingue). Je suis tenté de compléter son blase ainsi car si une bonne partie de son témoignage a été vérifié, il est des choses qui posent problème. D’après son témoignage, X1 aurait été prostituée de force (esclave sexuelle) dès sa prime enfance par un réseau de prostitution enfantine auquel aurait appartenu sa grand-mère, avec la complicité de ses parents. Ce n'est pas impossible et si c'est les géniteurs de cette femme née en 1969 ne pouvaient guère le reconnaître. Si mes souvenirs sont exacts, la grand-mère aurait commencé sa carrière de proxénète au temps de l'occupation allemande. 

Concernant la partie véridique du témoignage de Régina Louf il y a ses dires sur le cadre des exploits d'un groupe de pédophiles dont le chef était un avocat bruxellois et des abus ont eu lieu dans une champignonnière désaffectée qui a été rasée depuis longtemps. On pouvait à l'époque la visiter par Internet, il existait des plans et un nombre considérable de photos. Je regrette de ne pas les avoir conservées. A l'époque, les clefs USB de grande capacité et les disque durs miniatures et portables restaient à inventer... Je n'ai pas de souvenir précis qu'on ait établi un lien direct avec les saloperies de Dutroux, il n'est pas impossible que l'histoire ait fait état de liens avec le dénommé Nihoul (propriétaire d'une célèbre pâtisserie connu comme fournisseur de la cour royale) et ce qui ressort des dire de X1 c'est que le détournement et l'exploitation d'enfants était chose répandue dans le royaume avec son lot d'enlèvement. Ce dont je me souviens c'est que le groupe d'abuseurs en question a eu recours à des simulations de messes noires dans le but de décrédibiliser la parole des enfants s'ils venaient à dénoncer les abus. 

Ce qui m'a frappé dans ce témoignage c'est que pour que le groupe ait pu abuser à ce point d'enfants des deux sexes c'est que dans la mesure où ils avaient des parents, ces derniers ne se sont guère soucié d'absences qui auraient du les inciter à creuser le sujet et à "cuisiner" leur rejetons. Est-ce possible sociologiquement parlant. J'ai vu le jour dans les Ardennes et on allait en Belgique relativement souvent pour des communions et des mariages dans des cousinages plus ou moins éloignés. Je rappelle l'axiome : pays froid voir glacial en hiver = gens très "chauds" et donc très conviviaux. Il faut rappeler qu'il a existé l'affaire d'une banderole "anti chtis" (on surnomme ainsi les gens du Nord) qui est à assimilé à une bande de chômeurs plus ou moins consanguins et "pédophiles" de surcroît. L'accusation est franchement caricaturale mais elle repose sur un élément concret : à savoir l'existe d'une familiarité très "tactile" entre adultes mâles et enfants des deux sexes. J'ai évoqué ce qui m'est arrivé sur un tracteur.

Pour la Belgique il y a l'histoire d'un ministre qui a été pris la main dans le slip d'un gamin. Rien d'étonnant à cela. J'ajoute que le besoin de reconnaissance de la part des enfants et des adolescents suffit à expliquer qu'à l'époque, ils pouvaient encore se prêter sans trop de répulsion à des sollicitation qu'on juge aujourd'hui non seulement inconvenantes mais parfaitement criminelles.  Paul de Metairy a évoqué quelque part le témoignage d'un très jeune canadien qui pour être protégé du harcèlement scolaire qui fait fureur actuellement lui a déclaré que se sentant protégé ainsi par des aînés et des adultes qui l'aimaient de la mauvaise façon, il y trouvait néanmoins son compte et s'en accommodait très bien.  Que le genre de familiarité que l'on a reproché à un ministre ait pu scandaliser, quand on a observé la sociologie évoquée et la "pruderie" qui caractérise le "nouvel ordre moral" essentiellement laïque contemporain et la dramatisation qui s'ensuit, on ne peut conclure qu'à une bonne dose d'ignorance, d'anachronisme, sans exclure une assez copieuse dose du type particulier d'hypocrisie à base de jalousie déjà évoquée plus haut.

Cela dit si je n'ai jamais pu concevoir de relation détendue avec un mineur de moins de 18 ans, c'est tout simplement que ma culture a toujours été marquée par un tel décalage avec la psychologie enfantine ou adolescente que je n'ai jamais été à l'aise avec eux.

La hantise actuelle de la "pédophilie" n'a fait qu'ajouter à la difficulté dans la mesure où m'intéresser à des enfants risque de paraître suspect. Encore une parenthèse : il se trouve que je suis en situation de devoir donner des cours de solfège et d'instrument à deux enfants dont un jumeau astrologique. J'ai du faire des efforts, pour me faire à cette idée et trouver cette perspective sympathique. La chose se compliquant d'une difficulté d'ordre purement pédagogique. Je serais plus à l'aise dans le rôle d'un prof donnant une "master class" à des adultes pourvus d'une technique de clavier très moyenne et ignorant tout des "secrets de la musique ancienne". Les "idiomatismes" que réclament le répertoire spécialisé qui est le mien, je ne saurais même pas dire comment je les ai acquis car c'est le produit d'une recherche personnelle après avoir quitté le Conservatoire. Si donc j'ai décidé de faire un gros effort, c'est que la formation d'un ou plusieurs successeurs sera appréciée et que la situation est telle que je ne risque guère de susciter un malentendu.

Revenons, sans plus tarder, à l'affaire des témoins X. Ce qu'il faut savoir c'est qu'à partir d'une certaine phase de l'enquête, la garantie d'anonymat a attiré une série de témoins mythomaniaques qui ont littéralement polluée cette enquête et ont obligé le parquet à faire machine arrière, à tout reprendre avant que le juge ne soit dessaisi. Tout cela est très clair quand on se donne la peine de lire avec attention le pavé consacré à cette partie de l'histoire par trois journalistes flamandes. Je dois avoir la version numérisé de ce pavé, si quelqu'un veut se donner la peine de la parcourir, je peux lui fournir le document. Il y a l'épisode d'une évocation de parties de chasse dans le parc d'un château des Ardennes belge appartenant à un nobliau où des enfants auraient servi de gibier pour des aristocrates ou des bourgeois dépravés qui, déguisés en archers, les auraient pourchassés et occis à l'aide d'une arme des plus médiévales... Je garde un souvenirs, certes assez flous de RV dans une gare et bien évidemment Karl Zero ne pouvait pas se permettre d'élever le moindre doute à l'encontre de ce qui me parait n'être que pures affabulations.

Que l'on puisse jouir en faisant souffrir des enfants, je peux le concevoir mais nullement l'imaginer d'une manière aussi théâtralisée. Justement l'affaire des CDs de Zandvorst

Sur l'affaire de Zandvorst

J’interprète cette affaire ayant donné lieu à l'exhumation des CDs compilant des milliers de clichés d'enfants dont certains on manifestement subi des sévices graves ainsi : il y a bien eu un studio qui réalisait, sur demande, des films hard avec d'éventuelles mises à mort d'enfants pour une clientèle internationale friquée. A ce propos, je été jadis en relation avec un couple d'anciens postiers dont l'un était un collectionneur de vidéos et un esprit curieux, il a réussi à obtenir d'un flic parisien de la brigade des mœurs, des copies d'éléments de saisie et j'ai vu un extrait d'une vidéo d'un petit garçon dont on voit qu'il prenait un certain plaisir au mauvais traitement infligé, manifestement dans un cercle familial. J'ai donc eu sous les yeux une preuve que ce type d'abus n'a jamais été chose rare, quand à des documents portant sur des sévices beaucoup plus sadiques, j'ai refusé d'aller au delà de quelques images car c'est insoutenable, à moins de partager ce genre de pulsion.

Revenons à l'affaire de Zandvorst. Le type qui est au centre de l'affaire et qui avait un bateau où il filmait des viols et ou se déroulait des croisières d'un genre particulier n'était qu'un vendeur, il a été retrouvé mort en Italie. Mais je ne me souviens pas des conditions, a t-il été exécuté sur ordre de l'organisation criminelle qui détenait le studio de production ou est-ce le fait d'un ancien pareil à lui, d'un prostitué ancienne victime du réseau, il faudrait que je fasse des recherches et Karl Zero a opté pour la thèse de l'exécution sur ordre des dirigeants du réseau.

Le problème c'est que ce vendeur était aussi un collectionneur d'images pédophiles. Or on ne peut pas savoir quel est le pourcentage de scènes violentes par rapport à une foultitude de clichés d'un caractère nécessairement beaucoup plus banal comme résultat d'une compilation massive d'images venant d'une clientèle d'amateurs et de consommateurs résidant aux 4 coins de la planète. On mentionne quant à la production du studio deux "qualités" dans la production, un production pas chère destinée au commun des mortels dont je suppose que la mise en scène avait été plus ou moins consentie par les acteurs et des œuvres de commande vendues très cher avec mise a mort réelles.  Les fameuses Snuff movies...

Pour ce qu'il en est de la partie purement compilatoire de clichés dépourvus de scènes violentes appréciée de collectionneurs addict et éventuellement "fétichistes" voyez à ce propos ce que cela peut donner sur Pinterest où vous trouverez des collections de photos réalisées manifestement par des "homos", certains collectionnent les images de garçons "moulés" dans des jeans, des tenues cuir, latex avec une préférence pour des "renflements" appelés en anglais bulge. Je ne vois rien de très grave dans ce genre de penchant car il ne faut pas oublier de mentionner que les mêmes mecs, réduits à se présenter en tenue d'Adam, risqueraient assez souvent de perdre énormément de leur charme lorsqu'ils sont habillés d'une façon plus ou moins provocante.

Soyons clairs ! Ce genre de compilation et un type de "pornographie" nettement plus caractérisé sous la forme de vidéos de sexe me parait utile à bien des égards. La chose offre la possibilité de se décharger d'une tension par trop excessive sans avoir à prendre de risque d'affronter la réalité d'une "drague" vie réelle toujours plus ou moins remplie de "fausse notes" susceptibles, dans le meilleur des cas, de susciter une "débandage" au moment le plus critique.

Ce genre de production est susceptible de combler d'inévitables frustrations, le recours à ce genre de palliatif n'est certes pas glorieux mais à tout prendre cela vaut mieux que d'en être réduits à se tirer une balle dans la tête. Notons que durant les derniers confinements si l'on avait empêché l'accès à ce genre de production il est certain que dans ces gigantesques clapiers que constituent les immeubles d'habitation citadins, ils est des voisins qui auraient fini par s'entretuer au moindre prétexte !

Tout cette imagerie permet à chacun d'identifier ses propres fantasmes, de les analyser et donc de ne jamais être "dépassé"par eux. En somme, les vidéos pornos sur Internet jouent un rôle positif comparable à celui des "maisons closes" d'autrefois. En plus, il existe tellement de clips contenant des extraits suffisants des originaux en streaming que l'on peut détourner à l'aide des extensions appropriées de navigateurs genre Firefox qu'en plus, çà ne coûte strictement rien. Quand à trouver des scènes réellement à caractère "pédophiles" il faut se risquer sur le "Dark Net" où personnellement je ne mets jamais les pieds.

On a vu récemment des avocats s'émouvoir qu'une demande introduite en vue d'obliger un juge à ordonner aux fournisseurs d'accès français à bloquer tous accès à un certain nombre de sites spécialisés dans le porno se soit soldée par une fin de non recevoir. Si l'on tient à ce que les enfants et les adolescents n'aient pas la possibilité d'accéder à des scènes susceptibles de les perturber, les parents ont à leur disposition des moyens de contrôle et s'ils n'existent pas encore pour les portables les compagnies de téléphone se chargeront de les créer et de vendre aux parents des abonnements ad hoc.

Donc dans l'affaire de Zandvort, on a un réseau maffieux de production encaissant le gros du fric collecté, un vendeur en relation avec deux niveaux de clientèle, une clientèle bas de gamme et une très friquée et des rabatteurs pour trouver des acteurs par le canal de plusieurs bars.

Concernant l'affaire Toro Bravo, Karl Zero a oublié de la situer dans son contexte

Ainsi concernant le réseau à l'oeuvre dans l'affaire Toro Bravo et ses deux dérivations sa  nature correspond bien à ce que raconte le flic français.Il est étonnant du reste que l'auteur du reportage de 1 h 37 que j'ai en vue ait manqué l'occasion de préciser qu'elle s'est trouvée adossée à l'affaire de la création de Gaie France Magazine, une revue crée par Michel Caignet par pure provocation pour faire mine de remettre en honneur cette tradition propre à la caste guerrière qu'on appelle "pédérastie". j'invite ceux qui désirent étudier le sujet à se tourner vers les deux livres qu'a consacré un certain Bernard Sergent, un élève de Dumézil, à l'homosexualité initiatique dans l'Europe ancienne. les deux livres que j'ai lus jadis et que je n'ai plus (je les ai revendus) auraient été réunis en un seul.

Je suis étonné que Karl Zero ait loupé l'occase consistant à mentionner un détail qui n'aurait pas manqué de paraître sulfureux : Caignet est ce personnage d'extrême droite qui après s'être fait vitrioler par un commando de jeunes juifs a découvert sa véritable vocation lors de la dissolution de la FANE en 1986. La notice de Wikipedia portant sur ce personnage est très correcte mais un peu courte. Elle mentionne que les acteurs de films signé Toro Bravo étaient majeurs mais paraissait jeunes. De cela j'en suis persuadé bien que je n'ai vu aucun de ces films. En effet, c'est tout-à-fait possible car il existe un acteur connu sous le nom d'Austin Xanders qui a vraiment l'air d'un enfant mais qui est monté comme un cheval et chevauche un grand barbu assez mince qui est présenté comme pouvant être son père. Je m'empresse de vous dire que ce genre de personnage et d'attelage n'est fait pas partie du genre d'acteur susceptible de m'émoustiller. Si je tente une estimation je ne suis guère susceptible de ne l'être que par vidéo parmi 2 à 300 de celles qui sont disponibles. pas de quoi paniquer ! 

Ce que Wikipedia oublie de préciser c'est que les poursuites engagées contre les productions de Michel Caignet émanent d'un certain "Projet Ornicar", on ne trouve pas de notice à ce sujet dans l'encyclopédie collaborative. En revanche; si on demande à Google de nous tuyauter sur ce "machin" ont tombe pile poil sur la fiche Wikipédé d'un certain Thierry Meyssan. Ce dernier avait été mis en cause par Caignet pour une sombre affaire qui est évoquée par Fiammeta Venner intitulé L'Effroyable imposteur, quelques vérités sur Thierry Meyssan. Il se trouve que le hasard fait que ce livre trônait au dessus des piles qui jouxte mon bureau avec d'autres piles de "prints" dont je remets le triage de jour en jour depuis non pas des semaines mais des mois. 

Quand aux fameux "réseau" de clients de Caignet, qu'il s'agisse des abonnés à la revue ou des consommateurs de ses films, il y eut parmi eux quantité de juges et d'auxilliaires de justice (dont votre serviteur) qui au été perquisitionné au petit matin d'un 1er avril dont j'ai oublié le millésime. Il se trouve tout bêtement que j'avais négocié avec le directeur de la publication pour obtenir, contre l'autorisation de reproduire une recension du livre d'Elisabeth Badinter, X Y de l'identité masculine, contre la fournitures gracieuse de la collection des numéros manquants soit la presque totalité car j'avais pris le train en marche très tardivement. La raison est que j'avais, dans un des rares numéros les plus récents noté des référence à Julius Evola et à une collaboration d'Alain Danielou. Et j'ai appris des choses intéressantes dans les numéro antérieurs sur le patricien et théoriciejn romain de la métaphysique du sexe, un ouvrage que j'ai particulièrement détesté ! Evola se serait exercé à se balader déguisé en femme dans les quartiers populaires de Rome pour soit disant éprouver son moi ! En fait il est très clair que le "Julius" en question n'était guère qu'un pédéraste refoulé car lorsqu'on est en présence d'un phénomène de "survirilisation", on peut être absolument certain que cela cache toujours une forme quelconque d'homosexualité nécessairement inavouable de la part d'être aussi rigides. Notez que sur le sujet, la "métaphysique" professée par l'auteur n'est, à l'instar du reste du bouquin, qu'un tissu de stupidités des plus conventionnelles et des plus toxiques.

S'il est un domaine qui s'avère non susceptible d'incarner la moindre parcelle de "métaphysique" c'est bien le domaine de la sexualité qu'il est excessivement dangereux de vouloir trop "sublimer". Il s'agit d'un domaine qu'il faut aborder et incarner de manière très réaliste et très pragmatique et en prêchant à ce propos la désincarnation à cet égard en dehors d'un mariage conçu uniquement pour perpétuer la race, le christianisme a bel et bien rendu dingo une bonne partie des habitants de notre infortuné vaisseau spatial. Inutile de s'étendre sur le sujet, on en voit tous les jours les funestes résultats puisque des gens voués sans partage au "laïcisme" le plus agnostique se mettant à bander, soit de la bite, soit du clitoris quand l'occasion se présente d'adhérer à la thèse populaire d'une religion élitiste dont la base du culte consisterait en des "messes noires" à caractère "pédo satanique"...

Et pour s'abstenir de dérailler à ce propos, il faut impérativement commencer par lire attentivement l'ouvrage de Massimo Introvigne intitulé Enquête sur le satanisme.  Non seulement, j'ai été en contact permanent pendant environ trois ans avec l'un des principaux collaborateurs de ce chercheur italien mais je l'ai eu son patron une fois ou deux au téléphone et je lui ai communiqué un certain nombre d'informations relative à des faits qui ont participé de l'engendrement de l'affaire célèbres affaire des "magistrats pédophiles" nikkaïens et ce livre fait partie  des lectures que j'ai conseillé à un certain Eric de Montgolfier. Personnage que je n'ai guère croisé qu'une fois à l'occasion d'une visite à l'un de ses substituts, dans un des couloirs du palais, pour m'enquérir de la suite donnée à l'histoire de déguisement de flacons de Rivotril par un salopard sur lequel j'avais rassemblé quantité de renseignements calamiteux. Le médecin auquel je pense est évoqué par Jean Palaiseul dans l'un des volumes de sa série Tous les espoirs de guérir.

Quelques mots sur l'Affaire Epstein

Toutes les occasions sont bonnes pour imaginer des complots à base de "pédophilie". Sans être le moins du moins "satanique" l'affaire dite du "Pizzagate" au sujet de laquelle on trouve une assez bonne notice sur Wikipedia, est un des exemples fameux de délire auquel la jalousie de la "populace" envers les privilèges, certes évidents, de l'élite dirigeante conduit est assez remarquable.

Concernant l'affaire de celui qu'on a suicidé dans une prison américaine, celle-ci me parait assez simple. Epstein a probablement bâti sa fortune sur le chantage à l'égard de personnes telle que Bill Gates en leur procurant, notamment dans son île la possibilité de consommer un gibier sexuel parfaitement à leur goût non sans avoir pris la précaution de dissimuler partout des caméras. Il y a sans doute eu dans cette affaire de pur proxénétisme une part de "pédophilie" mais comme dans l'affaire Dutroux le gros de l'affaire, du point de vue d'un pénaliste sérieux relèvent bien du registre que je viens d'évoquer.

Et comme, il a sans doute voulu aller trop loin, on a bien pu payer pour lui faire régler son compte en simulant au besoin un faux suicide. C'est un dénouement assez coutumier dont on aurait eu un exemple dans une affaire bien franco-française au bord d'un certain lac...

L'engouement populaire en faveur de ce genre de sombre histoire et les "enjolivements" qu'elles suscite chez les "sans dents" avec le manque de sérieux et de discernement qui les caractérise est une chose qui a tendance à me taper sur les nerfs. Car bien évidemment, j'encours le risque d'être accusé de faire partie du genre de complots, avec ou sans "diableries", que l'on se plait à imaginer.

Concernant la "perquise" en forme de poisson d'avril évoquée plus haut, j'ai oublié de dire que l'on n'a trouvé chez moi qu'une vidéo, celle représentant un fameux "gourou" qui fut accusé de "pédophilie" aux USA et traduit en vain devant un jury populaire et que l'on voit se balancer dans un rocking chair en débitant de grossiers mensonges.

Pour ce qui me concerne les flics ont du se pointer à deux reprises en tentant de me réveiller. Une première fois sans succès peu après 6 heures et une autre deux heures plus tard. Quand on frappe sur une porte en bois,ça fait du chambard et je me rappelle que l'un de ces fonctionnaires a fait remarquer que pour n'avoir pas réagi lors de leur premier passage, je devais dormir du sommeil du juste.

Notez en passant que si j'avais eu mauvaise conscience, en proposant un "deal" au créateur de GFM, j'aurais pris la précaution de ne donner, comme je l'ai fait pour d'autres motifs que l'adresse d'une librairie ésotérique.

A propos de la "théorie du genre"

Je comptais commenter assez longuement un article (de source "évangélique") qui évoque l'histoire de cette théorie mais il ne sera pas nécessaire de s'étendre. Cette théorie qui nie que le genre lié au sexe ait sa principale cause dans la biologie, notamment hormonale, de chaque sexe mais résulterait uniquement du fait d'une pure programmation sociale et donc culturelle a pris sa forme, pour ainsi dire "cristalline" en 1990 sous la plume de la fameuse Judith Butler.

Le courant de réflexions à caractère féministe dans lequel s'inscrit l'universitaire dont je viens de citer le nom a commencé à s'incarner au début des années 60 qui visait la libération politique des femmes. Il est le fait de lesbiennes très hostiles à la condition masculine qui tendent à ne voir en les hommes que des prédateurs quasi constitutionnels.

Il existe bien une part socio-culturelle dans l'idée que l'on se fait de la psychologie et du rôle devant être dévolu à chacun des genres mais cette part doit être résolument située à la marge. Le sexe et l'idée que l'on se fait du genre devant en découler s'enracine bien dans la biologie comme cause première. Bien évidemment, il y s'est produit des abus notoires dans le sort réservé avant la dernière guerre aux femmes et les féministes hard s'en servent abusivement pour tenter de culpabiliser les mâles qui voudraient contester leurs funestes théories en voulant leur clore le bec.

Sauf qu'en ce qui me concerne, aucune femme ne peut me reprocher quoique ce soit et même pas d'être toujours indifférent à leur égard. Je le suis certes sexuellement parlant mais quoiqu'il en soit, si je partage certaines tendances misogynes la chose repose sur une kyrielle de constatations objectives et je n'apprécie guère que les femmes "viriles" mais dans le seul sens étymologique du terme qui a rapport avec la capacité d'une vertu morale. Rien, à voir avec le masculinisme caricatural du prolongement américain de nos quasi antiques gouines rouges du MLF pour qui les provocations concevables à l'époque gardait un caractère de jeu.

L'article que j'évoque prétend que la promotion de la fameuse "théorie du genre" vise à imposer le libre choix d'un éventuel mode de vie homosexuel ainsi qu'une banalisation a venir de la "pédophilie".

La vérité est bien différente car si les racines du féministe sont lointaines et que, pour ma part, je les situe dans l'antiquité romaine et plus précisément dans les compromis qu'ont du accepter les premiers Romains pour se concilier la collaboration de ces fameuses Sabines qu'ils ont raptées en leur tendant un piège pour trouver des femmes susceptibles d'assurer leur reproduction, ceusses qui pratiquent l'amour des garçons n'ont eu besoin d'aucune femme pour commencer à se libérer. Le lesbianisme tel qu'on le connaît n'a rien à voir avec une certaine sociologie féministe essentiellement "littéraire et artistique" que l'on situe dans l'île grecque de Lesbos. ce sont aux contraire des "homos" très modernes qui, pour mieux faire passer leurs revendications ont commis l'immense connerie de comparer leur victimisation à celle subie par beaucoup de femmes.

Ces sinistres imbéciles n'ont même pas été capable de voir qu'un majorité de leur prédécesseur s'étaient spécialisés dans la philosophie et éventuellement les arts plastiques et de se rendre compte que l'orsqu'un philosophe ne fut point assez franchement "pédé", il se devait au moins de s'être montré très critique à l'égard des défauts spécifiques des femmes.  Bref, les révolutionnaires en peau de lapin que j'ai en vue ne se sont pas rendu compte qu'en voulant libérer les femmes et surtout en associant le lesbianisme à leur cause, les gays se sont bel et bien tirés une balle dans chaque pied et même, pour commencer, en pleine tête.

Nous avons présentement sous les yeux et pour ainsi dire la quinte essence de ce que le lesbianisme moderne, qui n'est qu'une résurgence d'un assez mythique "amazonisme", est capable de produire comme phénomène toxique et franchement asocial au plus au point.

Non non et non ! Les féministes extrémistes qui ont forgé la "théorie du genre" ne sont pas les amis des gays et ou des "bi", à moins que des derniers ne consentent à leur abandonner la gouvernance du monde pour mieux s'amuser entre eux et je dois me résoudre à constater que tant du côté des mâles "hétéros" que de leur homologue d'en face, c'est bien parti. La démission est pour ainsi dire accomplie et je ne vois pas l'ombre de la plus timide des réactions pointer à l'horizon. Côté "macho", ils sont contraints à une repentance de façade mais sont probablement à jamais paralysés de frayeur devant l'arrogance et la violence verbale de la nouvelle vague du féminisme ambiant. Côté "homo" on a à faire avec des aveugles et des sujets totalement illusionnés qui ne réclament qu'une chose : qu'on les laisse se branler entre eux et plus en cas d'affinités moins superficielles.

Les facilités de divorce pour consentement mutuel, la disparition probablement achevée de toute possibilité de "faute" opposable aux mères, avec comme corollaire et de toute façons, la condamnation pour le père d'éventuels enfants à payer une pension alimentaire copieuse du fait de la complète colonisation des possibilités de jugement et donc de verdict verdict dans les affaires de litige familial par une nuée de nouvelles magistrates, plus la complète dédiabolisation des mères célibataire avec la possibilité de piéger le pauvre con assez stupide pour ne pas discerner qu'il pourrait avoir affaire avec une traîtresse en puissance et pour, dans peu de temps, la PMA pour les lesbiennes, plus la colonisation de l'enseignement de la petite enfance au bénéfice exclusif des femmes pour les maternelles et quasi exclusive pour les petites classes, on a là un dispositif particulièrement calamiteux qui permet à la gent féminine de s'assurer l'exclusivité du formatage à venir des garçons. De l'ensemble de ce dispositif aberrant, on en voit fort bien les résultats catastrophiques bien que le processus n'ait point encore atteint son terme.  Il va sans dire que les garçons susceptibles de sortir d'un tel genre de moule éducatif, si par miracle je pouvais retrouver la vigueur des ma vingtaine, j'aurais plutôt envie de leur cracher dessus, voire de les battre comme plâtre que de tenter de leur procurer une évasion en direction d'une 7ème ciel. J'ai eu sous mes yeux ébahis le genre de chiffe molle plus ou moins hystérique que produit le "système" dont je viens d'ébaucher la description et on appelle ça un remède contre l'amour.

Maintenant quand à voir dans les buts assignées à la "forgerie" que constitue la "théorie du genre" une libéralisation proche de la "pédophilie", il est évident que si c'est une idée fort commune dans une mouvance que l'on qualifie d'évangéliste il est clair que les crétins et les crétines qui professent cette thèse non seulement se fourrent le doigt dans chaque oeil jusqu'à l'épaule alors qu'il est parfaitement évident que jamais les féministes dont on parle, qui faut-il le rappeler, sont toutes des lesbiennes viscéralement hostiles aux mâles, ne sauraient permettre une telle licence.

J'ajouterai à ce propos qu'on ne peut pas voir clair dans le domaine judiciaire correspondant en se fondant sur le contenu de décisions de justice quand il semblerait que cela coûte moins cher de violer un ou une mineure que d'avoir milité et faire la guérilla en temps que Gilet jaune. Premièrement pour pouvoir juger des décisions de justice dans les affaires de mœurs concernant des victimes mineures, il faudrait, pour commencer, que l'on puisse jouir des comptes-rendus objectifs d'une presse grand public moins servile et surtout plus soucieuse et surtout plus apte à rendre compte du contexte, des circonstances d'un genre d'affaire fort délicat de par leur nature même.

Il est clair que l'innovation consistant à avoir, tout récemment encore, vu l'imposition d'un âge de consentement, tant en France qu'en Belgique d'un âge de consentement qui n'avait jamais existé auparavant ne va pas du tout dans le sens et en faveur d'une prochaine banalisation de la "pédophilie" mais d'une dramatisation systématique et outrancière du phénomène. L'âge de la majorité sexuelle ayant été fixée à 15 ans, je m'étais imaginé qu'en franchissant cette limite, on s'exposait à une condamnation systématique. D'une certaine manière cela a bien été le cas, je me rappelle d'une affaire dont j'ai été témoin et pour laquelle le juge aurait requis, pour un jeune adulte que j'ai croisé, une condamnation sous prétexte de soustraction à l'autorité parentale. Un parti assez révoltant dans la mesure où si le jeune garçon s'est laissé séduire par l'adulte c'est d'abord parce les parents le laissaient traîner à sa guise et ne s'en ont soucié que comme d'une guigne.

Bien évidemment, les juges sont plus coulants quand il s'agit d'une relation en mode "hétéro". Dans la pratique, je ne vois pas trop ce que l'innovation va pouvoir changer dans la mesure où faute de pouvoir réclamer une pièce d'identité, surtout à un jeune partenaire on risque toujours d'être trompé par un développement physique faisant paraître le pseudo victime nettement plus âgée qu'elle ne l'est en réalité.

L'idée que l'on s'acheminerait vers une quelconque banalisation des actes dits "pédophiles" ne tient absolument pas la route, du moins pour ce qui concerne le commun des mortels car il est non moins clair que les privilégiés de la fortune bénéficient qu'une possibilité de protection et de complicité plus ou moins variable selon les temps et les circonstances.

Ce sur quoi je veux insister et ce sera ma conclusion la plus essentielle : c'est que prétendre s'informer correctement du genre de problème de société plus ou moins nouveau par le biais de vidéos à visée plus ou moins sensationnaliste ou encore vouloir juger de l'évolution d'un système judiciaire sans s'être donné la peine, comme je l'ai fait moi-même dans les années 85 de mettre en perspective l'évolution de certains articles disparus de l'ancien code et même la création de délits nouveaux, j'appelle cela un "péché d'orgueil" !

A ce propos, j'ai assisté, non sans effroi à la transformation de l'ancien délit d'attentat à la pudeur (qui était automatiquement "indexé" sur l'évolution naturelle des mœurs ambiante) en délit d'exhibition sexuelle. Cette transformation implique un risque : si me rendant en ville j'éprouve une envie pressante de me soulager et de pisser quelque part alors que les sanisettes ont disparu et qu'il faut un "passe sanitaire" pour commander un chocolat ou un coca dans le seul but de pouvoir occuper momentanément les toilettes d'un  café, on risque gros en se soulageant dans les rares petits coins de nature que ménage encore les cités peuplées. Il s'agit en général de jardins publics où des enfants évoluent. Le risque est double : celui d'être pris pour un "pédophile" exhib et celui d'être accuser de crime de pollution anti écologique !

Franchement, çà ne me fait pas du tout rire et dans la métropole proche de mon petit coin de montagne, je ne connais qu'un seul exemple de "chiottes" payantes et il se trouve sous la place Masséna où il existe un parking souterrain. Me semble t-il !!!! Il faut se trouver pas trop loin et bien calculer son itinéraire passé un certain âge.

Je pourrais écrire une encyclopédie sur le genre la façon dont notre prétendue "société" part en couilles quand à la gestion des problèmes susceptible de siéger ou de provenir des parties intimes situées sous le niveau de la ceinture.

Encore un exemple d'ordre judiciaire : dans notre Code pénal l'article définissant le recel se trouve dans la partie du code portant sur les atteintes aux biens. Comment se fait-il que le célèbre avocat parisien qui s'est fait agonir jadis en insistant sur le fait que l'affaire Dutroux fut avant toute chose une affaire de proxénétisme et non de "pédophilie" l'ait point profité de l'occasion pour dire qu'il est logiquement impossible d'appliquer le recel à la détention de représentation virtuelle d'atteintes à des personnes. Je ne vois pas d'inconvénients à ce que l'on continue de faire peser une menace sur un certain type de collectionneurs en déplaçant et en modifiant cette définition du recel mais là encore on pourrait se permettre d'objecter qu'une fois encore le recours à ce type de pornographie dans la mesure où il est apte à soulager un besoin pressant à cet égard et que par la même occasion il n'incite aucunement au passage à l'acte dans la vie réelle vu l’opprobre qui s'y attache et qui équivaut à une véritable "mort civile".

Au contraire, on objecte que l'existence de cette sorte d'imagerie et la possibilité d'entrer en contact par simple inadvertance présenterait un caractère contagieux. En vérité, la contagion ne saurait exister vraiment que dans la mesure où il existerait une prédisposition or dans ce cas précis, d'une entrée en résonance, ce n'est plus d'une contamination qu'il s'agirait mais d'une révélation de sympathie. Sans vouloir forcer l'argument, on pourrait rappeler qu'il vaut mieux avoir bien identifier les modalités précises de nos propres fantasmes pour les mieux maîtriser.

C'est ainsi que j'en viens à dire quelques mots sur la vidéo de Karl Zero qui totalise 1 heure et 37 minutes : à la fin de cette vidéo il en vient à déplorer que l'on en est venu à se confiner dans une démarche purement punitive, qui conduit inévitablement à des récidives quand, dans le système français, on n'a rien fait ou faut peut pour permettre que les obligations de soins prononcées lors des condamnations soient rendues effectives. Si l'auteur visé a bien pointé une carence, je crains qu'il ne s'agisse que d'une simple manipulation assez franchement démagogique qui n'excuse aucunement les lacunes de l'instruction à laquelle, le personnage s'est livré. La vraie question étant celle de savoir si on peut vraiment "guérir" un "pédophile". Sauf en abolissant par un traitement hormonale toute libido sauf que je saurais décorer çà voir là une véritable "guérison" quand il ne s'agit que de poser une camisole chimique.

Quant à la thèse selon laquelle un gosse qui aurait été violé dans sa prime enfance et aurait refoulé le choc en l'ayant  complètement oublié au point d'être livré à une sorte de fatalité qui le contraindrait, le moment venu, à ne pouvoir résister à la tentation d'agir de même au détriment d'une nouvelle victime, j'ai le droit d'être assez franchement dubitatif. Quant un phénomène aussi contraignant vient à s'imposer brutalement à la conscience de quelqu'un, je pense forcément à un phénomène en rapport avec la possession ou l'infestation de la part d'une "entité" plus ou moins étrangère à la personnalité de l'intéressé. Et l'on sort forcément du cadre de la psychologie mondaine en vigueur qui nie le caractère plus ou moins "démoniaque" de ce genre de phénomène.

Nul doute qu'il faille susciter la résurgence du souvenir de l'abus et en disant cela je pense fortement à un certain visiteur de l'été qui pourrait avoir été concerné. Sauf que si j'ai visé juste, sa violence se limiterait à toujours se débrouiller en faisant en sorte d'imposer avec force l'idée très artificielle et même incohérence qu'il s'est faite de la parfaite orthodoxie de son modus vivendi à base de séduction tous publics...  Quand un jeune homme ne paraissant que 25 ans se mêle de vouloir dire à un homme de 74 ans comment il devrait procéder pour agrémenter son existence en faisant en sorte de se procurer un compagnon par voie d'annonce à partir d'un site généraliste où l'on trouve des rubriques de rencontres pour tous les goûts tel Wannonce, on se demande s'il convient d'en rire ou d'en pleurer !

J'ai bien tenté en rompant avec une vie citadine de tenter ma chance. Il y avait déjà une bonne dizaine d'années que j'avais abandonné toute idée de trouver chaussure à mon pied, ne serait-ce que de manière très occasionnelle en fréquentant les derniers lieux de drague à ciel ouvert qui depuis lors ont été probablement complètement désaffectés.

Le résultat s'est soldé par un bref contact épistolaire et téléphonique avec un beau gars assez carré de visage complètement détruit et qui ne vivait que la nuit et une paire de malades incapable d'affronter le moindre contact dans le monde réel. C'est vraiment quelque chose de très flippant et qui n'existait pas encore au lendemain de mai 68 quand j'ai m'étant affranchi d'une partie au moins de mes peurs je me suis extrait du vilain placard où je risquais de terminer mon existence. A cette époque des aînés m'ont expliqué qu'il fut un temps où les agressions dans les pissotières qui constituaient les lieux de contacts les plus évidents étaient encore à venir. c'est sans doute exagéré mais il est cependant bien établis que les  vrais ennuis auraient débuté à la faveur de la visibilité croissante du phénomène et l'innovation constitué par notre détestable "mariage pour tous" n'a guère fait que relancer le genre d'agressivité que je viens de pointer.

Ceux qui ont encore l'âge requis pour se conformer aux goûts de "jeunisme" en vigueur n'ont pas besoin de passer des annonces. Il leur suffit de paraître dans des endroits spécialisés à la mode pour être plus ou moins sollicités. Le visiteur auquel je pense devrait se hâter grandement qui se plaint au contraire d'en être ou d'en avoir été plus ou moins submergé.

Enfin, j'ose espérer que mon analyse de ce phénomène que l'on tend a amplifier autre delà de toute mesure raisonnable de sorte que si on voulait créer un mouvement de panique on ne s'y prendrait pas autrement ne choquera pas trop. Elle me parait être d'une logique parfaite et je mets au défi quiconque de pouvoir la contester sérieusement.

Et je terminerai en soulignant que l'idée que l'on se fait des licences et de l'impunité censé constituer la cerise sur le gâteau dévolue à une certaine fausse élite doit bien faire la faire jouir car ceux qui lui prêtent toutes sortes de "cochonneries" plus ou moins meurtrières ne sont pas très malins quand ils font mine de cacher leur excitation sexuelle sous couvert de l'émotion se voulant très vertueuses qu'ils affectent à grand renfort d'appel à la répression pour tenter de nous convaincre de leur solidarité envers les jeunes victimes

Il faut rappeler qu'une maxime stipule que tout ce qui est excessif est forcément insignifiant et donc trompeur. Pour ma part je ne peux pas me laisser gagner par une émotion plus ou moins insincère sachant à quel point, pris individuellement, hormis les cas de sévices avérés dans l'affaire de Zandvoorst, certains abus sont loin d'avoir toujours été vécu de la façon tragique que l'on voudrait nous faire gober. Dans le cas des curés abuseurs, si la récente enquête n'a fait ressortir que la frange de 10 à 13 ans pour les garçons, cela ne veut aucunement dire qu'il n'y ait point eu d'abus au delà de ces âges encore puérils. C'est que les plus de 13 ans  ont toutes les chances de s'en être accommodés et même d'en avoir tiré parti d'une façon ou d'une autre. Faut-il les blâmer ? Point que je sache et tout ce que je peux dire et même redire c'est que le plus beau des jeunes curés ne saurait me faire bander et cela tout simplement parce que le chantage sentimental auquel se livre la version romaine du christianisme, quant à vouloir nous priver d'une sexualité et nous prétexte que l'on offense notre "Sauveur" en se livrant à ce que défend en principe l'église m'est chose parfaitement odieuse.

Pour votre serviteur, aux yeux de qui la sexualité de ceux que l'on insulte encore systématiquement en les traitant de "païens" (paganus = paysans) reste une chose très saine voire assez innocente, le discours visé ne peut avoir aucune espèce de prise. Quand aux curés qui dérogent aux interdits du Lévitique, ce n'est pas que je respecterais le caractère "sacré" de leur personne mais en me "mélangeant" à de telles personnes j'aurais surtout l'impression de saloper ce que j'aime. Donc ces curés ne sont pas à leur place et il devraient changer de métier et abandonner la croix pour un job de coach sportif par exemple.  Je pense, en disant cela, à une de mes récents patrons, un excellent pianiste au demeurant qui m'a permis de retrouver un poste dont un collègue monégasque m'avait fait chasser et ce contre plusieurs personnes qui ont tenté de le dissuader d'accepter ma candidature. Je n'ai pas tardé à comprendre de quel bois il aimait à se chauffer du moins à l'époque où, en tant qu'étudiant il résidait dans un ancien séminaire transformé en hôtellerie proche d'un lieudit baptisé Coco Beach, terrain de chasse bien connu des nikkaïens homophilesques. Un lieu dont il ramenait ses proies pour les purifier sous une des douches existantes avant de les consommer dans sa chambre. Cet homme encore jeune, qui était très courtisés par des jeunes femmes de sa paroisse dont l'aveuglement n'était pas nécessaire pour me convaincre que la thèse d'une intuition spécifiquement féminine est une grosse foutaise a réussi le prodige de susciter chez un Maire des environs la croyance en le fait qu'il aurait séduit et détourné à son profit une créature sur laquelle il avait des vues.

Tout cela pour dire que lorsqu'à la fin d'un office, il m'a demandé ce que je pensais du "mariage pour tous", je l'ai invité en prendre connaissance de la découverte de l'historien John Boswell à propre de l'existence de bénédictions de couples de même sexe côté orientale bien avant la formalisation tardive du mariage chez nous autres. Et la semaine suivante, je luis ai remis, sous pli acheté, et très discrètement des photocopies tirée d'un des livres de l'historien américain et ont n'en a plus recausé. Il m'a défendu et soutenu quand j'ai été victime de certaines manigances comme celle qui m'avait empêché, par défaut d'information d'être à mon office lors du passage de l'évêque.  Et je terminerai cette Nième parenthèse en disant  que son nom de famille augurait la possibilité d'avoir à souffrir d'une grande frustration... Ce blaze exprime la négation de toute espèce de possibilité de sa part de plaisir joyeux. Je ne peux pas en dire davantage sinon qu'il a bien failli sombrer dans l'alcoolisme et à disparu subitement pour cause de prétendu burn out !

Revenons à notre élite,  il est clair qu'elle jouit littéralement de pouvoir inspirer et l'envie et même une certaine fascination pour ses frasques réelles ou supposées. Mais c'est pire encore car à l'envie se mêle la peur quand on rapproche la croyance en son impunité de la multitude des abus plus ou moins criminels qu'à engendré le fait, pour la même élite, de tabler sur la pétoche à propos d'un virus a qui l'on n'aurait depuis longtemps réglé son compte si on avait laissé les médecins faire leur job librement.

Non seulement ceux qui, comme Karl Zero absolument exagèrent sciemment la proportion des abus commis et ce pour pouvoir vivre aux dépens de ceux qui écoutent ce manipulateur des plus détestables mais se laissant convaincre, comme le font les dupes de ce fort détestable personnage, ils se trouve que la fascination et le mélange d'envie, de jalousie et de peur fait le jeu de ladite "élite" mais jusqu'à un certain point seulement.

Et je pense à une histoire de lavage de linge sale familial en public par le biais d'un livre qui a récemment affecté et sali à jamais la réputation d'un homme qui a en quelque sorte "cocufié" un ancien ministre en prenant sa place au près de son ancienne épouse.. Si j'ai bien compris... Je parle bien évidemment de l'affaire Duhamel qui a reconnu des faits d'amour incestueux sur la personne d'un beau fils qui avait moins de 15 ans à l'époque. Il n'y a pas lieu, en pareille occurrence, de se demander si oui ou non le gosse, s'est accommodé de la chose et y a trouvé plus ou moins de contentement. Je me bornerai a simplement constater que quand on occupe une fonction en vue au sein du Conseil constitutionnel, prendre en pleine poire la mise en pâture au bénéfice des "sans dents", la révélation qui leur a été faite d'une pareille incartade, çà doit être excessivement douloureux ! Le fait est que ceux qui ont signé une certaine pétition pro-pédophilie se retrouvent en assez fâcheuse posture et si ma mémoire est bonne çà aurait été l'occasion pour un certain Jacques Lang de se ridiculiser par une série de lapsus en voulant se défendre de la "connerie" qu'il a reconnu avoir commise à ce propos.

Pour ce qui me concerne et alors que je m'occupais encore de l'organisation de colloques astrologiques j'ai été sollicité, il y a fort longtemps, à quelques kilomètres à vol d'oiseau d'un village que j'aperçois de mon balcon pour prendre la succession d'un certain Tony Duvert auprès d'un jeune garçon qui avait été son "pupille". Il s'agissait de libérer la mère qui se disait prof de yoga et qui répondait au prénom ou pseudo de Sarah fondatrice d'une association des "Mille soleils". J'avais eu l'occasion chaque matin d'entendre, de la chambre qui m'avait été assignée, la génitrice indigne recevoir son gamin dans son lit en le persuadant qu'il aurait été son amant dans une existence antérieure... Bien évidemment, j'ai refusé tout net de rendre à cette femme le service réclamé, laquelle m'avait voulu brancher en me voulant persuader que, sous prétexte de "terreurs nocturnes", son fils accourait dans mon lit dès le premier soir. Ce à quoi elle n'a pas manqué d'ajouter que des amis à elles avaient apprécié la disponibilité de son rejeton.

Je vais pas me faire plus vertueux que je le suis, mais j'avais réservé mon billet de retours, des obligations m'attendaient à 900 km, j'étais un photographe spécialisé en architecture et à ce titre j'ai travaillé pour les Affaires Culturelles au temps d'un certain Maurice Druon. Le calcul a été très vite fait : s'emmerder toute la sainte journée en une saison de pluie battantes pour attendre, le soir venu, les faveurs éventuelles d'un môme qui devait avoir 12/13 ans à l'époque autant que je puisse m'en souvenir et ne m'a jamais manifesté le moindre intérêt durant les quelques jours passé. D'autant plus que j'avais assisté à des scènes de caprices fort surréaliste dans les lacets d'une route de montagne proche un soir de pleine lune. En résumé, j'ai surtout eu l'impression, vu l'inconsistance de l'appât posé sur mon passage d'avoir été pris pour un con ! Il s'est agi du héros d'un livre intitulé Quand mourut Jonathan...

J'ignorais tout de l'auteur et de son élève et bien j'ai été subitement édifié à propos du mouvement pro pédophile dont il a fait partie et j'ai de suite pris conscience que ça allait engendrer une réaction excessivement négative. Et je me vois encore livrer une prédiction à un arrêt de bus du quartier de Cimiez à l'auteur d'un programme de calcul astrologique utilisable sur les médiocres calculettes dont on disposait à l'époque. Des années plus tard ayant été victimes des accusations d'une femme dont il s'était lassée, il s'est vu convoquer par les gendarmes au sujet du commerce illicite qu'il était censé avoir entretenu avec la gamine mineure de cette femme.

Et ce qui m'a frappé quand, rentré à Paris, j'ai voulu dénoncer l'indignité de la mère auprès des collègues, c'est le refus de ses derniers d'entendre mon histoire. Il s'est agi d'un singulier mélange d'hypocrisie très classique avec l'opinion de certains selon laquelle ce genre de dérive n'est pas grave.

Pire encore, mon patron de l'époque, m'a remplacé à mon insu de plein gré par la mère indigne qui m'a supplanté en temps qu'elle a pris ma place au second rang d'une association qui n'a existé que très virtuellement. Ledit pseudo Jonathan a bien sûr fait partie des passagers d'une certaine école en bateau dont le "capitaine" a été traduit en justice longtemps après.

Ce qui m'oblige à souligner que dans le genre d'aventure dont on cause, il faut distinguer entre des systèmes à visée soit disant éducatives conçus par des prédateurs complètement addict à de la chair trop fraîche et les liaisons individuelles qui peuvent se nouer entre un mineur et un adulte soucieux de le faire grandir en usant de son ascendant pour son bien. Dans le cas de l'école en bateau ce qui a constitué un véritable enfer pour les moussaillons qui n'eurent pas la chance de vraiment émoustiller la patron du rafiot, c'est d'abord la concurrence entre gamins susceptible de plaire et ceux qui faute du charisme adéquat ont été les plus malchanceux. La vrai problème il était là et pas dans le fait que les plus chanceux ont forcément trouvé du plaisir dans la faveur sexuelle dont ils ont bénéficié.

Une idylle entre un adulte encore jeune et un mineur est une possibilité qui n'est pas susceptible de m'offusquer sauf que tous les risques sont pour l'adulte et je ne suis pas sûr que le jeu en vaille la chandelle. C'était concevable et même assez bien toléré avant et juste après mai 68 et ça arrangeait souvent les parents quand le fils était un peu difficile et qu'un oncle ou même un étranger parvenait à le littéralement transformer mais à ma connaissance une telle éventualité ne fait plus partie des choses possibles et admises.

Enfin quand, comme cela a été mon cas, on revendique plus ou moins implicitement une sorte de "magistère", on ne peut pas se permettre de prendre ce genre s'embarquer dans ce genre de "galère". En effet, ce qui caractérise les vrais "pédophiles" c'est leu goût pour une certaine forme de puérilité, je les perçois avant tout comme des débiles assez méprisables.

Enfin, pour en terminer avec le sujet très "tabou" que j'ai abordé, il est exclu de juger le genre de situation qui peut se produire en partant du point de vue moral qui a cours dans le monothéisme auquel nous sommes accoutumé. Et qui a fortement déteint sur la nouvelle morale purement laïque. Il y a quelque chose de positif dans le fait qu'en France 3000 prêtres auraient déraillé durant les 70 dernières années : d'une part le chiffre avancé m'a l'air d'une estimation à minima et c'est surtout que la hiérarchie romaine ne peut plus se permettre de trop insister sur un certain interdit sans prendre le risque de s'exposer à ce qu'on lui rie au nez. Et pour ce qui me concerne, si je me suis toujours senti très mal à l'aise dans une église au point que le plaisir procuré par certains concerts en soit plus ou moins gâché et j'ai accepté de remplir l'office devenu mien pour en quelque sorte me désensibiliser. Il ne s'agissait pas de devenir ou même de redevenir "pieux", j'ai toujours été critique et peu réceptif à l'égard des manifestations trop dévotes et je mets en valeur un instrument de qualité et je m'abstiens de sortir de ce rôle purement artistique en pratiquant sur place l'obligation de réserve qui s'impose dans toute fonction qui se respecte.

Si le christianisme, côté latin, a fonctionné à peu près convenablement jusqu'au XIIIème siècle environ où l'attention s'est concentrée autour d'une fascination envers la sodomie qui n'avait pas encore revêtu de sens contemporain et exclusive de crime contre la nature par le biais de relations anales c'est tout simplement parce qu'un restant de bon sens antique a tempérer l'espèce d'idéologie fallacieuse qui commence d'affleurer dans une certaine Lettre aux Hébreux d'un non moins certain Paul de Tarse...

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