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Rechercher : Luc Bodin Guide pratique

Coronavirus : Kimchi le secret des Coréens pour résister au virus

Résumé : Les coréens ont moins de morts par le virus. Cela pourrait tenir au fait qu'il mangue du Kimchi à tous les repas. C'est un choux fermenté. Richard Haas qui a diffusé la nouvelle propose la choucroute crue fermentée bio et il suffit de se référer à la Bioélectronique de Vincent (BEV) pour comprendre que ce n'est pas idiot du tout ! Mais peut-être que le choux coréen à aussi des vertus particulières du point de vue phytothérapie. Alors faites votre choucroute ou votre Kimchi avec des choux chinois. Ça se trouve... Et le cas échéant plantez en sur votre balcon...

Quand à demander au gouvernement de se rencarder sur la pratique des Coréens, peine perdue ! Le "gouvernement" il est franchement à la masse !

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21/03/2020 | Lien permanent

Lit guérisseur incliné à l'égyptienne

Lit incliné.JPG

Vu dans le numéro spécial 1 de Nexus, un article sur le lit incliné (10 à 16 cm à la tête, avec par exemple des briques sous les pieds) selon une pratique égyptienne. En fait Nexus, revue de moins en moins intéressante, avait déjà abordé la question en 2016.

Voir https://www.alternativesante.fr/remede-de-grand-mere/le-l...

Accès à l'article de 2016, non téléchargeable. Utiliser la loupe. Pas commode.

https://fr.calameo.com/read/004684699f08757d6ffb7

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18/01/2020 | Lien permanent

Médecines et dérives sectaires

sectes.jpgL'une des armes les plus puissantes du lobby médico pharmaceutique pour garder la mainmise sur "sa" médecine consiste à faire ne sorte de qualifier de "dérive sectaire" toute pratique thérapeutique susceptible de lui échapper. A défaut de pouvoir prouver une telle dérive, on empoisonne les intéressés par la rumeur.

Une affaire emblématique parmi d'autres l'affaire Bourdin

Une histoire assez emblématique est celle de la persécution des époux Bourdin fondateur d'un centre de cure. Voir https://www.youtube.com/watch?v=43PDeV2Tfg4. Il s'agit d'un ancien généraliste ayant étudié l'acupunture. Il s'en est sorti en se reconvertissant dans des techniques de bien-être. On n'est plus la dans la médecine mais dans une "paramédecine" qui ne peut que s'avérer totalement impuissante devant les risques sanitaires encourus : risques liés aux habitations (maison à cancer, réseau Hartmann, failles, eaux souterraines etc...) additifs mercuriels et aluminiques des vaccins, occultation de la malade de Lyme et de ses satellites, intoxications aux métaux lourds, electrosmog sans parler de le malbouffe et des effets iatrogènes de la médecine chimique.

Bref, si on leur fout la paix et si ces gens paraissent bien gagner leur vie à en juger par le confort de leurs installations, je présume qu'ils ne risquent pas de faire avancer les choses en ce qui concerne la liste des priorités que je viens de dresser des priorités auxquelles il faudrait s'attaquer...

Son "holopsonie" est une mélange de chromothérapie et de préchi précha psy des plus convenus avec les discours convenus sur la mémoire du corps, un peu de massage. Bref des soins pour des gens qui ne sont pas très malades... On est loin, par exemple, de la médecine chinoise dans sa totalité ou d'une médecine ayurvédique quqoiqu'elles risquent d'être dépassées elles aussi par le trop plein de pollutions en tous genres...

Bref le centre la chrysalide est un centre de bien être, ce n'est pas une secte certes mais son patron est passé de l'acupuncture à la psychothérapie après avoir été radié de l'Ordre et les psys ont tendance à se prendre pour des "gourous". Le "Système" par ses persécutions sectaires et son exclusion a donc "fabriqué" quelque chose qui ne risque certes pas de lui faire concurrence puisqu'il s'agit non pas de médecine douce mais de médecine molle qui ne risque pas de solutionner les pathologies dégénératrices et agressives qui se profilent. Enfin je dois ajouter que quand quelqu'un qui a fréquenté un Institué catholique me parle d'Amour, je me sauve en courant car c'est bien la chose qu'ils ne savent pas faire sinon ça se saurait... La compassion je veux bien mais l'Amour c'est gluant, sucré, écoeurant, c'est juste bon pour attraper des mouches. Beurk !

Une "secte" qu'est-ce que c'est ?

Dans le bouddhisme ont parle de "sectes" pour désigner les différentes écoles, il y a les bonnets jaunes, les bonnets rouge, le petit, le grand véhicule et j'en passe. Le mot "secte" ne comporte aucun caractère péjoratif car il désigne un groupe centré sur un enseignement, en fait à point de vue (darshana) particulier.

Le fait est qu'il n'existe aucune définition juridique et pénale de ce que serait une "secte". Il n'empêche qu'il existe une multitudes de groupements plus ou moins officiels qui font la chasse aux "sectes" et dressent des listes. On est là devant un paradoxe étrange dont le monde moderne est assez familier puisque la situation est telle que sans jugement, des groupes de pression, peuvent vouer à la vindicte publique des gens et des groupes qui n'ont que le tort de n'être pas en prise avec le consensus général. Ce qui à mon avis est bien la moindre des choses si on ne veut pas se faire couilloner à tout bout de champ. Il me semble qu'en mettant systématiquement en doute et jusqu'à plus informé, tout ce qui se professe, on a des chances de percer découvrir au moins une partie de la vérité sur ce qui se trame...

Encore faut-il disposer d'une capacité de résistance et d'autonomie suffisante.

Le mot "secte" est une véritable malédiction prononcée. Je me rappelle qu'il y a 30 ans, alors que je fréquentais un Conservatoire, j'ai appris par l'élève d'un prof dont je ne fréquentais pas la classe, qu'il fallait éviter de me fréquenter car je devais faire partie d'une "secte". En fait la "secte" en question était celle de ces précurseurs qui étaient en train, par la relecture des traités, de redécouvrir les principes d'interprétation de la musique dite "baroque". Aujourd'hui, toute cette redécouverte est tombée dans le domaine public grâce à de très nombreuses émissions pédagogiques sur France Musique. Plus personne ne saurait nier qu'il existe une technique adaptée aux instruments d'époque et même un solfège ancien qui n'a rien à voir avec la façon dont on lit une partition moderne. Mais il y a 30 ou 40 ans les élèves directs ou indirect d'un certain Geoffroy Dechaume étaient traités comme des pestiférés mais après un demi siècle environ, les "produits" façonnés grâce aux pionniers sont devenus des produits de consommation courante.

Mais le domaine de l'art étant celui de l'originalité et de la singularité, ce n'est qu'une affaire de temps cepandant qu'en médecine ou des enjeux INDUSTRIELS considérables sont dans la balance, la pesanteur est infiniment plus considérable.

Changement de paradigme

Il ne fait aucun doute que la chimie devrai céder tôt ou tard la place à la physique microvibratoire sous de multiples formes. L'homéopathie a ouvert un nouveau champ a peu près en même temps que la révolution française puisque Hahnemann a vécu à cheval sur le XVIIIème et le XIXème siècle. Ce fut un contemporain de Lavoisier, le père des chimistes modernes mais si l'on y réfléchit bien, avec la dilution et la dynamisation des remèdes son arrêt de mort était programmé.

Aujourd'hui nous en sommes avec l'histoire de la "mémoire de l'eau" reprise par Luc Montagnier qui s'est juré d'obtenir la réahabilitation de Benveniste arrivé aux signatures électromagnétiques transmissibles et reproductibles par la voie numérique. Qui sait que l'on peut copier un dilution homéopathique rien que par un procédé optique faisant appel à la lumière ? Bien évidemment Boiron n'en a pas voulu... Là encore, à partir du moment où on à des souches c'est toute une industrie qui tombe à l'eau.... L'inventeur du procédé je l'ai bien connu, il est le seul à s'être attaqué correctement au problème de la répertorisation homéopathique par l'informatique. Sachant comme il fallait procédéer j'ai viré tous les logiciels existants dont certains sont vendus à prix d'or à commencer par celui d'un certain Broussalian. Avec les systèmes existants on n'a strictement aucune chance de sortir les "petits remèdes". En fait j'ai non pas jeté mais revendu tous mes répertoires sauf le "Renard" mais je ne m'en sais jamais

La médecine ça commence où ?

Si l'on veut commencer par le commencement, quelle est la première chose à considérer en médecine?

L'eau, les aliments ?

Oui et non en fait pas du tout ! Ce par quoi on devrait commencer c'est la SANTE DE LA MAISON et plus spécialement encore le lit où l'on passe un bon tiers de son existence.

Comment se fait-il que des gens qui tombent malades peu de temps après avoir déménagé ne percutent pas en pensant que leurs problèmes sont dus à leur lieu de vie, ce dernier étant probablement un "lieu de mort"...

Un exemple, je vois régulièrement sur la place un M. qui a des problèmes d'hyperacidité. pas d'hélicobacter, il est traité par "pompe à protons" et régime sans aucune amélioration. Aux dernières nouvelle sil ferait du reflux. Or récemment j'ai eu l'idée de lui demander comment ça se passait quand il vivait en ville. Réponse : je mangeais très épicé sans aucun problème !

Donc c'est il y a trois ans en déménageant que les ennuis ont commencé. Il y a donc deux solutions et pas 36. Soit le déménagement résulte ou est à l'origine d'un stress soit sa maison est maléficiée : faille possible et même probable, pollution électromagnétique, le champ des causes se restreint à deux cas de figure. Je n'exclus pas le stress car l'individu est manifestement un anxieux du type argentum nitricum. Mais bon, à vouloir trop rendre service, on risque surtout de s'attirer des ennuis et je sens une réticence à admettre la possibilité d'une cause psychique qui est à considérer à égalité avec une éventuelle cause tellurique. Ce n'est pas moi qui souffre alors j'ai proposé de faire gracieusement une mesure électromagnétique car ca ne prend guère qu'une heure.

L'INVISIBLE comme délit de fuite dans la médecine contemporaine

On ne peut manquer d'être frappé du déni qui frappe les personnes qui souffre de douleurs provoquées soit par une intoxication aux métaux lourds (amalgames dentaires en particulier) et borréliose chronique ignorée. Plusieurs auteurs de livres ont raconté comment il avait été acceuilli dans des centres anti douleur où l'on essaie de les convaincre que leur cas est du ressort de la psychiatrie.

Bien voilà, le problème c'est que dans le domaine de l'INVISIBLE la médecine officielle ne connait que sa connaissance limitée d'une psychologie que je qualifierai de très élémentaire et même de caricaturale. La psyché selon les anciens va bien au delà des "complexes" sert au freudisme et je ne m'étendrai pas sur cette foutaise qu'est le fameux "complexe d'Oedipe" car il y aurait un livre à écrire sur cette "connerie"... D'autre que moi et des plus tirés on mis en cause cette lubie typiquement occidentale...

Le "monde psychique" est vaste car il regroupe toutes sortes d'influences humaines et non humaines que l'on définit d'une manière figurée en parlant résidus psychiques, d'entités, et même de démons. Le mot en pour désigner ces forces en chinois est "Koueï" mais si on interroge un acupuncteur moderne, il vous dira que cela désigne une énergie perturbatrice qui n'est pas à sa place.

A ce propos, voici une petite histoire qui m'est arrivée et qui m'a donné à comprendre bien des choses. J'étais allé faire un stage dans un centre bouddhiste où je n'avais pas manqué de susciter des réactions agressives de la part de résidents. La contention qu'implique un monastère, chez des individus frustes peut susciter des "crises". Bref, j'étais revenu assez remonté car on m'avait fait comparaître devant le lama pour avoir pris l'initiative, n'ayant rien d'autre à faire, que de distribuer le courrier qui venait d'arriver à tel point que j'ai eu l'impression d'être tombé dans uen cellule du PC...

Je souffrais d'une toux due au froid humide contractée en Savoie. Je me rends donc chez mon acupuncteur, hélas aujourd'hui disparu et irremplaçable. Il me pique et tout d'un coup, je le vois qui court ouvrir la fenêtre, prêt à tourner de l'oeil. Comme je m'enquiers de ce qui se passe, il m'explique qu'il vient de me libérer d'une énergie perverse et que ce n'est pas du tout agréable. En ce qui me concerne je n'ai rien senti de particulier...

J'ai immédiatement fait le rapprochement entre les aiguilles, l'envoûtement et l'acupuncture, à savoir que les même objets peuvent servir à des fins opposés, savoir planter le mal symboliquement à travers une figurine servant de "convention mentale" ou au contraire le dissiper in situ Enfin il est bien vrai que toute perturbation se résume à des concentrations d'énergie indésirables qui lorsqu'elles stagnent sont nocives. 

Donc tout ce que la medecine concoit en matière d'INVISIBLE ne lui sert que de DEPOTOIR afin de se débarrasser et de se défausser de ce qu'elle ne comprend pas en faisant l'économie de prendre en considération des handicaps qui ne sont que trop patents. Elle comme elle limite le champ des investigations à celui très grossier de ses appareils de diagnostic, tout ou presque lui échappe dans bien des cas.

Le dualisme du monde moderne favorise l'apparition de "sectes"

Comment voudrait-on qu'en préconisant une médecine mécanique basée sur des procoles aveugles, des régimes passe partout qui devriaent convenir aussi bien à des intellectuels sédentaires qu'à des sportifs on ne finisse pas par provoquer un mouvement de révolte devant cette entreprise d'uniformisation qui vise à tout rationnaliser pour mieux nous exploiter.

Ne perdez surtout pas de vue que le catholicisme d'autrefois et la médecine d'aujourd'hui c'est la même chose, savoir deux "sectes" (négatives) qui fonctionnent d ela même manière. Hors de l'Eglise pas de salut, hors de la faculté c'est l'hérésie ! Les "blocages" sont les mêmes et la situation n'a pas évolué. Le dernier concile n'a vu dans les autres religions que des tentatives plus ou moins sympathique pour se rapprocher de la vérité. Les hiérarques romains ne voient dans le bouddhisme qu'un pur "nihilisme" car ils confondent "vacuité" et "néant". 

Dans une discussion autour de la religion, si vous faites perdre pied à l'interlocuteur, il se ferme et rompt. Les médecins c'est pareil, certains admettront du bout des dents l'existence de guérisseurs authentiques mais il ne feront aucun effort pour sortir de la routine imposée. Cette routine est juteuse, j'ai fait le calcul qu'à une vingtaine d'€uros la séance on peut se faire des journées de 800 €. Certes les assurances professionnelles sont coûteuses mais c'est pas la formation continue qui assassine le bubget de l'immense majorité de ces Messieurs. A ce compte là et en fin de carrière on peut être Maire d'une ville et prendre 15 jours de vacances régulièrement sur le dos d'un remplaçant.

J'ouvre ici une parenthèse pour dire que j'ai reçu copie d'une lettre envoyée par une chirurgienne à l'actuelle ministre en charge de la Santé pour se plaindre du projet actuel de sanction des honoraires abusifs. Le problème c'est que de moins en moins de gens ont la possibilité de se faire soigner et quand on a la Secu et une Mutuelle de toutes façons bien des choses ne sont pas prises en charge. Donc les seuls discours qui m'intéressent sont ceux qui proposent des mesures pour mettre fin au pillage des banquiers par la dette publique du fait de l'invention dans les années 70 de la loi Rothschild/Pompidou/Discard dont la teneur a été reprise dans le traité de Madrid. Le reste est secondaire et je pisse dessus ! Ca ne m'intéresse pas ! On sait où se trouve le tonneau des Danaïdes, il faut en remplacer le fond, le reste viendra après...

Pour résumer les choses tout est conçu pour pousser les gens dans des sectes alors dans ces conditions il ne faut pas s'en plaindre.

Deux "sectes" complémentaires

La probation des substances appelées "compléments alimentaires" que les médecins spécialisés appellent médecine orthomoléculaire ne fonctionne pas différemment de celle des médicaments allopathiques. Dans ce dernier cas, les biais sont omniprésents et dans l'autre les cohortes sont forcément réduites doù un manque de crédibilité qui est systématiquement exploités par les adversaires.

La dernière découverte d'un complément à la mode paraît être la chair du fruit du babobab réduite à l'état de poudre. Il serait riche en nutriments et avec quelque termes génériques désignant des classes d'antioxydants les mots magiques opèrent. Résultat cette précieuse denrée qui devrait être réservée principalement aux africains qui crèvent de faim se vend sur le marché européen 100 € le kilo. Mais on ne nous dit pas combien de kilo il faudrait en consommer par mois pour complémenter son alimentation de façon palpable. Alors il suffit qu'un petit mâlin ait trouvé un filon à 8,50 € les 250 g. pour s'assurer une rente copieuse. Bref je ne crois pas que c'est en bouffant du baobab que l'on peut soigner les pathologie dégénératives et émergeantesqui dominent de plus en plus le tableau.

Et des antioxydants on en trouve à la pelle, on peut en cultiver sur son balcon (capucines etc...) et l'extrait standardisé de grenade est netemment moins onéreux que le baboab. Pour le cas où vous ne sauriez pas où je veux en venir suivez la direction de mon regard : j'éviterai à présent de citer des noms. Ce n'est pas par lâcheté (tout le monde continue à se précipiter ici pour avoir des nouvelles de Michel Dogna) mais parce que lorsqu'on me demande des rectificatifs, on me fournit une doc qui pose plus de questions qu'elle n'en résoud et qui de toutes façons n'invalide pas ce que j'ai dit. J'évoque ici un problème posé par la "silice de prêle" pour laquelle on a cité des publications auxquelles je ne suis pas tenu d'adhérer puisque l'on ne m'a pas fournir les textes.

Pour en revenir à la probation des substances exploitées dans un cadre alternatif, il est probable que les études existantes sont plus fiables que les essais pharmacologiques qui sont entourés d'une grande opacité. Mais cela ne veut pas dire que les gains observés soient extrapolables et généralisables...

Revenons à la hiérarchie évoquée plus haut et qui commence par l'assainissement d'un lieu de vie si nécessaire et vous verrez que tout ce que l'on vante n'est en somme que gadgets rajoutés à des gadgets et que dans bien des cas on passe à côté de l'essentiel et si l'on prend l'exemple des intoxications par amalgame et de la borréliose et Cie, ce sont là des domaines où il faudrait pouvoir recourir à des médecins bénéficiant de toutes les facultés d'investigations désirables, or dans ces cas précis, elles ne sont guère développées qu'en Allemagne et encore !

Ce qui est révoltant c'est qu'une multitude de moyens de sauvegarde existe mais que pour de multiples raisons, ils ne sont guère accessibles qu'à des personnes très fortunées pouvant faire des centaines de kilomètres pour se faire héberger dans des cliniques plus ou moins luxueuses.

Un système dé

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01/11/2012 | Lien permanent

Cancer de la prostate et éjaculations : ”www.lanutrition.fr” déconne à pleins tubes !

prostate.jpgAmusements scientifiques, où va l'argent public

Voyez : http://www.lanutrition.fr/les-news/plus-on-a-eu-de-femmes... et je cite :

L’âge et les antécédents familiaux sont des facteurs de risque établis du cancer de la prostate. Parmi les autres facteurs de risque, les chercheurs s’intéressent à la sexualité et aux infections sexuellement transmissibles. Par exemple, la fréquence d’éjaculation a été associée à une réduction du risque de cancer de la prostate dans des études antérieures.

Les données sont issues de l’étude montréalaise PROtEuS (Prostate Cancer & Environment Study) concernant 3208 hommes qui ont répondu à un questionnaire, notamment sur leur vie sexuelle. Parmi eux, 1590 ont eu un cancer de la prostate diagnostiqué entre 2005 et 2009 et 1618 formaient le groupe témoin.

Globalement, les hommes qui n’avaient jamais eu de relation sexuelle avaient 2 fois plus de risque d’avoir un cancer de la prostate que ceux qui avaient eu des relations sexuelles. Ceci est particulièrement vrai pour les cancers les moins agressifs. Un homme qui a eu plus de 20 partenaires sexuels dans sa vie (hommes et femmes) a un risque diminué de 22% d’avoir un cancer de la prostate. Le fait d’avoir eu plus de 20 partenaires féminines diminue le risque de cancer de 28% par rapport à ceux qui n’ont eu qu’une seule partenaire sexuelle.

Notez que la "morue" qui est l'auteur de l'article, une certaine Juliette Pouyat, a délibérément prêché pour sa chapelle car le chapeau de l'article dit ceci :

Une étude canadienne montre que les hommes qui ont connu plus de 20 femmes dans leur vie ont un risque de cancer de la prostate diminué de 28% par rapport à ceux qui n’ont connu qu’une seule partenaire.

Je dis "morue" car tout est bon chez beaucoup de descendante de notre  arrière-arrière grand-mère Ève pour truander la vérité. Et quand on lit dans les premières lignes de la Genèse que cette folle s'est signalée comme ayant été l'interlocutrice privilégié du serpent édénique, et qu'elle a foutu Adam (et nous avec) dans la merde, je ne m'étonne plus de rien !

Je suis absolument certain que le mythe est d'une profonde vérité. L'Eglise catholique a magnifié Marie soit-disant toujours vierge mais elle y a mis le temps, sans compter que Jésus n'est pas le seul personnage qui résulterait d'une opération du Saint Esprit, il a aussi le Bouddha historique. 

Malheureusement, si Dieu a sectionné le mauvais côté de notre ancêtre et est censé nous avoir débarrassé de ce cancer, l'exérèse fut insuffisante car visiblement il nous a laissé quelques métastases dormantes sinon le discours fallacieux de l'ex moitié d'Adam n'aurait eu aucune prise sur le bonhomme et sa succession. Mais passons, c'était pour rigoler un peu ce n'est pas le sujet ! 

L'homosexualité comme prévention du cancer de la prostate

Ce n'est pas la première étude à prétendre que la fréquence des éjaculations diminuerait les risques de cancer prostatique. Or vous pouvez d'ores et déjà remarquer que s'il existe des hommes n'ayant pas eu ou très peu de "relations" sexuelles, il vous vient à l'esprit nécessairement qu'il se sont forcément masturbés plus ou moins frénétiquement.

Moi qui suit logique j'en conclus premièrement que ces études n'évaluent de façon correcte la fréquence des éjaculations. Or ce qui distinguerait la multiplicité des relations d'une absence de relations c'est le fait que dans le premier cas il s'agirait d'une vie sexuelle apte à plus ou moins combler ceux qui l'a pratique tandis que la seule masturbation tendrait à s'accompagner de frustration. A moins que ne découle d'une créativité mentale susceptible d'avoir les mêmes effets que relation vraie et non virtuelle.

Maintenant si l'on retient le facteur quantité 20 partenaires (hommes et/ou femmes) différents dans une vie c'est une plaisanterie au yeux de n'importe quel "homo". C'est même assez ridicule pour un "bi" !

Comme je suis quelqu'un d'atypique, que je suis célibataire, que je ne reçois personne, ni mecs ni nanas, que j'ai réponse à tout (ou presque) je détonne dans un pays de ploucs envieux de la luxure et la luxure étymologiquement parlant c'est en fait du bling bling côtier. En fait d'humanité le soleil et la mer attire la merde humaine, maffia, truands et toute une sous-humanité vivant d'apparences. Donc il est un con de macho que j'ai mouché et qui se venge en me traitant de "pédé". Du moins devant ces pareils parce qu'en dehors des piliers de bar, personne ne s'occupe de moi. Il est une vieille fille, qui n'a probablement jamais baisé de sa vie et qui me hait car je l'ai maintes fois remise à sa place. Elle a donc épousé la thèse de mon ennemi et va racontant que tout le monde il se demande... 

Ce que je lui reproche ce n'est pas de m'insulter publiquement en m'accusant d'être ceci ou cela, c'est de se permettre ce genre de provocation parce qu'elle sait qu'étant une femme je ne peux pas la frapper. Quant à être "pédé" ou pas comme c'est très tendance, je me dis qu'il vaut mieux faire envie que pitié...

La où je voulais en venir, c'est que je me suis livré à un rapide calcul du nombre de partenaires que j'aurais connu en 30 ans de vie sexuelle très moyennement active. A raison d'un garçon différent par semaine, ce qui dans une métropole constitue une prouesse assez modeste, 52 x 30 cela fait 1560 mecs différents. Même en comptant quelque semaines de retraite par ci par là, comme ça implique parfois de rattraper le temps perdu, ça fait au final pas un très large échantillon d'humanité. J'aurais donc largement dépassé et pulvérisé le records du Roi Salomon et ses 700 femmes et ses 300 concubines. Et ce d'autant plus que les prouesses diverses divers, y compris en matière de commerce international c'est forcément du pipeau puisque la Bible n'est qu'une compilation du parti de Juda contre un royaume d'Israël aux pratiques identiques à celles des païens. A ce sujet voir les travaux récents des archéologues israéliens qui ont montré que le Dieu des Juifs avait une parèdre à la mode des shaktis indiennes. Inutile de vous dire que j'ai retourné la situation en ma faveur et que la harpie que j'ai failli jeter dans un ravin ne parait plus guère sur la place, mais il est vrai que le temps s'est rafraîchi...

Vous aurez compris, du moins je le suppose, que j'ai de sérieux doute non seulement sur le lien entre fréquence éjaculatoire et cancer de la prostate car à ce compte là les "homos" devraient être complètement immunisés. Enfin et sans que cela coûte une fortune il devrait être possible de torcher rapidement une statistique. Sauf que les "gays" ayant atteint un âge canonique ne fréquentent guère les commerces dédiés où il serait facile de les soumettre à un questionnaire simple qui, je n'en doute pas, permettrait d'éliminer toutes sortes d'élucubrations.

Homosexualité, génétique et psychologie et "écologie"

Figurez-vous qu'un savant belge veut absolument nous persuader que l'homosexualité serait génétique. L'intérêt de la chose serait que s'agissant de quelque chose d'innée, il n'y aurait pas lieu d'accabler ceux qui auraient hérité de gênes défectueux. Je ne citerai ni l'auteur, ni le titre du livre ni son contenu. Le commenter me prendrait trop de temps et surtout trop d'énergie et cela risque de passer au dessus de la tête d'une majorité de lecteurs...

J'affirme que tout ce que l'on raconte à ce sujet est faux. C'est uniquement une affaire de psychologie mais ce que raconte Freud au sujet de l'Oedipe l'est également. Un garçon pour devenir "normal" n'a nul besoin de vouloir tuer son père comme menace potentielle envers son amour fusionnel de la mère. Michel Onfray qui ne publie pas que des vérités d'évangile, n'a pas raté le malade mental que fut ce juif dévoyé et complètement détraqué et en rupture avec sa tradition. Enfin quand je vois que les curés n'ont plus que cette référence à la bouche comme dernier et faux argument pour tenter de justifier leur points de vues complètement erronées, c'est à se la prendre à a se la mordre. Pensez donc ! L'Eglise catholique en est réduite à quêter du secours du côté du pansexualisme freudien, c'est pour ainsi dire le monde à l'envers.

Freud est parti d'un préjugé en considérant que l'homosexualité procéderait d'une immaturité sexuelle. Curieux quand même qu'une majorité d'hommes que le monde tient pour "grands" en étaient ! Alors qu'est-ce que cela signifie ? L'explication correcte est la suivante : quand cette attirance tombe sur quelqu'un d'intelligent vu que c'est un handicap social et que même du temps de Platon ça n'allait pas vraiment de soi, cela l'oblige à se poser des questions et même à TOUT remettre en question, si cette personne a reçu certains dons intellectuels ou artistiques, elle ira forcément bien au delà de ce qu'une personne ordinaire peut discerner et concevoir. Si ne pas s'intéresser aux femmes résultait d'une "immaturité" le monachisme par exemple serait un truc pour des purs dégénérés, or l'Eglise en fait le sommet de la réalisation humaine. Certes l'héroïsme gratuit dans le christianisme ne mène généralement qu'à la névrose et les frustrés du moralisme mécanique ont trop tendance à faire chier et à imposer leurs vues pour n'être pas seuls à se faire chier mais il n'empêche que la maîtrise ou du moins la bonne gestion des pulsions constitue un accomplissement supérieur à la débauche ou à une existence trop conventionnelle. En ce qui concerne le narcissisme c'est un argument commode mais tout le monde il est narcissique. Il y a un équilibre à avoir en toutes choses, pour se sentir bien dans sa peau il faut se plaire à soi-même, être bien lavé, bien coiffé et habillé avec des vêtements seyants. 

Les causes on s'en fout, l'important est ce que l'on fait de ce qui vous advient. La chose importante, c'est l'acceptation et pour accepter une chose il faut pouvoir en tirer un parti. Je constate premièrement que le célibat quelqu'en soit l'orientation permet de dégager un crédit de temps et de moyens que l'on peut utiliser à se cultiver de différentes manières. Je ne crois pas que les femmes aient jamais été romantique. Comme me le disait mon dentiste, elle le sont le temps de trouver le "prince charmant". Dans le meilleur des cas elles se reposent sur son épaule mais souvent le mirage cesse rapidement et il faut recourir au médicament indiqués comme DICOMMEL et pour finir DIKELARAISON etc...

On confond l'affection et l'amour. Georges Duby a montré que le second terme n'a jamais été employé au moyen age qu'entre hommes. On parle d'homosociabilité. L'invention de ce météore qu'est l'amour courtois est une saloperie qui fut la première manifestation du féminisme et le coup d'envoi de l'invention de la culture hétérosexuelle. Il existe un excellent livre à ce sujet, j'en conseille vivement la lecture. J'e suis du reste conscient d'avoir ensemencé le milieu psychique de cette idée sans l'avoir exprimée avec autant de clarté que l'auteur du livre évoqué. Même chose en ce qui concerne les méfaits de la procédure inquisitoire par rapport à la procédure accusatoire qui est restée la norme dans le milieu anglo-saxon y compris en matière pénale. On doit cette immunité au schisme d'Henri VIII. Mais je m'égare, je voulais simplement dire qu'un mystérieux auteur d'un site apocalyptique m'a désigné comme étant censé utiliser les méthodes des Supérieurs Inconnus chez à une certaine maçonnerie. Les S.I. je n'en ai jamais rencontré mais c'était pour dire que je sais ce que je fais et où je vais... 

"Nature et "culture", ça s'oppose pas, ça se complète

Au moyen-âge les clercs passaient une partie de leurs loisirs à disserter sur les mérites respectifs des garçons comparés aux femmes. Généralement les femmes n'avaient guère le beau rôle. C'était un genre littéraire et on ne sait pas vraiment quelles conséquence ce "sport" avait sur la vie intime de ceux qui s'y livrait mais on peut le deviner assez aisément et on a des textes. Le guide en la matière c'est un certain John Boswell, un historien américain dans son premier livre. Le second posant des problème épineux.

Le moyen âge a été occupé également par d'interminables discussions sur "nature et contre-nature". Quand Thomas l'Aquinate laisse à entendre que l'homme n'a pas à se baser sur le comportement des animaux (comme le fit Gide des siècles plus tard) pour justifier telle ou telle pratique, cela doit marcher dans les deux sens à savoir pour autant pour les comportements jugés positifs que ceux jugés négatifs. Je m'explique la plupart des animaux ne forment pas de couples et certains ont des mœurs violentes sauf les Bonobos mais ces singes quoique éminemment sympathiques ne sont pas une référence. Bref, je veux dire que quand l'Aquinate parle de la "nature de l'homme" en faisant référence à une "révélation", en réalité il ne parle nullement de "nature" mais bien de "culture". Concernant l'homosexualité on se bagarre depuis depuis environ deux millénaires pour savoir si c'est dans la nature. Bien sûr que c'est dans la nature puisqu'il s'agit d'un comportement qui se produit assez spontanément et très fréquemment en l'absence de contention excessivement mais son aménagement relève de la "culture". Chez les Grecs c'était uniquement la "pédérastie", c'est évidemment à l'opposé de l'embourgeoisement et de la parodie du "mariage pour tous" mais c'est encore un autre problème. Tout ce que j'ai lu sur le sujet se résume à une alternative dualiste et même l'auteur du Rapt de Ganymède, Dominique Fernandez dont la culture est remarquable s'est complètement foutu dedans. Je crois être bien le seul à avoir "débogué" la question dans une revue très confidentielle à l'occasion de compte-rendus fouillés de livres dont je ne souhaite pas parler.

Donc tout ce qui vient des religions en fait de directive, c'est pour moi de la "culture" et ça se discute !

Pie XII a libéré les "homos" sans le savoir !

La médecine générale englobant la psychologie, sachant que les polémiques en vogue continuent d'enfermer les gens dans des noeuds gordiens j'ai décidé de les trancher quand l'occasion s'en présente. Donc le dernier "pape classique" décide de légaliser la contraception si elle a recours à des méthodes dites "naturelles". Ce faisant il a commis trois erreurs qui prouve que l'infaillibilité n'existe pas !

1) Cette méthode s'est avérée catastrophique en terme d'efficacité.

2) La contraception recourt à des artifices, elle est donc anti-naturelle, il aurait fallu parler de méthodes "écologiques" mais le concept restait à dégager et comme cela fait depuis Aristote qu'on se mélange les pinceaux sur "nature et contre nature", il fallait bien arriver au XXIème siècle pour avoir des idées claires.

3) A partir du moment où l'on décide qu'il est licite de recourir à la contraception c'est que l'on autorise la recherche du plaisir sexuel pour lui-même. Dans ces conditions, il n'y a pas lieu de choisir nécessairement un partenaire de sexe opposé puisque la procréation n'est plus le but et est même un facteur indésirable. Je ne vous fais pas de dessin, la seule limite c'est la mesure opposée à l'hybris et la bestialité qui n'a pas de sens. Quant à l'hybris on peut accueillir autant de partenaires pouvant se présenter (si on a l'énergie pour) et sous certaines conditions psychiques purement subjectives que je n'ai pas à définir. Je crois devoir donner un certain nombre de repères en faveur des égarés : détestant les "gourous" et ayant poursuivi certains de ma vindicte, je me garderai de vouloir leur faire concurrence...

Et la zoo-psychologie dans tous cela ?

J'adore les chats, j'en ai eu étant gamin et il m'a fallu attendre qu'une de ces charmantes bestioles s'imposent pour que j'en accepte un à la fois. La première fois ce fut une minette. Mon voisin l'ayant identifié comme matou je n'ai pas jugé nécessaire de lui soulever la queue pour vérifier son expertise. Je n'ai point tarder à me voir opposé un démenti par le squatteur qui s'est révélé une squatteuse. J'ai commencé à avoir des doutes à cause de son comportement. C'était toute une cérémonie longue et compliquée, et je te tourne et je te ratourne... pour avoir droit de caresser Madame ou plutôt mademoiselle car lle n'a pas eu d'enfants. Au début j'ai pu la prendre dans mes bras mais Ã

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10/11/2014 | Lien permanent

Le lavement intestinal

Lavement.jpgLes lavements intestinaux sont en honneur chez les Kousminiens qui les réservent à l'éclaircissement des pathologies lourdes alors que cette pratique devrait être régulière chez les gens en bonne santé. Cette pratique peut aider à remettre bien des choses d'aplomb !

Le livre présenté ci-contre est vraiment remarquable par sa clarté et les réponses précises qu'il donne au questions que l'on se pose.

Bien évidemment, quand on à la possibilité de recourir à l'irrigation colonique pour désincruster les lieux et que l'on peut se servir des lavements réguliers comme entretien c'est préférable. Hélas, les cabinets de naturopathie comportant ce genre d'installation ne sont pas très répandus et à Nice je n'ai trouvé jadis qu'un médecin qui pratique cette technique. Actuellement, une femme est équipée mais de l'avis de ceux qui l'on fréquentée, elle est excessivement désagréable et précise sur son site qu'elle n'accepte que les paiements en liquide. Ces détails en tisent long sur la qualité de l'accueil auquel on peut s'attendre. 

Or un patient qui accepte de se faire enfiler une canule dans le fondement a tout de même besoin d'une certaine détente et si le praticien administre la chose comme si elle lui pesait, c'est assez franchement dissuasif !

A noter que les Editions Ambre proposent une poche avec une canule assez longue et l'on ne trouve rien de comparable en pharmacie... A noter également qu'il existe une planche spéciale que l'on peut utiliser sur un WC avec le support d'une chaise mais cela suppose d'avoir la place pour installer ce dispositif qui a le mérite d'être très pratique. Autrement la position allongée et en chien de fusil sur un lit convient. Il suffit d'une alèse et d'un crochet.

Il est souhaitable de commencer par de l'eau claire et de n'avoir recours à des ajouts comme le café ou des extraits de plantes qu'après avoir pratiqué des lavages simples car ce que l'on rajoute à l'eau étant assimilé très rapidement cela peut fausser l'expérimentation, or ce qui compte avant tout c'est de désincruster l'organe moyennant une préparation par voie orale (psyllium entr'autres choses...).

A noter qu'il existe une technique indienne de "siphonnage" basée sur des mouvements particuliers qui permet le lavage de tout le tube digestif. Cette technique est supérieure et plus pratique en un sens mais elle nécessite un apprentissage auprès de ceux qui l'on maîtrisée car si on la trouve décrite sur Internet, la nécessité d'absorber pas mal d'eau salée peut être dissuasive si on ne parvient pas à provoquer l'amorçage nécessaire au processus qui demande à ce qu'on lui consacre plusieurs heures. Ca nécessite d'être pratiqué durant un week end où l'on doit s'assurer de n'être pas dérangé.

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04/02/2012 | Lien permanent

Un ex ingénieur agro alimentaire balance !

avalerca.jpgCe qui se dit dans le livre apparaissant à droite ne va pas vous surprendre outre mesure. Il y a le quasi anecdotique le piment relevé de crottes de rats et de fientes d'oiseau pulvérisées et des choses plus inquiétantes comme tout ce qui vient de Chine sans annoncer la couleur...

Bon appétit quand même !

Là il est surtout question de la qualité des matières premières et pas des additifs...

https://mrmondialisation.org/vous-etes-fous-davaler-ca-un...

Matières premières avariées, marchandises trafiquées, contrôles d’hygiène contournés, Christophe Brusset dénonce les multiples dérives dont il est, depuis vingt ans, le complice ou le témoin dans les coulisses de l’industrie agroalimentaire.

Ingénieur de haut niveau devenu dirigeant au sein de groupes internationaux, à 44 ans, il a décidé de « faire aujourd’hui son devoir » et de briser la loi du silence. 

Piment indien rempli de crottes de souris, thé vert de Chine bourré de pesticides, faux safran marocain, viande de cheval transformée en bœuf, confiture de fraises sans fraises, origan coupé aux feuille d’olivier, etc.

 

Les arnaques qu’il révèle sont nombreuses mais ses conseils rassemblés dans son « guide de survie en magasin » devraient vous permettre d’en déjouer la plupart.

 

 

 

Christophe Brusset raconte la course de vitesse planétaire entre fraudeurs pour fournir aux industriels des matières premières toujours moins chères. Son récit effarant est une plongée saisissante et pleine d’humour dans un monde souvent sans foi ni loi.

 

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27/10/2015 | Lien permanent

”Guérisons spirituelles”, sorcellerie et médecine

sorcières.gifUne question m'a été posée dans le cadre de ma mailing-liste vouée à des échanges sur l'argent colloïdal. Elle m'a donné l'occasion d'aborder un sujet que je considère comme connexe à la question posée puisque le point commun se trouve dans le domaine que les théologiens appellent "préternaturel". Il se trouve que des circonstances particulières font que j'ai acquis des compétences dans ces domaines. Compétence de l'ordre du seul discernement. Je le précise car je ne saurais intervenir dans des affaires d'envoûtements ou de "hantises" excepté pour un éventuel diagnostic s'agissant de deux causes qui ajoutées à des problèmes de géobiologies et de pollutions diverses sont à l'origine de troubles graves en matière de santé. J'ai eu ainsi à examiner deux "affaire" l'une relevant de la pure "magie noire" et une autre où une hantise du aux éventuels résidus psychiques des précédants occupants d'une ferme bourguignonne. Dans ce second, cas je suis arrivé à une conclusion négative. L'occasion m'a été donnée d'aborder ces questions par un mail dont voici la teneur étant précisé que j'ai réécrit en les précisant quelques passages rédigés en hâte.  

Bonjour Mr Metzer

(...) je travaille dans les produits naturels depuis de nombreuses années mais je crois aussi aux guerisons spirituels. Comme vous êtes un chercheur;je vous envoie quelques infos et un diaporama sur la  vierge du mexique ; pour savoir ce que vous en pensez...

Suivaient ces urls :

http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveau...

témognages

http://www.asaintnicolas.com/spip.php?article2

http://www.asaintnicolas.com/spip.php?article54

Merci

Laurent

La réponse

Vos questions intéressant la médecine, je vous réponds dans la liste afin que tout le monde en profite. Façon de parler car je prévois pas mal de déstabilisation à moins de zapper...

Je crains de vous décevoir, j'ai jeté un rapide coup d'oeil sur les vidéos. J'ai déjà entendu ces discours 10000 fois et le problème c'est où est la ou les questions. Parce qu'il y a 36 000 choses dans tout cela.

Je vais essayer de vous répondre, à vous de poser ensuite des questions précises si vous jugiez ma réponse insuffisante.

Tout d'abord il faudrait distinguer les moyens de la guérison du caractère de la guérison elle-même. Je suppose que vous avez en vue les "moyens" car une guérison visant un mieux être somatique ne saurait être qualifiée de "spirituelle".

Voyons d'abord la Vierge de Guadalupe. Je connais les grandes lignes de cette histoire, à savoir le miracle de la floraison d'une rose hors saison et l'histoire des yeux qui passent pour être "vivants". Sur les faits historiques, il est impossible à plusieurs siècles de distance de faire une enquête sérieuse mais en tout état de cause un "miracle" ne signifie rien en soi. J'en admets la possibilité sans pour autant être tenu de croire à une cause providentielle. Mais enfin il est clair que dans la page dont vous faites état, on en a rajouté. Il y a donc là-dedans une large part de fantasmagories qui ne m'intéressent pas et que je tiens pour nulles et non avenues.

Les "miracles (ou ce que l'on tient pour tels ne me posent pas de problèmes par plus que l'histoire de la naissance virginale de Jésus. Je vous signale que le Bouddha a été crédité d'un privilège semblable ainsi que Platon d'après Diogène Laerce. Ce qui importe d'abord c'est le contenu symbolique. Le problème dans le cas de Platon, c'est qu'il ne fut que l'éditeur des propos de Socrate et qu'il a finit par s'approprier la gloire de son héros. Si donc il a existé un sage dans l'histoire, ce ne pourrait être que Socrate or, si j'ai bonne souvenance, non seulement le même Diogène ne lui a point accordé la moindre naissance miraculeuse mais il nous a transmis le nom de celui qui l'aurait initié à la philosophie à coups de verge dans le fondement, ce qui, on en conviendra la fiche plutôt mal et ne correspond par du tout à notre échelle de "valeurs spirituelles". En d'autres termes, Socrate aurait-été la vistime d'un "pédophile" dont je n'ai point retenu le nom s'il a été donné...

Parlons de choses plus sérieuses : quoique j'ai cessé d'être "catholique" je crois à l'autenthicité du "Suaire de Turin" et àa ne me pose pas de problème puisque des lamas tibétains et aussi des anachorètes au Mont Athos se seraient transformés en "corps d'arc en ciel". La seule différence résidant qu'un seul en a laissé une trace palpable qui n'en déplaise à un universitaires des plus connards (savoir le principal "grand prêtre" de la "zézétique") ne saurait être contrefaite et surtout pas par le moyens grossier qu'il a publié dans cette revue de merde qu'est "Science et Vie" laquelle se fout du monde plus souvent qu'à son tour ! 

Pour en revenir aux apparitions mariales, j'ai longuement étudié la question, il y a 15 ou 20 ans. J'ai distingué plusieurs types d'apparitions. Certaines continennent des symboles traditionnels (apparition dans un chêne par exemple) d'autres, les dernières, sont franchement "dissonantes" car elles ne répondent pas à certains critères sur lesquels je ne peux m'étendre. Mais si l'on peut distinguer des apparitions se conformant à une orthodoxie minimale et d'autres qui sont manifestement parodiques, cela ne veut absolument pas dire que les premières seraient plus authentiques que les secondes.

Certaines conditions de forme sont nécessaire pour envisager l'hypothèse d'une authenticité mais nullement suffisantes car une intervention supposée d'origine providentielle soit doit d'être confirmée par la valeur proprement spirituelle du message délivré. Or et à ma connaissance elle est toujours nulle, métaphysiquement parlant. 

Ca se résume toujours et en effet à une incitation à un "réarmement moral" conformément aux obsessions caractéristiques du christianisme, à savoir en particulier la "luxure". La "luxure" qu'est-ce que c'est ? Tout ce suite on pense à des "histoire de cul" mais en fait c'est l'abus du luxe, cela comprend aussi bien le goût ostentatoire pour les bagnoles de luxe que celui des belles femmes ou, c'est selon, un attrait pour les "minets". Du reste ça  ne marche pas l'un sans l'autre car on n'attrape jamais les mouches avec du vinaigre. Il faut en effet être assez naïf pour croire que Socrate aurait été l'idole des "ados" de son temps, certes ils étaient moins tarés que de nos jours mais faut pas pousser.

Enfin et puisque je viens d'évoquer les principaux "objets de luxe" il faut préciser que lorsqu'ils prennent figure humaine, leur sexe, jusqu'au XIII ème, est resté assez indifférent. Il aura fallu l'invention de l'amour courtois pour que la dévotion envers le sexe dit faible prenne le pas sur cette "homosexiabilité" qui était la règle auparavant. Heureuse époque où les soucis par trop frivoles de la plupart de nos compagnes n'avaient guère cours. Cela dit les choses en hélas bien changé. J'en veux pour preuve mon petit village : l'épicerie se meurt alors qu'il y en eu jusqu'à trois au lendemain de la guerre. En revanche, un salon de coiffure et la boutique d'une esthéticienne marchent très fort. Cette dernière a même pris la place de l'ancien télégraphe ! J'ai dit "indifférent" pour ne méconter personne mais quand à y regarder de près, on constate que les clercs s'adonnant au "péché philosophique" n'étaient pas si mal vus, bien au contraire. Voir les travaux d'un certain John Boswell qui, sont, sur quelques points de détail, à "prendre avec des pincettes".

Revenons à nos moutons. Quand je dis que les message spirituellement son vides, c'est qu'ils ne fournissent aucune réponse aux questions de notre temps quant à la conduite à tenir par rapport aux problème de société en vogue. Bref, l'Eglise catholique campe sur sa hantise du divorce et de l'homosexualité. C'est tout ce qui l'intéresse. Elle qui ne fut pas loin de professer que l'avarice est immédiatement après l'orgueil le pire des péché se montre étrangement silencieuse quant au domaine économique ce qui est normal car elle a été, dans son ensemble, trop près du manche pour se hasarder dans ce domaine qui est bien l'objet des pires scandales. Quant aux "moeurs", il aura du reste fallu du temps pour qu'elle se gendarme contre la pédophilie ! Et elle l'a fait à reculons ! Mais enfin personne n'ignore plus qu'il suffit de lire n'importe quelle histoire de la papauté pour se rendre compte que le fait d'orner le choeur des églises des plus beaux éphèbes en qualité de servant du culte fut un excellent prétexte pour détourner ces sortes d'ornements à des fins contestables, du moins dans le contexte de puritanisme qui tend à sévir sous nos latitudes. 

Tout cela pour dire que la teneur des discours des apparitions n'a pas changé depuis l'époque du curé d'Ars. La hantise du saint curé c'était les bals du samedi soir des fois que les filles se fassent engrosser... C'est encore et toujours la diabolisation du sexe. Au moins à l'époque le clergé essayait de susciter la charité chez les riches. C'était un emplâtre sur une jambe de bois pour mille et une raison. Vous l'avez entendu le clergé français jeter l'anathème sur la spéculation financière, les directeurs des banques et surtout les politiques qui s'agitent et ne font rien à commencer par le nabot qui se représente ? Moi, à la place de l'archevêque de Paris, je fulminerai une excommunication et une malédiction en bonne et due forme comme ce fut fait au sein de l'église orthodoxe du temps de Ceaucescu si ma mémoire est bonne.

Bref, il m'est absolument impossible de voir dans l'une ou l'autre des apparitions mariales que vous pourriez me citer quelque chose de "spirituel". Je suis formel, je connais assez bien l'orthodoxie pour savoir que son histoire ne mentionne pas la moindre apparition mariale. Alors que conclure ?

J'ai évoqué deux sortes d'apparitions, des apparitions "classiques" comme celle dont vous faites état mais qui ne conduisent guère qu'à un "piétisme" qui n'a guère que le mérite de concourir à une relative paix sociale. Cependant dans le cas particulier de l'extension du catholicisme dans le nouveau monde, ses exactions et sa propension (sous toutes les latitudes) à traiter ses sujets en "esclaves" comme le montre l'histoire de l'Inquisition parce qu'elle procède de l'emprunt au droit romain d'une procédure qui leur était exclusivement réservée, m'interdit de voir la "main de Dieu" dans ces première apparitions quoique leur forme soit en accord avec certains critères symboliques. Alors de quoi s'agit-il ?

Ma thèse (et c'est une certitude absolue que vous n'êtes pas tenu de partager) est qu'il s'agit de la remanifestation de ces anciennes fées et autres "Dames blanches" du folklore ancien, soit de ces entités révérées par le paganisme et généralement associées au culte de certaines fontaines qui ont trouvé là un moyen de se sustenter sur le dos de gens crédules moyennant un déguisement de circonstance. Je veux bien vous accorder qu'elles ne témoignent nullement d'intentions hostiles mais il s'agit néanmoins d'une source d'illusion qui ne peut apporter aucune espèce de progrès spirituel.

Vous noterez qu'après la révolution française la teneur de ces apparitions tend à changer. Elles se transforment pour donner de plus en plus naissance à de grossières parodies et là elles se subdivisent avec d'une part des supercheries purement humaines comme La Salette et d'autre part des manifestations dont la teneur de plus en plus sinistre n'est point douteuse, Lourdes constituant une sorte de pivot résumant le point où tout bascule. Cette apparition comporte certains caractères classiques et l'on a du reste des traces historiques d'une antériorité remontant, paraît-il, jusqu'à l'époque de la conquête arabe mais je n'ai pas pu mettre la main la documentation adéquate et je sais seulement qu'il en subsiste des traces dans une étude érudite devenue inaccessible.

Pour en revenir à votre question, il découle de ce qui précède que si certaines apparitions comme celle de Lourdes ont conduit à des guérisons, je ne saurais les qualifier de spirituelle que pour autant que l'on voudra bien me prouver que les bénéficiaires on témoigné par la suite d'une authentique "sagesse spirituelle". En vérité, il n'est même nécessaire de se poser la moindre question à ce sujet au motif qu'un effet ne saurait être supérieur en force et en qualité à la cause censé l'avoir produit. En d'autres termes, l'excessive médiocrité de l'arbre rend toute question vaine à propos de ses fruits éventuels.

Quant à certains prodiges postérieurs, Fatima, Garabandal, Medjugorje en particulier, tout cela n'est que "diableries". Pour être tout à fait clair, je dirais que d'un point de vue islamique toutes ces histoires ne sont que manigances de "djinns", une catégorie ontologique qui ne se superpose pas à celle des "démons" dont Rome fait grand commerce car la traduction correcte est "génies". Laquelle catégorie se subdivise à l'infini. Il y en a qui sont simplement farceurs, d'autres étant assez franchement maléfiques. Enfin le bouddhisme tibétain dispose à ce propos d'une "rubrique" qui peut donner une idée de ce avec quoi nous avons à faire avec les pseudos "Vierge Marie" qui sont apparues au cours des temps. Dans le meilleur des cas, un lama n'y verrait guère que la manifestation d'un "dieu mondain". L'attitude correcte consiste à le respecter s'il est jugé positif, voir à s'attirer ses bonnes grâces en lui faisant des offrandes mais en aucun cas il ne saurait être question de le prendre pour un "guide spirituel" attendu qu'il n'a pas atteint la "libération".

Qu'est-ce que la spiritualité

Il tombe sous le sens que nous n'avons pas la même conception de la spiritualité. Du reste je vous soupçonne de n'en avoir pas la moindre idée. A la suite de ma première réponse vous m'avez cité une phrase de Soeur Emmanuelle qui aurait affirmé que "peu importe les croyances, l'important faire le bien durant cette vie." 

Vous m'excuserez si je suis assez "vachard" mais si je tire les conséquences de cet énoncé, vous n'en avez pas fini avec moi. Je constate premièrement que cette Soeur se fout de ses propres croyances. De la part d'une personne qui passe pour avoir réhabilité l'onanisme, son relativisme n'est point fait pour nous étonner, voir :

http://www.rue89.com/rue69/2008/11/02/soeur-emmanuelle-au...

C'est qu'il est des prénoms qui sont bien conçus pour véhiculer une certaine fatalité, et je pense au film intitulé "Emmanuelle" voir :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_d'O

On comprend maintenant pourquoi votre "référence" se souciait fort peu des "croyances" catholiques. Maintenant le vrai problème c'est de savoir ce en quoi consiste le fait de "faire le bien". Est-ce de ne jamais se masturber, de ne jamais coucher avec un de ses semblables ? Est-ce distribuer des vivres aux pauvres, pratiquer la médecine en ne faisant payer que les riches. Des légions de gens parfaitement athèes font cela très bien et même parfois de façon désintéressée et il faut bien dire que quand il s'agit de redistribuer des biens que d'autres mettent à votre disposition, je ne vois pas où est le mérite mais passons !

Je crains que la spiritualité ne réside pas dans la "morale" car à ce sujet ne dit-on pas "vérité en deça des Pyréennées, erreur au delà" ce qui rend parfaitement compte du caractère très contextuel de la chose. Puisque le domaine sexuel fournit une source inépuisable d'exemple on peut prendre l'exemple de la polygamie. Chez nous c'est à la fois un péché pour les chrétiens et un délit du point de vue républicain. Pourtant tous les patriarches de l'Ancien testament furent polygames.

J'ajoute qu'un certain Thomas d'Aquin a énoncé en substance que ce qui est péché pour les uns ne le serait point pour d'autres, ce qui implique que les conditions subjectives sont déterminantes pour juger de la valeur d'un acte. Là je vais laisser tomber le domaine sexuel pour prendre un exemple beaucoup plus probant, celui de la "légitime défense", tuer quelqu'un lorsque l'on est menacé de mort, ce n'est pas un crime, en revanche occire quelqu'un par jalousie ou sur un coup de colère c'est un crime !

Vous parliez de "guérison spirituelle" ! Restons en à ce qui est ou n'est pas "spirituel" alors je vous pose la question, c'est quoi ? Je connais la réponse mais je ne vais pas vous la donner mais simplement constater que la question posée celle d'une "guérision spirituelle" est vaine. Ni les moyens sur lequels vous m'avez questionné, ni les résultats ne peuvent être qualifiés de "spirituels".

La "sorcellerie" quel rapport ?

Le rapport est purement factuel en ce sens que ce que vous entendez par "guérison spirituelle" en ayant en vue certains "miracles" appartient finalement au même registre que l'action des "panseurs de secrets", des "désenvoûteurs" qui on plus de rapports avec le statut du "sorcier" qu'il n'y apparaît au premier abord puisqu'il oeuvrent sur le même plan invisible ou plus exactement "subtil" ou encore "psychique".

Remarques sur deux livre de Dominique Camus

J'abandonne donc les italiques pour élargir la question posée. 

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26/02/2012 | Lien permanent

Propos sur le cancer : on lit ce que j'écris de travers ! Le cas échant changez de lunettes !

cancer.jpgJe reproduis ci-après, la réponse faite à un lecteur qui a conclu sa visite du blog par un "Bof !" Ce n'est pas que je tienne à me justifier mais il y des cas où il est si flagrant que l'on a lu le contraire de ce qui est écrit qu'il me faut insister sur la nécessité d'un peu d'attention.

J'en profite pour souligner que le style fort peu consensuel que j'ai adopté aura quand même contribué à éviter une avalanche de mails insignifiants. Mais je sais que cela est du aussi à un autre facteur : d'autres internautes ont constaté d'une manière générale que mis à part le multiplication des spams, la quantité des échanges "normaux" a singulièrement baissé et ça je l'ai constaté sur des comptes correspondant à des activités où je n'ai pas de raisons de faire semblant d'être méchant. J'en déduis que c'est un effet de la "crise" qui se prolonge avec la menace du terrorisme qui découle des activités martiennes totalement illégales que mène notre satané gouvernement en Syrie pour le compte des amerloques qui grâce à leur cartographie satellitaire des ressources planétaires d'avant 2001 avait programmé de déclencher là bas et en Libye des "guerre de 4ème génération" sur la base d'une certaine "doctrine des combats de chiens". Je vous laisse chercher de quoi il peut s'agir...

Spiritualité "aigre douce"

Ce post sera l'occasion de faire quelques remarques "spirituelles" sur la valeur respective, en terme d'efficacité supposée, des "systèmes de tranquillisation" (comme l'écrit Paul Veyne, ce spécialiste de l'Antiquité romaine) tant du côté païen que du côté chrétien. Si on a du temps et si on en a les moyens il n'est pas interdit d'étendre le concours jusqu'à la Chine incluse en mettant au concours les apports du confucianisme et du taoïsme. Il va de soi que je n'ai pas l'intention de conclure et de toutes façons, quand bien même en aurais-je la possibilité, sans violer la conscience de quiconque, le sujet de ce blog ne se prête pas au développement de ce genre de spéculations. Quoiqu'il en soit je conviens bien volontiers qu'il s'agirait là d'une forme d'humour assez aigrelet et si elle devait faire l'unanimité, j'aurais raté mon coup. Ce n'est évidemment pas le but !

Contenu de l'émail reçu

Je suis tombé sur votre site par le plus grand des hasards. Le 14 janvier dernier, mon cousin est mort d’un cancer généralisé. Il a appris qu’il avait un cancer du cerveau (entre autres) au mois d’octobre.

Après 2 séances de chimio (de merde), il à perdu 20 kilos. Et après, sec comme un squelette, il aura rendu l’âme (le 14 janvier).

Que vous soyez sceptique sur les produits Beljansky ou autre est une chose. Mais s’il vous plait, laissez les gens atteints de cette maladie de merde croire à autre chose qu’au Carbo Platine ou Vincristine et autres merdes du même genre.

Je connais une autre personne qui prend les produits Beljansky depuis 20 ans et qui est toujours présent sur cette terre. Une seule, direz-vous ? Ben oui, à comparé au dizaines que j’ai connu et qui sont tous partis, plus a cause des suite de la chimio que du cancer en moins de 2 ans, c’est déjà un bon score.

Perso, je bouffe des vitamines tous les jours, du lapacho, du pao peirera, et je finirai par mourir un jour ou l’autre, mais si certaines plantes reculent l’échéance, pourquoi s’en priver ?

Eléments de réponse

Je m'abstiendrai de citer de façons extensive quelques passages relevé dans le blog après recherche sur les mots "Beljanski" et "chimiothérapie". Je m'en tiendrai à une seul passage (corrigé : mais ayant été écrit à la place de même ) :

Les produits Beljanski c'est pas du pipeau même si le bonhomme n'était pas clair.

Traduction : Beljanski n'était pas vraiment net compte tenu de l'influence de sa femme et de sa fille qui adorent visiblement le fric et de la présence d'un escroc dont j'ai cité le nom. En revanche mon propos lui est limpide et je rappelle que j'ai cité des alternatives dont une est espagnole pour ce qu'il en est de se procurer les produits Beljanski.

Je relevais également que j'ai bien parlé de gens précipités vers la mort par des chimios à répétition et que dans un autre post j'ai mentionné que j'étais occupé à trier des textes communiqués par des médecins ayant l'expérience de solutions alternatives. Ces textes sont disponibles dans le Cloud moyennant un droit d'entrée de 50 € étant précisé que si l'on a des soucis financiers, on peut en faire la demande gracieusement, encore faut-il la faire. Je précisais que dans la mesure où un généraliste qui se mêlerait de cancérologie s'expose de gros ennuis, le cancer est un des sujets sur lesquels je ne donnerai jamais de conseils précis en me limitant à mettre à disposition la description de protocoles qui, entre les mains de médecins expérimentés, ont donné des résultats.

Ajoutant qu'en ce qui me concerne je préfèrerai prendre le risque de crever plutôt que de me faire injecter des poisons violents. C'est aussi le choix d'une amie spécialiste du Gi Gong thérapeutique. Maintenant je ne peux pas présumer de ce qui pourrait se passer si je me retrouvais confronté au problème. Il est toutefois peu probable que je change d'optique. Je n'ai pas précisé que j'ai connaissance des textes philosophique romain qui préconisent le suicide dans certaines cas de figure. Il est évident que le suicide par pure amertume est la pire des choses s'il existe une perdurance de la conscience après la mort. Mais il y a suicide et suicide. Le "suicide" peut consister à accepter l'échéance éventuelle et à seulement tout mettre en oeuvre pour éviter la progression du mal par des moyens non toxiques et surtout à prévoir tous les moyens d'éviter la douleur. 

Concernant la "chimio" j'évoquais deux cas l'un qui se présente mal, avec un voisin qui a été amputé des 3/4 de son estomac, à qui on ne donne aucun complément vitaminique, qui a fondu et qui cerise sur le gâteau se retrouve sourd comme un pot du fait de l'ototoxicité d'une bonne part des chimios existantes. Et on persiste à lui en refiler une petite tous les quinze jours. Tout en sachant que c'était peine perdue j'ai conseillé à cet ami de recourir à des doses fortes de bromélaine et de curcumine et je suis sûr que s'il avait demandé à son cancérologue la permission ce dernier là lui aurait accordée mais voilà la majorité des gens ont la trouille de contrarier si peu que ce soit leurs médecins. L'isolement sensoriel résultant de l'aventure s'avère pire au fond que la maladie. C'est un catholique pratiquant et un anxieux, bien évidemment pour cette raison et pour bien d'autres sa foi en prend un coup derrière les oreilles.

J'ai cité un autre cas où le patient est tiré d'affaire. Il a perdu 17 kilos. On lui a enlevé un bout de colon. Dans son cas il est résulté de la chimio des troubles cardiaques qui se sont soldé par la pose d'une pile et d'un traitement avec diurétique qui aggrave ses tendances goutteuses. Il a perdu sa femme d'une tumeur au cerveau et du fait de l'instabilité de sa voirie interne il doit limiter les déplacements. Il n'a comme distraction que cette maudite télévision qui le scandalise. La lecture n'est pas son for...

Pour ma part, les choses sont très simples : à partir du moment où je suis pleinement conscient de la toxicité de toutes les chimios, accepter de me faire injecter du poison sans pouvoir avoir le moindre droit de regard et de contrôle sur le contenu et les modalités de cette "chimio" est impensable ! Donc en cas de pépins, ça risque d'être vite vu ! J'étudierai dare dare les protocoles existants et je poserai mes conditions et en cas de clash j'adresserai immédiatement une lettre recommandée au spécialiste en le prévenant que je décide de faire mon affaire du problème avec des moyens alternatifs et dans le cas où les moyens d'en contrôler l'efficacité des solutions retenues où la progression du mal m'étaient refusée ce serait immédiatement l'assignation devant le tribunal correctionnel avec perte et fracas.

Mais une question se pose ? Peut-on "attraper le cancer" lorsqu'on est à se point déterminé à défendre son immunité intellectuelle ? 

Aussi ai-je du faire remarquer que d'après mes constatations, le cancer survient préférentiellement chez des gens en situation d'échec. J'ai souvent remarqué un profil psychologique assez particulier chez les vieux cancéreux. Si j'applique mes observations aux deux cas que j'ai évoqués, le plus mal loti est un Monsieur qui redoute de faire des vagues. Il est parfaitement d'accord avec mes jugements sur le monde comme il va mais jamais au grand jamais il n'a pris le moindre risque de professer publiquement et de façon marquée un désaccord. Celui qui s'en est le mieux tiré est tout le contraire. C'est ce que l'on appelle une "grande gueule", l'un et l'autre sommes craints et les gens qui ne sont pas clairs nous évitent. Avec cette différence qu'étant né sous un ascendant Balance, j'ai un certain sens de la diplomatie. J'évite autant que possible les éclats publics et quand j'ai un compte à régler, j'envoie à l'intéressé un courrier d'un style assez particulier qui s'il était publié aurait le don de mettre tous les rieurs de mon côté. Le dernier a eu pour destinataire un jeune coiffeur assez illettré qui à la suite d'un différent m'a requis d'aller faire des passes en consacrant le reste de mes loisirs à cultiver mon instrument de musique favori.

Voici un extrait de la réponse agrémenté de petits collages en forme de Père Noël, de sapins enneigé et autres sujets festifs : A propos si tu continues sur ta lancée, faire des passes, c'est probablement la seule alternative qui te resteras. Sauf qu'en dépit de la différence d'âge en ta faveur, tu n'as pas plus de chance de faire fortune dans la profession. Que l'on soit coiffeur ou gigolo, le "minimum syndical" c'est un minimum de sens de l'urbanité. Et si le sens de ce mot t'échappe, tu as de très bon dictionnaires sur Internet. Il y en a comme cela une page sur le même ton et dans dans le même style.

Petite précision : pour que ce genre de stratégie soit efficace, il faut donner lecture de l'épître à deux ou trois commères ayant eu à se plaindre de l'artisan... Comme ce sauvageon mal léché m'avait collé à mon arrivée l'étiquette de "pédophile" pour le seul motif qu'en me promenant le soir j'avais croisé 3 fois son groupe j'ai rappelé les faits en précisant : je n'ai pas le moindre souvenir que tu puisses avoir rayonné d'un sex appeal susceptible de damner même un saint ! Imaginez un jeune qui en veut à la terre entière parce qu'il n'a pas connu son père et a été adopté à 11 mois et qui a passé son adolescence à provoquer les gendarmes en utilisant la cabine téléphonique pour les inviter à venir se faire enculer ! Chaque fois que je l'entends causer c'est pour se répandre en amertume et donner le spectacle de ses coups de téléphone agressifs. Résultats lui et quelques autres se sont fait carrément vider d'un café.

Je donne cet exemple pour bien insister sur le fait que la médecine préventive ne consiste pas à bouffer des vitamines et du Lapacho lorsqu'on est atteint par la "cancérophobie". Si on n'est pas capable, lorsque l'on est agressé dans son honneur de répliquer en ne baissant jamais pavillon, il faut évidemment s'attendre au pire bien que la méthode ne comporte aucune garantie. Mais une chose est sûre c'est qu'un être humain qui se trouve socialement dévalorisé est comme un homme mort en puissance. A ce propos, je dois dire que j'ai de l'admiration non pas pour le féminisme mais pour ce que l'on appelle les femmes de tête qui en cas d'abus savent remettre les mâles indélicats à leur juste place. Le problème est que là encore on observe un renversement, trop d'hommes s'écrasent et se mettent à ramper. t

Trouver un juste équilibre dans le bordel ambiant n'est pas chose facile. Néanmoins lorsque l'on vient à vivre dans un espace où tout le monde se connaît, on ne peut faire l'unanimité qu'en se rangeant du côté des puissants. Survivre dans un climat aussi pourri que celui de certains villages sudistes est une gageure. Commencer à se faire respecter ça prend au moins une décennie à moins de n'avoir aucun fond.

Je terminais la réponse à mon lecteur "cancérophobe" par ces propos que j'ai affiné quel peu dans cette version publique.   

Ce que vous pouvez penser du blog en concluant par un "Bof" m'est totalement indifférent mais je voudrais surtout insister sur le fait que la peur dont vous témoignez à l'idée de choper un cancer ne peut pas éviter le danger, elle ne peut au contraire que l'attirer, ce qui revient à dire que pour mettre le maximum de chances de votre côté, il faut commencer par essayer de la dépasser.

Je ne peux pas vous dire comment faire, c'est à vous de trouver sur quel levier il vous faut agir. En fait vous le savez le cancer c'est la menace d'une mort hideuse mais moins quand même que le Sida.

C'est donc de la mort et de ses conditions qu'il faudrait parler et non du cancer. Faut-il exorciser la mort par telle ou telle perspective post mortem à caractère consolant type "paradis" ou à tout le moins absence d'enfer ? Je ne crois pas que ce soit la solution.

C'est un sujet que je trouve intéressant en soi. En ce moment il se trouve que je suis occupé à essayer de d'affiner la comparaison la façon dont les Anciens romains concevaient les relations avec leurs "dieux" par rapport à ce que le christianisme et donc l'irruption du monothéisme a changé durant l'Antiquité dite tardive (II et IVème siècle).

On s'aperçoit par exemple que si le stoïcisme préconisait de ne baiser qu'avec la nécessité de faire un enfant et qu'il a d'une certaine manière fait le lit du christianisme, les raisons invoquées de part et d'autres étaient aussi différentes que le jour et la nuit.

Une parenthèse pour dire qu'on va encore murmurer que le cul serait mon obsession. Si cela permet à ceusses qui ne sont pas clairs vis à vis de cette problématique devenue dominante de se donner le beau rôle, je leur pardonnerai volontiers mais franchement je n'imagine pas un seul instant de recommencer à nouveau le genre de quête à laquelle je me suis plus ou moins livré jusqu'à la quarantaine. Cela n'a plus de sens car sans même parler de défaillances fonctionnelles irrémédiables, j'ai trop la tête ailleurs pour être assuré d'être "réactif" au moment précis où il le faudrait et de toutes façons je n'encours strictement aucun risque d'être détourné de mes méditations plus ou moins amusées.

J'ai sans doute déjà dit que j'ai toujours un peu le sentiment d'avoir été débarqué dans un asile planétaire. Le jeu consiste d'abord a établir de liens de complicité et de solidarité avec les gens qui ont le même ressenti et à repérer les fous dangereux au premier coup d'oeil en sachant éventuellement comment les manipuler pour qu'ils se discréditent quand c'est possible. J'ajoute que Freud nous a rendu un seul service celui de nous obliger à admettre que le désir sous ses diverses formes et sexuel en particulier constitue le moteur qui fait marcher le monde. Pour le reste il a tout faux ! 

Bref étudier la subjectivité du "paganisme" (ou plutôt des paganismes) en dehors des clichés erronés résultant des projections du judéo-christianisme constitue un biais pour affronter plus ou moins frontalement le genre de peur que j'évoque

Ne pas être dupe des convergences apparentes en matière de morale sexuelle entre les philosophies romaines pré chrétiennes et celle de l'idéologie chrétienne, par exemple, n'est en quelque sorte qu'un "préliminaire". Le stade le plus important et le plus passionnant c'est pour finir d'essayer d'entrer de plain pied dans les différentes subjectivités religieuses sans être le jouet d'anachronismes. Je dois à la vérité de dire que je ne suis pas du tout convaincu que les monothéismes aient constitué un progrès. Tout ce que je puis dire c'est que nous devons, pour être équilibré, puiser les motifs de notre "tranquilisation" dans ce monde et pas dans un avenir post-mortem forcément hypothétique. Il est très intéressant de se pencher sur l'art funéraire romain. Je constate qu'au fond il est très clair que ce qui rapproche nos contemporains de nos ancêtres païens c'est le culte catholique et très naïf des saints chrétiens. Mais les "dieux" du panthéon païen étaient tout de même un peu moins "nunuche". Nos ancêtres riaient de leur exploits mythologiques surtout sexuels. Il se trouve dans la philosophie romaine et dans une partie de sa culture un sens de l'économie et de l'équilibre mais je ne suis pas sûr qu'un Michel Onfray soit un guide bien sûr. Je le trouve très sympathique, il s'est certes fort bonifié ces derniers temps mais je ne saurais lui accorder le bon dieu sans une confession. Les romains avait la conception assez vague d'une "providence" et franchement je la crois bien suffisante pour se bien gouverner. Ce "Dieu" (à l'occasion jaloux et vengeur) qui s'impose à nous à tout propos et hors de propos comme un "oeil de Caïn" qui se propose ne nous harceler jusque dans le sépulcre ressemble à mon avis plus à un "diable" qu'à autre chose. Mais bon les goûts et les couleurs... 

Et si cela n'est pas susceptible de lever toute angoisse avoir le courage de se livrer à ce genre d'exercice et de s'y coller grâce à certains travaux historiques constitue pour le moins une bonne distraction qui aide à supporter le caractère excessivement maussade de la crise actuelle. Je ne suis pas sûr que cette recette puisse vous convenir à tous mais son énoncé peut vous inspirer une autre solution.

Je lis actuellement les deux premiers chapitres du volume I de L'histoire de la vie privée sous la direction de Georges Duby et Philippe Ariès. C'est sans doute beaucoup trop ardu pour une majorité de lecteurs. Je propose simplement une direction et en

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18/02/2016 | Lien permanent

Bibliographie homéopathique

hahnemann.jpgOn m'a demandé à plusieurs reprises de conseiller des livres en homéopathie. Je n'ai pas abordé la question car je pense qu'il existe assez de documentation sur le sujet pour s'orienter. Mais il est vrai que les gens n'ont guère le temps de chercher.

J'ai demandé à un éditeur (Narayana) s'il accepterait de me communiquer des services de presses pour des compte-rendus. Il n'a pas dit non et je compte par la suite développer ce post en direction d'ouvrages spécialisés étant entendu que je demanderai des livres dont je suis sûr de dire du bien.

Les manuels à usage familial et les dictionnaires

Dans ce cas, c'est assez simple il faut avoir recours à un manuel à usage familial. les ouvrages signés du Dr Horvilleur ont la côte à juste titre. En plus on en trouve sur Priceminister de nombreux exemplaires d'occasion donc cela ne vous ruinera pas.

Ce genre d'ouvrage comporte en général une présentation sommaire de la doctrine homéopathique qui vous explique qu'en homéopathie on ne soigne pas une chose appelée "maladie" comme une angine, une bronchite, une gastrite, une néphrite, en cancer et je ne sais quoi encore. L'approche par entité clinique est opérante si le manuel indique plusieurs remèdes avec ses modalités particulières. 

La "maladie" comme passage obligé

Avec un manuel à usage familial on prend finalement le problème un peu à l'envers. On part d'un diagnostic clinique tel qu'un état grippal et le manuel vous donne un certain nombre de modalités et les remèdes possibles et la dilution préconisée. Aconit pour les suites de coup de froid sec, Belladona pour une fièvre, la notion de soif ou pas soif intervient. La liste comprend des remèdes pour des modalités de courbatures ou renvoie a des complexes homéopathiques qui groupent plusieurs remèdes en un seul. N eprendre qu'un remède à la fois si c'est possible.

En général, cela marche assez bien surtout sur les enfants mais c'est quand même de moins en moins vrai car toutes les pollutions alimentaires que nous subissons, les abus d'antibiotiques et tutti quanti ont tendance à compliquer les choses surtout pour les adultes.

Ne pas espérer de miracle chez des gens perclus de neuroleptiques et Cie. 

Exemple de démarche purement homéopathique pour un type d'insomnie

Exemple : c'est celui de l'insomnie du petit garçon qui a reçu pour son anniversaire un vélo. Il n'arrive pas à dormir car il pédale dans sa tête et vit par anticipation les futurs exploits sportifs qu'il veut accomplir le lendemain. Quelques granules de Coffea en 7 ou 9 CH ont des chances de l'aider à trouver le sommeil parce que le café provoque une excitation mentale assez positive.

Si par exemple vous vous réveillez vers 3 heures du matin aux prises avec des projets très excitants et un peu fous et qu'après vous être endormi sur le matin vous vous réveillez un peu claqué en vous disant que vous vous êtes monté le bourrichon, que ça ne marchera pas, là encore Coffea a toutes les chances de vous régulariser en haute dilution bien sûr.

En revanche les mêmes réveils chez une personne "soupe au lait" qui ne supporte pas la contradiction et les obstacles, ça sera plutôt Nux Vomica. A noter que les horaires en homéopathie devraient être considérés selon l'heure locale et non l'heure légale comme en astrologie. Je me suis fait un tableau avec la correspondance des heures d'hiver et d'été pour le méridien où je me trouve... 

Le Dictionnaire de Pommier

Cet ouvrage a connu de multiples éditions. Il était devenu introuvable et se vendait très cher. Je ne le conseille pas, il donne une liste de remèdes mais c'est à vous de les sélectionner en fonction des modalités. Il vous faut donc une Matière médicale alors qu'avec un manuel à la Horvilleur, vous pouvez vous en passer au moins dans un premier temps.

Manuels familiaux illustrés et ciblé pédiatrie, adolescents

Voir les éditions Narayana qui regroupent le meilleur de la production en homéopathie.

La matière médicale

Si vous voulez bien faire les choses et aller un peu plus en profondeur, il vous faut une Matière médicale. c'est à dire un dictionnaire alphabétique des remèdes qui énonce tous les signes en partant du psychisme et de la tête pour aller vers les pieds.

Les signes importants sont distingués par la typographie (caractère gras) et il faut évidemment au moins trois signes caractéristiques et concordants pour élire le remède. C'est évidemment assez compliqué pour les grands polychrestes qui ont plusieurs pages de signes. En revanche, parfois un petit remède peut se prescrire sur la base d'un signe unique (un Guiding symptom) qui lui est vraiment particulier.

Exemple de symptôme original d'un "petit remède"

Voici un exemple : la diarrhée quand elle s'accompagne d'une envie de verdure, c'est à dire une aspiration à se rendre dans la nature, à se rouler dans l'herbe voir à grimper à un arbre c'est Ecballium. une sorte de cucurbitacée... Quand vous avez enregistré ce genre de singularité vous ne pouvez pas louper le cas. Encore faut-il que le patient "crie" son remède d'où la nécessité de beaucoup observer et de relever ce qui est inhabituel !

Quelle matière médicale prendre ?

J'ai commencé avec le Précis de Matière Médicale Homéopathique de Vannier et Poirier parce qu'à l'époque celle de Boericke n'était pas traduite (Ed. Narayana). Si vous prenez goût à l'homéopathie vous aurez besoin d'en avoir plusieurs. Je ne peux pas les citer toutes il y en a trop. Et vous serez favorisé si vous éprouvez un intérêt pour la toxicologie non pour empoisonner les gens à leur insu mais par goût pour la chimie...

Plusieurs sortes de Matières médicales

Je viens d'évoquer des matières médicales "classiques". Elles sont plus ou moins bavardes (telle celle de Lathoud qui est une compilation de plusieurs auteurs) ou assez sèches (Boericke) voir un peu "télégraphiques". Il y a des intermédiaires synthétiques orientées "clinique" (Jouanny).

Une nouvelle race de matière médicale est apparue durant les années 90 que je qualifierai de "symbolique". Ce sont des matières médicales qui tendent de résumer un remède par une image plus ou moins saisissante. Je vous donne quelques exemples tiré de Grandgeorge (Ce que le mal a dit) :

Lycopodium : trop à droite

Nitric Acidum : l'esprit des lois

Pulsatilla : Maman ! (sous entendu au secours !)

Palladium : le pur esprit etc...

La particularité de cette approche consiste à concentrer le regard sur un trait de caractère dominant et le texte ajoute le cas échéant un ou deux signes physiques particuliers.

Dans le cas de Lycopodium si trop à droite se réfère à une latéralité droite dominante des manifestations, la notation peut prendre un sens politique : besoin de pouvoir avec des vues (moralistes) étriquées, ce qui peut correspondre à un vieillard réactionnaire aspirant à un gouvernement bleu marine.

Mais je m'empresse de vous dire qu'il ne saurait être question d'en passer par ce genre de matière médicale sans avoir commencé par des matières "classiques". Les matières médicales que j'appelle "symboliques" procèdent d'un écrémage mais ça ne peut pas convenir à des esprits trop terre à terre. Bien évidemment, je suis favorisé du fait que mon goût me porte vers les sciences à caractère symbolique (mythologie par exemple, symboles traditionnels etc...).

Les répertoires

Les répertoires sont l'inverse d'une matière médicale. Il rassemblent des séries de signes classés selon certaines rubriques et renvoient par croisement au remède le plus fréquemment cité dans les rubriques retenues.

Le premier travail c'est de choisir les signes et les rubriques qui y correspondent. On a commencé par des répertoires papier (Kent) puis on a utilisé des cartes perforées (Boger revu Cuzin, personnage que j'ai bien connu) et enfin la micro informatique est apparue. J'ai pratiqué tous ces systèmes et c'est très laborieux, je ne suis pas un fana des répertoires et seules certaines observations se prêtent à une répertorisation. 

Je pourrais parler assez longuement des techniques et je voudrais surtout parler de l'emploi des cartes perforées car j'ai bénéficié à ce sujet d'une petite initiation de la part du Dr Cuzin, un champenois. Il est depuis longtemps à la retraite et je ne suis pas sur qu'il soit toujours de ce monde. Les rubriques du Boger se résument à un mot ou deux. C'est hyper synthétique, ça peut être une couleur comme jaune, un trait de caractère comme colère etc... Les couleurs se rapporte aux excrétions etc... On superposait 4 ou 5 fiches mécanographiées et les trous qui traversent désignent le ou les remèdes possibles. Ensuite on vérifie dans une matière médicale. Les cartes ne permettent pas de distinguer des divers degrés de pertinence des remèdes.

Un ordinateur évite la manipulation des fiches, leur déclassement inévitable et leur reclassement.

Quitte à agacer les adorateurs du Kent ou du PC Kent2, je dois redire que je n'ai jamais tiré de grands bénéfice d'un répertoire. J'ai revendu (fort cher) la première édition du Kent papier, j'ai conservé celui de Léon Renard (une réduction du Kent à l'essentiel) mais cela ne m'inspire guère. Je viens d'acheter d'occase une édition récente du Kent mais je n'arrive pas à faire le lien entre, le plan synoptique des rubriques et la situation des rubriques correspondantes. Une merde quand je pense que tant d'imbéciles idolâtrent le fils Broussalian et bavent devant ce personnage, les mains et les pieds me démangent et si j'avais le bras assez long je lui décollerai la tête !

Certains homéopathes n'utilisent pas de répertoires et préfèrent "accrocher" deux ou trois signes dominants. Un exemple : un ami me téléphone et me raconte que la nuit il bave et mouille son oreiller ce qui lui glace les joues car l'appartement n'est pas chauffé et c'est l'hiver. Il me demande de répertoriser. Inutile, j'ai de suite pensé à Mercurius et une haute dilution a solutionné le cas avec une seule prise. Il suffisait de penser Mercure = sialorrhée... 

J'ai fait récemment un essai de répertorisation pour une cystite en tenant compte des modalités des brûlures. Echec complet : en revanche le déblocage du Jen Mo en MTC a solutionné la chose à 95%. La pratique engendre une intuition et si on est bien entraîné on sent si ça va marcher ou pas !

Autre exemple d'échec d'une longue répertorisation qui a donné Argentum Nitricum : on avait noté des tremblements mais çà ne semblait pas un trait dominant. En fait c'est Gelsemium qui a donné une amélioration en haute dolution alors qu'on avait quantité de signe convergents vers le premier remède cité.

Limites des outils de l'homéopathe

Il faut plusieurs matières médicales car certaines points de vue sont plus parlants que d'autres. Je suis très porté sur ce qui est "symbolique" car ce langage imagé a quelque chose d'assez "global". Mais quand par exemple il s'agit des signes psychiques des signes comme l'irritation, la colère peuvent être assez banaux surtout de nos jours où les causes de stress se multiplient.

Chaque remède homéopathique important correspond à un "portrait" et c'est un ensemble qu'il faut saisir. Un point de vue trop analytique risque d'égarer en atomisant trop la réalité...

Pour la colère par exemple, ce qui est plus important ce sont les causes et donc les circonstances, on peut être impatient dans certains cas de figure et d'une patience d'ange dans d'autres circonstances de sorte que l'on peut observer des contradictions à la limite incompréhensibles pour un observateur extérieur. Il faut bien dire que l'on ne trouve pas toujours toutes les modalités susceptibles de coïncider avec un cas précis. Une colère rentrée et le fait de bouillir parce qu'on ne peut pas s'en prendre directement au responsable (soit il est cynique et ça ricoche  ou il est loin et injoignable) alors c'est Staphysagria. Mais tel sentiment de révolte coléreuse peut cacher un sensibilité exacerbée à la notion de justice alors dans ce cas, se fixer sur la colère risque d'égarer.

Il faut relire les matières médicales régulièrement (par exemple la nuit quant on a des insomnies) ou comme font les curés à propos de leur bréviaire. Cela demande un gros travail de mémoire.

Inversement, si les matières médicales "classiques" semblent parfois frappées de mutisme, certaines pathogénésies plus ou moins nouvelles comme celle du Scorpion semble aller comme un gant à tel type assez nouveau d'adolescent violent qui n'existait pas il y a quelques décennies, ou du moins pas d'une façon si répandue.

A noter que les matières médicales, en matière de sexualité, se ressentent de la contention du XIXème siècle (obsession de la masturbation par exemple) et je suis tombé par hasard sur un texte de Kent à propos de la "sodomie" d'où il ressort qu'il était encore tributaire des idées du moyen âge tardif, époque la signification de ce mot n'était pas encore fixée puisqu'il incluait la "bestialité". Le passage auquel je pense est du reste très surprenant dans la mesure où il insiste beaucoup sur cette dernière rubrique en évoquant des traitements indignes envers nos compagnons à 4 pattes... Le passage était si inattendu que je l'ai fait traduire par un anglophone très qualifié pour être sur de me lacture...

De la nécessité de parfois "fermer sa gueule" 

Il faut donc pour faire de la bonne homéopathie être animé d'une très intense curiosité intellectuelle et on en arrive parfois à aimer l'homéopathie pour elle-même et sans avoir d'occasion de la faire servir à quelque chose. Il est des cas où il vaut mieux garder ses observations pour soi. Sans même parler des risques liés à l'exercice illégal de la médecine.

Un exemple: vous parlez à une dame, elle est un peu grosse, elle s'éponge la figure, elle est rouge, respire assez bruyamment. Il vous saute au yeux qu'été comme hiver, elle a toujours le cou dégagé et ne peut supporter de col serré. Elle a toujours de "bouffées" bien que sa ménopause soit assez loin. Vous devinez une "Madame Lachesis". Vous tentez le coup car elle se plaint alors vous avancez une question en faisant mine de compatir, alors vous lui posez la question décisive : Dites moi, est ce que par hasard ce ne serait pas le soir que vous auriez envie de parler, d'échanger. Si elle est veuve, elle va vous répondre que oui, elle aimerait beaucoup parler, avoir du monde mais à part les murs, il n'y a personne pour l'écouter. Dans certains cas ne vous hasardez pas à lui prescrire le fameux venin, si elle est un peu Platina elle va vous rétorquer en se rengorgeant qu'elle n'a rien demandé qu'elle a un très bon Docteur. Le "très bon Docteur" évidemment n'a rien fait et ne fera rien pour la soulager...

La tentation du pouvoir

Il est évident que lorsqu'on a une bonne connaissance de l'homéopathie, il est souvent aisé de poser 2 ou 3 questions et de s'entendre répondre : et bien oui mais comment vous pouvez savoir tout cela ? Ceux qui ont le "complexe du gourou" sont évidemment tenté de cultiver le "truc" et de se faire passer pour voyants et ils finissent du reste par le croire. Certains portraits homéopathiques sont tellement "criants" de vérité qu'avec un ou deux signes on devine les autres et on tombe souvent juste. 

Approfondissement de la doctrine homéopathique

Cela m'a beaucoup amusé de me faire dire que puisque je m'intéresse à l'homéopathie depuis environ une quarantaine d'années, cela ferait 39 ans et 11 moins que j'aurais erré en négligeant d'étudier l'Organon. En fait M. Broussalian a des cours à vendre et ce n'est pas tant la question du coût mais cela m'est parfaitement inutile.

J'ai lu et relu jadis les principaux ouvrages du Dr Denis Demarque et je vous cite les principaux :

Homéopathie médecine de l'expérience

Pharmacologie et matière médicale

Comment étudier la matière médicale homéopathique

Sémiologie homéopathique

Techniques homéopathiques

Si vous parvenez a assimiler ce bagage, vous serez assez "ferré" pour discuter d'égal à égal avec un pro sans vous sentir complexé. Avez un peu de mémoire vous pourrez en remontrer à beaucoup. Les jeunes qui se lancent dans le pluralisme parce que les clients le réclament, n'en parlons pas. Vous ne pourriez que les "massacrer" mais ce n'est pas utile.

Enfin si vous tenez à parfaire votre culture historique et votre connaissance des diverses matières médicales pour pourrez trouver de quoi vous occuper pendant des mois si ce n'est des années en parcourant le site du Dr Seror. 

Les limites de l'hom

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24/09/2014 | Lien permanent

Gandoush, ”oil pulling”, ”huile bouche” de l'Inde à l'Union Soviétique...

gandoush.jpgJ'ai fait allusion dans un post précédant à un lien donné par Françoise Cambayrac qui renvoit à la page d'un dentiste suisse, page que voici : http://www.dentenerg.ch/huile_bouche.htm.

Cette page fait l'impasse sur l'origine indienne de la pratique dont on parle et semble l'attribuer à une tradition ukrainienne. La véritable origine est en fait ayurvédique. Ce soin s'appelle Gandoush, et se pratique après une séance de gratte langue. Les indications traditionnelles se bornent à ceci : 

L’Ayurvéda dit que la pratique de Gandouch “embellit les lèvres, renforce les dents, assainit les gencives, augmente l’énergie du corps, la pureté de la parole. Elle rend le visage plus harmonieux et beau.”

Ce ne serait déjà pas si mal, notez le bien. Avant d'avoir vent de l'implication du Dr F. Karach dans la publicité en faveur de cette méthode qui rendrait plus que centenaire, j'avais eu connaissance de pratique hors de l'Inde à l'Est de l'Europe mais je ne sais plus où. Il serait intéressant de savoir comment cette pratique à voyager et comment elle aurait fait souche en Ukraine. Le fiat est que le système soviétique a conservé quantité de pratiques médicales anciennes pour des riasons déjà indiquées et c'est tout à son honneur et l'on ferait bien d'en prendre de la graine.

Les considérants scientifiques à propos de bactéries qui gigotent dans le liquide recraché sont une peu courtes et la longueur de cet article est inversement proportionnel à sa relative vacuité mais au moins et puisque personne n'a rien à gagner à diffuser ce procédé d'hygiène on peut bien accepter l'augure des merveilleux résultats annoncés. Malhreusement je n'ai pas trouvé beaucoup de témoignages d'expérimentateurs.

La seule expérimentation scientifique que je connaisse est relatée sur cette page. J'avais déjà lu cela ailleurs dans une citation directe de l'étude en question et ce n'est déjà pas si mal. Ne vous attendez tout de même pas à vivre 140 ans mais si le mécanisme des effets positifs observés reste à découvrir, je sens bien cette pratique et je la recommande.

Une cuillère à café d'huile suffit pour commencer car on a la surprise de saliver beaucoup et du reste ça continue après s'être rincé la bouche. On peut faire ça le matin au réveil en prenant sa douche. Quant au choix de l'huile je crois que cela n'a pas une importance considérable. La recette originale est à base d'huile de sésame. Je déconseille l'huile de catharme ou de tournesol trop riches en Omega 6, facteurs d'inflamation et aussi de ... dépression. Voir :

http://www.naturalnews.com/022860_depression_fatty_acids_...

Mais rassurez vous, vous ne risquez pas de déprimer et de devenir mélancolique puisqu'on recrache et qu'on se rince la bouche à l'eau chaude ou tiède. Mais l'huile de sésame à un goût de noisette et puis autant suivre la tradition la plus originelle.

Vous pouvez ajouter une goutte d'essence de menthe ou de Tea Tree (Melaleuca alternifolia) dans votre huile, ou mieux préparer le mélange d'avance (je vous laisse le soin du calcul de proportion).

Vous vous grattez la langue avant (avec une brosse ou simplement les dents) vous vous rincez la bouche et vous prenez l'huile. On est censé la garder 15 à 20 minutes mais on fait ce que l'on peut et on peut répéter l'opération le soir. Le liquide recraché est non seulement blanchâtre mais s'il fait froid, il fige carrément et on dira du beurre commençant à fondre. Cette transformation est assez spectaculaire et on sent bien que le processus tire quelque chose. Le résultat on le sent immédiatement si on avait la bouche mauvaise. Deux ou trois rinçages énergiques doivent suivre.

On dit de faire cela à distance des repas sur un estomac vide. Sur un estomac vide c'est la logique même, avant donc, à distance, c'est à vous de vous fier à votre ressenti, un quart d'heure avant peut suffire. Si vous pouvez répéter l'opération avant chaque repas, ca n'en sera que mieux. Mieux vaut 3 fois 5 minutes que rien du tout ou une fois par ci par là...

Bien évidemment, je suis curieux des résultats obtenus... Des résultats avérés ont été notés en cas de déchaussement des dents... Qui peut se traiter aussi par des applications de dentifrice à l'hydroxydase si çà se trouve encore.

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23/04/2013 | Lien permanent

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