Rubrique médecine et psychiatrie sociale : l'affaire Duhamel et "Familia Grande" le livre de Camille Kouchner (11/11/2021)

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Je ne peux pas allonger démesurément le poste sur le traitement de la "pédophilie" par Karl Zero (où il a été quesiton, dans les mise à jour de la même affaire) alors je reviens sur cette dernière dans un post à part. J'ai trouvé une courte recension sur le site de France Culture, il me suffit d'intercaler mes commentaires dans la citation du texte. Voici d'abord la source :

https://www.franceculture.fr/litterature/la-familia-grand...

En littérature, c'est sans surprise le récit de Camille Kouchner, La familia grande, publié au Seuil, qui arrive en tête du box office.

Difficile de résumer ou commenter un livre qui fait le récit d’un inceste, celui qui aurait été subi par Victor, le frère jumeau de l’autrice, par leur beau-père, le politologue Olivier Duhamel.

Rappelons qu'il ne peut s'agir d'inceste selon l'état actuel du droit républicain. Que l'auteur des remarques emploie le conditionnel et que l'abus n'est donc même pas certain.

La familia grande est un livre de malaise, comme une comédie bourgeoise provinciale (bien que ses protagonistes soient des guévaristes patentés, une ancienne maîtresse de Fidel Castro et un "french doctor" alors tiers-mondiste, père absent et silencieux)

Donc l'ex femme de Kouchner aurait été l'amante d'un Fidel Castro, donc Duhamel a hérité d'une "femelle" assez usagée, peut-être que s'il aimait plutôt les jeunes garçons il n'a vu en faisant sien les "restes" de cette femme seulement une combinaison politique et pour mieux exister socialement. Je ne connais pas l'odyssée de prédateur réel ou supposé du jumeau de l'auteur.

Excusez-moi je refuserai toujours d'adopter les évolutions terminologique du "nouveau française" en parlant d'autrice. Pour moi quoique fassent les femmes, le masculin l'emportera toujours sur le féminin. Du reste si les féministes lesbiennes continuent à faire chier les mâles et si la majorité des femmes adoptaient le point de vue de ces cinglées asociales, il suffirait de faire l'inverse de ce qu'elles projettent. Savoir reprendre la gouvernance, s'en servir comme ventres reproductifs, leur retirer dès la naissance les garçons et les confier à des nourrices assermentée et ne donner de fonction sociales qu'à des femmes ayant fait serment d'aimer les hommes et de ne leur nuire en aucun cas, de se montrer franches et sans détours...

L’écriture n’est pas littéraire, le livre n’est même pas très bien écrit – c’est un récit plutôt chirurgical où les détails comptent.

Sauf les détails  juridico-judiciaires, ce qui est étrange pour une juriste qui ne qualifie jamais vraiment les éléments du crime dont elle accuse son beau-père. « Peut-être », écrit-elle même d’une fellation dont elle laisse planer le doute : est-elle réelle ou supposée ?

Un comble : une juriste qui se sait pas si son jumeau a été enculé, sucé ou simplement attouché !!!!!!!!!!!! On croit rêver !

C’est sans doute la statut de sa parole (elle s’exprime au nom de son frère qui reste silencieux et n’entendrait pas porter plainte – les crimes ou délits en question sont de toute façon prescrits).

Si crime ou délit il y a eu ce serait prescrit. Elle prétend s'exprimer au nom de son frère mais en fait on n'en a aucune preuve et je suis sûr que ce n'est pas le cas.

Au-delà de cette question, le récit décrit bien la « liberté libre » de soixante-huitards pas du tout attardés ; ils passent très vite du « col Mao au Rotary Club », pour reprendre le titre d’un pamphlet qui a beaucoup à voir avec celui-ci.

Les portraits d’Evelyne Pisier et de Bernard Kouchner, les parents de Camille Kouchner, sont fascinants, complexes et débordants d’amour.

Si c'est le cas, cela veut dire que le motif c'est la déploration d'un divorce et d'un remariage et je rappelle qu'on n'a aucune accusation formelle quand à l'existence d'un quelconque délit sexuel. Elle l'a insinué mais je me souviens que l'on a raconté que tous les soir il rejoignait le frère de l'auteur. Duhamel aurait démissionné d'un poste quelque part et le 14 avril dernier je vois que  "Le Monde" nous apprend que l'accusé aurait reconnu des faits d'inceste et la victime qui en 2011 ne voulait pas porter plainte l'aurait fait à la suite de la parution du livre.

Le livre a donc bien été un instrument de pression de la soeur sur son jumeau et le 14 avril le Monde n'a même pas été foutu de déterminer si les abus étaient prescrits !!!

Tout est assez confus dans ce grand livre de la confusion comme dans cette « liberté libre » que les soixante-huitards s’autorisent avec leurs enfants sans pudeur et sans honte. Les enfants des soixante-huitards se reconnaitront à chaque page de ce beau livre, même s’ils n’ont pas connu l’inceste ou les soirées nudistes, sans culottes ni soutien-gorges ! 

Je suis pas du tout un fan du "naturisme", j'ai fréquenté deux fois en 74 un des endroits où ça se pratique en groupe. Une première fois en compagnie de deux "homos" lyonnais pas loin de Nikkaï et je ne saurais même pas y retourner. Soit dit en passant je me suis fait chier mais l'expérience n'ayant même pas duré une semaine, ça n'a pas vraiment été l'enfer. La seconde fois c'était il y a au moins 25 ans peut-être 30 ou 35. Il s'est agi de voir ce qui se passait en marge d'une place prolongeant à l'Est celle de cap d'Agde car si la presse a fait ses choux gras des partouzes hétéros  en bordure de mer ressemblant à des mêlées de rugby, ce qui m'intéressait c'était la fréquentation d'un triangle magique situé à l'arrière de ladite plage qui devenait, nuitamment un lieu de drague homo très prisé.

Rien à voir avec les attroupements des sectateur de la Vénus pandemos, simplement des petits groupes se faisant et se défaisant. Sauf que l'on m'avait raconté que dans des bosquets longeant un chemin reliant le "triangle magique" aux camping proche des femmes se faisaient sauter par des jeunes et invitaient des gays à les stimuler par l'arrière parce que, disaient-elle, ça les encourageait à prolonger leur propre labourage. Cela je ne l'ai pas vu mais en revanche j'ai vu beaucoup de jeunes garçons de 14/15 ans et plus s'envoyer en l'air avec des camarades de leur âge. Comme je n'ai pas été invité je suis passé sans les déranger. En fait ça devait être des jeunes désireux d'expérimenter la chose sans avoir à se même aux ébats de garçons plus âges et adultes se déroulant plus loin.

Bon enfin, si le livre est une dénonciation de liberté naturiste et bien on s'en fout carrément.

Mais quelque chose m'a sauté au pif, la mère des jumeaux s'appelle Lisier. Alors vous savez ce que c'est que du lisier ? Vous ne le savez pas ? Alors je vous affranchi ! Le lisier ce sont des déjections de porc donc un mélange de pisse et de merde de cochon réduit à l'état liquide par adjonction d'eau pour son épandage!

Moralité : je n'y peux rien, il y a des noms qui sont très inauspicieux ! A la place de la mère j'aurais commencé par tenté de faire effacer de l'état civil ce signe très mauvaise augure.  Je peux dire ça sans la moindre crainte car mon véritable blaze est au contraire un nom très auspicieux dont l'analyse au plan étymologique et kabbalistique s'avère non seulement très "lumineux" le blason qui est mien comporte un arbre synonyme de vie éternelle. Je n'en dirai pas davantage... Du côté de mes origines albionique le blason comporterait 3 étoiles où quelque chose dans ce goût là. Je n'ai donc pas trop de soucis à me faire : bon sang ne saurait mentir !

Enfin je me pose la question suivante : Duhamel a t-il reconnu un inceste ou seulement un abus sur mineur ! dans le cas de la première hypothèse s'agissait d'un juriste de profession, ça serait le dernier des cons ! Enfin peut-on témoigner de l'amour à ses parents biologique en faisant un livre présentant la configuration familiale comme n'ayant été qu'un gros merdier.

Là encore on voit que le goût du public en matière de livre, n'est qu'un goût de chiottes puisqu'on s'est jeté dessus ! Preuve de plus que le goût d'un large public qu'il s'agisse d'histoire de "pédophilie" est très très scatologique... Nous sommes bien loin des XVII et XVIIIème siècle où l'on savait écrire des pamphlet assez vaches sans matraitée notre si belle langue comme l'a fait une garce nommée Camille Kouchner. Peut-être qu'étant si mauvaise juriste, elle gagne mal sa vie dans ce domaine et que c'était l'occasion d'arrondir ses fins de mois.

Apprenez-pour finir que le 14 juin, on apprenait que l'enquête avait été classée sans suite à cause de la prescription. Finalement, la conclusion qui s'impose est qu'il y a derrière cela surtout un règlement de compte envers le beau père. Et en des temps plus civilisés que le nôtre les esprits forts n'auraient pas manqué d'insinuer que la sœur pourrait avoir été jalouse du pouvoir de séduction sans doute involontaire de son frère. Frère qui a été contraint, le mot n'est pas trop fort, de porter plainte en vain.

Je découvre finalement que dès le 21 janvier on savait les faits prescrits et "Victor" (un pseudo) aurait porté plainte pour des raisons "symboliques". A t-il vraiment souffert de l'attention de son beau père, on ne le saura jamais mais il est clair qu'on a là l'exemple d'une technique typiquement féminine quant il s'agit d'atteindre un but par n'importe quel moyen.

La prochaine fois je vous parlerai du projet que l'on prête à Bill Gates de relâcher le virus de la variole pour, à l'occasion, faire du fric avec un nouveau médocs contre cette maladie, bien sûr c'est pas pour relancer l'usage d'une plante carnivore qui a fait ses preuves à la fin du XIXème siècle...

Notons pour finir que la mère du pseudo "Victor" est décédée en 1984, elle n'aurait sans doute pas apprécié l'initiative de sa fille qui a couvert sa famille de honte. Ce livre n'est pas une preuve d'amour envers ses géniteurs mais plutôt l'inverse.

Bilan : un juriste qui n'avait pas l'air de savoir si son frère avait été abusé et qui au surplus ne sait pas écrire correctement en faisant preuve d'un minimum de talent, c'est consternant. Et la populace se jette là-dessus contre la vérole le faisait au détriment du bas clergé. c'est du joli !

Bien sûr comme le mot d'ordre c'est de privilégier la solidarité avec les victimes réelles ou supposées d'abus sexuel personne à ma connaissance n'a été foutu de faire, de cette affaire, un recension qui tienne vraiment la route. On est vraiment tombé très bas avec "Le Monde" comme chef de file d'une presse inféodée aux pouvoirs en place.

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