Médecine conventionnelle, alternative et "spirituelle"

Nous, non-vaccinés, ce groupe témoin que Big Pharma doit éliminer coûte-que-coûte

Il m'a fallu découvrir la révolte des députés européens pour me convaincre que s'il y avait bien projet de nous amocher pour qu'il n'existe aucun point de comparaison, il risque désormais d'être sérieusement compromis.

En avril votez Pécresse et ce sera la Détresse !

Valérie Pécresse c'est la seringue vaccinale dans une main, le kärcher dans l’autre

Comme on le voit CHIOTTI en est réduit à tenter de suivre cette gonzesse qui n'est qu'une "macrone femelle". Il va sans dire que je ne suis pas un admirateur de celui qu'elle a supplanté, sauf qu'un mec reste plus facile a raisonne qu'un garce car actuellement les femmes de pouvoir ne se sentent plus pisser comme on le voit sur le dessin.

Quelques remarques sur "Chiotti" et le milieu géo-sociologique qui l'a vu surgir, croître et embellir

Je ne connais pas personnellement Chiotti mais en revanche je connais bien son lieu d'extraction et ses caractéristiques, St Etienne de Tinée où j'ai eu des attaches. Ce fut avec le nid de chanoines constitué par la collégiale de Clans apparue en 1137 deux points qui délimitent une zone qui aurait fourni au comté de Nice une bonne partie de ses vocations de curés, région au sein de laquelle le fondamentalisme islamique est aussi peu prisé que l'étaient autrefois les "barbaresques". Sauf que lesdits barbaresques s'étant mélangés avec la population locale de longue date ça a donné au final des échantillons d'humanités assez particuliers. Je pense  ces fameux barbets, encore très vénérés dans la région qui se firent connaître en tant que résistants anti révolutionnaires, notamment au célèbre "saut des français" avant de se muer en bandits de grands chemins qui furent pendus à des arbres centenaires lorsque l'administration française a commencé de s'imposer bien avant 1860.

Car le rattachement de cette année là, constitue une trahison envers le royaume de Savoie Sardaigne auquel Nice s'était dédiée et le clergé, à qui Napoléon III a offert des breloques comme on en offrait aux indiens d'Amérique à l'évêque de Nice et à ses ministres locaux, pour qu'ils jouent, après du "bon peuple" de "bénis oui-oui", le rôle pas très glorieux qu'il en escomptait quant au succès d'une fameux plébiscite.

Il reste de tout cela une mentalité très très particulière, avec des fausses poches de résistance aspirant plus ou moins à une sécession, je pense au parti d'Alain Rouiller que j'ai bien connu, et à un village sis au fond d'un trou très froid et humide en plein hiver lequel est  jumelé avec une principauté italique proche assez folklorique.

Au final l'ensemble, le littoral surtout, a été dominé et pratiquement unifié par une bourgeoisie niçoise friquée vendue à l'ennemi où le "clientélisme" le plus chauvin, surtout dans l'arrière pays, engendre des politiques excessivement "bas de plafond" avec parfois des aspects Don camillesques prononcés.

La majeure partie de cette population étant très friquée du fait de la valeur exorbitante du moindre terrain pour les descendants des "ploucs"' d'origine, cela donne quelque chose qui sur le plan sociologique, ne manque ni d'originalité ni surtout de toxicité.

Mon destin étant tout de même une chose assez haut en couleur, il se trouve que j'ai atterri, et ce ne peut être tout-à-fait un hasard, à la fin des années 70, comme gardien de l'ancienne maison de maître du premier préfet de Nikkaïa, je n'y suis pas resté longtemps car j'en ai été chassé par la locataire la veille d'un anniversaire car je lui faisais de l'ombre en présence de sa clientèle.

Imaginez une vaste demeure avec une grande terrasse ouverte plein Sud nantie d'une tour génoise donnant sur une grande salle où pouvait se tenir des bals de dimension certes modeste, avec avant ce baste corps une chapelle. Cette demeure a hébergé quantité de phénomènes singuliers dont un escroc de haute volée qui a ramassé du fric censé destiné à soutenir l'oeuvre du Dr Schweitzer. Lorsque je suis arrivé il restait un vieil anglais qui se plaignait d'avoir eu sa fortune escroquée par le Crédit Agricole. Il se serait occupé de drogués. Il vivait dans une grande cellule à l'est du bâtiment, un lieu infesté l'été par des grosses fourmis volantes très impressionnantes mais inoffensives.

La demeure a été squattée et re squattérisées depuis lors et la galerie formée par plusieurs petites chambres où j'ai habité s'est totalement écroulée dans l'office situé à l'étage inférieur. Des immenses tags restent de la dernière occupation sauvage. J'y suis passé au pas de course cet été avec un fameux visiteur que j'ai "croqué" jadis assez pas mal d'ironie. Ce lieu serait hanté. J'ai plusieurs témoins et en particulier un jeune couple à qui j'avais donné la marche à suivre pour postuler sans que la garce qui m'avait jeté sache qu'elle allait mettre en place des observateurs à ma solde.

Tout cela est pour dire à quel point certaines particularités de la région et de ses ressortissants m'ont marqué. Il est dommage que je n'ai pas tenu de "journal" car j'aurais des "mémoires" assez fracassants à publier. Soit dit en passant la bonne femme que j'évoque a trempé dans des "messes noires" avec une de ses filles. On m'a montré des photos parus dans "Détective" ou un feuille du même style des années après. Et ceci n'est qu'un bricole parmi d'autres...

Enfin, mieux valait sans doute ne pas faire de "conserves" de souvenirs précis de ce que j'ai en vue. Le côté positif est que tout ce que cela a comporté en matière de "culture occultisante" m'a donné l'occasion de cultiver un discernement qui, lorsque je suis confronté à un certain type de sujet "complotiste" me permet de faire la part des choses presque instantanément.