Médecine conventionnelle, alternative et "spirituelle"

Mise à jour du 10 juin

J'avoue être assez satisfait du résultat de mon enquête mais il reste encore quelques remarques à faire...

Nous avons vu que le premier "homo" dépisté l'a été le 6 juin donc le lendemain du départ de la Gay Pride canarienne. Ce n'est assurément pas le patient 0. On constate qu'il s'écoule environ une vingtaine de jours entre le début de la fiesta et l'éclosion des branches de l'épidémie en différents pays européen (notamment Espagne, Portugal, Royaume Uni Allemagne, Belgique, France et Italie) et enfin aux USA qui constituent les sous-foyers principaux et c'est à partir de ces villes pays que seront contaminé des citoyens de nombreux pays mais en proportion nettement moindre.

A y bien réfléchir, et c'est ce qui me vient à l'esprit ce matin. La question qui se pose est celle de savoir combien il a fallu de de pèlerins déjà plombés convergent vers la Grande Canarie pour provoquer le dégât que nous avons sous les yeux. S'il n'y en avait eu qu'un seul, on aurait vu l'épidémie progresser de manière moins étendue géographiquement et plus lentement. D'où la question : combien d'homos contaminés ont constitué le foyer canarien ? 10, 20 30 pour provoquer à distance cette (relative) explosion ? En d'autres termes cela veut dire qu'il y a eu un certain nombre de cas antérieurement au rassemblement massif visé...

Les modalités de l'épidémie auraient changé. En plus d'une localisation uro génitale des pustules, une moindre violence des signes tels que fièvre par rapport aux modalités africaine (et une explication est à trouver...) d'où il résulte que les initiateurs de cette épidémie on pu ignorer la cause véritable de leur infection et devenir "porteurs malsains" en paraissant guéri. Si comme pour l'épidémique de SARS-COV 2 on arrive à retrouver des traces antérieures au 5 mai, il est très probable qu'elle échapperont à la presse mainstream surtout francophone. Je ne vois qu'une solution : suivre l'actualité "Monkeypox" sur Pub Med.

A vue de nez les Gay Pride vont s'étaler entre le 25 mai France et la fin juillet, voici une liste de dates qui corrélées à l'évolution des chiffres du tableau de Wikipedia va permettre de suivre l'extension de cette épidémie qui, répétons le ne menace que les gays et les bi. Je me rappelle évidemment, car j'étais aux premières loges pour suivre ce qui s'est passé au début des années 80 pour le Sida de sorte qu'il a fallu le scandale du sang contaminé pour étendre l'épidémie aux citoyens hétéros car je me rappelle bien que cette épidémie n'a pas sensiblement progressé par le biais de la prostitution en mode hétéro, contrairement à ce qui s'est passé en Afrique...

Voici donc la liste des dates des Gay Pride à venir :

1. Belgique : 21 mai
2. France : 25 juin
3. Berlin : 2 juillet
4. Italie : du 2 au 11 juin à Rome
5. Berlin : 23 juillet

Le problème étant que le tableau évolutif de Wikipedia n'est pas un outil pratique pour suivre le phénomène car il faudrait le transcrire en graphique jour après jour mais ce serait, pour ceusses qui savent construire un fichier excel une chose intéressante que de l'actualiser, jour après jour, à partir de maintenant. Evidemment l'autre problème et que la mise à jour de ce tableau n'est pas garantie fiable.

Enfin le plus important va être de suivre l'évolution des autorités dites sanitaires et le discours des médias français. Là encore difficile d'avoir une bonne vision car cela suppose de suivre les infos télévisées et de consulter la presse quotidienne et hebdomadaire.

Bien que ce que j'évoque n'ai à priori rien à voir avec les manigances de la Fondation Bil Gates and co, nous sommes, n'en doutes point en présence d'un phénomène qui risque tout de même de causer des dommages si les médias ne sortent pas de la "langue de bois" qui a cours !!!

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Le post original commence ici

L'explication du choix de cette image se trouve en fin de post... J'ai pu pallier à la censure de le presse mainstream franchouillarde en faisant l'effort de chercher du côté du Web anglophone. Ce par quoi j'aurais du commencer mais bon cette histoire de "Monkeypox" est bien loin de m'avoir terrifié et à la vérité, même si on ne peut pas qualifier la chose de "non événement" (Dr Zizi) le fin mot de l'histoire tendrait plutôt à me faire rigoler quand à son aspect hautement symbolique.

En effet, quand on aime à faire les singes dans le genre de "pantomine" dont vous avez un exemple ci-dessus, il faut peut-être s'attendre à ce que la chose s'incarne d'une façon disons subtile... justement par une maladie de l'animal considéré... Mais bon, rares sont encore les gens qui sont encore sensibles aux "signes" relevant de l'ordre envisagé...

Monkeypox "version gay" et "politiquement correct" à la française

Le "politiquement correct" est une calamité d'origine anglo-saxonne mais il se conjugue en français d'une façon très particulière.

J'ai expliqué qu'ayant googélisé "variole du singe = homosexuels" je n'ai rien trouvé de palpitant. Aussi je viens de transposer la recherche en anglais soit "monkeypox + gay (ou homosexuality") et tout change. On voit affluer quantité de pages sans la moindre équivoque dont celle-ci :

Monkeypox virus found in semen. Is it enough to call it STI? 

En clair le virus de la variole du singe a été trouvé dans le sperme ? Peut-on parler de IST (ou MST) ?

J'en cite quelques extraits :

Le virus de la variole du singe peut se propager par contact sexuel, comme l'indique la présentation initiale d'éruptions génitales ou péri-anales dans de nombreux cas, a déclaré l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Et maintenant, une nouvelle étude a trouvé la présence du virus dans le liquide séminal.

Les rapports ont également montré que l'épidémie dans plusieurs pays non endémiques était prédominante dans un réseau social particulier - les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) - un coup de fouet à la théorie de la transmission sexuelle. 

Quant à la question posée voici la réponse qui est donnée sur cet article d'un site indien :

Une infection est appelée IST lorsqu'elle est transmise presque exclusivement par voie sexuelle. "Sur la base de nos connaissances actuelles, le monkeypox n'est pas une IST. Il se transmet lors des relations sexuelles s'il y a des lésions dans la région génitale », a-t-il expliqué.

Que d'embarras et de complications jésuitiques pour dire, en fin de compte, que la variole dite du singe se trouve être, occasionnellement, une IST ou MST ?

Mais on est loin de la langue de bois à la français où pour trouver des infos il faut associer cette variole à une périphrase impliquant des "hommes ayant des relations sexuelles" entre eux. Il faut donc tomber sur la bonne périphrase alors qu'il existe un terme pour résumer cela mais qu'à cause de l'hystérie anti-discriminatoire on n'ose pas prononcer dans la presse mainstream. Bref, c'est à hurler tellement ce mélange d'hypocrisie et de peur du lobby LGBTQI machin chose est haïssable !

Mais on apprend des choses intéressantes dans cet article, je cite  :

Monkeypox se comporte tout à fait différemment de la façon dont on a compris qu'il se propageait dans les pays africains où il est endémique, a déclaré James O Lloyd-Smith, professeur d'écologie et de biologie évolutive à l'Université de Californie à Los Angeles. 

Il a dit Down To Earth :

Le virus semble avoir pénétré dans certains réseaux sociaux particuliers et a réussi à se propager via des contacts étroits lors de fêtes et apparemment via des contacts sexuels. D'après ce que l'on sait jusqu'à présent, cela semble être un moteur majeur de la propagation de cette épidémie en dehors de l'Afrique. Ces types de contacts n'ont jamais été identifiés comme une voie de transmission majeure dans les pays d'endémie.

Plusieurs experts craignent que l'étiquetage du monkeypox sexuellement transmissible ne conduise à la stigmatisation d'une communauté particulière. Selon eux, des messages appropriés sont essentiels, en particulier dans le contexte du mois de la fierté en cours.

Boghuma Kabisen Titanji, un virologue de l'Université Emory, a soutenu le contraire. Elle a expliqué sur la plateforme de microblogging Twitter : 

Appeler une infection une infection sexuellement transmissible (IST) n'est pas destiné à être stigmatisant. Cela permet aux gens de comprendre comment ils pourraient être exposés et potentiellement infectés. Il aide également à retrouver les partenaires, en les informant afin qu'ils soient conscients de leurs expositions pour se faire soigner. 

Mais encore ? Et là ça devient très intéressant :

Le monkeypox infecte non seulement une population particulière, mais ses symptômes ne sont pas non plus ceux qui ont été généralement enregistrés dans les pays africains. La progression générale des symptômes du monkeypox commence par de la fièvre, des frissons et des ganglions lymphatiques enflés une à deux semaines après l'exposition, suivis d'une éruption cutanée quelques jours plus tard qui se transforme en lésions ressemblant à des cloques et se transforme en croûtes, qui durent environ une journée chacune. . 

Des tissus sains émergent généralement deux à quatre semaines après l'apparition des symptômes. 

Ce à quoi nous assistons maintenant est une présentation plus douce des symptômes menant à l'éruption cutanée et qui sont donc souvent manqués, selon un rapport publié dans JAMA Network . 

Une autre différence est le placement de ces lésions - commençant généralement à partir de la tête et se propageant aux bras et aux jambes. Mais maintenant, les lésions apparaissent d'abord dans la région génitale ou périanale. 

Donc il n'existe plus aucun doute que la contamination se fait par contact sexuel interposé puisqu'il est prouvé que le virus peut être présent dans le sperme. Il suffit donc d'une petite abrasion pour contaminer le partenaire.

Mais le même article se termine par l'évocation des réticence d'un "demeuré" indien opérant comme chercheur aux U.S.A.

Cependant, beaucoup de choses restent encore floues. « Est-ce le contact réel étroit, peau à peau, les sécrétions respiratoires qui se propagent lors des rapports sexuels ? Ou est-ce en fait une infection sexuellement transmissible transmise par les fluides corporels qui sont échangés pendant les rapports sexuels ? » Amesh Adalja, chercheur principal au Johns Hopkins Center for Health Security à Baltimore, a été cité comme disant dans Bloomberg .

L'épidémie serait partie d'un fiesta gay ayant regroupé de 80 000 participants sur l'ile de la Grande Canarie

Quatre hommes dans la trentaine, appartenant à la communauté HSH, ont été testés positifs pour le virus monkeypox après un voyage au cours des deux premières semaines de mai. Trois sont allés à un événement de rassemblement de masse sur l'île de Grande Canarie, tandis qu'un a voyagé pour le travail du sexe. Tous les quatre ont des antécédents d'IST et deux sont séropositifs.  

Je m'étais demandé pourquoi c'est en Espagne et au Portugal ainsi qu'au royaume Unis que l'on a vu surgir le plus grand nombre de cas. On a la réponse : c'est pour les espagnols et les portugais affaire de proximité quand on anglo saxon ils sont à l'affut de ce genre de sabbat !

Voici la répartition des cas selon Wikipedia qui a consacré un article à l'épidémie en cours. Et les chiffres sont très révélateurs.

Vous avez d'un côté la fréquence de cas anglo-saxons et de l'autre celles de pays européens qui en dehors du Portugal et de l'Espagne pays caractéristiques par leur proximité avec l'ile concernée, précède la France, l'Allemagne, la Belgique et l'Italie.

Cas par pays et territoire

Pays	Confirmé	Suspecté	Total	Morts	Dernière mise à jour	Premier cas confirmé
Afghanistan	_	2	2		28 mai 202234,35	_
Angola	1	_	1		5 juin 2022	5 juin 2022
Arabie saoudite	_	1	1		9 juin 2022	9 juin 2022
Argentine	2	_	2		27 mai 202236	26 mai 202236
Australie	6	1	7		4 juin 202237	20 mai 202238
Autriche	1	_	1		22 mai 2022	22 mai 2022
Azerbaïdjan	_	1	1		6 juin 2022	_
Bahamas	_	2	2		8 juin 2022	_
Bangladesh	_	1	1		7 juin 2022	_
Belgique	17	_	17		3 juin 202239	19 mai 2022 40
Bolivie	_	1	1		26 mai 202241	—
Brésil	1	6	7		8 juin 202242,43	8 juin 202243
Canada	97	5	102		3 juin 202244,45,46	19 mai 202247
Costa Rica	_	1	1		1 juin 202248	_
Danemark	3	_	3		3 juin 202249	23 mai 2022
République dominicaine	_	1	1		5 juin 2022	5 juin 2022
Équateur	_	1	1		27 mai 202250	_
Finlande	2	_	2		2 juin 202251	27 mai 2022
France	91	_	91		9 juin 202252	20 mai 202253
Guyane	_	2	2		26 mai 202254	_
Allemagne	65	_	65		3 juin 202255	20 mai 202256
Ghana	5	7	12		8 juin 202257	8 juin 202257
Grèce	1	1	2		8 juin 202258,59	8 juin 202259
Haïti	_	1	1		1 juin 202260	_
Hongrie	1	_	1		31 mai 202261	31 mai 202261
Inde	_	1	1		4 juin 202262	_
Iran	_	3	3		28 mai 202263	_
Irlande	6	1	7		1 juin 202264	28 mai 202265
Israël	1	1	2		22 mai 202266	21 mai 202267
Italie	20	_	20		1 juin 202268	19 mai 202269
Kosovo	_	1	1		4 juin 2022	_
Lettonie	1	_	1		3 juin 202270	3 juin 202270
Malte	1	_	1		28 mai 202271	28 mai 202272
Maroc	1	_	1		2 juin 202273	2 juin 202274
Maurice	_	3	3		2 juin 202275	_
Mexique	1	_	1		28 mai 202276	28 mai 202276
Monaco	_	3	3		8 juin 2022	8 juin 2022
Nigeria	21	66	87	128	30 mai 202228
Norvège	2	_	2		1 juin 202277	31 mai 202278
Ouganda	_	4	4		8 juin 202279	_
Paraguay	_	1	1		1 juin 202280	_
Pays-Bas	40	_	40		2 juin 202281	20 mai 202282
Pérou	_	1	1		29 mai 202283	_
Portugal	153	_	153		6 juin 202284	18 mai 202285
Espagne	198	_	198		6 juin 202286	18 mai 202287
Slovénie	3	_	3		2 juin 202288	25 mai 2022
Soudan	_	1	1		26 mai 202289	_
Suède	4	_	4		31 mai 202290	19 mai 2022
Suisse	8	_	8		3 juin 202291	21 mai 202292
Tchéquie	6	_	6		2 juin 202293	24 mai 202294
Thaïlande	1	_	1		30 mai 202295	30 mai 202295
Turquie	_	3	3		4 juin 202296	_
Royaume-Uni	302	_	302		6 juin 202297	6 mai 202298
Etats-Unis	31	_	31		6 juin 202299	18 mai 2022100,101
Émirats arabes unis	8	_	8		1 juin 2022102	24 mai 2022
Uruguay	_	4	4		2 juin 2022103	_
Viêt Nam	_	3	3		7 juin 2022	_
Total	1,052	113	1,165	1

1052 cas confirmés, c'est pas une "pandémie" mais faudrait peut-être se préoccuper d'avertir les gays et les bi de ce qu'ils risquent en se mélangeant trop spontanément avec des "collègues" surtout s'il s'agit de fêtard impénitents. Car la France est tout de même assez bien placée dans ce tableau. Et la Gay Pride c'est prévu pour le 25 juin, soit dans une quinzaine !

Restait à se renseigner sur ce qui s'est passé en la Grande Canarie... sauf qu'en France il m'a fallu dégoter un journal algérien pour découvrir le "pots aux roses" !

Le journal britannique « Daily Mail » a révélé qu’un énorme festival gay aux îles Canaries, auquel assistaient 80 000 personnes, serait à l’origine de la propagation du monkeypox dans le monde.

Elle a expliqué que les autorités sanitaires des îles Canaries menaient des enquêtes sur l’implication du festival Maspalomas Pride dans la propagation du monkeypox dans le monde, notant que des milliers de personnes de Grande-Bretagne et de toute l’Europe figuraient parmi les participants.

elle a ajouté: « Un certain nombre de cas qui ont été confirmés comme étant infectés par le virus du monkeypox en Espagne, en Italie, en France, en Allemagne et aux États-Unis sont ceux qui ont assisté à la cérémonie. »

La Maspalomas Pride, qui se déroule du 5 au 15 mai, attire des dizaines de milliers de visiteurs du monde entier.

On pense qu’après le retour des participants au festival dans leur pays, ils ont transmis la maladie et l’ont propagée parmi les gens, une hypothèse qui est actuellement à l’étude.

Tout colle à merveille !

Le premier cas anglais confirmé date du 6 mai, soit le lendemain du début du Festival !

Il semble que les anglais se soient montré assez futés quand à faire la relation avec la "variole du singe"...

Vous allez m'objecter que le délai est un peu court car la possibilité de contamination ne date que de la veille et cela implique une incubation très courte.

Sauf qu'il m'est venu une idée. Un tel festival impliquant 80 000 pèlerins nécessite une préparation, et un tel rassemblement est bien susceptible d'en attirer bien avant le démarrage effectif des festivités. Une question me taraude l'esprit celle de savoir qui a organisé cette gigantesque fiesta ?

Est-ce que ça ne serait pas des anglais. Ce genre de sabbat implique le rassemblement de groupe musicaux. Ne sont-ce pas des groupes anglais qui possèdent dans ce domaine festif une expérience des plus "historiques" ? J'ai pas les noms en tête des classiques parce que la musique dont il s'agit, qui est plus ou moins dérivées du Rock (qui simule, rappelez-vous l'acte sexuel) n'est pas ma tasse de thé. Bref le premier cas connu est anglais et même si ce n'est pas le "patient 0", il n'en est pas loin assurément.

Donc c'est clair que tout est parti de la grande Canarie et que ça s'est répandu par un sauna de Madrid avant que des cas dérivés et plus tardif n'éclose dans les villes européennes les plus gays...

Tout est donc parti du festival Maspalomas Festival  Pride

Voir https://gaymaspalomas.com/gay-pride-gran-canaria-2022-2.h...

Notez qu'en 2021 la "chose" aurait attiré 100 000 pénitents !

Evidemment, on ne tient pas trop à ce que cela se sache parce qu'avoir mené un tel sabbat, alors qu'on est censé être en période d'épidémie de coronavirus, ça fait très désordre.

Enfin la "divine surprise" c'est que nombre de "pèlerins" ont ramené de cette fiesta un virus non plus "couronné" mais assez assez franchement simiesque, ce qui est tout-à-fait en harmonie symbolique avec la teneur parodique de ce genre  de carnaval, à mes yeux assez sinistre. Vous vous en doutez, ce n'est pas le genre de chose qui tendrait à me faire bander bien au contraire mais comme chacun sait tous les goûts sont dans la nature...

J'ai découvert que le festival concerné existe depuis 2001 bien que ce soit la première fois que j'en entend parler. Ce sont des allemands semble t-il qui sont derrière un site dédié. C'est un fait qu'il a derrière la publicité et l'organisation de la chose quelque chose d'assez germanique mais là n'est pas le problème. Peu importe la nationalité des organisateurs car l'influence à l'origine des "Gay Pride" est américaine, ce qui suffit à expliquer, vu que la musique joue un grand rôle dans cette sorte de "grand mess" un rôle important, que c'est surtout parmi des péperins anglais que que l'épizootie a commencé a flamber.

Je repense à présent au fait que le Courrier des stratèges n'a pas encore été foutu d'assigner à l'épidémie une origine alors qu'elle crève littéralement les yeux.

Que votre serviteur, parce qu'il a oublié depuis une "naturalisation" remontant à plusieurs siècles le dialecte des ancêtres de sa tribu au point de devoir faire un gros effort pour chercher en direction des sites anglophones et qu'il aie du retard à allumage cela s'explique mais qu'un site géré par des gens qui n'ont visiblement pas de problème de langue n'ait pas encore découvert de fin mot de l'histoire, j'ai tendance à trouver cela assez suspect. Ma parole, c'est à croire qu'ils l'ont fait exprès...

Bon à présent, les choses sont claires ! Il vous est permis, à titre privé d'emboucher vos trompettes et de clamer sur tous les toits que s'il n'y a certes pas périls en la demeure pour l'immense majorité de nos contemporains, il existe tout de même un risque pour une certaines catégorie de personnes lorsqu'elles sont attirées par des rassemblements que pour ma part je trouve de très très mauvais goût et au contact duquel assurément je ne risque absolument rien vu l'effet débilitant que me procure les images du genre de celle qui orne ce post... Notez qu'il y a pire encore...

Voir :https://www.google.com/search?q=gay+pride+de+Maspalomas&client=firefox-b-d&sxsrf=ALiCzsaKL2hDOJoUjf9yLZWNb4pmxyP0KQ:1654816197653&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwjdsYTdvqH4AhUSUhoKHQrpCQMQ_AUoAXoECAIQAw&biw=1152&bih=528&dpr=1.25

Si vous êtes un lecteur du sexe réputé fort et que les horreurs auxquelles mènent ce lien vous font de l'effet, faites vous soigner d'urgence. Si tant est qu'il existe un remède, ce dont je doute fort... Le mauvais goût est sans doute irrémédiable... Cependant il ne mérite pas pour autant d'être puni de mort...

Le foyer de l'épidémie s'avère un secret de polichinelle

Si vous googuélisez "gay pride Maspalomas monkeypox" vous trouvez + de 4000 résultats dont bon nombre sont en français dès la première page. En voici un échantillonnage :

Quand on met cela en rapport avec la censure de notre presse hexagonale qui se borne a mentionner le fait connu que l'épidémie se répandrait de préférence parmi "les hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres hommes" (ou une formule périphrasique équivalente) une telle censure en devient franchement scandaleuse !

Ce qui était important n'est pas tant de savoir l'origine géographique quoiqu'il n'existe plus aucun doute quand au foyer d'où tout est parti mais de constater la difficulté d'obtenir des informations claires sur ce genre de phénomène si on ne pratique pas la recherche avec des mots clefs en anglais ! Tout cela parce que des journalistes vendu au gouvernement et trop respectueux des lobbys en vogue ne font pas correctement leur job.

Ce ne sont pas tant les centre de vaccinations auxquels il conviendrait de tenter de foutre le feu mais au siège social de certains journaux. Notez que cela finira peut-être par arriver un jour parce que le genre de manipulation politique mensongère auquel on est affronté ne peut pas durer éternellement.

N'oubliez pas qu'à propos de ce qui se passe en Ukraine, il n'y a guère que l'Amérique du Nord et l'Europe a suivre les mots d'ordre américains contre la Russie. Même l'Arabie saoudite ne veut plus se faire payer son pétrole en dollars. Sans être exagérément optimiste, il reste des motifs d'espérer que tout ce que l'on a en vue va finir par coincer d'une manière ou d'une autre de sorte que de plus en plus de gens finiront par ouvrir les yeux.