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25/11/2014

De la corruption des mœurs et de la corruption du langage

académicien.jpgJ'aurais l'occasion d'évoquer, dans un prochain post en préparation, les ennuis judiciaires du réalisateur d'un film destiné à la jeunesse qui est primé partout à l'étranger mais qui, en France, a suscité une plainte de la part des organisateurs d'un festival savoyard.

Ces gens prétendent avoir trouvé dans l'oeuvre proposée en vue d'une projection sous leurs auspices un épisode "contre nature" offensant la morale républicaine. C'est à la fois tragique, car l'histoire vraie qui constitue l'épicentre de l'oeuvre en question s'est soldée dans la réalité par la mort de deux jeunes du fait d'un certain terrorisme islamique mais cependant très comique parce que les plaignants ont été victimes de fantasmes à caractère hallucinatoire. Il ne se passe rien... Sauf dans la troisième partie qu'il n'ont pas vue et où un massage en vient à décourager un jeune de se suicider. Ce que l'on ne sait pas c'est qu'en Belgique on a recours à cette pratique pour réconcilier les jeune suicidaires avec un corps exécrés. Mais en France, j'imagine qu'une telle pédagogie susciterait des poursuites de la part des ligues de vertu, toujours agissantes. 

Le réalisateur du film évoqué étant un une linguiste connaissant bien le latin et le grec nous nous sommes retrouvés quant notre souci de la justesse des concepts et des termes à employer.

J'avais déjà signalé l'inconvenance du mot "pédophilie". En effet, il est bon de le rappeler, philein désigne l'amour d'une chose abstraite, le meilleur exemple étant celui de la philosophie ou amour de la sagesse. Il me semble en effet difficile de "baiser" la "sagesse", au surplus elle risque de se venger assez finement !

J'aime bien l'étymologie, cela donne lieu parfois à des surprises, cependant il était écrit que j'avais encore beaucoup à apprendre sur ce chapitre.

Pornê en grec désignant la femme, par opposition à andros qui désigne l'homme : parler de pornographie c'est dire implicitement qu'au fond que les femmes seraient par nature ou par définition obscènes... Première nouvelle, ainsi on fait de la discrimination machiste sans le savoir. Les féministes ont encore perdu une occasion de sévir. En fait j'étais en train de vous berlurer : pornê désigne les femmes de mauvaise vie. Donc la pornographie n'existe que comme "putasserie hétéro", ce que vérifie l'observation de l'art en question où je ne vois qu'étalage de boucherie charcuterie.

Dans cette perspective, la pédopornographie désignerait le commerce obscène de représentations ou d'une littérature portant sur des "femmes enfants" assez délurées. Or elles pourraient bien être majeures, où serait le problème?

Quant à parler de "pornographie homo", çà ne peut concerner que des histoires de "gouines" puisque la pornographie ne peut impliquer que des femmes comme objet ! La plupart des mâles désirant secrètement s'en mêler, le potentiel subversif de cette sous rubrique m'échappe complètement !

Il reste donc a inventer un nouveau terme pour pallier au manque du côté "homo", ce serait "andrographie" pour désigner les pratiques éventuellement obscènes d'hommes seuls ou à plusieurs. Le problème étant qu'en grec il ne doit pas y avoir de terme pour désigner les "bad boys", çà ne semble pas avoir été le genre de la maison... Donc j'en conclus, c'est pas moi qui le dit mais la science étymologique, que ce qu'on n'appelle "porno homo" n'existe nulle part, il n'existe qu'une cinématographie plus ou moins érotique qui fait preuve, c'est encore un fait, de ressources imaginatives inconnues ailleurs. Tous les goûts étant dans la nature chacun choisit en fonction de son plus ou moins grand degré de raffinement.

Bonté divine qu'attendent donc les vieux grigous qui siègent sous une certaine coupole pour remettre de l'ordre dans leur fichu Dictionnaire officiel, qu'on rigole un peu !

En conclusion la langue française en particulier, est aussi peu scientifique que possible, néanmoins la médecine scientifric ça existe, nous l'avons tous rencontrée car elle est omniprésente. Je précise n'être pas l'auteur de cette autre trouvaille et je vous invite fermement à la populariser autant qu'il vous sera possible ! Imaginez les réparties  du style:  oui vous avez raison, c'est très "scientifric" en effet, ça vous rapporte combien ? La dérision, il n'y a que cela de vrai, ça ne tue pas physiquement mais ça peut calmer ! Et les gens qui ont le foie malade doivent se soigner, je donnerai prochainement des pistes à ce sujet en parlant de Cynara cardonculus et surtout de la silymarine...

Mes propos peuvent sembler "décousus" mais j'ai toujours de la suite dans les idées. 

La thyroïde et ses dysfonctionnements

Barnes.jpgJ'ai reçu d'un correspondant un gros paquet d'articles tirés de revues alternatives dont Energie Santé que je viens de m'efforcer de trier. Qu'il en soit ici remercié pour le cas où j'aurais du mal à retrouver son email car la fonction recherche de Foxmail déconne et des mails j'en reçoit pas mal. A propos de la revue citée, une lectrice m'a promis de la scanner entièrement et je n'en ai pas de nouvelles. Mais c'est un peu de ma faute car elle m'avait demandé de lui faire une liste de priorités et la chose m'est sortie de la tête, là encore je vais avoir du mal à retrouver son mail.

Dans le N° 70 de juin 2006 est paru un article intéressant qui répond à quelques unes des questions que je me posais mais sans évidement que tout soit élucidé.

Deux faits sont confirmés par l'article, les dysfonctionnements de la thyroïde et en particulier l'hypothyroïdie sont très répandus et les effets, très nombreux demeurent souvent inaperçus dans le cas d'une hypo. D'autre part les dosages hormonaux sont délicats à interpréter. Je scannerai l'article et il sera disponible sur le Cloud qui est accessible par abonnement et donc sous condition. L'envisage de la compléter et je me bornerai pour l'instant à un bref résumé.

Le dosage se fait sur 3 facteurs, la TSH comme hormone stimulatrice des hormones proprement thyroïdiennes soit T3 et T4. Mais le fait que ces dernières atteignent des chiffres normaux ne veut finalement pas dire grand chose car cela ne prouve pas qu'elles remplissent correctement leur rôle au plan cellulaire. Et si la TSH tend à monter, bien que le taux de T3 et T4 soit dans les clous cela implique une difficulté de stimulation, cela veut dire qu'il y a un problème. L'article évoque un "point fixe" de T4 mais ne donne aucune précision à ce sujet.

J'ai trouvé sur le forum suivant une référence à ce point fixe dans un texte comportant des passages proches de l'article dont je dispose :

http://www.forum-thyroide.net/index.html?http://www.forum...

Mais l'explication demeure absente. Voici une page nettement plus explicite mais qui reste à analyser et à traduire et pas seulement autour de ce "point fixe" de la T4 qui semble permettre de juger de la situation par la seule TSH :

http://home.scarlet.be/~tsd51298/thyro_labo.htm

Cette page donne sur des dosages plus élaborés de seconde intention (anticorps par exemple) des indications cliniques et l'on doit d'abord se baser sur la clinique avant de se lancer dans des dosages. La liste des symptômes se recoupe avec celle dont je dispose qui est un peu plus étendue et mentionne un signe que j'avais retenu depuis longtemps : la raréfaction des sourcils et j'ajoute surtout à la pointe. s'il existe d'autres signes comme la fatigue, la frilosité, la somnolence et des signes de métabolisme ralenti, il faut se poser des questions !

Le test de température basale du Dr Barnes

La température se prend au réveil dans le lit et sans bouger, sous le bras pendant 8 minutes et durant une huitaine de jours. Et effectivement j'ai vérifié qu'il existe une différence d'environ 0,5° avec la prise dans le rectum. Je suppose que le lieu de la prise a une importance et dans ce cas ma propre température serait légèrement basse. La fiabilité de ce test serait de 85%. 

On trouve sur Internet plusieurs allusions à cette méthode, complétée par celle de Wilson, plus controversée qui se prend dans la bouche.

La normalité se situerait à partir et au dessus de 36,4 et même 36,6° selon les sources. On descend par palier de gravité d'environ - 0,5° à légèrement bas, bas et très bas. 

Les causes de dysfonctionnement peuvent être nombreuses, stress, métaux lourds, carence en oligo-métaux, tabagisme, conflits, insuffisance rénale, excès d'iode, contraceptifs oraux, glucocorticoïdes, Cordarone et ses génériques, interféron etc...

Concernant la thérapeutique on préconise en hypo notamment des suppléments de L-Tyrosine, des adaptogènes (cas de stress), et une formule d'aromathérapie (ex : Rosmarinus, Juniperus, Origanum, Commiphora myrrha) mais il n'existe pas de formule passe partout. Le grémil a été utilisé en cas d'hyperthyroïdie, il s'agirait d'un véritable "casse pierre" mais en cas de lithiase et de suspicion d'hypothyroïdie, il convient d'éviter cette plante.

Retenir que le diagnostic est difficile que l'hypothyroïdie est assez répandue, que divers facteurs peuvent intervenir comme causes et être imbriqués, que les généralistes s'en tiennent à la TSH et ne semble même pas conscients qu'avec la dosage des T3 et T4 (qu'il faut souvent réclamer) on risque d'être trompé par des résultats apparemment normaux, que les mêmes ne pensent pas déterminer s'il existerait un ralentissement du métabolisme basal en commençant par le test de température. Il faut dire également que ces signes de ralentissement peuvent dépendre de la météorologie.

Bref tout dysfonctionnement marqué de ce métabolisme en hypo ou en hyper devrait inciter à déterminer le statut thyroïdien du patient concerné. Et j'ai vu plusieurs personnes patauger parce que leur médecins n'avaient pas l'air de maîtriser le sujet. Maintenant il faut bien dire que le fait de s'en référer à un endocrinologue n'est nullement une garantie, il s'agit d'une discipline qui demande des dosages répétés à différentes heures plus une grande finesse d'interprétation. Mais il existe tellement de troubles plus ou moins larvés qui peuvent avoir pour origine principal un dysfonctionnement thyroïdien même relativement léger qu'il m'a paru nécessaire de sensibiliser mes lecteurs à ce sujet qui est loin d'être simple.   

Nexus n° 95 évoque le survivalisme...

Nexus95.jpgLe n° 95 de Nexus contient plusieurs articles intéressants donc voici le compte-rendu. Plusieurs articles sont consacré au survivalisme avec une confrontation des points de vues masculin et féminin. Les hommes pensant réserves et armes donc guerre et les femmes voulant jouer plus sur la solidarité. L'approche est essentiellement philosophique, quant aux mesure à prendre il faut consulter les ouvrages dédiés à cette question.

Notez en passant que Alain Soral, qui est un trafiquant d'idées volées et un commerçant qui surfe sur les toutes sortes de rubriques "mode", a créé une boutique pour les amateurs de survivalisme. Mais avant d'acheter quoique ce soit, étudiez bien toutes les éventualités possibles. 

Les deux approches sont forcément complémentaires et dépendront des circonstances qui sont assez imprévisibles. Ce qui retient mon attention c'est qu'il me semble que ce serait la première fois que cette revue aborde le sujet sur près de 25 pages. Or tous les indicateurs sont au rouge pour 2015. La plus vieille agence financière qui a plus d'un siècle d'existence et avait prévu 1929 et 2008 annonce une aggravation pour l'année prochaine. Plusieurs lettres confidentielles ciblant également 2015. J'ai noté d'autre part, sans me souvenir où, que la Suisse craignant une invasion de son territoire aurait anticipé cette éventualité. Enfin depuis le temps qu'on annonce un crash, il finira bien par arriver. Ne me demandez pas plus de précisions, je considère que l'économie est bien la chose la plus importantes loin devant les "bagatelles" du style "mariage pour tous", mais les techniques spéculatives m'échappent et tout ce que je sais c'est que les bornes ont sauté depuis longtemps de sorte que nous sommes plus interdépendants que jamais. Recourir à une "divination" par le I Tching notamment serait sans doute plus efficace que de consulter les cogitations des économistes mais encore faudrait-il avoir des questions précises à poser et être suffisamment motivé pour que cela fonctionne...

Une douzaine de pages sont consacrées à un homme et une femme, cette dernière étant avocate, qui font trembler les banques. Le fait que toutes les banques pratiquent l'usure n'est pas à proprement parler une nouvelle, quand à leur faire rendre gorge la voie pénale reste largement impraticable. Voilà un article à lire qui est intéressant sur le plan du droit et montre une fois de plus que l'actuel président se contrefout des gens qui n'ont pas de dents... 

Un article porte sur l'impossibilité d'un débat sur le désarmement nucléaire. C'est le genre de choses qui ne risque guère d'évoluer. Il faudrait d'abord commencer par déterminer s'il existe une alternative au nucléaire civil, ce qui pose le problème des énergies alternatives.

Neurones miroir : article sans intérêt puisque l'on en reste au stade d'hypothèses sans débouché.

Violence de la médecine envers les femmes : les femmes ayant tendance à se plaindre plus souvent qu'à leur tour il y a là un problème sérieux à cause notamment du caractère féodal, le mot n'est pas trop fort, de la médecine française. A lire impérativement.

Deux articles concernent Viktor Schauberger qui est connu de quelques lecteurs en raison de ses théories sur l'eau et sa dynamisation. Le premier article est une présentation du personnage. Beaucoup de zones d'ombre demeurent. Le second concerne un film tourné autour d'un ancien camp de concentration sous lequel demeureraient des souterrains inexplorés et un complexe au sein duquel les nazis auraient expérimenté des techniques "implosives". Entendre par là un moyen de recourir à l'énergie atomique de façon naturelle et sans effets négatifs. Tout cela reste très vague. Il fallait s'attendre à apprendre que le gouvernement autrichien aurait mis le boisseau sur cette partie de l'histoire en voulant l'occulter. Le problème est que les vestiges d'appareils conçus par Schauberger ne sont pas fonctionnels (Répulsine et Cie). L'énergie libre est sans doute une réalité quelque part mais pour l'instar on en est réduit à rêver et cela risque de durer encore longtemps.

Le n° se termine par l'inévitable papier sur l'armée face aux OVNIS, sujet qui a le don de me barber. J'ai bien des raisons de penser que si les phénomènes décrits sont bien réels on est confronté à ce que j'appellerai une "technologie préternaturelle" et au fond à des sortes de "diableries". C'est l'une des hypothèses de Bertrand Méheust. Quant à l'article sur la quatrième chambre de Khéops, on a fait tellement de "salades" autour des pyramides que c'est aussi un sujet qui me lasse et auquel je beacuoup de mal à m'intéresser.