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Coronavirus : Kimchi le secret des Coréens pour résister au virus
Résumé : Les coréens ont moins de morts par le virus. Cela pourrait tenir au fait qu'il mangue du Kimchi à tous les repas. C'est un choux fermenté. Richard Haas qui a diffusé la nouvelle propose la choucroute crue fermentée bio et il suffit de se référer à la Bioélectronique de Vincent (BEV) pour comprendre que ce n'est pas idiot du tout ! Mais peut-être que le choux coréen à aussi des vertus particulières du point de vue phytothérapie. Alors faites votre choucroute ou votre Kimchi avec des choux chinois. Ça se trouve... Et le cas échéant plantez en sur votre balcon...
Quand à demander au gouvernement de se rencarder sur la pratique des Coréens, peine perdue ! Le "gouvernement" il est franchement à la masse !
21/03/2020 | Lien permanent
Lit guérisseur incliné à l'égyptienne
Vu dans le numéro spécial 1 de Nexus, un article sur le lit incliné (10 à 16 cm à la tête, avec par exemple des briques sous les pieds) selon une pratique égyptienne. En fait Nexus, revue de moins en moins intéressante, avait déjà abordé la question en 2016.
Voir https://www.alternativesante.fr/remede-de-grand-mere/le-l...
Accès à l'article de 2016, non téléchargeable. Utiliser la loupe. Pas commode.
18/01/2020 | Lien permanent
Médecines et dérives sectaires
L'une des armes les plus puissantes du lobby médico pharmaceutique pour garder la mainmise sur "sa" médecine consiste à faire ne sorte de qualifier de "dérive sectaire" toute pratique thérapeutique susceptible de lui échapper. A défaut de pouvoir prouver une telle dérive, on empoisonne les intéressés par la rumeur.
Une affaire emblématique parmi d'autres l'affaire Bourdin
Une histoire assez emblématique est celle de la persécution des époux Bourdin fondateur d'un centre de cure. Voir https://www.youtube.com/watch?v=43PDeV2Tfg4. Il s'agit d'un ancien généraliste ayant étudié l'acupunture. Il s'en est sorti en se reconvertissant dans des techniques de bien-être. On n'est plus la dans la médecine mais dans une "paramédecine" qui ne peut que s'avérer totalement impuissante devant les risques sanitaires encourus : risques liés aux habitations (maison à cancer, réseau Hartmann, failles, eaux souterraines etc...) additifs mercuriels et aluminiques des vaccins, occultation de la malade de Lyme et de ses satellites, intoxications aux métaux lourds, electrosmog sans parler de le malbouffe et des effets iatrogènes de la médecine chimique.
Bref, si on leur fout la paix et si ces gens paraissent bien gagner leur vie à en juger par le confort de leurs installations, je présume qu'ils ne risquent pas de faire avancer les choses en ce qui concerne la liste des priorités que je viens de dresser des priorités auxquelles il faudrait s'attaquer...
Son "holopsonie" est une mélange de chromothérapie et de préchi précha psy des plus convenus avec les discours convenus sur la mémoire du corps, un peu de massage. Bref des soins pour des gens qui ne sont pas très malades... On est loin, par exemple, de la médecine chinoise dans sa totalité ou d'une médecine ayurvédique quqoiqu'elles risquent d'être dépassées elles aussi par le trop plein de pollutions en tous genres...
Bref le centre la chrysalide est un centre de bien être, ce n'est pas une secte certes mais son patron est passé de l'acupuncture à la psychothérapie après avoir été radié de l'Ordre et les psys ont tendance à se prendre pour des "gourous". Le "Système" par ses persécutions sectaires et son exclusion a donc "fabriqué" quelque chose qui ne risque certes pas de lui faire concurrence puisqu'il s'agit non pas de médecine douce mais de médecine molle qui ne risque pas de solutionner les pathologies dégénératrices et agressives qui se profilent. Enfin je dois ajouter que quand quelqu'un qui a fréquenté un Institué catholique me parle d'Amour, je me sauve en courant car c'est bien la chose qu'ils ne savent pas faire sinon ça se saurait... La compassion je veux bien mais l'Amour c'est gluant, sucré, écoeurant, c'est juste bon pour attraper des mouches. Beurk !
Une "secte" qu'est-ce que c'est ?
Dans le bouddhisme ont parle de "sectes" pour désigner les différentes écoles, il y a les bonnets jaunes, les bonnets rouge, le petit, le grand véhicule et j'en passe. Le mot "secte" ne comporte aucun caractère péjoratif car il désigne un groupe centré sur un enseignement, en fait à point de vue (darshana) particulier.
Le fait est qu'il n'existe aucune définition juridique et pénale de ce que serait une "secte". Il n'empêche qu'il existe une multitudes de groupements plus ou moins officiels qui font la chasse aux "sectes" et dressent des listes. On est là devant un paradoxe étrange dont le monde moderne est assez familier puisque la situation est telle que sans jugement, des groupes de pression, peuvent vouer à la vindicte publique des gens et des groupes qui n'ont que le tort de n'être pas en prise avec le consensus général. Ce qui à mon avis est bien la moindre des choses si on ne veut pas se faire couilloner à tout bout de champ. Il me semble qu'en mettant systématiquement en doute et jusqu'à plus informé, tout ce qui se professe, on a des chances de percer découvrir au moins une partie de la vérité sur ce qui se trame...
Encore faut-il disposer d'une capacité de résistance et d'autonomie suffisante.
Le mot "secte" est une véritable malédiction prononcée. Je me rappelle qu'il y a 30 ans, alors que je fréquentais un Conservatoire, j'ai appris par l'élève d'un prof dont je ne fréquentais pas la classe, qu'il fallait éviter de me fréquenter car je devais faire partie d'une "secte". En fait la "secte" en question était celle de ces précurseurs qui étaient en train, par la relecture des traités, de redécouvrir les principes d'interprétation de la musique dite "baroque". Aujourd'hui, toute cette redécouverte est tombée dans le domaine public grâce à de très nombreuses émissions pédagogiques sur France Musique. Plus personne ne saurait nier qu'il existe une technique adaptée aux instruments d'époque et même un solfège ancien qui n'a rien à voir avec la façon dont on lit une partition moderne. Mais il y a 30 ou 40 ans les élèves directs ou indirect d'un certain Geoffroy Dechaume étaient traités comme des pestiférés mais après un demi siècle environ, les "produits" façonnés grâce aux pionniers sont devenus des produits de consommation courante.
Mais le domaine de l'art étant celui de l'originalité et de la singularité, ce n'est qu'une affaire de temps cepandant qu'en médecine ou des enjeux INDUSTRIELS considérables sont dans la balance, la pesanteur est infiniment plus considérable.
Changement de paradigme
Il ne fait aucun doute que la chimie devrai céder tôt ou tard la place à la physique microvibratoire sous de multiples formes. L'homéopathie a ouvert un nouveau champ a peu près en même temps que la révolution française puisque Hahnemann a vécu à cheval sur le XVIIIème et le XIXème siècle. Ce fut un contemporain de Lavoisier, le père des chimistes modernes mais si l'on y réfléchit bien, avec la dilution et la dynamisation des remèdes son arrêt de mort était programmé.
Aujourd'hui nous en sommes avec l'histoire de la "mémoire de l'eau" reprise par Luc Montagnier qui s'est juré d'obtenir la réahabilitation de Benveniste arrivé aux signatures électromagnétiques transmissibles et reproductibles par la voie numérique. Qui sait que l'on peut copier un dilution homéopathique rien que par un procédé optique faisant appel à la lumière ? Bien évidemment Boiron n'en a pas voulu... Là encore, à partir du moment où on à des souches c'est toute une industrie qui tombe à l'eau.... L'inventeur du procédé je l'ai bien connu, il est le seul à s'être attaqué correctement au problème de la répertorisation homéopathique par l'informatique. Sachant comme il fallait procédéer j'ai viré tous les logiciels existants dont certains sont vendus à prix d'or à commencer par celui d'un certain Broussalian. Avec les systèmes existants on n'a strictement aucune chance de sortir les "petits remèdes". En fait j'ai non pas jeté mais revendu tous mes répertoires sauf le "Renard" mais je ne m'en sais jamais
La médecine ça commence où ?
Si l'on veut commencer par le commencement, quelle est la première chose à considérer en médecine?
L'eau, les aliments ?
Oui et non en fait pas du tout ! Ce par quoi on devrait commencer c'est la SANTE DE LA MAISON et plus spécialement encore le lit où l'on passe un bon tiers de son existence.
Comment se fait-il que des gens qui tombent malades peu de temps après avoir déménagé ne percutent pas en pensant que leurs problèmes sont dus à leur lieu de vie, ce dernier étant probablement un "lieu de mort"...
Un exemple, je vois régulièrement sur la place un M. qui a des problèmes d'hyperacidité. pas d'hélicobacter, il est traité par "pompe à protons" et régime sans aucune amélioration. Aux dernières nouvelle sil ferait du reflux. Or récemment j'ai eu l'idée de lui demander comment ça se passait quand il vivait en ville. Réponse : je mangeais très épicé sans aucun problème !
Donc c'est il y a trois ans en déménageant que les ennuis ont commencé. Il y a donc deux solutions et pas 36. Soit le déménagement résulte ou est à l'origine d'un stress soit sa maison est maléficiée : faille possible et même probable, pollution électromagnétique, le champ des causes se restreint à deux cas de figure. Je n'exclus pas le stress car l'individu est manifestement un anxieux du type argentum nitricum. Mais bon, à vouloir trop rendre service, on risque surtout de s'attirer des ennuis et je sens une réticence à admettre la possibilité d'une cause psychique qui est à considérer à égalité avec une éventuelle cause tellurique. Ce n'est pas moi qui souffre alors j'ai proposé de faire gracieusement une mesure électromagnétique car ca ne prend guère qu'une heure.
L'INVISIBLE comme délit de fuite dans la médecine contemporaine
On ne peut manquer d'être frappé du déni qui frappe les personnes qui souffre de douleurs provoquées soit par une intoxication aux métaux lourds (amalgames dentaires en particulier) et borréliose chronique ignorée. Plusieurs auteurs de livres ont raconté comment il avait été acceuilli dans des centres anti douleur où l'on essaie de les convaincre que leur cas est du ressort de la psychiatrie.
Bien voilà, le problème c'est que dans le domaine de l'INVISIBLE la médecine officielle ne connait que sa connaissance limitée d'une psychologie que je qualifierai de très élémentaire et même de caricaturale. La psyché selon les anciens va bien au delà des "complexes" sert au freudisme et je ne m'étendrai pas sur cette foutaise qu'est le fameux "complexe d'Oedipe" car il y aurait un livre à écrire sur cette "connerie"... D'autre que moi et des plus tirés on mis en cause cette lubie typiquement occidentale...
Le "monde psychique" est vaste car il regroupe toutes sortes d'influences humaines et non humaines que l'on définit d'une manière figurée en parlant résidus psychiques, d'entités, et même de démons. Le mot en pour désigner ces forces en chinois est "Koueï" mais si on interroge un acupuncteur moderne, il vous dira que cela désigne une énergie perturbatrice qui n'est pas à sa place.
A ce propos, voici une petite histoire qui m'est arrivée et qui m'a donné à comprendre bien des choses. J'étais allé faire un stage dans un centre bouddhiste où je n'avais pas manqué de susciter des réactions agressives de la part de résidents. La contention qu'implique un monastère, chez des individus frustes peut susciter des "crises". Bref, j'étais revenu assez remonté car on m'avait fait comparaître devant le lama pour avoir pris l'initiative, n'ayant rien d'autre à faire, que de distribuer le courrier qui venait d'arriver à tel point que j'ai eu l'impression d'être tombé dans uen cellule du PC...
Je souffrais d'une toux due au froid humide contractée en Savoie. Je me rends donc chez mon acupuncteur, hélas aujourd'hui disparu et irremplaçable. Il me pique et tout d'un coup, je le vois qui court ouvrir la fenêtre, prêt à tourner de l'oeil. Comme je m'enquiers de ce qui se passe, il m'explique qu'il vient de me libérer d'une énergie perverse et que ce n'est pas du tout agréable. En ce qui me concerne je n'ai rien senti de particulier...
J'ai immédiatement fait le rapprochement entre les aiguilles, l'envoûtement et l'acupuncture, à savoir que les même objets peuvent servir à des fins opposés, savoir planter le mal symboliquement à travers une figurine servant de "convention mentale" ou au contraire le dissiper in situ Enfin il est bien vrai que toute perturbation se résume à des concentrations d'énergie indésirables qui lorsqu'elles stagnent sont nocives.
Donc tout ce que la medecine concoit en matière d'INVISIBLE ne lui sert que de DEPOTOIR afin de se débarrasser et de se défausser de ce qu'elle ne comprend pas en faisant l'économie de prendre en considération des handicaps qui ne sont que trop patents. Elle comme elle limite le champ des investigations à celui très grossier de ses appareils de diagnostic, tout ou presque lui échappe dans bien des cas.
Le dualisme du monde moderne favorise l'apparition de "sectes"
Comment voudrait-on qu'en préconisant une médecine mécanique basée sur des procoles aveugles, des régimes passe partout qui devriaent convenir aussi bien à des intellectuels sédentaires qu'à des sportifs on ne finisse pas par provoquer un mouvement de révolte devant cette entreprise d'uniformisation qui vise à tout rationnaliser pour mieux nous exploiter.
Ne perdez surtout pas de vue que le catholicisme d'autrefois et la médecine d'aujourd'hui c'est la même chose, savoir deux "sectes" (négatives) qui fonctionnent d ela même manière. Hors de l'Eglise pas de salut, hors de la faculté c'est l'hérésie ! Les "blocages" sont les mêmes et la situation n'a pas évolué. Le dernier concile n'a vu dans les autres religions que des tentatives plus ou moins sympathique pour se rapprocher de la vérité. Les hiérarques romains ne voient dans le bouddhisme qu'un pur "nihilisme" car ils confondent "vacuité" et "néant".
Dans une discussion autour de la religion, si vous faites perdre pied à l'interlocuteur, il se ferme et rompt. Les médecins c'est pareil, certains admettront du bout des dents l'existence de guérisseurs authentiques mais il ne feront aucun effort pour sortir de la routine imposée. Cette routine est juteuse, j'ai fait le calcul qu'à une vingtaine d'€uros la séance on peut se faire des journées de 800 €. Certes les assurances professionnelles sont coûteuses mais c'est pas la formation continue qui assassine le bubget de l'immense majorité de ces Messieurs. A ce compte là et en fin de carrière on peut être Maire d'une ville et prendre 15 jours de vacances régulièrement sur le dos d'un remplaçant.
J'ouvre ici une parenthèse pour dire que j'ai reçu copie d'une lettre envoyée par une chirurgienne à l'actuelle ministre en charge de la Santé pour se plaindre du projet actuel de sanction des honoraires abusifs. Le problème c'est que de moins en moins de gens ont la possibilité de se faire soigner et quand on a la Secu et une Mutuelle de toutes façons bien des choses ne sont pas prises en charge. Donc les seuls discours qui m'intéressent sont ceux qui proposent des mesures pour mettre fin au pillage des banquiers par la dette publique du fait de l'invention dans les années 70 de la loi Rothschild/Pompidou/Discard dont la teneur a été reprise dans le traité de Madrid. Le reste est secondaire et je pisse dessus ! Ca ne m'intéresse pas ! On sait où se trouve le tonneau des Danaïdes, il faut en remplacer le fond, le reste viendra après...
Pour résumer les choses tout est conçu pour pousser les gens dans des sectes alors dans ces conditions il ne faut pas s'en plaindre.
Deux "sectes" complémentaires
La probation des substances appelées "compléments alimentaires" que les médecins spécialisés appellent médecine orthomoléculaire ne fonctionne pas différemment de celle des médicaments allopathiques. Dans ce dernier cas, les biais sont omniprésents et dans l'autre les cohortes sont forcément réduites doù un manque de crédibilité qui est systématiquement exploités par les adversaires.
La dernière découverte d'un complément à la mode paraît être la chair du fruit du babobab réduite à l'état de poudre. Il serait riche en nutriments et avec quelque termes génériques désignant des classes d'antioxydants les mots magiques opèrent. Résultat cette précieuse denrée qui devrait être réservée principalement aux africains qui crèvent de faim se vend sur le marché européen 100 € le kilo. Mais on ne nous dit pas combien de kilo il faudrait en consommer par mois pour complémenter son alimentation de façon palpable. Alors il suffit qu'un petit mâlin ait trouvé un filon à 8,50 € les 250 g. pour s'assurer une rente copieuse. Bref je ne crois pas que c'est en bouffant du baobab que l'on peut soigner les pathologie dégénératives et émergeantesqui dominent de plus en plus le tableau.
Et des antioxydants on en trouve à la pelle, on peut en cultiver sur son balcon (capucines etc...) et l'extrait standardisé de grenade est netemment moins onéreux que le baboab. Pour le cas où vous ne sauriez pas où je veux en venir suivez la direction de mon regard : j'éviterai à présent de citer des noms. Ce n'est pas par lâcheté (tout le monde continue à se précipiter ici pour avoir des nouvelles de Michel Dogna) mais parce que lorsqu'on me demande des rectificatifs, on me fournit une doc qui pose plus de questions qu'elle n'en résoud et qui de toutes façons n'invalide pas ce que j'ai dit. J'évoque ici un problème posé par la "silice de prêle" pour laquelle on a cité des publications auxquelles je ne suis pas tenu d'adhérer puisque l'on ne m'a pas fournir les textes.
Pour en revenir à la probation des substances exploitées dans un cadre alternatif, il est probable que les études existantes sont plus fiables que les essais pharmacologiques qui sont entourés d'une grande opacité. Mais cela ne veut pas dire que les gains observés soient extrapolables et généralisables...
Revenons à la hiérarchie évoquée plus haut et qui commence par l'assainissement d'un lieu de vie si nécessaire et vous verrez que tout ce que l'on vante n'est en somme que gadgets rajoutés à des gadgets et que dans bien des cas on passe à côté de l'essentiel et si l'on prend l'exemple des intoxications par amalgame et de la borréliose et Cie, ce sont là des domaines où il faudrait pouvoir recourir à des médecins bénéficiant de toutes les facultés d'investigations désirables, or dans ces cas précis, elles ne sont guère développées qu'en Allemagne et encore !
Ce qui est révoltant c'est qu'une multitude de moyens de sauvegarde existe mais que pour de multiples raisons, ils ne sont guère accessibles qu'à des personnes très fortunées pouvant faire des centaines de kilomètres pour se faire héberger dans des cliniques plus ou moins luxueuses.
Un système dé
01/11/2012 | Lien permanent
Cancer de la prostate et éjaculations : ”www.lanutrition.fr” déconne à pleins tubes !
Amusements scientifiques, où va l'argent public
Voyez : http://www.lanutrition.fr/les-news/plus-on-a-eu-de-femmes... et je cite :
Lââge et les antécédents familiaux sont des facteurs de risque établis du cancer de la prostate. Parmi les autres facteurs de risque, les chercheurs sâintéressent à la sexualité et aux infections sexuellement transmissibles. Par exemple, la fréquence dâéjaculation a été associée à une réduction du risque de cancer de la prostate dans des études antérieures.
Les données sont issues de lâétude montréalaise PROtEuS (Prostate Cancer & Environment Study) concernant 3208 hommes qui ont répondu à un questionnaire, notamment sur leur vie sexuelle. Parmi eux, 1590 ont eu un cancer de la prostate diagnostiqué entre 2005 et 2009 et 1618 formaient le groupe témoin.
Globalement, les hommes qui nâavaient jamais eu de relation sexuelle avaient 2 fois plus de risque dâavoir un cancer de la prostate que ceux qui avaient eu des relations sexuelles. Ceci est particulièrement vrai pour les cancers les moins agressifs. Un homme qui a eu plus de 20 partenaires sexuels dans sa vie (hommes et femmes) a un risque diminué de 22% dâavoir un cancer de la prostate. Le fait dâavoir eu plus de 20 partenaires féminines diminue le risque de cancer de 28% par rapport à ceux qui nâont eu quâune seule partenaire sexuelle.
Notez que la "morue" qui est l'auteur de l'article, une certaine Juliette Pouyat, a délibérément prêché pour sa chapelle car le chapeau de l'article dit ceci :
Une étude canadienne montre que les hommes qui ont connu plus de 20 femmes dans leur vie ont un risque de cancer de la prostate diminué de 28% par rapport à ceux qui nâont connu quâune seule partenaire.
Je dis "morue" car tout est bon chez beaucoup de descendante de notre arrière-arrière grand-mère Ãve pour truander la vérité. Et quand on lit dans les premières lignes de la Genèse que cette folle s'est signalée comme ayant été l'interlocutrice privilégié du serpent édénique, et qu'elle a foutu Adam (et nous avec) dans la merde, je ne m'étonne plus de rien !
Je suis absolument certain que le mythe est d'une profonde vérité. L'Eglise catholique a magnifié Marie soit-disant toujours vierge mais elle y a mis le temps, sans compter que Jésus n'est pas le seul personnage qui résulterait d'une opération du Saint Esprit, il a aussi le Bouddha historique.
Malheureusement, si Dieu a sectionné le mauvais côté de notre ancêtre et est censé nous avoir débarrassé de ce cancer, l'exérèse fut insuffisante car visiblement il nous a laissé quelques métastases dormantes sinon le discours fallacieux de l'ex moitié d'Adam n'aurait eu aucune prise sur le bonhomme et sa succession. Mais passons, c'était pour rigoler un peu ce n'est pas le sujet !
L'homosexualité comme prévention du cancer de la prostate
Ce n'est pas la première étude à prétendre que la fréquence des éjaculations diminuerait les risques de cancer prostatique. Or vous pouvez d'ores et déjà remarquer que s'il existe des hommes n'ayant pas eu ou très peu de "relations" sexuelles, il vous vient à l'esprit nécessairement qu'il se sont forcément masturbés plus ou moins frénétiquement.
Moi qui suit logique j'en conclus premièrement que ces études n'évaluent de façon correcte la fréquence des éjaculations. Or ce qui distinguerait la multiplicité des relations d'une absence de relations c'est le fait que dans le premier cas il s'agirait d'une vie sexuelle apte à plus ou moins combler ceux qui l'a pratique tandis que la seule masturbation tendrait à s'accompagner de frustration. A moins que ne découle d'une créativité mentale susceptible d'avoir les mêmes effets que relation vraie et non virtuelle.
Maintenant si l'on retient le facteur quantité 20 partenaires (hommes et/ou femmes) différents dans une vie c'est une plaisanterie au yeux de n'importe quel "homo". C'est même assez ridicule pour un "bi" !
Comme je suis quelqu'un d'atypique, que je suis célibataire, que je ne reçois personne, ni mecs ni nanas, que j'ai réponse à tout (ou presque) je détonne dans un pays de ploucs envieux de la luxure et la luxure étymologiquement parlant c'est en fait du bling bling côtier. En fait d'humanité le soleil et la mer attire la merde humaine, maffia, truands et toute une sous-humanité vivant d'apparences. Donc il est un con de macho que j'ai mouché et qui se venge en me traitant de "pédé". Du moins devant ces pareils parce qu'en dehors des piliers de bar, personne ne s'occupe de moi. Il est une vieille fille, qui n'a probablement jamais baisé de sa vie et qui me hait car je l'ai maintes fois remise à sa place. Elle a donc épousé la thèse de mon ennemi et va racontant que tout le monde il se demande...
Ce que je lui reproche ce n'est pas de m'insulter publiquement en m'accusant d'être ceci ou cela, c'est de se permettre ce genre de provocation parce qu'elle sait qu'étant une femme je ne peux pas la frapper. Quant à être "pédé" ou pas comme c'est très tendance, je me dis qu'il vaut mieux faire envie que pitié...
La où je voulais en venir, c'est que je me suis livré à un rapide calcul du nombre de partenaires que j'aurais connu en 30 ans de vie sexuelle très moyennement active. A raison d'un garçon différent par semaine, ce qui dans une métropole constitue une prouesse assez modeste, 52 x 30 cela fait 1560 mecs différents. Même en comptant quelque semaines de retraite par ci par là , comme ça implique parfois de rattraper le temps perdu, ça fait au final pas un très large échantillon d'humanité. J'aurais donc largement dépassé et pulvérisé le records du Roi Salomon et ses 700 femmes et ses 300 concubines. Et ce d'autant plus que les prouesses diverses divers, y compris en matière de commerce international c'est forcément du pipeau puisque la Bible n'est qu'une compilation du parti de Juda contre un royaume d'Israël aux pratiques identiques à celles des païens. A ce sujet voir les travaux récents des archéologues israéliens qui ont montré que le Dieu des Juifs avait une parèdre à la mode des shaktis indiennes. Inutile de vous dire que j'ai retourné la situation en ma faveur et que la harpie que j'ai failli jeter dans un ravin ne parait plus guère sur la place, mais il est vrai que le temps s'est rafraîchi...
Vous aurez compris, du moins je le suppose, que j'ai de sérieux doute non seulement sur le lien entre fréquence éjaculatoire et cancer de la prostate car à ce compte là les "homos" devraient être complètement immunisés. Enfin et sans que cela coûte une fortune il devrait être possible de torcher rapidement une statistique. Sauf que les "gays" ayant atteint un âge canonique ne fréquentent guère les commerces dédiés où il serait facile de les soumettre à un questionnaire simple qui, je n'en doute pas, permettrait d'éliminer toutes sortes d'élucubrations.
Homosexualité, génétique et psychologie et "écologie"
Figurez-vous qu'un savant belge veut absolument nous persuader que l'homosexualité serait génétique. L'intérêt de la chose serait que s'agissant de quelque chose d'innée, il n'y aurait pas lieu d'accabler ceux qui auraient hérité de gênes défectueux. Je ne citerai ni l'auteur, ni le titre du livre ni son contenu. Le commenter me prendrait trop de temps et surtout trop d'énergie et cela risque de passer au dessus de la tête d'une majorité de lecteurs...
J'affirme que tout ce que l'on raconte à ce sujet est faux. C'est uniquement une affaire de psychologie mais ce que raconte Freud au sujet de l'Oedipe l'est également. Un garçon pour devenir "normal" n'a nul besoin de vouloir tuer son père comme menace potentielle envers son amour fusionnel de la mère. Michel Onfray qui ne publie pas que des vérités d'évangile, n'a pas raté le malade mental que fut ce juif dévoyé et complètement détraqué et en rupture avec sa tradition. Enfin quand je vois que les curés n'ont plus que cette référence à la bouche comme dernier et faux argument pour tenter de justifier leur points de vues complètement erronées, c'est à se la prendre à a se la mordre. Pensez donc ! L'Eglise catholique en est réduite à quêter du secours du côté du pansexualisme freudien, c'est pour ainsi dire le monde à l'envers.
Freud est parti d'un préjugé en considérant que l'homosexualité procéderait d'une immaturité sexuelle. Curieux quand même qu'une majorité d'hommes que le monde tient pour "grands" en étaient ! Alors qu'est-ce que cela signifie ? L'explication correcte est la suivante : quand cette attirance tombe sur quelqu'un d'intelligent vu que c'est un handicap social et que même du temps de Platon ça n'allait pas vraiment de soi, cela l'oblige à se poser des questions et même à TOUT remettre en question, si cette personne a reçu certains dons intellectuels ou artistiques, elle ira forcément bien au delà de ce qu'une personne ordinaire peut discerner et concevoir. Si ne pas s'intéresser aux femmes résultait d'une "immaturité" le monachisme par exemple serait un truc pour des purs dégénérés, or l'Eglise en fait le sommet de la réalisation humaine. Certes l'héroïsme gratuit dans le christianisme ne mène généralement qu'à la névrose et les frustrés du moralisme mécanique ont trop tendance à faire chier et à imposer leurs vues pour n'être pas seuls à se faire chier mais il n'empêche que la maîtrise ou du moins la bonne gestion des pulsions constitue un accomplissement supérieur à la débauche ou à une existence trop conventionnelle. En ce qui concerne le narcissisme c'est un argument commode mais tout le monde il est narcissique. Il y a un équilibre à avoir en toutes choses, pour se sentir bien dans sa peau il faut se plaire à soi-même, être bien lavé, bien coiffé et habillé avec des vêtements seyants.
Les causes on s'en fout, l'important est ce que l'on fait de ce qui vous advient. La chose importante, c'est l'acceptation et pour accepter une chose il faut pouvoir en tirer un parti. Je constate premièrement que le célibat quelqu'en soit l'orientation permet de dégager un crédit de temps et de moyens que l'on peut utiliser à se cultiver de différentes manières. Je ne crois pas que les femmes aient jamais été romantique. Comme me le disait mon dentiste, elle le sont le temps de trouver le "prince charmant". Dans le meilleur des cas elles se reposent sur son épaule mais souvent le mirage cesse rapidement et il faut recourir au médicament indiqués comme DICOMMEL et pour finir DIKELARAISON etc...
On confond l'affection et l'amour. Georges Duby a montré que le second terme n'a jamais été employé au moyen age qu'entre hommes. On parle d'homosociabilité. L'invention de ce météore qu'est l'amour courtois est une saloperie qui fut la première manifestation du féminisme et le coup d'envoi de l'invention de la culture hétérosexuelle. Il existe un excellent livre à ce sujet, j'en conseille vivement la lecture. J'e suis du reste conscient d'avoir ensemencé le milieu psychique de cette idée sans l'avoir exprimée avec autant de clarté que l'auteur du livre évoqué. Même chose en ce qui concerne les méfaits de la procédure inquisitoire par rapport à la procédure accusatoire qui est restée la norme dans le milieu anglo-saxon y compris en matière pénale. On doit cette immunité au schisme d'Henri VIII. Mais je m'égare, je voulais simplement dire qu'un mystérieux auteur d'un site apocalyptique m'a désigné comme étant censé utiliser les méthodes des Supérieurs Inconnus chez à une certaine maçonnerie. Les S.I. je n'en ai jamais rencontré mais c'était pour dire que je sais ce que je fais et où je vais...
"Nature et "culture", ça s'oppose pas, ça se complète
Au moyen-âge les clercs passaient une partie de leurs loisirs à disserter sur les mérites respectifs des garçons comparés aux femmes. Généralement les femmes n'avaient guère le beau rôle. C'était un genre littéraire et on ne sait pas vraiment quelles conséquence ce "sport" avait sur la vie intime de ceux qui s'y livrait mais on peut le deviner assez aisément et on a des textes. Le guide en la matière c'est un certain John Boswell, un historien américain dans son premier livre. Le second posant des problème épineux.
Le moyen âge a été occupé également par d'interminables discussions sur "nature et contre-nature". Quand Thomas l'Aquinate laisse à entendre que l'homme n'a pas à se baser sur le comportement des animaux (comme le fit Gide des siècles plus tard) pour justifier telle ou telle pratique, cela doit marcher dans les deux sens à savoir pour autant pour les comportements jugés positifs que ceux jugés négatifs. Je m'explique la plupart des animaux ne forment pas de couples et certains ont des mÅurs violentes sauf les Bonobos mais ces singes quoique éminemment sympathiques ne sont pas une référence. Bref, je veux dire que quand l'Aquinate parle de la "nature de l'homme" en faisant référence à une "révélation", en réalité il ne parle nullement de "nature" mais bien de "culture". Concernant l'homosexualité on se bagarre depuis depuis environ deux millénaires pour savoir si c'est dans la nature. Bien sûr que c'est dans la nature puisqu'il s'agit d'un comportement qui se produit assez spontanément et très fréquemment en l'absence de contention excessivement mais son aménagement relève de la "culture". Chez les Grecs c'était uniquement la "pédérastie", c'est évidemment à l'opposé de l'embourgeoisement et de la parodie du "mariage pour tous" mais c'est encore un autre problème. Tout ce que j'ai lu sur le sujet se résume à une alternative dualiste et même l'auteur du Rapt de Ganymède, Dominique Fernandez dont la culture est remarquable s'est complètement foutu dedans. Je crois être bien le seul à avoir "débogué" la question dans une revue très confidentielle à l'occasion de compte-rendus fouillés de livres dont je ne souhaite pas parler.
Donc tout ce qui vient des religions en fait de directive, c'est pour moi de la "culture" et ça se discute !
Pie XII a libéré les "homos" sans le savoir !
La médecine générale englobant la psychologie, sachant que les polémiques en vogue continuent d'enfermer les gens dans des noeuds gordiens j'ai décidé de les trancher quand l'occasion s'en présente. Donc le dernier "pape classique" décide de légaliser la contraception si elle a recours à des méthodes dites "naturelles". Ce faisant il a commis trois erreurs qui prouve que l'infaillibilité n'existe pas !
1) Cette méthode s'est avérée catastrophique en terme d'efficacité.
2) La contraception recourt à des artifices, elle est donc anti-naturelle, il aurait fallu parler de méthodes "écologiques" mais le concept restait à dégager et comme cela fait depuis Aristote qu'on se mélange les pinceaux sur "nature et contre nature", il fallait bien arriver au XXIème siècle pour avoir des idées claires.
3) A partir du moment où l'on décide qu'il est licite de recourir à la contraception c'est que l'on autorise la recherche du plaisir sexuel pour lui-même. Dans ces conditions, il n'y a pas lieu de choisir nécessairement un partenaire de sexe opposé puisque la procréation n'est plus le but et est même un facteur indésirable. Je ne vous fais pas de dessin, la seule limite c'est la mesure opposée à l'hybris et la bestialité qui n'a pas de sens. Quant à l'hybris on peut accueillir autant de partenaires pouvant se présenter (si on a l'énergie pour) et sous certaines conditions psychiques purement subjectives que je n'ai pas à définir. Je crois devoir donner un certain nombre de repères en faveur des égarés : détestant les "gourous" et ayant poursuivi certains de ma vindicte, je me garderai de vouloir leur faire concurrence...
Et la zoo-psychologie dans tous cela ?
J'adore les chats, j'en ai eu étant gamin et il m'a fallu attendre qu'une de ces charmantes bestioles s'imposent pour que j'en accepte un à la fois. La première fois ce fut une minette. Mon voisin l'ayant identifié comme matou je n'ai pas jugé nécessaire de lui soulever la queue pour vérifier son expertise. Je n'ai point tarder à me voir opposé un démenti par le squatteur qui s'est révélé une squatteuse. J'ai commencé à avoir des doutes à cause de son comportement. C'était toute une cérémonie longue et compliquée, et je te tourne et je te ratourne... pour avoir droit de caresser Madame ou plutôt mademoiselle car lle n'a pas eu d'enfants. Au début j'ai pu la prendre dans mes bras mais Ã
10/11/2014 | Lien permanent
Le lavement intestinal
Les lavements intestinaux sont en honneur chez les Kousminiens qui les réservent à l'éclaircissement des pathologies lourdes alors que cette pratique devrait être régulière chez les gens en bonne santé. Cette pratique peut aider à remettre bien des choses d'aplomb !
Le livre présenté ci-contre est vraiment remarquable par sa clarté et les réponses précises qu'il donne au questions que l'on se pose.
Bien évidemment, quand on à la possibilité de recourir à l'irrigation colonique pour désincruster les lieux et que l'on peut se servir des lavements réguliers comme entretien c'est préférable. Hélas, les cabinets de naturopathie comportant ce genre d'installation ne sont pas très répandus et à Nice je n'ai trouvé jadis qu'un médecin qui pratique cette technique. Actuellement, une femme est équipée mais de l'avis de ceux qui l'on fréquentée, elle est excessivement désagréable et précise sur son site qu'elle n'accepte que les paiements en liquide. Ces détails en tisent long sur la qualité de l'accueil auquel on peut s'attendre.
Or un patient qui accepte de se faire enfiler une canule dans le fondement a tout de même besoin d'une certaine détente et si le praticien administre la chose comme si elle lui pesait, c'est assez franchement dissuasif !
A noter que les Editions Ambre proposent une poche avec une canule assez longue et l'on ne trouve rien de comparable en pharmacie... A noter également qu'il existe une planche spéciale que l'on peut utiliser sur un WC avec le support d'une chaise mais cela suppose d'avoir la place pour installer ce dispositif qui a le mérite d'être très pratique. Autrement la position allongée et en chien de fusil sur un lit convient. Il suffit d'une alèse et d'un crochet.
Il est souhaitable de commencer par de l'eau claire et de n'avoir recours à des ajouts comme le café ou des extraits de plantes qu'après avoir pratiqué des lavages simples car ce que l'on rajoute à l'eau étant assimilé très rapidement cela peut fausser l'expérimentation, or ce qui compte avant tout c'est de désincruster l'organe moyennant une préparation par voie orale (psyllium entr'autres choses...).
A noter qu'il existe une technique indienne de "siphonnage" basée sur des mouvements particuliers qui permet le lavage de tout le tube digestif. Cette technique est supérieure et plus pratique en un sens mais elle nécessite un apprentissage auprès de ceux qui l'on maîtrisée car si on la trouve décrite sur Internet, la nécessité d'absorber pas mal d'eau salée peut être dissuasive si on ne parvient pas à provoquer l'amorçage nécessaire au processus qui demande à ce qu'on lui consacre plusieurs heures. Ca nécessite d'être pratiqué durant un week end où l'on doit s'assurer de n'être pas dérangé.
04/02/2012 | Lien permanent
Un ex ingénieur agro alimentaire balance !
Ce qui se dit dans le livre apparaissant à droite ne va pas vous surprendre outre mesure. Il y a le quasi anecdotique le piment relevé de crottes de rats et de fientes d'oiseau pulvérisées et des choses plus inquiétantes comme tout ce qui vient de Chine sans annoncer la couleur...
Bon appétit quand même !
Là il est surtout question de la qualité des matières premières et pas des additifs...
https://mrmondialisation.org/vous-etes-fous-davaler-ca-un...
Matières premières avariées, marchandises trafiquées, contrôles d’hygiène contournés, Christophe Brusset dénonce les multiples dérives dont il est, depuis vingt ans, le complice ou le témoin dans les coulisses de l’industrie agroalimentaire.
Ingénieur de haut niveau devenu dirigeant au sein de groupes internationaux, à 44 ans, il a décidé de « faire aujourd’hui son devoir » et de briser la loi du silence.
Piment indien rempli de crottes de souris, thé vert de Chine bourré de pesticides, faux safran marocain, viande de cheval transformée en bœuf, confiture de fraises sans fraises, origan coupé aux feuille d’olivier, etc.
Les arnaques qu’il révèle sont nombreuses mais ses conseils rassemblés dans son « guide de survie en magasin » devraient vous permettre d’en déjouer la plupart.
Christophe Brusset raconte la course de vitesse planétaire entre fraudeurs pour fournir aux industriels des matières premières toujours moins chères. Son récit effarant est une plongée saisissante et pleine d’humour dans un monde souvent sans foi ni loi.
27/10/2015 | Lien permanent
”Guérisons spirituelles”, sorcellerie et médecine
Une question m'a été posée dans le cadre de ma mailing-liste vouée à des échanges sur l'argent colloïdal. Elle m'a donné l'occasion d'aborder un sujet que je considère comme connexe à la question posée puisque le point commun se trouve dans le domaine que les théologiens appellent "préternaturel". Il se trouve que des circonstances particulières font que j'ai acquis des compétences dans ces domaines. Compétence de l'ordre du seul discernement. Je le précise car je ne saurais intervenir dans des affaires d'envoûtements ou de "hantises" excepté pour un éventuel diagnostic s'agissant de deux causes qui ajoutées à des problèmes de géobiologies et de pollutions diverses sont à l'origine de troubles graves en matière de santé. J'ai eu ainsi à examiner deux "affaire" l'une relevant de la pure "magie noire" et une autre où une hantise du aux éventuels résidus psychiques des précédants occupants d'une ferme bourguignonne. Dans ce second, cas je suis arrivé à une conclusion négative. L'occasion m'a été donnée d'aborder ces questions par un mail dont voici la teneur étant précisé que j'ai réécrit en les précisant quelques passages rédigés en hâte.
Bonjour Mr Metzer
(...) je travaille dans les produits naturels depuis de nombreuses années mais je crois aussi aux guerisons spirituels. Comme vous êtes un chercheur;je vous envoie quelques infos et un diaporama sur la vierge du mexique ; pour savoir ce que vous en pensez...
Suivaient ces urls :
http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveau...
http://www.asaintnicolas.com/spip.php?article2
http://www.asaintnicolas.com/spip.php?article54
Merci
Laurent
La réponse
Vos questions intéressant la médecine, je vous réponds dans la liste afin que tout le monde en profite. Façon de parler car je prévois pas mal de déstabilisation à moins de zapper...
Je crains de vous décevoir, j'ai jeté un rapide coup d'oeil sur les vidéos. J'ai déjà entendu ces discours 10000 fois et le problème c'est où est la ou les questions. Parce qu'il y a 36 000 choses dans tout cela.
Je vais essayer de vous répondre, à vous de poser ensuite des questions précises si vous jugiez ma réponse insuffisante.
Tout d'abord il faudrait distinguer les moyens de la guérison du caractère de la guérison elle-même. Je suppose que vous avez en vue les "moyens" car une guérison visant un mieux être somatique ne saurait être qualifiée de "spirituelle".
Voyons d'abord la Vierge de Guadalupe. Je connais les grandes lignes de cette histoire, à savoir le miracle de la floraison d'une rose hors saison et l'histoire des yeux qui passent pour être "vivants". Sur les faits historiques, il est impossible à plusieurs siècles de distance de faire une enquête sérieuse mais en tout état de cause un "miracle" ne signifie rien en soi. J'en admets la possibilité sans pour autant être tenu de croire à une cause providentielle. Mais enfin il est clair que dans la page dont vous faites état, on en a rajouté. Il y a donc là-dedans une large part de fantasmagories qui ne m'intéressent pas et que je tiens pour nulles et non avenues.
Les "miracles (ou ce que l'on tient pour tels ne me posent pas de problèmes par plus que l'histoire de la naissance virginale de Jésus. Je vous signale que le Bouddha a été crédité d'un privilège semblable ainsi que Platon d'après Diogène Laerce. Ce qui importe d'abord c'est le contenu symbolique. Le problème dans le cas de Platon, c'est qu'il ne fut que l'éditeur des propos de Socrate et qu'il a finit par s'approprier la gloire de son héros. Si donc il a existé un sage dans l'histoire, ce ne pourrait être que Socrate or, si j'ai bonne souvenance, non seulement le même Diogène ne lui a point accordé la moindre naissance miraculeuse mais il nous a transmis le nom de celui qui l'aurait initié à la philosophie à coups de verge dans le fondement, ce qui, on en conviendra la fiche plutôt mal et ne correspond par du tout à notre échelle de "valeurs spirituelles". En d'autres termes, Socrate aurait-été la vistime d'un "pédophile" dont je n'ai point retenu le nom s'il a été donné...
Parlons de choses plus sérieuses : quoique j'ai cessé d'être "catholique" je crois à l'autenthicité du "Suaire de Turin" et àa ne me pose pas de problème puisque des lamas tibétains et aussi des anachorètes au Mont Athos se seraient transformés en "corps d'arc en ciel". La seule différence résidant qu'un seul en a laissé une trace palpable qui n'en déplaise à un universitaires des plus connards (savoir le principal "grand prêtre" de la "zézétique") ne saurait être contrefaite et surtout pas par le moyens grossier qu'il a publié dans cette revue de merde qu'est "Science et Vie" laquelle se fout du monde plus souvent qu'à son tour !
Pour en revenir aux apparitions mariales, j'ai longuement étudié la question, il y a 15 ou 20 ans. J'ai distingué plusieurs types d'apparitions. Certaines continennent des symboles traditionnels (apparition dans un chêne par exemple) d'autres, les dernières, sont franchement "dissonantes" car elles ne répondent pas à certains critères sur lesquels je ne peux m'étendre. Mais si l'on peut distinguer des apparitions se conformant à une orthodoxie minimale et d'autres qui sont manifestement parodiques, cela ne veut absolument pas dire que les premières seraient plus authentiques que les secondes.
Certaines conditions de forme sont nécessaire pour envisager l'hypothèse d'une authenticité mais nullement suffisantes car une intervention supposée d'origine providentielle soit doit d'être confirmée par la valeur proprement spirituelle du message délivré. Or et à ma connaissance elle est toujours nulle, métaphysiquement parlant.
Ca se résume toujours et en effet à une incitation à un "réarmement moral" conformément aux obsessions caractéristiques du christianisme, à savoir en particulier la "luxure". La "luxure" qu'est-ce que c'est ? Tout ce suite on pense à des "histoire de cul" mais en fait c'est l'abus du luxe, cela comprend aussi bien le goût ostentatoire pour les bagnoles de luxe que celui des belles femmes ou, c'est selon, un attrait pour les "minets". Du reste ça ne marche pas l'un sans l'autre car on n'attrape jamais les mouches avec du vinaigre. Il faut en effet être assez naïf pour croire que Socrate aurait été l'idole des "ados" de son temps, certes ils étaient moins tarés que de nos jours mais faut pas pousser.
Enfin et puisque je viens d'évoquer les principaux "objets de luxe" il faut préciser que lorsqu'ils prennent figure humaine, leur sexe, jusqu'au XIII ème, est resté assez indifférent. Il aura fallu l'invention de l'amour courtois pour que la dévotion envers le sexe dit faible prenne le pas sur cette "homosexiabilité" qui était la règle auparavant. Heureuse époque où les soucis par trop frivoles de la plupart de nos compagnes n'avaient guère cours. Cela dit les choses en hélas bien changé. J'en veux pour preuve mon petit village : l'épicerie se meurt alors qu'il y en eu jusqu'à trois au lendemain de la guerre. En revanche, un salon de coiffure et la boutique d'une esthéticienne marchent très fort. Cette dernière a même pris la place de l'ancien télégraphe ! J'ai dit "indifférent" pour ne méconter personne mais quand à y regarder de près, on constate que les clercs s'adonnant au "péché philosophique" n'étaient pas si mal vus, bien au contraire. Voir les travaux d'un certain John Boswell qui, sont, sur quelques points de détail, à "prendre avec des pincettes".
Revenons à nos moutons. Quand je dis que les message spirituellement son vides, c'est qu'ils ne fournissent aucune réponse aux questions de notre temps quant à la conduite à tenir par rapport aux problème de société en vogue. Bref, l'Eglise catholique campe sur sa hantise du divorce et de l'homosexualité. C'est tout ce qui l'intéresse. Elle qui ne fut pas loin de professer que l'avarice est immédiatement après l'orgueil le pire des péché se montre étrangement silencieuse quant au domaine économique ce qui est normal car elle a été, dans son ensemble, trop près du manche pour se hasarder dans ce domaine qui est bien l'objet des pires scandales. Quant aux "moeurs", il aura du reste fallu du temps pour qu'elle se gendarme contre la pédophilie ! Et elle l'a fait à reculons ! Mais enfin personne n'ignore plus qu'il suffit de lire n'importe quelle histoire de la papauté pour se rendre compte que le fait d'orner le choeur des églises des plus beaux éphèbes en qualité de servant du culte fut un excellent prétexte pour détourner ces sortes d'ornements à des fins contestables, du moins dans le contexte de puritanisme qui tend à sévir sous nos latitudes.
Tout cela pour dire que la teneur des discours des apparitions n'a pas changé depuis l'époque du curé d'Ars. La hantise du saint curé c'était les bals du samedi soir des fois que les filles se fassent engrosser... C'est encore et toujours la diabolisation du sexe. Au moins à l'époque le clergé essayait de susciter la charité chez les riches. C'était un emplâtre sur une jambe de bois pour mille et une raison. Vous l'avez entendu le clergé français jeter l'anathème sur la spéculation financière, les directeurs des banques et surtout les politiques qui s'agitent et ne font rien à commencer par le nabot qui se représente ? Moi, à la place de l'archevêque de Paris, je fulminerai une excommunication et une malédiction en bonne et due forme comme ce fut fait au sein de l'église orthodoxe du temps de Ceaucescu si ma mémoire est bonne.
Bref, il m'est absolument impossible de voir dans l'une ou l'autre des apparitions mariales que vous pourriez me citer quelque chose de "spirituel". Je suis formel, je connais assez bien l'orthodoxie pour savoir que son histoire ne mentionne pas la moindre apparition mariale. Alors que conclure ?
J'ai évoqué deux sortes d'apparitions, des apparitions "classiques" comme celle dont vous faites état mais qui ne conduisent guère qu'à un "piétisme" qui n'a guère que le mérite de concourir à une relative paix sociale. Cependant dans le cas particulier de l'extension du catholicisme dans le nouveau monde, ses exactions et sa propension (sous toutes les latitudes) à traiter ses sujets en "esclaves" comme le montre l'histoire de l'Inquisition parce qu'elle procède de l'emprunt au droit romain d'une procédure qui leur était exclusivement réservée, m'interdit de voir la "main de Dieu" dans ces première apparitions quoique leur forme soit en accord avec certains critères symboliques. Alors de quoi s'agit-il ?
Ma thèse (et c'est une certitude absolue que vous n'êtes pas tenu de partager) est qu'il s'agit de la remanifestation de ces anciennes fées et autres "Dames blanches" du folklore ancien, soit de ces entités révérées par le paganisme et généralement associées au culte de certaines fontaines qui ont trouvé là un moyen de se sustenter sur le dos de gens crédules moyennant un déguisement de circonstance. Je veux bien vous accorder qu'elles ne témoignent nullement d'intentions hostiles mais il s'agit néanmoins d'une source d'illusion qui ne peut apporter aucune espèce de progrès spirituel.
Vous noterez qu'après la révolution française la teneur de ces apparitions tend à changer. Elles se transforment pour donner de plus en plus naissance à de grossières parodies et là elles se subdivisent avec d'une part des supercheries purement humaines comme La Salette et d'autre part des manifestations dont la teneur de plus en plus sinistre n'est point douteuse, Lourdes constituant une sorte de pivot résumant le point où tout bascule. Cette apparition comporte certains caractères classiques et l'on a du reste des traces historiques d'une antériorité remontant, paraît-il, jusqu'à l'époque de la conquête arabe mais je n'ai pas pu mettre la main la documentation adéquate et je sais seulement qu'il en subsiste des traces dans une étude érudite devenue inaccessible.
Pour en revenir à votre question, il découle de ce qui précède que si certaines apparitions comme celle de Lourdes ont conduit à des guérisons, je ne saurais les qualifier de spirituelle que pour autant que l'on voudra bien me prouver que les bénéficiaires on témoigné par la suite d'une authentique "sagesse spirituelle". En vérité, il n'est même nécessaire de se poser la moindre question à ce sujet au motif qu'un effet ne saurait être supérieur en force et en qualité à la cause censé l'avoir produit. En d'autres termes, l'excessive médiocrité de l'arbre rend toute question vaine à propos de ses fruits éventuels.
Quant à certains prodiges postérieurs, Fatima, Garabandal, Medjugorje en particulier, tout cela n'est que "diableries". Pour être tout à fait clair, je dirais que d'un point de vue islamique toutes ces histoires ne sont que manigances de "djinns", une catégorie ontologique qui ne se superpose pas à celle des "démons" dont Rome fait grand commerce car la traduction correcte est "génies". Laquelle catégorie se subdivise à l'infini. Il y en a qui sont simplement farceurs, d'autres étant assez franchement maléfiques. Enfin le bouddhisme tibétain dispose à ce propos d'une "rubrique" qui peut donner une idée de ce avec quoi nous avons à faire avec les pseudos "Vierge Marie" qui sont apparues au cours des temps. Dans le meilleur des cas, un lama n'y verrait guère que la manifestation d'un "dieu mondain". L'attitude correcte consiste à le respecter s'il est jugé positif, voir à s'attirer ses bonnes grâces en lui faisant des offrandes mais en aucun cas il ne saurait être question de le prendre pour un "guide spirituel" attendu qu'il n'a pas atteint la "libération".
Qu'est-ce que la spiritualité
Il tombe sous le sens que nous n'avons pas la même conception de la spiritualité. Du reste je vous soupçonne de n'en avoir pas la moindre idée. A la suite de ma première réponse vous m'avez cité une phrase de Soeur Emmanuelle qui aurait affirmé que "peu importe les croyances, l'important faire le bien durant cette vie."
Vous m'excuserez si je suis assez "vachard" mais si je tire les conséquences de cet énoncé, vous n'en avez pas fini avec moi. Je constate premièrement que cette Soeur se fout de ses propres croyances. De la part d'une personne qui passe pour avoir réhabilité l'onanisme, son relativisme n'est point fait pour nous étonner, voir :
http://www.rue89.com/rue69/2008/11/02/soeur-emmanuelle-au...
C'est qu'il est des prénoms qui sont bien conçus pour véhiculer une certaine fatalité, et je pense au film intitulé "Emmanuelle" voir :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_d'O
On comprend maintenant pourquoi votre "référence" se souciait fort peu des "croyances" catholiques. Maintenant le vrai problème c'est de savoir ce en quoi consiste le fait de "faire le bien". Est-ce de ne jamais se masturber, de ne jamais coucher avec un de ses semblables ? Est-ce distribuer des vivres aux pauvres, pratiquer la médecine en ne faisant payer que les riches. Des légions de gens parfaitement athèes font cela très bien et même parfois de façon désintéressée et il faut bien dire que quand il s'agit de redistribuer des biens que d'autres mettent à votre disposition, je ne vois pas où est le mérite mais passons !
Je crains que la spiritualité ne réside pas dans la "morale" car à ce sujet ne dit-on pas "vérité en deça des Pyréennées, erreur au delà" ce qui rend parfaitement compte du caractère très contextuel de la chose. Puisque le domaine sexuel fournit une source inépuisable d'exemple on peut prendre l'exemple de la polygamie. Chez nous c'est à la fois un péché pour les chrétiens et un délit du point de vue républicain. Pourtant tous les patriarches de l'Ancien testament furent polygames.
J'ajoute qu'un certain Thomas d'Aquin a énoncé en substance que ce qui est péché pour les uns ne le serait point pour d'autres, ce qui implique que les conditions subjectives sont déterminantes pour juger de la valeur d'un acte. Là je vais laisser tomber le domaine sexuel pour prendre un exemple beaucoup plus probant, celui de la "légitime défense", tuer quelqu'un lorsque l'on est menacé de mort, ce n'est pas un crime, en revanche occire quelqu'un par jalousie ou sur un coup de colère c'est un crime !
Vous parliez de "guérison spirituelle" ! Restons en à ce qui est ou n'est pas "spirituel" alors je vous pose la question, c'est quoi ? Je connais la réponse mais je ne vais pas vous la donner mais simplement constater que la question posée celle d'une "guérision spirituelle" est vaine. Ni les moyens sur lequels vous m'avez questionné, ni les résultats ne peuvent être qualifiés de "spirituels".
La "sorcellerie" quel rapport ?
Le rapport est purement factuel en ce sens que ce que vous entendez par "guérison spirituelle" en ayant en vue certains "miracles" appartient finalement au même registre que l'action des "panseurs de secrets", des "désenvoûteurs" qui on plus de rapports avec le statut du "sorcier" qu'il n'y apparaît au premier abord puisqu'il oeuvrent sur le même plan invisible ou plus exactement "subtil" ou encore "psychique".
Remarques sur deux livre de Dominique Camus
J'abandonne donc les italiques pour élargir la question posée.