25/06/2018
Dans série "hygiène sociale publique" : si on parlait un peu de l'ortographe dite "inclusive"
Mises en bouche
La dame figurant ci-contre est actuellement l'une des héroïnes révolutionnaires revendiquées par les féministes partisane de l'orthographe inclusive. Elle s'appelle Olympe de Gouges, une "lumière" comme on va le voir ! Sur cet citoyenne voyez Wikipédia.
Ce qui m'enhardit à persévérer dans ma croisade à l'encontre d'un certain féministe non pas égalitaire mais franchement dominateur, c'est que j'ai eu l'occasion d'échanger avec des représentants de mon sexe. Mon cardiologue d'abord : je ne l'avais pas vu depuis 4 ans, j'ai renoué pour un examen de routine mais rassurez-vous ou plutôt inquiétez vous ! Mon électrocardiogramme est parfaitement stationnaire. Donc s'il m'arrive d'être sujet à des coups de pompe, j'espère encore faire chier quelques semblables pendant encore assez longtemps à défaut de "faire chier le monde" ce qui serait assurément faire preuve d'une prétention bien excessive.
Ensuite je suis allé quérir des ouvrages d'hématologie, de bactériologie de parasitologie dans une grande librairie locale. Le visage du vendeur s'est éclairé bien que je ne fréquente guère cette maison depuis environ 15 ans. On se connait mais j'ignore jusqu'à son prénom. Cet accueil sympathique m'a incité à le sonder sur le sujet qui me tient à coeur. Il s'agit d'un homme jeune très modéré mais j'ai regretté de n'avoir pas pu enregistrer la conversation qui m'a inspiré, dans un post précédant un ajout au sujet de l'affaire Weinstein et des points faibles que constituent ce petit accessoire qu'on appelle pudiquement "roubignoles". Ici on a un nom charmant pour désigner la chose, cette partie très sensible de notre anatomie ça s'appelle un bicou...
J'ai évoqué dans le même post le dégât causé au sein de l'église romaine par l'infiltration de pas mal de femmes, entre la hiérarchie sacerdotale et la clientèle en général. J'avais oublié de vous en dire une bien bonne. J'ai eu l'occasion de discuter récemment avec un curé qui essaie de perdre son trop plein de lipides en suivant les recettes d'une certaine Sainte Hildegarde et en faisant du jardinage "bio". Soit dit en passant, ça n'a pas l'air très efficace néanmoins ses aubergines cuites au vinaigre et conservées dans de l'huile sont excellente et alors que je venais quérir une commande, il m'a reçu bien gentiment et m'a demandé si je savais comme lui et ses collègues appellent les femmes de diacres. Je n'en avais pas la moindre idée alors il a accepté de m'affranchir : Entre confrères ils les désignent comme n'étant que des DIA-CONASSES ! Excellent non ?
L’orthographe inclusive, d'où ça sort ?
On notera pour commencer, qu'il y a des éditeurs fêlons qui pour être dans le vent sont prêts à publier les pires cochonneries. C'est ainsi que Hatier publié un manuel d'écriture inclusive, pour n'être pas en reste. Comme l'Education Nationale est un espace où la parité est effective de longue date. La flatterie à l'égard des "bonnes femmes" ça peut payer sauf que je connais pas mal de femmes tout court, qui exècrent les manigances des féministes.
Vaste question ! Ma thérapeute en MTC a essayé de me persuader que le féminisme serait une invention américaine. Que nenni ! Certes ce sont bien certains oligarques yankee qui ont incité les femmes à prétendre se libérer en fumant comme des pompières et surtout en travaillant car il s'est agi de remplir les caisses du Trésor Public. Il y a certes derrière le "gendrisme" en vogue toutes sortes de menées fort suspectes et possiblement une volonté de neutraliser ce que représente et implique la différence des sexes afin d'unifier et d'élargir, autant que possible, divers marchés de consommation. Disons que le mercantilisme ambiant essaie de faire feu de tout bois mais il n'empêche que si l'orthographe dite inclusive parait prôner une "égalisation des chances", c'est encore une volonté de domination sans partage des femmes qui est à l'oeuvre derrière cette "saloperie" sémantiquement ingérable et catastrophique.
Petit détour à propos du phénomène "queer"
Le numéro 2390 du Point du 21 juin 2018 a consacré un article à cette nouvelle "révolution sexuelle". Je n'entreprendrai pas d'en faire la recension car le sujet est assez abscons mais je dois à la vérité de dire qu'il y a des "trans" assez réussi et même, au moins en apparence, parfait. Je trouve le fameux "Dimitri" de Plus belle la vie non pas seulement convainquant car je m'y serais laissé prendre s'il avait sauté dans mon lit. J'évoque l'acteur Jonas Ben Ahmed qui est apparu dans l'enfer terrestre en tant que fille...
L'illusion est parfaite. En tenue d'Adam, je ne sais, je demande à voir Il fait appel à la chirurgie pour se faire greffer ce qui lui faisait défaut et on a le droit de se poser des questions sur la fonctionnalité de la "chose". Est-ce qu'elle manifeste son contentement quand on la la caresse dans le bon sens ? Est-ce que la "chose" communique son éventuelle satisfaction à son porteur. Ce dernier nous a promis de publier des photos artistiques de sa transformation et j'attends ça avec beaucoup d'intérêt. Je sais que la chirurgie fait des miracles mais je m'attends tout de même à certaines limites...
Enfin, quoiqu'il en soit, si tant est qu'il fréquente les boites gays, on doit s'arracher ce Jonas, sauf qu'on ne semble pas savoir de quel genre bois il aime à se chauffer...
Quoiqu'il en soit la transformation est assurément réussie et ce qui en résulte est hyper sympa. L'article du point présente un autre exemple apparemment tout aussi indécelable.
Et si ces transformations font le bonheur de quelques uns, bienvenue chez les nouveaux opprimés que nous sommes ! Sauf que les transformations inverses me paraissent infiniment moins heureuses. Déja que je trouve que bon nombre de filles sont "contrefaites" de part leur comportements maniérés conçu à des fins de séduction alors quand on recourt à des artifices pour singer un sexe qui à tendance à en abuser, j'ai tendance à prendre mes jambes à mon cou !
Recherches sur l'origine de l'orthographe inclusive
En bon français l'orthographe inclusive a quelque chose à voir avec le langage épicène :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Langage_%C3%A9pic%C3%A8ne
Cet article donne quelques repères quant aux étapes qui sont à l'origine de cette manigance. Officiellement, c'est en 1998 que serait apparu un décret invitant à la féminisation de certains titres. On ne voit aucun inconvénient à dire Madame la directrice, ou Madame la présidente, à distinguer avocat et avocate tant que tout cela reste euphonique.
A gauche Eliane Viennot qui est pour beaucoup dans la vogue de cette orthographe se présente comme professeuse. Je suis désolé mais j'entends suceuse, pisseuse et tout ce que l'on voudra dans ce style. Sans doute faut-il être un assez fin musicien pour comprendre ce que c'est qu'un parler euphonique.
Le ridicule n'a jamais tué personne et bien c'est ma foi très regrettable car il aurait débarrassé ce monde d'une bonne partie des "pitresses" et des mauvaises comédiennes qui le rendent parfois si déplaisant. Eliane Viennot, à des titres, c'est qu'elle fait partie de ces nouvelles "femmes savantes" qu'un certain Jean Baptiste Poquelin à prestement "croquées". Pour ma part, je n'ai pas envie de "croquer" ce genre de personnage, je n'ai pas la moindre envie de m'empester la bouche. Je préfère traiter la chose à l'arme blanche soit à fleuret pas trop moucheté, cela me semble nettement plus viril.
Le Figaro, qui est l'un des médias bourgeois les plus haïssable a donné la parole, à cette "drôlesse" qui veut se faire passer pour intellectuelle distinguée . Voir :
http://www.lefigaro.fr/langue-francaise/actu-des-mots/201...
Voici un extrait :
Que pensez-vous du terme «Homme», qui, avec une majuscule permet d'associer le féminin et le masculin?
C'est une invention. En français, le mot «Homme» avec ou sans majuscule veut dire «homme». Ce n'est pas la traduction du mot latin Homo, qui voulait dire «homme» et «femme» (le mâle humain étant désigné par vir). Le vrai mot qui désigne l'humanité, c'est «humain». C'est ce qu'ont compris beaucoup de pays. Depuis 1948 d'ailleurs, on parle de «human rights» ou de «derechos humanos». La France, elle, campe sur «l'homme», en prétendant que ce terme englobe les femmes. Mais si c'était le cas, les Françaises auraient été citoyennes dès 1789! Or elles ont dû attendre 1944.
Cette femme raconte des conneries. Quand on parle de l'homme en général, on traduit par l'être humain ce qui englobe les deux aspects sexués de l'humanité.
L'homme est du côté du Ciel et la femme de la Terre !
Ce qui emmerde les femmes c'est qu'en français le masculin l'emporte toujours sur le féminin. C'est intolérable mais c'est parfaitement normal ! L'homme est du côté du ciel est c'est la raison pour laquelle les dragées des baptême de garçons sont bleue et non roses. Elles sont roses pour les petites cochonnes et les futures salopes donc une certain Catherine Deneuve s'est entourée pour brailler à la face du monde qu'elle adore qu'on lui mette la main au cul. Il est prouvé que les filles peuvent devenir des garçons très très présentables, voir ci-dessus. L'inverse est beaucoup moins assuré...
L'homme est du côté du Ciel car il fournit la semence, dans la procréation la femme est du côté de la Terre, elle est un réceptacle passif. Je sais que cette hiérarchie naturelle est difficile à avaler mais toutes ces femelles acharnées à vouloir dominer les mâles oublie que le Ciel les a gratifié de compensations sous la forme d'une possibilité de jouissance sexuelle d'un caractère nettement plus infini. Voir à ce sujet le mythe grec à propos d'un certain Tirésias qui a fait successivement l'expérience des deux possibilité et qui a quantifié la différence d'intensité comme étant de 9 à 1. C'est du reste là que réside la raison pour laquelle il a fallu édicter des lois assez strictes pour qu'à cause de cette possibilité de jouissance quasi infinie, les femmes n'embrasent pas toute la société en la transformant en véritable lupanar.
A propos de certains inégalités en matière d'orgasme
Mais que ces femmes n'aillent pas s'imaginer que j'envie leur possibles performances en matière d'extase érotique. Bien sûr, la encore, si la plupart sont devenues frigides, c'est encore de notre faute. Nous ne savons pas nous y prendre avec les douces créatures que sont les femmes. Nous allons trop vite, nous ne sommes que des brutes, des prédateurs qui nous servons d'elles comme de Kleenex.
Les hommes ont pris l'habitude de compenser, voire de sublimer leur relative infériorité sous ce rapport en développant un type de sociabilité qui compense largement et qui font que pour exister parmi leur pairs et n'être pas mis au banc de la société, ils se doivent de se tenir. Bien évidemment cet édifice subtil est en train de foutre le camp tous sexes confondus.
A ce propos, j'ai signalé l'existence d'une "curiosité" appelée Aneros, qui est censée avoir été inventée pour soigner les prostates et qui permettrait aux mâles d'atteindre des orgasmes à répétition de type féminin. Je n'ai pas essayé car je suis vraiment trop mec pour avoir pris un tel risque, coucher avec des mecs tant que je garde la maîtrises des opérations ne m'a jamais posé le moindre problème. Mais quand un hétéro s'est risqué à me draguer en me prenant pour ce que je ne puis pas, ça c'est toujours mal passé. En revanche, je constate que quand l'un d'eux aspire à s'éclater, il a tendance à changer de camp brutalement et à se faire défoncer en long en large et en travers et en gueulant comme une truie qu'on égorge. Bonjour la poésie !
Notons en passant, que si l'avant Mai 68 à présenté une charme dont on ne trouve plus guère de traces du fait d'interdits relatifs, la génération montante des "homos nouveaux" se caractérise par une assez merveilleuse polyvalence. Ils se déclarent volontiers comme "auto reverse" à l'instar des cassettes aujourd'hui passées de mode. Et ils peuvent "se retourner" sans se sentir obligés de se comporter comme des folasses. J'ai le sentiment d'être arrivé à un trop tôt, pas assez avant mai 68, et de n'être plus assez jeune pour jouir de tant de disponibilité. Sauf que je ne suis pas dupe, ladite "auto reversitude" se paie d'un manque de saveur au plan gustatif. Je veux dire que les mères ne fabriquent plus que des "clones", certes attirants et tout à fait comparables aux fruits poussés à grand renforts de pesticides, ils sont bien colorés et sans tâches apparentes mais quand on mord dedans on recrache, c'est pire que de la betterave.
Et quand on essaie de compenser en misant sur une certaine recherche intellectuelle, on n'est guère mieux lotis. On recherche vainement des philosophes à l'humour à la fois vache et flamboyants.
Olympe de Gouges, une "précurseuse" de l'orthographe inclusive ?
C'est la thèse de la "femme savante" que je viens d'évoquer. Allons donc voir ça de près... Pour commencer, j'avais pensé qu'il devait s'agir d'une lesbienne de la belle époque. Erreur, il s'agit d'une femme révolutionnaire mais au regard de cette chapitre je n'en connais qu'une qui mérite une canonisation et c'est un certaine Rosa Luxembourg. Toutes les autres "prétendeuses" en la matière n'ont aucune chance de lui arriver à la cheville !
Le préambule de sa déclaration des droits de la femme se résume à ceci : l'ignorance et le mépris des droits de la femme auraient été la seule cause des malheurs publics. Olympe de Gouges est montée de sa province natale (Montauban) pour s'ériger telle une sorte de "messie féminin", ce serait à crever de rire si ce qu'elle a préconisé ne s'était pas déjà incarné en partie avec le spectacle de cohorte de ministresses qui n'ont guère brillé que par un mélange de culot phénoménal (Ségolène "La Royale") et une incompétence notoire. L'une a plus ou moins acclimaté l'arabe en tant que seconde langue. Je regrette mais l'arabe n'a jamais été une langue européenne, elle n'a absolument aucune place dans les écoles de la république ! Enfin il faut dire à la décharge de ces femmes que du côté masculin, cela n'est guère plus brillant, loin s'en faut ! La dégénérescence des sexes est pour ainsi dire une affaire "collégiale" et en dernière analyse la faute vient des hommes. S'ils avaient su garder leur rang en montrant l'exemple, on n'en serait pas là où nous en sommes !
Nous vivons sans nous en aviser sous un régime "matriarcal", cela s'appelle une "république" ! A propos d'où vient-il que les noms de régimes soient toujours féminins : tyrannie, dictature, démocratie, démagogie qui sont autant de "vacheries" à des titres divers ! Le seul régime qui soit masculin et qui soit apte à fonctionner c'est l'absolutisme, savoir le gouvernement d'un seul homme. Bien évident, il faut pour cela que le détenteur de l'autorité soit sage, qu'il soit mesuré et qu'il aime le peuple qu'il a sous sa coupe. Louis XIV n'a pas été le mauvais prince que l'on prétend, c'est quand il a essayé de faire payer les riches que la haute aristocratie parlementaire a foutu la zone.
Comme l'égérie de notre république s'appelle Marianne le canard homonyme se devait de célébrer cette héroïne mais il n'est nulle question d'orthographe inclusive dans son combat!
https://www.marianne.net/culture/olympe-de-gouges-une-fem...
Bld Voltaire a posé la question de savoir si cette Olympe se reconnaîtrait dans les actuelles théories du genre. Bien qu'elle se soit singularisée par la rédaction d'une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne présentée, le 28 octobre 1791, on s'accorde à reconnaître que rien n'est moins sûr !
http://www.bvoltaire.fr/olympe-de-gouges-se-reconnaitrait...
Puisqu'il faut mettre les points sur les i, il faut se résoudre à souligner que ni les femmes ni les "pédés" n'ont été en reste quand à réclamer un changement de société. Sauf que les gens que mes confrères ont su briller par un humour des plus cocasses. Certes la revendication est tributaire d'une certaine féminisation qui a connu son point d'incandescence avec la littérature proustienne où les Albert(s) se changèrent en Albertine pour ne pas épouvanter les bourgeois mais on a tout de même fait quelque progrès depuis, les jeunes "homos" contemporains sont extérieurement des garçons comme les autres grâce à la malice de leur couturiers qui ont su créer un mode assez narcissique. Sauf que tout le monde il est narcissique et que le narcissisme n'est pas suffisant pour fait un "pédé", cela n'a même aucun rapport.
Parenthèse sur "les enfants de Sodome à l'Assemblée Nationale"
Voir : https://archive.org/details/lesconfdrsvrolss00maur
Vous y trouverez plusieurs titres savoir Les confédérés vérolés suivis de la calotte renversée, les enfants de sodome et les Fredaines lubriques de J.F. Maury ; facéties révolutionnaires textuellement reproduites d'après les éditions originales de 1790, avec notice.
Je n'ai pas tout lu mais je vous y souhaite bien du plaisir car tout cela est assez joliment envoyé. Surtout ce qui est important c'est la revendication des "homos" de l'époque des Lumières qui ont exigé, sans succès, que la médecine se penche sur le "Sida" de l'époque. On l'appelait la cristalline et on en mourrait. Tout ce que je sais c'est qu'il devait s'agir d'une pathologie herpétique, donc probablement virale, mais personne ne s'est soucié de résoudre cette énigme, pas même un certain Mirko D. Grmek l'historien de la nouvelle peste qui n'en a jamais soufflé mot. Pour ma part j'ai cherché en vain...
Mais le pamphlet intitulé les enfans de Sodome est un texte prédictif et quasiment prophétique, tout ce à quoi il a aspiré s'est largement incarné. La seule chose qu'il ne pouvait pas prévoir c'est l'apport de la technique numérique au développement de la pornographie et l'autisme sexuel qu'allait engendrer la marée qui en est résulté. Cela dit je n'entends pas prononcer de jugement moral sur le sujet, il existe des choses beaucoup plus nocives. C'est relativement innocent et si on tient tant à ce que cela continue, ce n'est pas uniquement parce que ça rapporte beaucoup de fric mais parce que cet "autisme" participe d'un certain contrôle social. Soyons clair : un tel déballage devrait normalement se solder par un développement exponentiel des viols et pas seulement des femmes mais aussi des garçons. Or il ne se passe rien. On monte en épingle quelques affaires mais on sait bien qu'autrefois les abus étaient très nombreux mais ils restaient cachés. Donc cela veut clairement dire que toutes ces sollicitations visuelles ont surtout tendance à rendre les hommes de plus en plus impuissants. C'est ce qui se passe quand on multiplie les sollicitations sans qu'elles puissent être vraiment assumées dans la vie réelle. Du reste les "psys" savent bien que les jeunes couples font de moins en moins l'amour. Monsieur et Madame rentrent crevés du turbin. Monsieur joue avec sa tablette et Madame se dissipe en écrivant des bêtises sur son compte Face de Bouc.
Olympe de Gouge vue par Boulevard Voltaire
Je ne lirais pas sa déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, çà doit être d'un chiant. La déclaration des droits de l'homme avec ou sans majuscules entendue comme droits de l'être humain me suffit.
Voici quelques extraits :
Cette femme, dont les féministes modernes font leur porte-drapeau, revendiquait d’être femme et ne se serait pas reconnue dans les aberrations des théories du genre.
Il suffit, pour s’en convaincre, de se reporter au texte de son manifeste où, pastichant la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, elle dénonce le fait que la Révolution oublie les femmes dans son projet de liberté et d’égalité : la Convention refusa d’ailleurs de l’examiner.
L'auteur nous dit qu'une certain Najat-Belmachinchose aurait du lire ce texte :
Voyez comme se termine le Préambule : « Le sexe supérieur en beauté comme en courage dans les souffrances maternelles reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l’Être suprême, les droits suivants de la femme et de la citoyenne. »
Commentaire du recenseur : Quelle horreur ! Donner aux femmes le privilège de la beauté, passe encore, mais celui de la maternité, n’est-ce pas scandaleux ?
Le sexe supérieur en beauté mais au prix de combien d'artifices cosmétiques? Parmi les oiseaux, je regrette les mâles sont nettement plus intéressants que leurs femelles. Voyez les poules faisanes, elles sont bien tristes. Quand aux privilège de la maternité, il est réel, c'est ce qui fait que les couples de lesbiennes sont nettement avantagés par rapport aux couples de mecs qui doivent faire appel à la G.P.A. !
Je m'arrête là car l'auteur, à mon avis n'est pas très inspiré. Il dit qu'il est regrettable qu'il ait fallu attendre le 21 avril 1944, pour que les femmes aient le droit de vote. Tout çà parce qu'elle ont conduit des tracteurs pendant que leurs hommes et leurs fils se faisaient descendre sur le front. Je ne vois là aucun héroïsme qui aurait mérité une récompense. Et oui pendant que les chats ne sont pas là les souris dansent et elles prennent silencieusement le pouvoir ! Le résultat est qu'il a suffit à présent d'être jeune et d'avoir une belle gueule (c'est relatif et ça dépend des goûts...) pour passer en force. Je suis contre le droit de vote des femmes mariées, et je ne l'aurais accordé qu'aux seules femmes célibataires.
Je continue :
Mais il n’est pas certain qu’Olympe de Gouges aurait partagé les exigences actuelles sur la parité, qui est une forme de condescendance à l’égard du sexe féminin. Elle ne se contentait pas d’affirmer que, pour les femmes comme pour les hommes, « les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune ». Loin de réclamer une égalité formelle, elle pensait que la nature masculine et la nature féminine sont différentes, voire que celle des femmes est supérieure.
La parité, condescendance ? Je dirais plutôt démagogie haïssable et le résultat on le connaît, c'est une "courge" qui a entre ses mains la gestion du sort des femmes française. Tout cela a commencé avec un certain Sarko 1er qui a foutu en l'air la Libye pour museler l'un de ses bailleurs de fond.
La nature féminine est-elle supérieur à la nature féminine ?
La seule chose sûre est qu'elle sont dissemblables et que tout dépend des critères à partir desquels on entend faire la comparaison.
Je poursuis : Dans la conclusion de sa Déclaration, elle rappelle l’influence secrète que les femmes ont toujours exercée sur les hommes, l’aide constante qu’elles leur ont apportée. Elle souligne que « l’homme esclave a multiplié ses forces, a eu besoin de recourir aux [leurs] pour briser ses fers », et qu’il est temps, aujourd’hui, de reconnaître officiellement leur rôle dans la société.
On est loin des divagations égalitaristes et genristes de notre époque !
Influence secrète certes, les femmes ont toujours tenus les hommes par la bite. Voir l'histoire des Sabines. Mais sûrement pas les meilleurs vu que les philosophes les plus célèbres ont été "pédés" et/ou assez misogynes.
Le voltairisme est tombé en quenouille
J'ai pas lu la déclaration de cette Olympe de Gouges mais assurément son discours n'a jamais cassé quatre pattes à un canard. Je ne sais trop ce que ce vil flatteur de Voltaire a dit des femmes et je m'en soucie comme d'une guigne mais on ne peut pas dire que ceux qui se recommandent de lui soient devenus de brillants esprits. Tout cela est d'une indigence phénoménale... Si c'est tout ce que les féministes ont à nous montrer comme héroïne, elles feraient bien de replier leur attirail et de se faire oublier.
Heureusement que le Premier ministre et l'Académie ont osé opposer un nom ferme et résolu à la tentative d'inclusivité dans notre Constitution et dans l'enseignement du français mais combien de temps cette résistance va t-elle encore durer ?
En 1972 un grand journaliste tel Jean Lartéguy pouvait encore écrite une Lettre ouverte aux bonnes femmes en osant couvrir de ridicules leurs prétentions mais à présent on ne saurait publier pareil pamphlet sans risque de se faire tuer en sortant dans la rue.
J'ai fauté jadis en présentant les femmes comme une "espèce invasive". Sur le plan statistiques, les garçons serait un peu dominants (1,04 pour une femme) mais au bout du compte le genre masculin étant coutumiers des prises de risques excessives on passerait à la fin du compte à 0,78 mecs par femme survivante. Pour ma part je veux bien que l'on renverse les rôles, et je suis partisan d'envoyer les femmes se faire déglinguer dans des chars et nous on restera à la maison. Et après on recausera de l'égalité... Mais tout homme appartenant à ma génération vous dira que quand on laisse faire les femmes c'est la guerre. Et oui c'est la guerre des sexes.
Mais je n'ai pas peur car ma plume est plus affûtée qu'une épée de Tolède.
Je terminerai par une anecdote. Je me sers en essence pour mon scooter à la pompe d'un Intermarché qui a soudain décidé de faire payer d'avance les deux roues. C'était une femme qui était à la caisse et en tendant mon billet j'ai commencé par lui dire : vous nous emmerdez avec cette nouvelle lubie ! La caissière : les voitures ont une plaque, on peut les identifier. Votre serviteur : Nous aussi nous avons des plaques, ça nous a coûté assez cher; vous n'avez qu'à demander au patron de mettre une caméra, une de plus ou de moins ... Un moment après je reviens pour ajouter les 2 € et quelques qui manquaient au billet pour faire l'appoint et voilà qu'elle me sort qu'elle n'est pas ma copine et que je l'ai insultée. Alors ce que j'ai répondu : Quand j'ai dit que "Vous" nous emmerdez, il ne s'agissait pas d'un "vous de politesse" mais d'un "vous inclusif et collectif", c'est votre patron et sa nouvelle lubie qui nous empoisonne. Quand à faire de vous une "copine" j'ai le regret de vous informer que premièrement il vous faudrait commencer par faire un régime des plus stricts, en plus vous n'avez aucune chance d'être élue, je suis "pédé" et si çà n'a toujours été un "pur bonheur" au moins n'ai pas risqué de perdre trop de plumes dans l'aventure. Sur ce je vous salue !
Voilà comment il faut traiter certaines femmes ! Puisqu'elles revendiquent des "couilles" il faut les traiter comme se traitent les mecs entre eux !
Cela dit, si vous voulez vous informer sur les réactions à propos de l'orthographe inclusive, le Web regorge de réactions hostiles. N'empêche que la fameuse Olympe de Gouges est un "cas" mais trop se foutre d'elle serait contre productif, il suffit de constater que sa geste est caractéristique de certaines niaiseries typiques de l'époque dite des "Lumières".
Quoiqu'il en soit, il n'y a guère que les chats et les chiens qui ne m'ont jamais déçu...
20:37 Publié dans 1 AA Actualité, Féminisme sexologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
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