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25/02/2018

Prostate, calculs dans la vessie, argent colloïdal etc...

Plusieurs retours sur le sujet : Celle d'un "prostatique" qui souffre surtout de prostatite et qui me dit avoir essayé plusieurs plantes. Il a observé que ça marche pendant un temps puis qu'il faut changer. Mais son cas ne se limite pas à de l'hypertrophie. La prostatite peut comporter un facteur infectieux, dans ce cas la busserole peut être indiquée.Le même correspond a témoigné de l'efficacité des cures thermales à La Preste les Bains.

Il y aurait un petit livre à écrire sur le sujet pour récapituler ce que l'on saitvmais je n'ai pas le temps.

Chez des personnes sensibles, les effets peuvent être surprenants. Quelqu'un qui pisse 2 à 3 fois par nuit me dit avoir pissé 4 fois après la prise d'une seule gélule. En revanche il a dormi, et s'est rendormi, comme un loir. Je lui ai envoyé des échantillons de 3 complexes, dont 2 ayurvédiques. Cet ami est hypersensible : dans certains cas il a du, pour l'homéopathie, se limiter à 1 granule collé avec un sparadrap sur les veines proche de la pliure du poignet. Sinon la réaction est trop vive... C'est un cas vraiment particulier "non transposable".

La pharmacie de la croix Blanche, que je n'avais pas prévenue m'a remercié en ces termes :

Bonjour,

J’ai bien aimé votre article sur l’organe prostate, en effet, l’activité de notre formule est dose dépendante.
Je vous signale que pour limiter l’hypertrophie un des produits que nous considérons comme incontournable, c’est le Lycopène.
Là encore des résultats sont confortés pour des dosages de 50 mg, 40 mg, 30 mg à 20 mg par jour.
Toujours prendre une collation grasse (Huile de Colza ou Noix) avec le Lycopène, en effet, comme tout Caroténoïde naturel, son assimilation est optimisée avec des corps gras.

Je vous joins une fiche en pièce jointe.

Bien à vous

Christian Richard

Je me doute que je ne risquais pas de contrarier ces pharmaciens. J'ai ajouté quelques remarques à la fiche. Je n'ai pas essayé la phosphatidylsérine proposée (mémoire), je sais qu'il s'agit d'une fabrication assez particulière.

Pour les autres éléments, un certain nombre se trouvent dans les multivitamines (sélénium, zinc et all). Le lycopène je n'ai pas essayé. Il y en a dans les tomates surtout cuites (risque d'acidité), pour les autres nutriments c'est à vous de voir si c'est plus avantageux chez iherb, ce que je peux dire c'est que je n'y ai pas trouvé un complexe prostate rassemblant toutes les plantes classiques en la matière que propose la pharmacie dijonnaise. On y retrouve des éléments inséparables des multivitamines qui auraient pu laisser la place à des candidats plus spécifiques.

Concevoir une "ordonnance complémentaire" cohérente est souvent un casse-tête. En France la tendance à fractionner les apports complique les choses d'une autre manière avec en plus la difficulté de trouver un rapport quantité/prix intéressants. Cela dit, contextuellement parlant, la pharmacie considérée me semble assez bien placée.

Il faut encore insister sur le fait qu'en raison de la présence de nombreux composants dans les gélules prostate, il ne faut pas avoir peur de prendre 6 gélules jours, voir le double, en 3 fois. Au moins au début...

Prostate, une observation personnelle

Adenome-prostate.jpgA plus de 70 ans c'est pour ainsi dire normal d'avoir des problèmes de prostate... Le Permixon et le Tadenan fonctionnaient très bien et sont remboursés mais je les ai largués à cause de la présence de dioxyde de titane...

Quelle besoin de foutre ce genre de saloperie dans des médocs. Je ne parle pas de l'aspartame ou de la saccharose, il y en a partout !

Je ne devais me lever qu'une fois vers 2 heures du mat. J'en connais qui se lèvent 3 à 6 fois... Pas dramatique mais c'était encore trop avec surtout les envies impérieuses quand on est occupé, c'est trop tyrannique.

Il me restais deux boîtes d'un complexe en gélules composé par la Pharmacie de la Croix Blanche à Dijon. A la première utilisation, je n'ai rien noté de spécial mais depuis le phénomène des mictions impérieuses s'est ajouté au tableau.

La première fois j'ai repris 6 gélules le soir, l'effet à été immédiat, pas d'interruption de sommeil jusqu'à 7 ou 8 heures, parfois 9 heures. Et plus de facilité à pisser et plus ces envies casse couilles...

Pour une fois, je peux vous inviter à acheter français ! Ce complexe comprend toutes les plantes traditionnellement utilisées pour l'organe mâle par excellence, simple remarque : je ferais des boites de 200 gélules un peu moins cher... Certains patients peuvent sans doute s'en tirer avec moins de 6 gélules mais vu le nombre de composants ça me paraît un minimum.

La liste comprendre l'oignon et pallie à la disparition d'un vieux médicament qui comprenait un extrait mou de ce bulbe et dont le nom m'échappe pour l'instant. Il est conseillé de consommer au moins la moitié d'un gros oignon dans une salade par jour ses vertus sont connues dans le domaines qui nous occupe présentement.

Ne pas oublier l'huile de graine de courge de Styrie en Autriche à utiliser notamment dans les salades.

Cialis ou Urotec ?

Mon médecin m'avait ordonné l'Urotec après que je lui ai fait par de mes réticences pour certaines classes de médoc à visée prostatique. Quand j'ai vu la notice, j'ai préféré renoncer.

J'ai consulté mon pharmacien qui m'a proposé le Cialis (le petit cousin du Viagra) mais ça va chercher du 60 € par mois avec le risque d'être plus ou moins emmerdé par sa libido. Elle me laisse en paix et ne se manifeste que sporadiquement car j'ai l'esprit trop occupé à des choses sérieuses et c'est bien ainsi. Le Cialis c'est chimique alors basta. J'ai conclu que le pharmacien avait pris en considération la possibilité d'une rente régulière...

A propos d'une infection urinaire récalcitrante à l'argent colloïdal

Un proche souffre de gros calculs logés dans la vessie. Le problème est qu'ils rapent les parois de ce réservoir d'où saignements parfois visibles lorsque l'intéressé s'agite soit en se pliant pour travailler dans le jardin soit en prenant sa moto.

La cure de citrate de potassium en remontant de PH des urines a du empêcher la cristallisation de l'urine en contribuant à adoucir les parois des calculs qui se sont avérés uriques (rougeâtres et d'apparence lisses, un peu comme des lentilles).

Il a repris cette pratique sauf qu'une infection à Enterococus Faecalis semblent contribuer à plutôt basifier les urines d'où la nécessité de redescendre le pH avec de la vitamine C d'où un emploi limité du citrate, pas très gastronomique...

Ne voulant pas recourir à la Furadantine, l'antibiotique prescrit sur la base de l'antibiogramme, la personne concernée à recouru à l'argent colloïdal ionique obtenu par voie électrique, d'abord en 15 ppm avec pour résultat de seulement diviser par deux le nombre de bactéries. Ensuite l'argent réellement colloïdal (Collargol à 100 ppm) a été utilisé avec cette fois un résultat totalement négatif.

Conclusion sur l'alternative argent colloïdal versus antibiotiques

C'est l'occasion de souligner que l'argent colloïdal par voie interne n'est pas une panacée !

Que d'autre part, il y a sans doute là un facteur limitant. A savoir que les calculs et le sable constituent des sortes de HLMs pour les bactéries. Les ECBU ont été pratiquées sans délai au terme d'une cure d'au moins deux ou trois semaines.

Autre choses les bactéries n'ont été incommodées qu'avec l'argent ionique, le Collargol les laissant totalement indifférentes, ce qui pose un autre problème.

Toutes la question est de savoir si le même facteur limitant ne risque pas de s'appliquer aux antibiotiques. A ma connaissance, personne n'a de réponse à la question et les médecins, pour se couvrir, incitent à prendre l'antibiotique. L'intéressé a jugé qu'en l'absence de fièvre et de douleurs, il est préférable de laisser les choses en l'état.

Chancapiedra alias Phyllantus Niruri pour les calculs et Cie

cancapiedra.jpgSur mon conseil le patient "calculateur" a essayé le Chancapiedra en gélules d'extrait. 8 à 12 gélules par jour au début en plusieurs fois, ensuite diminuer.

Si vous commandez sur iherb choisir DHL Global mail icone rouge pour ne pas être taxé (risque à l'approche des fêtes).

Cette plante utilisée en Amérique du Sud et dans la médecine ayurvédique aide à la gestion de l'acide urique et à la réputation d'aider à l'élimination des calculs. C'est le président de l'association Cancer et métabolisme qui a attiré mon attention sur cette plante. sa femme avait bénéficié de cette plante un urologue ayant constaté la fuite d'environ la moitié des calculs qui étaient présents.

Cette plante, je la connaissais mais n'avait pas percuté sur le volet calculs. Elle aurait d'autres vertus intéressantes (cholestérol, diabète).

Quoiqu'il en soit la personne concernée à assisté à la disparition des urines troubles et noirâtres. Pour les calculs, il n'a rien vu passer mais l'absence de sang visible et la disparition d'une gêne sensible (elle sentait ses calculs) constitue une amélioration non discutable. 

Un observation anecdotique : le produit a été testé en radiesthésie et par le test musculaire utilisé en kinésiologie avec le simple non du remède.

Le test était positif avec Chancapiedra et pas avec Phyllantus Niruri, or c'est pourtant la même chose !

Sans doute parce que "Chancapiedra" c'ets plus "ésotérique" que Phyllanthus Niruri.

Mais si vous tenez au Chancapiedra prenez cette option mais faudra peut-être mettre ça dans du porto car c'est très amer. 

Notez que vous pouvez faire cet extrait vous même ou confectionner des gélules avec cette poudre à décocter plusieurs jours dans 150 à 200 ml d'alcool ou d'un mélange en parts égales d'eau, de glycérine et d'alcool. J'ai essayé sur une autre teinture de faire évaporer l'alcool dans une casserole au bain marie mais ça ne va pas vite. Je conseille donc la fabrication de grosses gélules.

"Manuel de survie du Lymé" - Le point sur la maladie de Lyme (et son commerce)

Borrelia.jpgCe Manuel, n'a pas été rédigé par un médecin comme indiqué à l'endroit où j'ai dégoté une version antérieure à la 3.1. Son auteur n'est pas un médecin mais un microbiologiste désirant conserver l'anonymat. Ce manuel est incontournable. La version antérieure m'avait laissé sur une impression de densité un peu confuse mais cette impression a changé. Sans doute plus à cause du fait qu'entre temps j'ai mieux assimilé certaines informations plus que par le fait que la mise en page et la rédaction aurait considérablement &évolué.

Après avoir imprimé cette nouvelle version, j'ai pratiqué un inventaire des principaux sites spécialisé et ait imprimé pas loin d'une ramette de feuille A4, en classant mes trouvailles méthodiquement et en reliant le tout. Or je m'aperçois que certaines réponses ou compléments que j'avais cherché ailleurs sont plus ou moins superflu. Ce manuel est un travail de "pro" ce qui n'est pas le cas de le plupart des sites inventoriés dans le cours de cette note.

Il manque deux choses pour disposer d'une documentation complète sur le sujet. A savoir :

1) Un petit traité d'observations microscopique du sang frais avec la méthode et des photographies éloquentes car ce type d'observation va plus loin que la mise en évidence des borrelias et des co-infections.

2) Le Dr Cornette de Saint Cyr s'est attaché à l'évaluation du système immunitaire (typage HLA et typage lymphocytaire), il a publié un texte sur le sujet mais il est insuffisant, il faut le développer et pourrait faire l'objet d'un livre ou d'un Ebook.

La relecture en cours m'a inspiré quelques remarques que j'ai communiquée à l'auteur portant sur divers points : historiques, épidémiologiques, rôle de de l'ILADS et de l'IDSA, zapper de Clark, précisions au sujet des examens biologiques à envisager (cotation ou hors nomenclature, RMO éventuelles) etc... Mais rien qui puisse modifier cette somme d'informations unique en son genre.

Télécharger la dernière version du "Manuel de survie du Lymé" version 3.1 qui vient de m'être communiquée à l'instant même (25/02 à 10 h 30).

L'auteur me précise ceci : je n'utilise pas le fond noir, trop imprécis pour pouvoir identifier les bactéries, caractériser le système immunitaire et le pH sanguin, et révéler les bactéries intra-erythrocytaires, mais plutôt un simili-fond noir avec condenseur d'Abbe modifié + un réactif spécial (explications dans la nouvelle version jointe).

Il me demande également d'ajouter ceci, de cela j'en suis parfaitement conscient et cela devrait ressortir de post antérieur mais ce sont des faits qu'il est bon de rappeler :

2/ mentionner si vous souhaitez être plus précis que le problème dans la détection de cette maladie en France est l'utilisation obligatoire en première intention du test Elisa, qui est très peu performant (explications dans le Manuel) et seulement s'il est positif, de confirmer par un Western Blot plus performant au lieu de faire l'inverse: on marche sur la tête, ou bien il y a une volonté délibérée de limiter les diagnostics. Je vous laisse investiguer sur à qui profite le crime.

Dieu merci, la chose commence à se savoir et n'est pas douteuse.

3/ mentionner aussi la non reconnaissance de la maladie de Lyme sous sa forme chronique, une spécificité française qui crée une quantité énorme de faux diagnostics et de malades en errance médicale, traités pour des maladies qu'ils n'ont pas avec des médicaments inadaptés qui bien souvent aggravent les pathologies...

4/ pour finir, la Borrelia n'est pas l'agent causal de la maladie de Lyme. Il y a une synergie avec des co-infections non seulement fongiques, bactériennes ou à protozoaires, mais aussi à virus et rétrovirus encapsulés dans les bactéries. C'est pourquoi les traitements à base d'antiviraux et anti-rétroviraux (comme le NTZ auquel j'ai consacré un chapitre) associés à de la naturothérapie (pour lutter contre fungus, acidité, et perméabilité intestinale) sont les traitements qui mènent à la guérison là où les antibiotiques n'apportent que des rémissions. 

Je dirais plutôt que la borrelia n'est pas le seul agent causal de ce que le grand public connaît sous l'appellation de "maladie de Lyme" appellation tout aussi impropre que "borreliose", car historiquement la maladie de Lyme à partie liée avec une ville américaine proche d'une ile nommée Plum Islande, Le n° 114 de Nexus, actuellement diffusé, est revenu sur le sujet.

J'ai à ce sujet des réserves à faire car si des expériences du type guerre biologique ont été menée sur cette ile dans une perspective de "guerre froide" la répartition mondiale du problème sanitaire qui nous occupe n'a pas pour source Plum Island. Il est donc à mon avis assez tendancieux de vouloir faire intervenir une perspective à base de "théorie du complot". En d'autres termes, le fait que les tiques et autres insectes puissent héberger des passagers clandestins et les disséminer ne date pas des années 50 !

Pour ce qui concerne notre problème au plan pratique Nexus y consacre une page juste pour dire comment retirer la tique quand on a été piqué. Et que l'on s'en est aperçu... Je vous engage à faire l'économie de ce numéro du moins à propos du sujet qui nous occupe. 

Le diagnostic par la "goutte épaisse"

validity of microscopy.jpg

http://www.cdc.gov/relapsing-fever/clinicians/index.html

La version actuelle du manuel comporte davantage de renseignements sur la pratique de la goutte épaisse. Ci-dessus, le lien vers la page du CDC qui reconnait l'orthodoxie de cette pratique. Un essai à été fait dans l'entourage de Pr Peronne, on aurait visualisé ce qui ressemble à des borrelias non seulement chez des lymés mais également chez des personnes en bonne santé.

Le problème est qu'on ne s'est jamais préoccupé du pourquoi de la présence de ce genre de "bestioles", qualifiées abusivement d'artefacts dans la littérature locale, car cette présence est inquiétante. Ce manque de curiosité l'est également. Il devrait scandaliser les gens car ces choses s'agitent et l'on est en droit de savoir ce dont il s'agit. Ce sont bien des organismes vivants !

Mais non circulez il n'y a rien à voir.

C'est vite dit ! En faisant des recherches je constate que cette vieille technique est utilisée pour le diagnostic du palu.

L'auteur du manuel déclare que la méthode d'observation microscopique aurait été validée aux USA par le CDC en 2016.  L'image utilisée en tête d'article provient de cet organisme. Ce qui frappe une fois de plus c'est le déni systématique de cette possibilité côté français. Voir :

https://phil.cdc.gov/Details.aspx?pid=20517

J'invite les lecteurs-trices qui auraient des informations ou qui pratiquerait cette technique à se rapprocher de votre serviteur, j'aimerais bien faire le point à ce sujet.

A propos de la goutte épaisse, on m'a signalé l'intérêt du Dr Cornette de Saint Cyr (Yves l'ancien, pas celui qui pratique la chirurgie esthétique) pour le sujet. Il soigne des lymés en pratiquant des honoraires très modestes, alors qu'il a largement dépassé l'âge de la retraite. Voir :

https://www.facebook.com/pg/Association-Espoir-Arradon-13...

Concernant son apport sur le plan immunologique voir ce discours.

A ce propos je note que les conférences sont utiles pour informer les médecins qui viennent incognito. Sauf qu'il y a deux obstacles à la multiplication des "Dr Cornette", savoir le manque de temps pour approfondir le sujet et surtout la TERREUR d'un contrôle de l'Assurance Maladie !

Je dois vous avouer que je n'ai rien tiré de cette vidéo car je n'ai pas eu le courage de persévérer. J'ai engagé la présidente de l'association à convaincre le médecin concerné de publier ses observations sous forme d'Ebook avec photos.

Le livre reste le seul moyen de faire circuler les connaissances acquises d'une manière durable.

A propos des sites consacrés à la maladie de Lyme

Réseau Borréliose est un gros bordel. Je maintiens mon jugement. Même pour suivre l'actualité du sujet c'est la galère à moins qu'il n'existe une possibilité d'être noyé sous des news plus ou moins inconsistantes.

France Lyme est utile pour suivre l'actualité du sujet en ce qui concerne le problème de sa reconnaissance, c'est utile côté militantisme mais totalement insignifiant côté thérapeutique. Il a un côté touffu assez déplaisant.

Mieux vaut, pour une première information http://www.sos-lyme.com : les textes documentaires sont remarquables par leur caractère synthétique et suffisnats dans certaines cas.

http://www.associationlymesansfrontieres.com/ pour les questions d'actualité surtout avec quelques textes technique (ex: bactériophages).

Son questionnaire statistique avec cases à cocher est très bien conçu quand à la probabilité d'être infecté.

Reste Lyme Vérité SantéJe n'ai guère l'habitude de faire des compliments mais sur le plan "technique" c'est, à ma connaissance une des sources d'informations les plus intéressantes. Mais le manuel entre dans des détails qui ne sont pas traités sur ce site notamment à propos des combinaisons d'antibiotiques en fonction des co-infections.

En revanche, si son webmestre travaillait pour mon compte, je le licencierais avec perte et fracas ! En effet, de plus en plus de sites font en sortes que les pages s'impriment mal mais là c'est pire.

Quelque soit le navigateur et le procédé employé certaines pas sont impossibles à imprimer, la manoeuvre renvoit à la page d'introduction ! Il faut s'astreindre à faire un copié collé dans Word et refaire toute la mise en page, c'est une HORREUR ! Est ce volontaire ? Non c'est visiblement de l'incompétence.

Dans le meilleur des cas plusieurs pages sont chaînées entre elles de façon bizarre. Et si bénévolat il y a, il a des limites et la plupart des produits de publication proposés "clefs en mains" sont hélas très mal foutus... Enfin si on ne peut pas imprimer des pages aussi denses pour les étudier en position relax, ça limite considérablement leur intérêt !

Un autre défaut, outre le manque de "contact" c'est le un défaut rédactionnel. Qui veut trop prouver par l'accumulation de liens finit par risquer d'assommer le lecteur. Il faut bénéficier dans grand discernement préalable pour choisir parmi la multitude de liens. Et certains pages pourraient être résumées. Sur les 2 sérologies des borrelias par exemple.

Risque de "noyade" dans les protocoles de traitement qui fleurissent de par le vaste monde

Ce site met bien l'accès sur l'intrication avec toutes sortes de co-infections. Je ne suis pas sûr qu'il ait recensé avec précision tous les examens biologiques à tenter et la manière de les prescrire mais c'est une mine de renseignements. Je ferai toutefois une réserve, la volonté de recenser toutes les protocoles existants de façon aussi exhaustive que possible, avec toutes propositions de compléments alternatives risque de noyer des patients lambda mais une personne comme votre serviteur, ce serait un outil précieux s'il voulait s'engager dans la voie de la thérapie.

Une "maladie passionnante"

Façon de parler, évidemment...

Le sujet me passionne du fait qu'il demande une "culture biologique" extrêmement large puisque la maladie dite "de Lyme" rassemble plusieurs pathologies parmi celles que l'on qualifie d'émergentes. Or, elles sont généralement envisagées de manière isolée.

Mais je ne me lancerai pas dans la thérapie, je suis trop loin des grands axes routiers et ferroviaires pour recevoir une clientèle bien que l'on me dise que des gens font des centaines de kilomètres pour assister à certaines conférences.

Par correspondance, même avec une webcam, le grand obstacle c'est que les lymés passent le plus clair de leur temps allongés, il est souvent très difficile de seulement les inciter à se faire prescrire les contrôles nécessaires. Alors quand on n'est pas médecin et que l'on ne peut pas délivrer d'ordonnance, c'est "mission impossible".

Je suis donc parfaitement conscient que beaucoup de "lymés" risquent de se noyer dans la doc que je répercute et les médecins généralistes ne sont pas mieux lotis car il faut investir du temps pour étudier tout cela. Bref, on n'est pas sorti de l'auberge...

Floraison de bouquins de valeur inégale

Je viens de prendre conscience que la maladie dite de Lyme est une affaire fructueuse pour des auteurs en mal de reconnaissance, sans parler des éditeurs

Je suis en train de rassembler la documentation disponible et il est sans doute possible de synthétiser tout cela. Notez en passant que les livres des gens qui racontent leur calvaire sont, sur le plan thérapeutique excessivement limités, suivez mon regard.

Je pense à une ancienne hôtesse de l'air devenue naturopathe (Judith Albertat). Il faut être clair, la naturopathie ne peut pas suffire quoique je connaisse un naturo qui a des résultats avec des protocoles du Spooky 2 et l'argent colloïdal.

Je trouve qu'il y a là une certaine immoralité à faire payer les gens pour si peu. Quand on désire se confesser ou raconter sa vie, Internet permet de le faire sans frais pour tout le monde !

Un certain jean-Patrick Bonnardel qui se présente comme un martyre de Lyme (ce l'on ignorait jusqu'à présent et qui n'apparait pas dans ces bouquins (discutables) sur l'argent colloïdal et le silicium) a profité du filon pour drainer une clientèle potentielle vers sa boutique.

Finalement le Manuel de survie des lymés est incontournable

J'ai cru devoir faire un tour des sites sur la maladie de Lyme, tour en fait assez limité, mais il s'avère que le manuel est assez complet et on devrait commencer par ce texte.

L'enfer, surtout démocratique, est toujours pavé de "bonnes intentions"

Enfin côté moteurs de recherche, je constate que le succès de la crise sanitaire dont on parle ramène des cargaisons de pages insignifiantes quand par exemple on veut "faire le point"... C'est la désinformation par la noyade dans les bavardages du vulgum pecus. Le problème étant qu'il n'y a de certitude que pour l'enfer terrestre qui comporte un niveau de plus en plus peuplé de "lymés" de tous âges.

On notera, en ce qui concerne le consensus de 2006, que s'il ne semble pas y avoir de grosses difficultés à financer des traitements anticancéreux dit de pointe connus pour être à la fois ruineux et inefficaces, l'Assurance Maladie serre les cordons de sa bourse pour les victimes des tiques et autres petites cochonneries volantes. Le comparaison pose question et la réponse n'est pas douteuse. Il est bien connu que le cancer nourrit plus de gens qu'il n'en tue, on le sait depuis un certain Lumière. Mais point n'était besoin d'un nom prédestiné pour piger...