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09/12/2024

Michel Dogna et les nano-robots vaccinaux + Covid, D-dimères et "stase de sang" + IRMs mal configurées s...

La Newsletter de Michel DOGNA

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Cette note 

Je ne saurais me prononcer sur le sujet. Tout le monde a pu voir passer des micro-photographies assez curieuses et il ne m'est pas possible d'éclaircir la question.

Tout d'abord le Dr Tall Schaller (et sa femme...) ainsi que JJ Crévocoeur le canadien ne sont pas, à mes yeux du moins des personnages crédibles et les interventions de la Quinta Columna étant en espingouin, cette langue exotique ne m'est pas accessibles. Quoique de lointaine origine albionique la langue de mes ancêtres dont j'ai trouvé trace jusqu'au XIème siècle et qui est devenue un sorte de dialecte international m'échappe en grande partie. Je ne comprends bien et ne maîtrise que le français et si bien que j'ai publié un ouvrage qui a été déclaré intraduisible par le panel de traducteurs sollicités : trop d'iodiomatismes impossible à rendre dans la langue de Shakespeare... En plus des obstaces linguistiques, il y a la nécessité de se taper des vidéos bavardes et çà c'est au dessus de mes forces...

Une montée de D-Dimères encore à éclaircir

Je me suis trouvé confronté récemment à une montée de ce facteur biologique dans des circonstances assez particulières qui ont entraîné un stage aux urgences de 12 heures alors que le diagnostic aurait pu être porté avec une simple auscultation. Cela m'a valu un scanner en prime qui a écarté la thèse d'une embolie pulmonaire. Côté généraliste celui avec lequel je m'entendais fort bien a lâchée la pratique libérale et à déménager pour finir sa carrère en tant que fonctionneire, 3 toubibs m'ont compliqué la vie. Le premier n'a pas répondu à mon appel. Je suis descendu pour tomber sur une connasse qui ne prend que sur RV et fait de ma médecine pour se distraire car son mari a largement de quoi l'entretenir à rien faire. Il aurait suffit d'une auscultation mais elle a préféré me jeter comme un malpropre en tablant sur l'hypothèse la plus lourde.

Un troisième que m'a conseillé un pharmacien ne s'est pas avéré plus brillant qui m'a cité son cas pour me dire que les D-dimères çà disparaît très lentement, qu'il n' y avait pas lieu de redoser... Les siens seraient montés suite à un Covid si j'ai bonne mémoire à moins qu'il ait évoqué le cas d'un patient à lui...Peu importe... Et là je n'ai pas fait gaffe...

L'histoire ci-dessus est presque un roman et si aujourd'hui je me préoccupe de ces D-dimères c'est sans lien avec les arrières plans symptomatiques de l'épisode envisagé car comme vous le savez un train peut en cacher un autre, surtout en médecine...

Un contrôle de glycémie comme cause occasionnelle d'un nouveau cheminement réflexif

J'avais depuis longtemps un glycomètre à électrode et un style de piquage. Je décide de le ressortir et je fais plusieurs tentatives de piquage en vain. Voilà qu'il me plante et qu'il est impossible de retrouver les bandelettes fonctionnant à l'aide d'une réaction chimique dont voici le processus

Me voilà donc obligé de racheter un nouveau modèle grâce à cette calamité qu'est l'obsolescence programmée.

Et là je me heurte à une nouvelle difficulté. Impossible d'obtenir une mesure faute d'assez de sang en me piquant le bras. Je répugne à me piquer les doigts et même si la production est plus abondante à ce niveau je n'ai pas réussi à faire la moindre mesure. D'où l'adoption temporaire du système de capteur qui me donne toute satisfaction sauf qu'en continue çà coûte 2 fois 40 € par mois et n'étant pas diabétique de type I (le maigre), je n'ai pas droit à un remboursement...

Je suis tout au plus "résistant à l'insuline" et d'après mon indice Homa je ne suis même pas diabétique de type 2 (le gras)...

L'énigme à résoudre

Faisant le lien entre D-dimères passées de 600 puis 700/770 entre 2 jours de janvier, je me demande si la cause ne réside pas dans le fait d'avoir attrapé le Covid en mai 2022, c'est assez peu probable mais quelque chose a attiré mon attention : prenant un anti agglomérant plaquettaire depuis un bail j'avais l'habitude d'observer un saignement assez fluide à la moindre anicroche et là impossible de tirer de mon bras une goutte de sang potable pour une mesure de glycémie.

J'en viens donc à l'hypothèse d'une microcoagulation disséminée comme conséquence de la maladie Covid mais bon il y a 20 mois entre ce Covid et l'apparition de D-Dimères ayant franchi la barrière des 500 censé constituer le seuil d'alerte. A noter en lien avec les D-dimères :

  • Le D-dimères ne sont pas spécifiques et un cardiologue m'a déclaré que l'idéal serait qu'ils soient proche de zéro et c'est tout dire...
  • Il peut exister d'autres causes à la difficulté d'obtenir une goutte de sang suffisante  qu'un "sang épais" comme une diminution du volume de sang...

La "stase de sang" se traite en MTC avec un extrait de Salvia Milth. ou Dan Shen on en trouve sur Iherb... 

Enfin et surtout je constate que si j'ai gardé tous mes examens depuis le début de mon début autonomie remontant à la vingtaine passée, j'aurais du tenir un journal de mes principales péripéties biologiques et, le moment venu, enregistrer çà dans un fichier texte numérique de façon a pouvoir faire des recherches rapides par la suite sans avoir à manier les registres consistués années après années.

Alors quand je vois que la plupart des gens jettent leur analyses et compe-rendus d'examens si j'étais médecin, je crois que je les ferais fuir en commençant par les engueuler...

EJe constate que même en arrivant au cabinet avec une liste des quesitons à investiguer avec la liste des contrôles à faire, à la remise des ordonnances il faut contrôler soigneusement que tout y est car même s'ils répondent oui, je constate qu'il n'en font qu')à leur tête. Alors imaginez ce qui se produit quand le patient ne connaît absolument rien à la médecine... 

Et l'invitation à oublier les D-dimères n'a pas été un conseil judicieux... 

Enfin je peux être sûr que quand une personne proche me remet ses analyses et que je pose des questions, j'arrive au constat que l'homme ou la femme de l'art a oublié plusieurs contrôles essentiels...  

Et si la personne concernée prend note des "épisodes manquants", il faut encore qu'elle réclame et que le ou la "pro" accepte de faire son job. Et c'est jamais gagné parce qu'ils n'aiment pas que les "patients"  leur en remontrent...

Trois exemples de contrôles de médecin insuffisants

Je cite 2 exemples  comme illustration :

  • Contrôle thyroïdien : l'immense majorité des médecins se contentent de doser la TSH et suivent les repères des labos qui sont manifestement fautifs : l'hypothyroïdie commence à 1,2/1,5 et surtout à 2 unités faut questionner. En plus au moins la première fois faut doser 14 et T3 libres + les 3 anticorps anti thyroïdiens et éventuellement ordonner une écho si la palpation révèle une suspicion... Et il y a les médecins qui voyant une TSH hyper basse sous supplémentation prennent au sérieux les données de l'Assurance maladie à propos d'un risque d'hyperthyroïdie oubliant que l'a chose devrait normalement leur sauter aux yeux avec des indices dans ceux des patients réellement concernés...
  • Cas d'un surpoids manifeste chez une personne appréciant sa dose de "rouge" : Elle a son Lévothyrox ou plutôt son Euthyrox destiné au marché russe mais bon j'ai jamais vu de HBA1C (hémoglobine glyquée), elle n'aurait pas de diabète en dépit d'une plaie refusant de cicatriser, enfin cette personne est accroc au sucreries et consomme pas loin d'une bouteille de pinard par jour, une des premières choses que j'aurais prescrite c'est une écho du foie car la stéatose est chose répandue et chez les femmes en particulier mais quand elle est diagnostiquée, il ne s'ensuit aucun conseil diététique, or j'ai pu constater qu'une cure soutenue de Gaspacho vert peut réduire considérablement ce phénomène et l'apport en sucre reste modéré... En cas de RGO c'est essayez ceci et revenez dans 10 jours si ça ne marche pas...
  • A propos d'un IRM prostatique s'étant avéré non spécifique faute d'avoir répondu à certains critères : Bien que la PSA soit bien loin d'être spécifique d'un cancer lorsqu'on dépasse un certain taux, il ne faut pas se contenter d'une simple écographie, le médecin devrait ordonner un IRM sans qu'on n'ait besois de le lui réclamer encore faudrait-il que les radiologues recourent à certains critères comme les "PIRADS". Encore faudrait-il que l'IRM réponde à certaines caractéristiques. Quelqu'un m'a envoyé un compte-rendu signalant une zone d'hyposignal T2 étant évoquant une formation tumorale sans préciser qu'elle serait cancéreuse... 

A propôs des hyposignal T2 dans une IRM

Renseignement pris là encore un hiposignal T2 peut correspondre soit à un certain degré de calcification soit à la présence de fer et dans ce cas çà peut-être un indice en faveur d'un cancer puisque les tumeurs cancéreuses s'en gorgent. Sauf qu'une calcémie assez généralisée a été diagnostiquée dans le cas dont j'ai eu connaissance. J'ai donc poussé mes recherches par ChatGPT et j'ai obtenu comme réponse que l'IRM n'est pas interprétable sans les PIRADs et une procédure appelle DWI. je m'abstiens de reproduire la consultation très technique et après consultation de l'urologue il s'avère que ce dernier a refait faire l'IRM avec le bonne technique et il jugera en présence des images, c'est alors seulement qu'il y aura lieu ou non de pratiquer une biopsie. La question qui reste à résoudre c'est pourquoi dans un service hospitalier à la pointe la bonne IRM n'a pas été faite... Je n'ai pas encore la réponse...

Inutile de souligner que si au début de ma carrière de blogueur il m'est arrivé d'accepter d'essayer d'orienter des lectrices surtout qui étaient complètement déboussolées, j'ai du mettre fin à ce genre de pratique d'autant plus que je l'ai fait bénévolement...

A propos des "déserts médicaux", comme toujours ce problème en cache un autre...

La médecine est un art difficile assurément et j'ai tendance à rigoler quand on me parle de "naturopathie" et surtout l'enseignement de la médecine académique a chuté gravement.

Je vois et entends encore le Pr Perronne raconter que l'on ne fait plus apparendre par coeur les modalités de diagnostic des affections les plus courantes. Résultat il paraît que les internes en sont arrivés à patauge rlamentablement... Bref, on parle trop des "déserts médicaux" car même en les repeuplant avec une densité de médecins suffisantes on serait encore loin du compte ! 

Enfin quand on est un patient averti, ça reste difficile d'obtenir les contrôles nécessaires, il faut s'accrocher ou se résoudre à les payer de sa poche, encore faut-il en avoir les moyens...

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