Médecine conventionnelle, alternative et "spirituelle"

Strategika a eu la bonne idée de traduire cet article qui vient d'ailleurs.

Malheureusement, à l'impression on se tape toutes les colonnes.

Lorsque le webmestre est compétent, il se démerde pour que l'on puisse sauvegarder les articles en pdf.

Je recours, en cas de carence, à l'utilitaire Print Friendly & PDF qui malheureusement à évolué à l'envers à propos des images. On pouvait les supprimer individuellement, désormais on peut seulement les virer toutes ou les réduire toutes. A noter que cet utilitaire permet de modifier les textes dont éventuellement de les annoter.

Mais dans le cas de l'article visé, pour l'article en question, on obtienait une taille de caractère nécessitant un microscope pour la lecture. Raison pour laquelle, j'ai corrigé cette anomalie en passant par un traitement de texte.

Télécharger l'article en pdf  avec une typographie correcte.

Notez que je ne suis probablement cassé le cul pour rien. Deux lecteurs seulement ont demandé l'article remis en page correctement. Un lecteur qui m'a demandé la permission de diffuser l'objet. Permission non nécessaire puisque je ne détiens aucun droit sur ce texte. Une lectrice qui me connaît personnellement m'a envoyé une carte pour me demander le prix à payer. Distraite elle n'a pas compris que ça ne peut être que chose gratuite.

L'expérience montre que dès qu'il faut faire un petit effort, il n'y a plus personne.

J'aurais pu mettre en ligne la chose mais c'est 3 manips en plus et avec une souris en fin de vie (quand il faut faire 50 km pour la remplacer ou attendre au moins 4 jours pour en recevoir une nouvelle) lorsque cette "chose" se balade à votre insu de plein gré en cliquant à tort et à travers où il ne faut pas, on en fait le moins possible. Le signe qui annonce que la "bestiole" va claquer c'est quand on a du mal à surligner une partie de texte pour le copier ou le modifier. Cela + des perte de synchronisation du modem, cela confine à l'horreur ! La fibre arrive mais on sera parmi les derniers à l'avoir, ce sont là les joies de la moyenne montagne.