26/02/2012 | Lien permanent
Tout savoir sur l'argent colloïdal : un nouveau livre qui devrait faire date !
Un nouveau livre vient de paraître au éditions Ambre intitulé Tout savoir sur l'argent colloïdal, histoire, techniques de fabrication, produits existants, mode d'emploi et indications précises dont voici la table des matières détaillée :
http://www.editions-ambre.fr/DocumentationPDF/TableDesMat...
Le détail de cette table me dispense d'insister longuement sur le caractère exhaustif de ce livre et en le comparant aux deux autres livres présents sur le marché vous pourrez constater que ces derniers ne peuvent que faire pâle figure auprès du nouveau venu. L'auteur, vous pouvez le constater, un certain Jean Silberman, a tenu à se soustraire à la curiosité publique et ce choix est un clin d'oeil à l'adresse d'un certain Franck Goldmann.
Ce livre trouvera t-il son public ?
Toute la question reste de savoir si cet ouvrage, techniquement très fouillé mais accessible à un large public et surtout peu coûteux (14,90 €) va contribuer à enrichir son auteur ou même seulement a arrondir un peu ses fins de mois. Rien n'est moins sûr ! Le choix d'un patronyme plutôt germanisant (à un "n" près) comporte une autre signification quelque peu ésotérique mais peu importe.
Le hit parade des ouvrages devenus "concurrents"
Amazon, qui draîne environ 45% des ventes de livres permet de situer le niveau des ventes d'un livres. Des merdes infâmes comme Central Park d'un certain Guillaume Musso est au 169ème rand des ventes. Le livre de Jean Perros (L'argent colloïdal un remède en or) est au 5 907 ème rang. Un très bon score pour ce type de livre. Celui de l'ex pharmacien Bonnardel est au 34 400 ème rang. Or un ouvrage capital comme l'une des éditions du répertoire homéopathique de Kent traîne au 239 536 ème rang.
A propos d'un livre assez comparable sur le "silicium organique"
Silberman et moi-même avons le même éditeur. Mon livre intitulé Loïc le Ribault et le G5, l'aventure du silicium organique n'a jamais décollé. C'est pourtant un livre passionnant à lire, ne serait en tant qu'enquête policière fouillée. La personnalité de Loïc le Ribault en tant qu'étant celui qui a popularisé l'usage du silicium dit "organique", constitue en soi le démontage d'une personnalité hautement charlatanesque.
Je rappelle ma position sur ce silicium, Norbert Dufaut, son inventeur, n'a aucunement profité de son labeur et a fini par se suicider après avoir constaté qu'un laboratoire monégasque à tiré beaucoup d'argent de ses brevets tandis qu'il n'a fait que végéter. Le silicium organique sous forme de gel fait merveille en général pour calmer certains types de douleurs articulaires notamment. Là où je réside une dizaine de personnes environ l'on essayé et s'en sont bien porté. Mais comme je me refuse à raconter des histoires et que je précise que si ça soulage momentanément, ça ne guérit rien du tout et comme il faut appliquer le produit au moins trois fois par jour, il vous faut comprendre que c'est encore trop compliqué pour qu'un tel produit devienne populaire. C'est bien insuffisant pour que l'on me fasse une réputation de "sorcier". Il n'y a donc qu'une demi douzaine de personne qui savent que j'ai consacré une pièce à une sorte de petit labo où je fais en particulier les gélules que je consomme.
Rappel sur les vertus réelles du "silicium organique"
Donc le gel marche assez bien, j'estime les résultats positifs à environ 8 applications avec effet positif sur 10. Quand certaines personnes en parlent à leur médecin ou rhumatologue, ils admettent que oui cela soulage et souvent bien plus efficacement que le Flector et autres pommades anti-inflammatoires. Un exemple : samedi dernier je rencontre à l'église du coin une dame connu comme étant une bonne chanteuse dans un groupe folklorique locale. Elle se plaignait de ses genoux que rien ne soulageait. Je lui donne un pot de 100 ml et le lendemain je la vois trotter apparemment sans trop de gêne et elle me glisse au passage que oui ça l'a soulagée.
En revanche, j'ai dit et je répète que je n'ai jamais pu noter moi-même de résultats flagrants chez des personnes ayant consommé le fameux silicium irlandais fabriqué par l'ex amant de Loïc le Ribault, un prétendu préparateur en pharmacie d'origine bordelaise. J'ai quand même disposé d'un poste d'observation où l'on rencontre une clientèle ayant tendance à préférer le recours à des médecines dites alternatives. Je parle d'une certaine librairie ésotérique tenue jadis par un ami de longue date. Et bien quand mon livre est paru, j'ai vu une dame qui jusqu'alors avait eu un comportement normal et même positif à mon égard vouloir m'arracher littéralement les yeux.
Ce retournement, complètement irrationnel, m'a donné à réfléchir et m'a démontré qu'à partir du moment où l'on prend le parti de casser les illusions des gens à l'égard de certaines pseudo panacées, on devient, sauf pour quelques rarissimes individus, l'homme à abattre. Je ne peux pas dire que le silicium buvable que l'on vend soit franchement nocif mais en ce qui me concerne je n'ai pas pu relever de cas où une action franchement positive était à noter. En revanche, j'ai dit car c'est la vérité, qu'en ayant usé pendant plusieurs mois mes ongles sont devenus cassants. Je n'ai pas de preuve qu'il existe une connexion entre ce phénomène et le silicium mais c'est une raison de plus de douter qu'il mérite le prix prohibitif auquel est vendu le litre.
Je rappelle que ce silicium c'est 3 fois rien, soit 1 à 2 ml de métylsiliconate de potassium dans de l'eau distillée ou faiblement minéralisée dont on corrige le pH excessivement basique en le faisant descendre entre 6 et 6,5 environ avec soit de l'acide phosphorique soit de l'acide citrique que pour ma part de trouve préférable. Je rappelle également que le produit de base est un produit industriel se vendant par 25 kg et qui sert à imperméabiliser par injection les maçonneries. Par chance, le procédé de distillation très pointu requérant de hautes cheminées le met en principe à l'abri d'une pollution par les métaux lourds. Mais ce n'est pas un produit pharmaceutique à proprement parler. Aussi les fabriquant se sont engouffrés dans le créneau des "cosmétiques" pour vendre à prix d'or ces produits qui ne coûtent rien à fabriquer.
Où il ressort que "Le Ribault" portait bien son nom
Le mot plus répandu dans son acception féminine de "ribaude" désigne ce que l'on appelle pudiquement une "femme de mauvaise vie" sans qu'il s'agisse nécessairement due "pute" agissant à titre professionnel. Il laissait augurer la découverte de traits quelque peu fâcheux...
Alors évidemment, dans mon livre je dis tout absolument tout ce que j'ai pu apprendre sur Loïc le Ribault. Outre ce que j'avais déduit par moi-même en analysant ses propres dires, j'ai fini par entrer en contact avec une dame qui fut le principal artisan de la diffusion aux temps héroïques de son silicium. Or il se trouve que Loïc le Ribault ne fut point un individu ordinaire. Exemple: en enquêtant sur son décès je découvre subitement qu'une certaine doctoresse s'est subitement opposée à la femme qui s'était propulsée comme ancienne concubine de Le Ribault au motif qu'elle n'avait rien à faire dans l'histoire attendu que le Ribault était censé avoir été "homo".
Tous les "homos" ne sont pas portés à la ribauderie mais ayant questionné la "première attachée" commerciale du personnage, j'ai appris qu'après avoir loué tel hôtel pour ses ventes il passait de joyeuses nuits avec des jeunes qu'un complice lui procurait. Bof ce n'est pas le problème sauf je déplore que ceux qui manquent de mesure font du tort à leur "confrérie" et je n'ai guère de sympathie pour ce gens là, à plus fortes raisons quand par ailleurs ce ne sont que de vulgaires manipulateurs et dans ce domaine, le Ribault qui, en raison de ses études littéraires d'abord savait manier correctement le français n'a éprouvé aucune difficulté pour corriger celui, très déficient, de ses concurrents. Et il en a beaucoup imposé rien qu'à cet égard, tandis que sur un plan scientifique il est, je le rappelle, parvenu à persuader le monde qu'il faisait travailler des bactéries sur du sable de mer pour fabriquer sont produit miracle. Des imbéciles croient encore à cette fable après tout ce que j'ai écrit et tant de crédulité est chose vraiment accablante...
Bien évidemment, j'ai tiré sur le fil et j'ai trouvé diverses confirmations de l'hypothèse énoncée, laquelle hypothèse explique certains traits mythomaniaques et les bobards qui en été répandus par mon héros. Soit dit en passant, Le Ribault s'est abouché avec un ex Golden Boy (d'origine populaire comme lui-même) qui fut le héros des nuits gays parisiennes et a fini par mourir du Sida après avoir mené la grande vie dans une magnifique villa d'une ile ou d'une côte sous juridiction espagnole. Pardonnez moi le nom de cette espèce de succursale méditerranéenne de l'enfer de Dante m'échappe, sans doute faudrait-il que je prenne une dose de Luesinum pour que la mémoire me revienne mais ça n'a jamais marché...
La mémoire me revient subitement c'est Sitgès ! Un spécialiste français de la médecine traditionnelle chinoise y a établi son quartier général ce qui ne laisse aucun doute sur ses penchants.
A propos des relations de Le Ribault avec la Gendarmerie française
Peu importe, ce n'est pas là le problème, ce que je veux dire c'est que rien, absolument rien ne m'a échappé en ce qui concerne tous les tenants et aboutissants de l'aventure de Loïc le Ribault. Et il va de soi que ce qui fut répréhensible de sa part, ce ne sont pas ses goûts sexuels mais ses démêlés avec la Gendarmerie française. A ce propos la revue la plus emblématique de ce corps militaire a reçu un service de presse et nous n'en avons jamais eu aucune nouvelle.
Or j'estime avoir très objectivement percé à jour le jeu de Le Ribault en tant qu'expert et j'ai parlé de son rôle trouble dans une affaire criminelle mettant en cause un prédateur sexuel ayant eu pour théâtre un certain camp militaire champenois (Mourmelon) et il se trouve que je connais bien le secteur et que j'ai eu l'occasion de faire la connaissance d'un médecin de ce village paumé. Les préférences de Le Ribault ont malheureusement influé sur le contenu de ses expertises dans ladite affaire. Le Ribault prétendait avoir été à l'origine du développement d'un certain secteur de la police scientifique aussi ai-je montré qu'après avoir abusé de sa position dominante à ses débuts, il devait, après s'être mêlé de certaines affaires d'Etat, et notamment d'une certaine affaire toulonnaise, s'attendre à connaître les pires ennuis et notamment à ce qu'étant été plus ou moins acculé à la faillite une partie de ses installations encouraient le risque d'être rachetées à vil prix par la ... Gendarmerie Nationale.
Pourquoi cette dernière s'est elle abstenue du moindre compte-rendu même discret autour de mon livre. Mon analyse a mis les torts du côté de Le Ribault. Signaler ce livre aux esprits curieux sans s'étendre démesurément sur certains arrières plans aurait sans doute intéressé la profession en persuadant ses membres que ce qui est arrivé à Le Ribault il ne l'avait point volé. Mais non rien du tout !
Pour en revenir à des lecteurs plus ordinaires, il y a tout dans ce livre qu'il s'agisse des aspects techniques du problèmes ou des arrières plans que l'on peut, au moins d'un certain point de vue, considérer comme relativement anecdotiques. Mais quoiqu'il en soit j'ai estimé qu'il fallait absolument tout dire. Une analyse aussi fouillée devrait normalement intéresser un aspect large public et bien non c'est comme s'il était demeuré invisible. Il me faudrait sans doute publier quelques extraits sous la forme de "bonne feuilles" pour faire en sorte qu'il trouve son public.
Parenthèse sur divers projets éditoriaux
J'en viens à présent à ce qui était l'objectif de mon propos : j'ai proposé à mon éditeur plusieurs sujets, à savoir par exemple un résumé de tout ce qu'il faut savoir à propos d'hypothyrioïdie et en particulier concernant ce qu'un médecin américain a baptisé "hypothyroïdisme de type II" et qui concerne un phénomène analogue, mutatis mutandi, à ce que l'on appelle résistance à l'insuline ou "prédiabète". J'ai proposé un livre sur les moyens naturels de traiter le diabète de type II.
Il existe un ouvrage américain fort documenté sur le sujet mais qui se vend très cher. J'ai fait acheter par un correspondant français et ami vivant au USA l'un des rares exemplaires vendus d'occasion pour environ 50 $, j'ai proposé différents types de dictionnaires notamment des compléments alimentaires. Il n'existe pas un seule livre synthétique et à jour dans ce domaine. L'information existe mais il faut la rassembler et surtout en résumer l'essentiel d'une façon pédagogique. Un blog ne se prête pas du tout à une telle entreprise. Vous ne pouvez, à moins de vouloir travailler pour le Roi de Prusse, que de vous limiter à des aperçus. Seul un livre sous forme de dictionnaires d'où serait exempt toute espèce de préoccupations mercantile pourrait combler le vide existant.
Mon éditeur, avec lequel j'ai des rapports très cordiaux et il a quand même fait plusieurs centaines de km pour venir me rendre visite, à décliné l'offre. Je ne peux pas lui en vouloir, l'édition est complètement cloisonnée, où vous avez d'un côté des ouvrages hyper scientifiques et limités à un sujet très précis et de l'autre des livres de vulgarisation de plus en plus inconsistants. Cela fait environ 25 ans que je suivais quasiment mois par mois les publications français dans divers sujets (médecine, ésotérisme, histoire etc...). Un libraire aujourd'hui retraité me passait chaque mois une certaine revue professionnelle et je surlignais les titres intéressants et me débrouillait pour qu'au moins certains se trouvent en rayon, ce qui me permettait de les emprunter et de m'instruire sans bourse déliée. En plus je dirigeais une revue très spécialisée qui me donnait droit à des "services de presse". Il y a une douzaine d'années, j'ai renoncé à pointer les nouvelles parutions tant il est devenu clair que la qualité des ouvrages nouveaux suivaient la pente d'une dégringolade fatale.
Des causes réelles de la déchéance de l'édition française
Il est aisé de comprendre ce phénomène. Quelques diffuseurs rassemblent les nouveautés et en assurent la promotion. Ils imposent aux éditeurs des conditions léonines et tous les avantages sont pour eux. Les éditeurs et les librairies bénéficiaient autrefois d'un tarif postal de faveur dit "tarif livres". Ce tarif n'existe plus, si toutefois il existe encore que pour les envois à l'étranger au motif qu'il faut assurer le rayonnement de la culture française. On est en droit de supporter que les diffuseurs ont usé de leur lobbying pour abolir ce fameux tarif. Les libraires ne peuvent plus commander que par les diffuseurs pour réduire la facture des envois. Seul des livres faciles et susceptible de flatter le goût du public peuvent survivre.
Quand j'entends que l'on plaint les libraires de quartier contre l'emprise d'Amazon, je rigole. Ils ne méritent absolument pas que l'on se soucie de leur sort car il ne font strictement aucune effort pour sélectionner et surtout promouvoir els ouvrages qui en valent la peine. Je prends un exemple précis, la librairie qui a racheté la boutique de l'ami que j'ai évoqué vend pas mal de livres sur la lithothérapie, or il existe un nouveau dictionnaire dont le contenu est sans commune mesure avec celui du célèbre dictionnaire de Boschiero. Ce livre qui résume toutes les sources documentaires accessibles occidentales, ayurvédiques et chinoises devrait constituer la référence et éclipser tous les autres mais il fait environ 500 pages et coûte 48 €, alors la majorité des libraires ne risquent pas de le vendre puisqu'il ne font même pas l'effort d'investir la trentaine d'€uros nécessaires pour le mettre en vitrine.
Une situation édotoriale complètement bloquée
Donc le genre de livre que j'envisage s'expose à être refusé par tous les éditeurs et à partir du moment où il se trouve avoir été publié à compte d'auteur, il se trouve inscrit sur la liste noire des diffuseurs et dans le meilleurs des cas l'éditeur va n'en placer qu'une centaine dont une majorité lui reviendra sous forme de retour. On peut à la rigueur se permettre d'éditer à compte d'auteur un ouvrage capital sur un sujet très spécialisé et s'aboucher avec une librairie internationale spécialisée pour le diffuser et éventuellement partager avec elle les frais d'impression mais pour des livres sur des sujets d'un caractère plus "grand public" c'est peine perdue.
Il faut raison garder : une moyenne de 800 visiteurs/jour d'un blog c'est considérable pour un blog assez spécialisé mais ça n'est pas susceptible d'assurer la promotion d'un ouvrage qui aura nécessité plusieurs mois pour sa rédaction. Le publier sous une forme numérique pose un autre genre de problème car pour éviter le piratage il faut passer par le format Kindle et donc par Amazon. D'une part c'est évidement Amazon et non l'auteur qui va tirer du feu la partie la plus substantielle des "marrons". Enfin et surtout, ce type d'article voit sa diffusion limitée aux utilisateurs de "tablettes". Pour ma part il m'est impossible d'envisager de recourir à ce type de support. Lorsque je dégote un ouvrage intéressant sur Internet, je me trouve contraint de l'imprimer. Heureusement que le toner générique reste abordable et que les imprimantes recto verso le sont également. En revanche, le format A4 n'est pas du tout pratique à archiver, il se gondole, il faut l'empiler à plat...
Le nouveau livre sur l'argent colloïdal : un livre test
Pour en revenir au nouveau livre sur l'argent colloïdal, d'ici environ 6 mois on va voir s'il vaut la peine de se casser le cul
17/02/2016 | Lien permanent
Egocentrisme et quête sujets nouveaux
Cette image représente l'égocentrisme, sans même griffonner un pendentif à l'oreille visible c'est à çà que ressemblent beaucoup de femmes actuelles a commencer par la lectrice dont je vais citer les propos.
J'ai reçu le mail suivant, c'est à peu près la seule réaction négative mis à part celle d'un lecteur belge que j'ai remis à sa place dans un post précédant :
Vous êtes fatigué en cette fin d'année et votre blog ne se renouvelle plus pédé, gay, pédophile plug anal etc..... Y a pas autre chose à écrire sur votre blogspirit pour nous maintenir en bonne santé?
Les pédophiles me font horreur, les PD ne me gênent pas s'ils me laissent tranquille avec mes godemichets, les plug anals m'intéressent.
Bon passons à autre chose
Please
Exégèse
Le sens général du message est clair : tant qu'on répond aux soucis immédiats des lecteurs, on est le meilleur des hommes mais dès qu'on s'en écarte on prend à peine des gants pour vous signifier du mépris.
C'est l'occasion de dire qu'à quelques exceptions près, les femmes il n'y en a que pour leur cul et celle là ose le proclamer. Je lui en laisse la responsabilité. Chacun jugera...
Les "homos" cette femme s'en tape, en fait l'indifférence si elle n'est pas feinte est pire que le mépris. Mais je suppose qu'elle fait semblant. On n'ose plus dire que les pédés font chier, on risque des poursuites. Rien n'est plus terrible pour une femme que de paraître ne pas exister et d'être jugée non sur son physique (ici totalement invisible) mais sur son degré d'intelligence. Mais l'agilité mentale qui en fait de "pirouette" est ici parfaitement nulle n'est rien car ce qui importe c'est l'intelligence du coeur.
Enfin merci quand même...
La question du "renouvellement"
Si je fais le compte de la teneur des mails reçus ou bien j'ai on m'expose des cas de maladies plus ou moins incurables ou des questions insignifiantes. Je pourrais citer des exemples mais je ne veux pas décourager qui que ce soit de m'écrire.
Il va sans dire que quand on me pose un problème qui justifie une note je saisis l'occasion d'aborder un nouveau sujet. Mais la chose arrive de plus en plus rarement et comme je me protège de la déferlante que constitue les actualités, que j'ai une sorte de technique consistant à laisser venir à moi ce dont je dois avoir connaissance sans rien solliciter, il s'ensuit qu'il peut arriver un moment où le type particulier d'information que l'on souhaite se raréfie.
Il se peut que j'ai fait le tour de bien des questions et qu'à moins de résumer certaines, il n'y ait plus grand chose de nouveau à aborder. D'autre part, je crois avoir déjà fait la liste des sujets sur lesquels je n'ai rien de particulier à ajouter. Les vaccinations par exemple, il existe une ligue contre ces saloperies il faut simplement la soutenir et pas seulement quand on a un problème. Quand à critiquer les profils scandaleux de Big Pharma, la cause est entendue. Il est inutile de radoter. Quand aux médocs particulièrement nocifs, il y a des sites pour cela, Prescrire par exemple et pas seulement.
Donc quand au sujet nouveaux je renvoie la balle à la dame, qu'elle fasse un petit effort au lieu de persifler à propos de ma "fatigue"... Enfin je me demande qui n'est pas "fatigué" de la tournure des choses sachant qu'elles vont aller en s'aggravant. Enfin pour ce qu'il en est des sujets qui rebroussent le poil de certain(e)s je rappelle qu'on a la faculté de les ignorer.
Jusqu'à présent c'est moi qui ait pris l'initiative de traiter des sujets originaux comme certaines questions liée à l'homéopathie mais le niveau général étant très bas, je me demande combien de lecteurs ont pu tirer profit de ces mises au point. Enfin cela m'intéressait de les traiter dont je ne me plaint pas.
J'attends pas conséquent que l'on me fournisse l'occasion de "rebondir" mais comme je ne rebondis pas toujours dans le sens souhaité, je comprends fort bien que les candidats désireux de me stimuler y regardent en deux fois. Je demande seulement que l'on ne me tienne pas pour responsable de cette absence de stimulation. Il faut choisir et prendre des risques. Je suis courtois avec les gens qui le sont et impertinent avec ceux qui sont persiflants et qui perdent des occasions de se taire.
Réponse à propos d'un "artisse" qui était visé dans un post privé
A une femme qui prétendait n'avoir rien compris à ce dont il va être question, j'ai répondu que je l'avais désabonnée d'office et qu'elle aurait du le faire elle-même.
Ce mail faisait référence à une news envoyé aux seuls abonnés où je dénonçais l'exposition d'un sapin en forme de plug anal sur la place Vendôme, joint à la commercialisation, à raison de 42 € pièce, des mêmes mais en chocolat par la Monnaie de Paris (oui vous avez bien lu) ainsi qu'à une exposition assez sordide d'un dénommé Mac Carthy où l'on peut voir un gamin sodomisant une bique, des automates hideux faisant subir les derniers outrages à des cochons et une sculpture qui est une incitation à la pédophilie. cette oeuvre représente un individu demi nu revêtu d'un casque tenant une fillette dans s'est bras tandis d'un nain se trémousse sur son zobe. J'aime les plaisanteries mais il faut qu'elles soient de bon goût. Il est navrant de savoir que Président se disant "normal" a donné sa caution à l'artiste en question. Ce genre de provocation purement gratuite n'a pas lieu d'être tout ce qui est hideux devrait être banni de l'espace public et là on a atteint un sommet. Comme il n'est pas indépassable, il faut s'attendre à pire encore...
Ce qui m'étonne dans cette affaire c'est que les curés ne manque pas une occasion d'évoquer dans leurs sermons certaines prétendues atteintes à la famille (entendez le "mariage pour tous") mais n'ont pas eu un seul mot pour flétrir ce genre de manifestation sordide. Il est vrai que c'est chose délicate à dénoncer, cela réclame une certaine habileté dont ils sont incapables. On vous répond qu'en démocratie il faut accepter ce qu'on n'aime pas, on peut désapprouver mais au fond on est tenu de la fermer et surtout de s'abstenir d'agresser d'auteur de toutes ces saletés...
Celui qui a crevé la baudruche a bien fait et le connard qui a du se faire payer très cher pour avoir imaginé ce qu'on pouvait présenter, seulement à des enfants, comme un arbre stylisé peut s'estimer heureux de ne pas s'être fait crever les yeux. Si c'était arrivé je ne l'aurais pas plaint car il n'aurait eu que ce qu'il méritait.
L'attirance et l'horreur sont sœurs jumelles
A lire ma correspondante, on pourrait croire que j'ai fait l'éloge de la "pédophilie" et à propos de son "horreur" j'ai une remarque à faire. L’attirance et l'horreur sont bien sœurs jumelles tout comme la haine n'est jamais que de l'amour contrarié. L'horreur professée à l'égard de la pédophilie, lorsqu'elle vient de mâles qui en font trop est toujours suspecte. Ces gens là me donnent surtout l'impression de désirer faire ce que d'autres osent faire et ne le pouvant pas, ils aspirent à ce que les autres soient sévèrement punis voir tués. Cette "horreur" est tout aussi suspecte que ce que l'on appelle homophobie qui n'est pas de la peur mais le masque d'une jalousie qui se transforme en mépris voir, si les circonstances s'y prêtent en violence voir en meurtre. Oui tout cela n'est que symptôme de désir interdits et de frustration. Il faut le dire et le répéter.
Sur les émotions "réversibles"
En ce qui concerne la "pédophilie" je sais qu'il est dangereux de ne pas manifester son "horreur" sur commande parce qu'il existe une façon beaucoup plus saine d'éviter d'être le jouet d'émotions contradictoires et donc réversibles. Je vais prendre un exemple pour mieux me faire comprendre :
La source de toutes les dépravations comme celle que je viens de dénoncer est un certain marquis qualifié de "divin". Il est inutile de prononcer son nom sachant que ce dernier à servi a définir une forme d'administration de la souffrance assez particulière. Un théologien catholique, que je tiens à d'autres égards pour une vulgaire "crevure" vu qu'il s'est trouvé compromis dans le cadre d'une affaire évoqué dans un autre post et a campé sur un véritable déni, ce personnage a trouvé le mot juste pour définir l'attitude que l'on devrait avoir face à certaines productions pornographiques, c'est l'ennui.
Ma position envers les "pédophiles" consiste à les considérer comme n'étant que des "débiles" mentaux. Ce qui m'étonne c'est que les abus persistent en dépit de la publicité qui leur est faite. Il vaut mieux prévenir que guérir. La seule question que je me pose est celle-ci : comment se fait-il qu'alors qu'une véritable chasse est organisée depuis le milieu des années 90, il puisse y avoir encore autant d'affaires pour défrayer la chronique. Quand j'étais gosse nos parents nous disaient seulement : méfiez vous des adultes trop gentils avec les enfants, ça peut cacher quelque chose ! On n'avait nul besoin de nous faire de dessins. On comprenait bien qu'ils n'allaient pas nous rôtir et nous dévorer tout cru mais comme tout ce qui concernait le sexe était tabou on devinait que l'avertissement devait avoir trait à des histoires de "touche zizi". Alors comme on n'envoyait pas l'intérêt, on fuyait à la moindre alerte. Je me rappelle d'une fête foraine à Sedan où un type entre deux âges a voulu m'offrir des tours de manèges. Peut-être qu'il n'était pas mal intentionné mais je n'ai pas cherché à savoir, ce genre de distraction ne m'a jamais passionné. J'ai toujours été trop excessivement sérieux, le tir à la carabine passe encore mais les chevaux de bois je trouve ça ridicule...
Messages subliminaux
Evidemment je comprends que le fait d'avoir aborder la question de l'homosexualité à plusieurs reprises, ça gêne pour l'excellente raison que ce que j'ai osé écrire est irréfutable et que ce qui est encore plus emmerdant c'est qu'on ne peut me classer ni parmi les gens coincés ni parmi les gens qui professent un libéralisme effréné. Ce qui est encore plus déroutant c'est que cette position apparemment moyenne et d'apparence médiocre n'exclut pas une totale liberté de ton sur des sujets tels que la religion qui montrent que sans éprouver le besoin de prôner le stupre et la démesure, je suis malgré tout affranchi de tous les faux semblants que peuvent encore exister. On craint des gens comme moi, car on ne sait jamais ce qu'il vont sortir de leur chapeau.
Soyez rassurés, je suis probablement unique en mon genre. Peut-être qu'il existe quelque part un sosie ou un double mais je n'ai jamais rencontré qui que ce soit dont la vue ait porté aussi loin. Ce n'est bien évidement pas le seul résultat d'une culture étendue à de multiples domaines. Il y a autre chose, savoir une capacité à faire, par le biais d'une vision symbolique et analogique, des rapprochements inattendus. C'est là un type de fonctionnement mental qui n'est plus à l'ordre du jour mais qui a constitué le fondement d'un système de pensée dont on n'a plus que des vestiges et qui est à la base de toutes les sciences traditionnelles.
Mais pour pouvoir porter ce type de pratique à un certain point d'incandescence, il fallait autre chose. J'ai fourni ailleurs une explication. Qu'il me suffise d'ajouter qu'une partie de ma culture dans le domaine d'un problème de société qui ne cesse de faire recette me vient d'une génération apparue après mai 68 qui ont ouverte de nouvelles pistes de réflexion. Cette génération a été décimée par le Sida et elle est devenue muette. J'ai pu faire le tri et la synthèse de ce qu'elle avait apporté et relier ce qu'elle a comporte de meilleur et de plus véridique. Et je crains qu'il n'y ait personne pour reprendre le flambeau d'où mon souci de laisser quelques "cailloux blancs" comme repères disséminés. Ceux qui doivent les découvrir et en faire leur profit sauront les reconnaître quand à ceux que cela emmerde et bien j'en suis ravi. Cela fait à peine plus d'un demi-millénaire que l'atmosphère est plombée par de fausses problématiques telles les supputations sur une "loi naturelle", il faut que cela change. Si les milieux LGBT ne font pas correctement le boulot qui devrait être le leur et donnent des verges pour se faire battre, il faut que les choses changent.
Il existe bien depuis le XIVème siècle une "hétérocratie" qui est devenue dominante et qui a culminé au siècle bourgeois. Ses excès ont engendré une réplique sous la forme d'un féminisme agressif piloté par des tribades qui aimeraient pouvoir châtrer tous les mâles. J'ose espérer que l'on va passer à autre chose, que les femmes sensées vont finir par se rendre compte qu'elles ont tout à perdre dans cette révolte et que la barbarie qui nous pend au nez si le système monétaire en vigueur se plante sera propice à toutes sortes de règlements de compte dont les Caroles Fourest et ses maudites Femens ont tout à redouter.
Parenthèse astrologique sur l'ère du Verseau
J'ai beaucoup inquiété certains milieux autrefois en publiant, dans les années 80 des spéculations prévisionnelles sur le contenu possible de l'ère du Verseau. Les astrologues s'étaient ingéniés à occulter le caractère homosexuel du mythe pourtant très visible. Très prudemment, j'ai présenté la chose en posant la question de savoir si cela n'allait pas marquer le triomphe d'une inversion généralisée. Il va de soi que si j'entendais flatter un certain public en évoquant à demi-mot le sens sexuel que revêt l'inversion chez Havelock Ellis, il est clair que j'envisageais surtout une acception beaucoup plus symbolique selon laquelle l'erreur tend à devenir vérité. Nous sommes en plein dedans et je vois que Rivarol le 31 janvier de l'an passé repris mot à mot l'expression que j'avais lancée dans dans un sens très exclusif et en ne parlant que de la loi Taubira qui est décidément une obsession bien franco française.
Je ne m'étendrai pas sur ma thèse qui s'enracine à partir de la découverte d'Uranus le 13 mars 1781. En 1790, on voit apparaître un pamphlet intitulé les enfans de Sodome à l'Assemblée Nationale qui anticipe avec une précision extraordinaire le mode de revendication LGBT apparu avec les fameuses "années Sida". Quelques années plus tard les futurs "homos" sont appelés "uranistes" en souvenir de la Vénus uranienne (céleste) qui leur est attribué chez Platon par opposition à la Vénus Pandémos (qui chevauche un bouc) comme divinité d'élection de "hétéros" de l'époque. Bref il y a bien une connexion entre Uranus, le signe du Verseur d'Eau et un goût qui ne cesse de faire jaser. Même les théosophistes avaient compris qu'il allait se passer quelque chose qui allaient changer les moeurs et je dois dire que celui qui les a taillés en pièce n'a rien vu. Il s'est contenté de se gausser des dérives d'un certain Leadbeather. Normal, n'étant pas astrologue et n'ayant aucune pratique de la cyclologie dont il avait pourtant fourni certaines bases théorique en datant le calendrier juif d'une certaine année du Kali Yuga, il n'était pas incité à regarder dans la bonne direction. Pourtant il était si peu moraliste qu'il s'est laissé rattacher à l'Islam par un peintre dont tout le monde connaissait à l'époque les penchants avérés.
Je me suis contenté de rassembler un faisceau de coïncidences symboliques annonçant que l'ère future allait être homosexuelles ou ne serait pas. Je n'ai pas osé paraphraser Malraux parce qu'en fait j'avais seulement prévu que le sujet allait prendre une place de plus en plus importante mais sans avoir jamais imaginé que des "mariages" de même sexe allaient se généraliser. Quand c'est arrivé, il y a une douzaine d'années, je me suis réveillé un beau matin en me frottant les yeux et en me demandant si j'étais bien réveillé et si s'agissant d'un rêve en forme de plaisanterie la question se posait de savoir s'il fallait en rire ou en pleurer. J'en suis toujours à peu près au moins point d'indécision sauf que puisque je vois que cela rend malades certains de mes ennemis, je me dis que si je n'ai rien à faire de cette innovation, elle est bonne à prendre. Ceux que cela dérange devront s'habituer...
Ne me demandez pas de vous prédire par le menu ce que nous promet l'ère du Verseau dont on ne sait pas très bien où elle a commencé vu l'imprécision des limites des constellations sidérales. La seule chose sûre est que le premier maître du Verseau est une planète tenue pour maléfique. C'est Saturne le dévoreur de ses propres enfants, ça promet ! Quant à savoir si le caractère pédérastique du mythe s'incarnera, je ne le crois pas, je suis même certain du contraire. Le modèle aurait pu avoir sa chance au lendemain de mai 68 mais les caves de la Sorbonne ayant été érigées en lupanar l'hypothèse était assez improbable.
Les Tony Duvert et autres coqueluches littéraires se sont chargées de compromettre définitivement cette possibilité. Il s'est agi seulement de vouloir libérer la sexualité des mineurs pour les dresser contre leurs parents encore catholiques. Duvert a fini par crever dans la pire des solitudes et n'a été découvert qu'un mois après probablement dans un assez triste état. Ce type n'a pas dit que des sottises mais s'amouracher d'un gosse de 8 ans et en faire un jouet est chose débile. Le hasard a fait que j'ai croisé son "Jonathan" non loin de Nice où elle était censé enseigner le yoga. Sa mère, pour se libérer a voulu le refile le "bébé", j'étais là pour préparer un colloque d'astrologie qui s'est tenu Bld Carabacel. J'ai passé un semaine à entendre cette mère indigne seriner à son rejeton qu'il avait été son amant dans une vie antérieure. Il devait avoir 12 ou 13 ans et avait fait la célèbre école en bateau. J'ai assisté par une nuit de pleine lune sur la route menant à Peira Cava à des scènes de caprices absolument surréalistes. Le génitrice s'est étonnée de mon refus de
30/12/2014 | Lien permanent