La réponse de l'AIMSIB à la question de la contagiosité de sujets vaccinés ARNm (07/02/2025)
N'ayant pas le temps de lire le long article ci-dessus, j'ai demandé à Deep Seek de me le résumer. La réponse serait négative. En fait j'ai pu prendre en défaut Deep Seek. Voici la conclusion de l'article, je cite :
Le résumé de Deep Seek :
La page en question, publiée sur le site de l'Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante (AIMSIB), aborde la question de la plausibilité biologique de la contamination par les vaccins à ARNm à partir d'un sujet vacciné. Voici un résumé des points clés :
- Contexte et questionnement : L'article explore la possibilité qu'une personne vaccinée avec un vaccin à ARNm puisse transmettre des particules vaccinales ou des effets biologiques à une personne non vaccinée, notamment par des fluides corporels comme la salive, le sang ou le sperme.
- Mécanismes biologiques : L'auteur examine les mécanismes biologiques qui pourraient permettre une telle transmission. Il souligne que l'ARNm des vaccins est encapsulé dans des nanoparticules lipidiques, conçues pour protéger l'ARNm et faciliter son entrée dans les cellules. Cependant, il est peu probable que ces nanoparticules soient excrétées intactes dans les fluides corporels.
- Excrétion de l'ARNm : L'article discute de la possibilité que de l'ARNm puisse être excrété par les cellules et se retrouver dans des fluides corporels. Cependant, il note que l'ARNm est généralement rapidement dégradé dans l'organisme, ce qui rend sa transmission peu probable.
- Effets indirects : L'auteur explore également l'idée que les vaccins à ARNm pourraient induire des changements dans l'organisme qui pourraient indirectement affecter les autres, par exemple en modifiant le microbiome ou en induisant des réponses immunitaires qui pourraient être transmises. Cependant, il conclut qu'il n'y a pas de preuves solides pour étayer cette hypothèse.
- Conclusion : L'article conclut que la contamination biologique par les vaccins à ARNm à partir d'un sujet vacciné est biologiquement peu plausible. Il souligne l'importance de se baser sur des preuves scientifiques solides et de ne pas céder à des craintes infondées.
En résumé, l'article de l'AIMSIB examine les mécanismes biologiques potentiels de transmission des vaccins à ARNm et conclut qu'une telle contamination est peu plausible, en l'absence de preuves scientifiques convaincantes.
Deep Seek s'est foutu du monde !
Curieusement j'ai pu obtenir un résumé cependant en demandant un résumé d'une page de mon blog il a prétendu ne pas y avoir accès. J'ai du lui ingurgiter le texte. A première vue dans ce cas de figure , le résumé parait correct. Reste à déterminer si s'agissant d'un cas "sensible" il n'aurait pas ordre de tromper les gens qui questionnent.
Le résumé est faux voici la conclusion de l'article :
Conclusion
Il existe de nombreux témoignages de personnes non vaccinées ayant présenté des symptômes identiques aux effets indésirables du vaccin après avoir été en contact avec des personnes fraîchement vaccinées.
Une étude montre un excès de mortalité dans les classes d’âge non vaccinées au début des campagnes de vaccination, qui pourrait s’expliquer par un phénomène de transmission du vaccin ou de ses produits.
Il est important de ne pas négliger ces témoignages car les études requises de pharmacocinétique et notamment d’excrétion du vaccin et de ses produits n’ont pas été réalisées malgré la réglementation en vigueur pour les thérapies géniques, qui incluent les vaccins à ARNm selon la définition de ces produits géniques. De plus, le doute sur la possible transmission du vaccin crée un climat malsain de suspicion des non-vaccinés envers les vaccinés : une clarification serait donc la bienvenue. Les vaccins sont tous basés sur la protéine spike, reconnue depuis comme la principale responsable de la pathogénicité du virus SRAS-CoV-2 : si la transmission du vaccin ou du spike est possible, il est logique de retrouver les effets indésirables du vaccin chez des personnes non vaccinées en contact avec des personnes vaccinées.
On sait peu de choses sur la pharmacocinétique du vaccin. Les LNPs du vaccin sont très similaires aux VEs naturels ou exosomes, dont les scientifiques ont essayé d’imiter la structure et la fonction le plus fidèlement possible. D’après le peu d’études effectuées par les fabricants et des chercheurs indépendants, les LNPs des vaccins ARNm circulent dans le sang et s’accumulent dans la rate et le foie chez la souris (et dans une moindre mesure dans de nombreux organes dont les ovaires et les testicules, la moelle osseuse,…). La traduction en protéine spike persiste 6 à 10 jours chez la souris au site d’injection et 8 jours dans les muscles.
La voie d’excrétion des LNPs varie en fonction de leur taille, dans le cas des LNP de vaccins ARNm l’excrétion devrait se faire principalement par les fèces mais aussi par l’urine. Les résultats quantitatifs de ces études suggèrent que d’autres voies d’excrétion que les fèces et l’urine devraient être explorées. Des études antérieures aux vaccins à ARNm suggèrent que l’excrétion des VEs est possible par la salive, la sueur et le lait maternel. Des études ont montré qu’il est très possible que des nanoparticules de taille comparable à celles utilisées pour les vaccins à ARNm soient capables de passage transplacentaire chez l’homme. Les nanoparticules (VEs) sont naturellement présentes dans tous les fluides corporels (y compris les expectorations, la salive et la sueur) et dans les kératinocytes et peuvent transporter des acides nucléiques qui sont ainsi protégés des nucléases. Certains types d’ARN (miRNA) sont sélectivement sélectionnés et enrichis dans les VEs de la sueur à partir du sang.
Aucune étude n’a été trouvée concernant la possibilité de passage des LNPs dans le sperme ; étant donnée la biodistribution dans tous les organes et fluides, un tel passage est a priori possible et devrait être exploré.
L’ARN viral de nombreux virus est présent dans le sang, les sécrétions et les tissus. L’ARNm des vaccins est injecté en quantités plusieurs fois supérieures à l’ARN viral produit lors de l’infection naturelle. Cet ARNm est retrouvé dans le sang dès le premier jour après l’injection et persiste jusqu’à 15 jours, il est capable de s’échapper des LNPs et d’être encapsulé dans des VEs, il est fonctionnel et peut être traduit en protéine. L’ARNm du vaccin nu ou encapsulé dans les VEs se retrouve dans le lait maternel dès la première semaine après l’injection ; il est protégé des sucs gastriques et peut transfecter les cellules néonatales. L’ARN incorporé dans les VEs ou même nu est capable de transfecter des cellules par inhalation ou passage transdermique. L’administration intranasale, orale, transdermique intraoculaire et sous-conjonctivale de VEs porteuses de médicaments a été testée : les LNPs peuvent être administrées par voie cutanée, intranasale, intraconjonctivale et par inhalation ; des expériences ont montré que l’ARNm inclus dans ces LNPs est capable de transfecter des cellules. Des essais de vaccination contre la COVID par inhalation de VEs contenant de l’ARNm ou de la spike ont donné des résultats positifs chez les souris et les primates non humains. Les VEs naturelles sont plus efficaces que les VEs synthétiques.
La protéine spike traduite à partir de l’ARNm du vaccin persiste pendant des mois en grandes quantités chez les vaccinés ; on la trouve sous forme libre dans le plasma et encapsulée dans les VEs qui se forment spontanément à partir des cellules où elle a été produite. Ces VEs peuvent délivrer leur cargaison à différents types de cellules, en particulier aux cellules fœtales des mères vaccinées. La spike peut être trouvée dans les kératinocytes de la peau. Spécifiquement contre les coronavirus, des essais de thérapie génique et de vaccination (notamment avec des ARNm) ont montré la possibilité de transfecter des cellules par voie transcutanée, nasale et par nébulisation à partir de LNPs et même d’ARNm nus. Des exosomes vecteurs de RBD (domaine de liaison) de la spike ou d’ARNm ont été testés par inhalation chez l’animal pour une immunisation anti-COVID-19.
Toutes ces études montrent que les VEs porteuses d’ARNm et de spike pourraient donc être excrétées par différents fluides corporels et pourraient pénétrer par voie transcutanée ou par inhalation chez des individus non vaccinés (ainsi que par le lait maternel chez les nourrissons et par passage transplacentaire chez les fœtus et pourquoi pas par le sperme). L’ARNm nu pourrait également être excrété et pénétrer.
Les vaccins à ARNm (et adénovirus) correspondent exactement à la définition de la thérapie génique donnée par les agences sanitaires (FDA, NIH et EMA). Selon les réglementations de ces agences, ces produits devraient faire l’objet d’études pharmacocinétiques supplémentaires (en particulier des études d’excrétion) de toute urgence au fur et à mesure que la généralisation de la technologie ARNm semble vouloir s’imposer.
En effet, Sanofi lance l’essai clinique du premier candidat vaccin contre la grippe saisonnière à base d’ARNm [92] et Moderna lance l’essai de phase 3 du vaccin contre la grippe à base d’ARNm [93]. Pour ces vaccins anti-grippaux, l’autorisation d’urgence ne devrait pas pouvoir s’appliquer et l’obligation de ces études supplémentaires ne devrait pas être outrepassée.
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