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27/05/2013

Nouveauté produit pour la protection mitochondriale : la PQQ (pyrroloquinoline quinone)

Pyrroloquinoline_quinone.svg copie.jpgJacques Valentin vient de publier un nouvel article. Je me contente de vous en donner l'url. Je n'ai pas eu le temps encore de le lire et donc d'avoir un avis :

http://gestionsante.free.fr/journal_de_bord_0513.htm#26_0...

Wikipedia en parle :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pyrroloquinol%C3%A9ine_quinone

Santé intestinale : prébiotiques, probiotiques, dysbiose, nosodes de Bach, appel à l'aide !

intestin.jpgC'est le Bouddha historique qui est crédité d'une mexime selon laquelle quand l'intestin va bien tout va bien. Il l'aurait dit sous cette forme : Un sage est un homme sain qui a des intestins qui fonctionnent bien ! Ma foi je n'y étais pas et je n'irai pas jusqu'à dire que l'absence de dysbiose garantirait la sagesse mais enfin une chose est certaine, les dysbioses sont très répandues.

Alternative Santé a consacré son dernier n° à la question en proposant 2 protocoles qui méritent une discussion. Voici les éléments que j'ai recueilli en vrac :

  1. D'après un chercheur marseillais dont le nom m'échappe présentement, les produits laitiers enrichis en bactéries diverses dont les bifidus rendraient obèses et agressifs les poulets. 
  2. D'après le Dr Poinsignon les yaourts traditionnels comporteraient des bactéries inutiles acidifiantes qui ne s'implanteraient pas dans l'intestin. Il suspecte certains yaourts de provoquer de décharge insulinique avec un risque diabétique à la clef.
  3. Le Dr Donatini lui dit que les prébiotiques engendre des fermentations et je ne me rappelle pas trop ce qu'il dit des probiotiques (bactéries incluses dans les produits laitiers fermentés).
  4. Les champignons en poudre seraient nocifs à cause du Chitosan et il préconise le mycélium. Seulement il a une plainte au cul de l'Ordre des pharmaciens pour son entreprise Mycoceutics et rien ne nous garanti que ses gélules contiennent un mycélium pur car il y a une observation qui tendrait à prouver que ce n'est pas le cas.
  5. Les nosodes de Bach (des vaccins intestinaux) ne sont plus guère utilisés, j'ai la doc (O.A. Jullian) mais c'est inutilisable.
  6. J'ai lu un article faisant allusion à un travail scientifique ayant déterminé plusieurs type de milieux intestinaux à traiter différemment mais sans indications pratiques.
  7. Reste les auto-vaccins à partir de selles mais quid des laboratoires pouvant les préparer ?

Appel à l'aide

Malheureusement, j'ai lu tout cela au passage mais ait négligé d'archiver les éléments rencontrés.  Je ne sais pas si je peux les retrouver dans un tas de documents non classés.

J'envisage de publier une synthèse de toutes ces données aussi je demande aux personnes intéressées de m'aider à faire des recherches sur ces divers thèmes et à me signaler les urls des pages intéressantes qu'elles pourraient trouver.

J'ouvrirai un dossier et j'imprimerai et surlignerai ce qui me paraît intéressant et le moment venu je produirai un article documenté.

J'ai trop de choses en route pour me consacrer uniquement à ce travail de collecte aussi tout aide sera la bienvenue. Ma préférence va à des articles scientifiques et pas aux éternelles redites en copié/collé merdique des pseudos naturopathes qui ne font qu'arpenter les sentiers rebattus.

Merci d'avance...

Toxiques alimentaires

Toxiques_Rabache.jpgJe conseille vivement de se procurer le petit livre dont couverture ci-jointe (Marie Langre et dr Maurice Rabache). Il ne semble plus édité mais on le trouve d'occase (Amazon, Priceminister).

Ce livre est très bien fait, il comporte un index et des tableaux et envisage tous les genres de toxiques (additifs, OGM, métaux lourds etc...). Les labels sont inventoriés.

Il est à noter que pour les ML c'est le plomb qui est omniprésent devant le cadmium et le mercure. Ce sont dans l'ordre les abats (foie, rognons), les moules, les moules, les huîtres et les crustacés, puis les gros poissons qui sont les plus touchés.

A digérer soigneusement et tranquillement sans s'épouvanter pour en tirer des directives et une liste d'achats limitative.