28/02/2015
FOMO une nouvelle pathologie social et tutti quanti
Concernant cette maquette voir plus loin les ambitions d'un tas de sucre qui a beaucoup fait en faveur d'une nouvelle maladie appelée FOMO que le Figaro-Madame a rebaptisé Bovarysme...
Une nouvelle maladie appelée "FOMO"
Cette nouvelle vérole, ce Sida mental se propage par Internet et surtout par Smartphone et par Face de Bouc qui est devenu le "maître à danser" des nouvelles génération.
C'est donc une maladie de cractère assez "féminin" puisque les deux sources que j'indique se sont données le mot pour l'illustrer par la photo d'une femme manifestement en proie à un dilemme on ne peut plus cornélien. Elle est donc bien dans l'air du temps puisque la femme est censée être l'avenir de l'homme et elle touche bien sûr en priorité les jeunes gays mais pas seulement puisque plus rien ne distingue extérieurement ceux qui n'en sont pas de ceux qui en sont grâce à des couturiers mâlins. Ceci ajouté à la souffrance de ceux qui perdent leur travail ou ne trouve que des boulots de zombies, c'est pas tant les prisons qu'il va falloir agrandir mais les hopitaux psychiatriques...
Un monde créateur de frustration
Pour l'instant, n'oubliez pas que le présent monde n'est "génial" que quand il s'agit de susciter et de répandre quantité de frustrations afin de faire marcher le commerce. La recette est vieille mais toujours renouvelée et là on atteint des sommets probablement insurpassables ! J'aurai sans doute l'occasion de parler des sites de rencontres et de reparler de l'industrie du porno. Là dans ces articles, on ne vous parle que de choses assez softs et assez communes. Mais on n'ose pas aller au fond des choses mais il est clair que le porno à en grande partie détrôné les romans quand il s'agit de vivre par procuration et identification à un ailleurs.
Ce blog ne fera jamais couler des "torrents de bonheur"...
Contentons nous pour l'instant d'évoquer des sujets plus prosaïques, je ne vais pas faire couler des torrents de bonheur dans votre vie mais je ne suis pas cafardeux, tel un Houllebecq, et en vérité quand parfois il m'arrive de "me poiler" en écrivant et en parlant avec quelques intimes, ce genre de dérision iconoclaste à outrance, c'est pas très contagieux, certes, certes, mais à l'impossible nul n'est tenu.
La nouvelle utopie d'un "tas de sucre"
A propos de ce "réseau social", fondé par un tas de sucre (traduction Google de "Zuckenberg"), excroissance qui aspire à grossir tel un cancer, il parait que son projet de constituer "une ville idéale" (en fait de "nouveaux corons") prendrait tournure. J'ose espérer qu'il aura choisi, pour incarner cette funeste utopie, un secteur inondable et qu'un déluge opportun viendra submerger cet enfer moderne s'il venait à voir le jour. Une fois le lieu asséché, peut-être que des betteraves à vaches (bêtes raves) s'y plairont !
22:26 Publié dans Pathologie sociale | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | Imprimer |
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