Dans la série "histoire de rigoler" : connaissez vous les "nouveaux mots du sexe" ? (29/09/2021)
Oui, par exemple, savez vous ce qu'est la "sapiosexualité", la "skoliosexualité" etc...
Voir : https://www.flair.be/fr/self-love/sexo/hetero-homo-sapio-...
Et aussi https://fr.metrotime.be/actualite/polyamour-pansexualite-...
Notez que les catégories complexes envisagées ont toutes leur drapeau et je suppose des signes de reconnaissance. Et toutes ces subdivisions de goûts sexuels se chevauchent plus ou moins, un véritable labyrinthe...
Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Symboles_LGBT
Je disais dans le post précédant que je pourrais ouvrir une consultation de sexologie. Oui certes mais il me manque une petite "mise à jour". Cependant, rassurez-vous je n'aurais pas besoin d'un long stage, quelques lectures ciblées suffiraient et voici une revue partielle du genre de "bêtise" que je viens d'évoquer.
Je pourrais proposer à mon éditeur Ambre, un livre revigorant mais je me demande si c'est bien le genre de la maison de publier un pamphlet qui risque d'exciter contre moi un certain type de hyènes féministes. Aussi, je me bornerai pour l'heure à un petit échantillonnage de réflexions qu'aucune revue actuelle, même pas les "Valeurs" du même nom ne saurait accepté vu que ma vision de l'homosexualité comme chose parfaitement normale et pas vraiment aussi minoritaire qu'on le dit est bien de nature à faire grincer beaucoup de mâchoires...
Cela dit le concept de "sapiosexualité" aurait été inventé à la fin du siècle dernier, deux ans avant l'an 2000 et en l'avouant je risque ne passer pour complètement "naze".
Recherche "homos sapiosexuels" de moins de 40 ans bien conservé pour servir occasionnellement de "garçons de compagnie"
Un "homo sapiosexuel" c'est ce qu'il me faudrait. Il m'en faudrait même plusieurs parce que la routine n'est pas mon fort, certains jours je préfèrerais un garçon plutôt imberbe et d'autre un doux barbu plutôt réceptif quoique je commence vraiment à me poser des questions, la seule chose sûre étant que "mâle" je le suis assurément dans ma tête et dans mes attitudes sociales.
Un "sapiosexuel" ça peut être un "gérontophile" recherchant un partenaire assez intellectuel
J'envisage la chose de mon point de vue, cela va de soi sauf que on s'accorde sur la définition générale que voici :
Le sapiosexuel peut être hétéro, homo, bi, indépendamment de tout le spectre du genre ou d'identité, mais il est attiré affectivement et/sexuellement par l'intelligence d'une personne, par un esprit vif et un intellect charismatique.
Seulement ? Autrement dit est ce que les "sapiosexuels" s'accommodent de vieillards pouvant être sujets à des troubles de l'érection. En dépit de la richesse, en nombre, des définitions de nouvelles pratiques plus ou moins sexuelles, on néglige des détails capitaux pour savoir vraiment de quoi on cause.
Une histoire vécu de quelque chose qui semble relever d'une forme curieuse de "sapiosexualité" (platonique)
Je crois avoir croisé et reçu récemment un "sapiosexuel", hétéro, foncièrement platonique envers les "homos" voir à demi répulsé et excessivement dominant qui prétendait avoir raison sur tout et si ça ne s'est pas trop mal passé vu que j'ai un ascendant en Balance et un soleil en Cancer très paternel, j'ai quand même du le prévenir que s'il continuait ses bêtises, il allait retrouver ses affaires devant la porte et allait devoir filer la queue entre les jambes dans une jolie voiture blanche.
Parmi les "bêtises" il y eu cette affirmation selon laquelle un maître qui n'apprend plus de ses élèves n'est plus digne d'être appelé "maître". Singulière "prescience" pour qui peut deviner quel type de parcours (spirituel) très atypique que j'ai suivre.
Réflexion singulière, vous en conviendrez car elle contient le revendication d'une reconnaissance de "maîtrise" à un titre quelconque immédiatement niée parce que la relation hiérarchique normale, et bien il prétendait l'inverser à son profit exclusif.
La citation originale il l'a retenue d'un stage de bouddhisme qui a eu lieu dans son pays d'origine, le Portugal. Stage où il a rencontré une dame tandis que le prénom d'icelle l'exposait à rencontrer des épines en voulant faire une pause chez elle avant d'atteindre le but de son voyage.
J'ai répondu ceci : n'oublies par que Meunier est maître en son moulin !
La transformation du texte original est assez démagogique car dans la version originale, il s'agit des relations entre un maître spirituel et des disciples. Sauf que dans le cas de figure envisagé, le programme envisagé ne comportait aucun "gouroutage" mais une part de tourisme, de médecine chinoise, tandis que mon rôle se limitait à la partie "hôtellerie" avec les devoirs de politesse qu'implique le fait d'être reçu gracieusement chez quelqu'un et il ne suffit pas d'arriver avec des cadeaux qui peuvent s'avérer après coup comme des sortes de relais d'une véritable prise de possession, au demeurant inconsciente. Sauf que quand une série de petites tuiles désagréables et synchrones se produisent à distance, et que deux d'entre elles viennent à toucher des personnes étrangères à la relation, il y a lieu de se poser des questions ! Je note également un assortiment de signes à répétition, pour commencer un affreux papillon gris qui se colle sur la porte juste le jour de l'arrivée du visiteur et un autre papillon pas sympa après un certain dégagement.
C'est ainsi qu'après le départ de mon "client", j'ai du faire appel à différents moyens "canoniques" pour "trancher" la relation et même effacer au mieux toutes traces de son passage et je préfère ne pas m'étendre sur un sujet assez douloureux. Il n'entre évidemment pas la moindre méchanceté dans ce que j'évoque au contraire mais on ne peut pas venir vers quelqu'un pour être aidé et systématiquement éluder toutes ses remarques et objections et même se comporter comme une sorte de mufle à l'égard de la thérapeute censé contribuer à le sortir de son ornière.
J'ai retrouvé en faisant le ménage dans mon ordi une réponse à un questionnaire d'une praticienne. Et mis à par les signes d'électrosensibilité, et de diverses incommodités plus des signes de fatigue chronique on n'y trouve rien qui puisse orienter vers un diagnostic clinique précis. Excepté la démonstration récente d'une déminéralisation anormale, j'ai de multiples raisons de penser que le cas ne relève même pas d'un exorcisme mais d'une bonne psychothérapie. J'ai des raisons de penser qu'il est tombé sur la "bonne personne" mais il ne pouvait que la fuir car lorsqu'on met le doigt où ça fait très mal, il faut une certaine humilité pour supporter le traitement.
On me permettra je suppose d'éviter de sombrer dans un excès de gravité qui ne peut que nuire à la cure pour le cas où le principal destinataire de ce post viendrait à me lire. J'ai fait en sorte de dégager son email de la liste des abonnés car son état d'extrême susceptibilité ne peut que compromettre toute efficacité. En attendant, je suis certains que la présente étude devrait aider pas mal de gens à surmonter le genre de fantasmagorie que je dénonce.
Sur les dangers fort subtils des relations à tendance "sapiosexuelles"
Clairement l'intéressé est "habité". Il le craignait et s'est du reste imposé à un exorciste avignonnais qui, comme à l'accoutumée l'a renvoyé, vers la psychiatrie. Le seul problème dans cette histoire consiste à croire, par exemple, que l'on aurait été marabouté par ou pour le compte d'une ou plusieurs femmes envers lesquelles on se serait mal comporté alors qu'il s'agit bien d'autre chose.
A savoir qu'un besoin assez franchement suspect de séduire les personnes des deux sexes (dont il aurait fallu chercher l'origine et la cause...) attire non seulement des importunités homosexuelles quand on est hétéro, mais conduit à peut conduire à une forme de vampirisme inconscient.
Enfin c'est tout de même curieux : au début de la relation, celui que j'ai en vue m'a été demandé si je n'allais pas déprimer lorsqu'il serait parti. Il n'y a pas 36 moyens de l’interpréter : il voulait s'assurer que son besoin de séduction allait fonctionner au point de vouloir déterminer s'il allait ou non occuper mon esprit sitôt tourné les talons. Manifestement, il n'a pas entendu ou voulu entendre certaine allusion à un parcours intellectuel peu commun puisque cela à consister à faire référence à la formation reçu d'un "maître à penser" dont évidemment il a bien fallu dépasser les limites. Il faut toujours "tuer son père" (qu'il soit génésique ou "spirituel") pour acquérir l'autonomie. c’était un avertissement lancé en parfaite connaissance de cause et non une proposition de "gouroutage", une chose que je déteste par dessus tout !
Une répétition d'une histoire ancienne en mode apparemment soft
Disons que ça m'a rappelé une histoire ancienne à laquelle j'ai du faire allusion dans l'un ou l'autre des mes blogs sauf que la première s'est déroulée en mode grossier avec apparition de chat noir crevé et scène finale dans le style d'un des épisodes façon film l'Exorciste.
Je m'explique : il y a de cela bien des années je rencontre sur la jetée de Nice un garçon qui se douchait 3 fois par jour et se frictionnait d'eau de Cologne. Je lui demande la cause de cette "névrose de propreté" excessive. La scène se passe en plein hiver. Il me répond qu'il a du se prostituer et se sent très sale. Je l'héberge quelques jours. Je n'ai pas de souvenance de ce que nous avons pu faire ensemble car le souvenir se mélange avec celui d'un autre gars. En revanche, je me souviens assez précisément de sa "confession"...
Au bout d'un moment, je lui propose la chose suivante : là tu erres comme une âme en peine. Si tu parviens à te poser à dans la vielle, je te propose des entretiens. Je n'attends rien en échange et surtout pas qu'on couche ensemble, il s'agit simplement de débrouiller l'écheveau que tu portes. Si tu te sens redevable tu peux me tenir compagnie pour une promenades, des randonnées mais on garde de la distance.
Qu'est-ce que je n'avais pas dit là ! Il est devenu subitement fou et a filé comme s'il avait le diable à ses trousses. Je vois encore la scène. Je me dis putain j'ai remué quelque choses, il est foutu d'aller se jeter dans la mer ou de faire une connerie. C'était le soir. Je me dirige vers la jetée où je trouve un infirmier de l'hôpital psychiatrique de Sarreguemines en vacances et dont j'avais fait la connaissance quelques jours auparavant. Je lui dis de me suivre vers le fond de la jetée, qu'il risque d'assister à quelque chose de plus ou moins spectaculaire. Il me suit. Quelques dizaines de mètres plus loin on a failli marcher sur un chat noir crevé que la tempête avait rejetée. Je lui dit alors tu vois ça c'est un signe de "diablerie". On cherche dans la mauvaise direction et on fait demi tour ! de fait je vois le phénomène arriver vers l'entrée. Il était déchaîné une voie horrible parlait par sa bouche me traitant d'odieux "pédophile" style fil l'Exorciste.
Je ne me suis pas démonté : ce n'est pas toi qui parles mais une entité qui a pris les manettes. Tu viens prendre tes affaires et tu te tires et surtout tu ne laisse rien derrière toi. Trois jours durant je l'ai vu se démener là où il prenait ses douches et il a disparu à jamais. Ensuite je ne sais plus comment, j'ai fait le lien avec le fait que dans une ile où se pratique le Vaudou il avait été sollicité par un mec dont il avait refusé les avances et ce dernier a du l'envoûter de sorte qu'il ne sache plus ou il habite et soit condamné à une errance perpétuelle et ne puisse être aimé et aidé par personne. c'est triste et assez horrible mais ça existe...
La relation entre les deux histoire
La seconde étant une répétition en mode plus soft mais à bien des égards plus redoutable par son côté "bipolaire" avec d'un côté un "petit garçon" paraissant 25/30 ans attirant l'empathie et de l'autre un personnage de 44 ans assez déplaisant singeant la maturité que j'ai du recadrer ne serait-ce que parce qu'à table, si je l'avais laissé faire, il se serait laissé capter par une vidéo sur son portable. Une sorte de "tentateur" qui voulait me pousser à passer des annonces pour trouver un compagnon tout en me reprochant d'être trop difficile attendu que j'ai une limite d'âge. Or il faut une différence de potentiel sensible pour qu'une relation soit complémentaire. Or je suis fixé et depuis l'âge de 40/45 ans j'ai commencé à faire mon deuil de tout cela. Parce qu'en plus de la difficulté inhérente à toute relation intergénérationnelle il y a le fait du risque d'une "panne" à la moindre fausse note de la part du partenaire. En plus je me vois mal dialoguer avec des garçons ou des hommes d'une ou deux générations après la miennes, y compris pour des motifs autre qu'un "plan Q". Le style de culture que j'ai acquis constitue un obstacle. Il faudrait qu'il s'agisse d'une relation purement affective et spontanée et sans complication intellectuelle quelconque, ce genre de chose a existé avant Mai 68 mais n'a plus aucune chance de se produire vue le changement radical d'ambiance.
La "sapiosexualité" un mode absolument foireux
On notera que "sapio" a rapport non pas avec l'intelligence mais bien la sapience, donc un mélange de science et de sagesse. Ce qui, je pense, sans pour autant me faire des bleus aux chevilles me caractérise assez bien.
Néanmoins, le concept dont on parle est foireux car on omet de dire qu'à mon avis l'intelligence ne peux faire "bander" un pénis ou un clitoris que lorsqu'elle émane d'un être encore relativement jeune et beau... Et apparemment on n'aurait pas prévu d'en arriver à ce niveau de détail.
Voyez la définition de Wikipedia au sujet de cette pratique des plus étranges. On y apprend que Marlène Schiappa, la "courge" qui nous tien lieu de ministresse de la condition féminine se dit "sapiosexuelle". Je dis courge car Ho scaricato la schiappa se traduit par J'ai viré la courge. Ce qui va forcément arriver dans quelques mois. Je ne sais de quel légume une courge peut s'amouracher dans un potager mais il ne peut s'agir que d'un végétal un peu moins bête et se tenant droit avec plus ou moins d'élégance.
Enfin j'espère vous avoir convaincu que pour quelqu'un qui aspire à une sagesse plus ou moins folle, la sapiosexualité, quand elle se présente peut s'avérer, pour la cible d'une telle pratique, une aventure assez dangereuse si on n'a pas été préparé. Et même avec la préparation adéquate, on peut manquer de voir venir parce qu'on ne connaît bien les gens qu'en vivant avec...
La case "a-sexualité" comme sommet du "foutage de gueule"
La description de l'article donné en référence plus haut est franchement merdique. Le paradoxe de l'asexualité c'est que le terme employé sonne très mal car le caractère privatif de la chose n'est pas sensible à l'oreille, bien au contraire la prononciation du mot affirme le contraire de ce qu'il est censé vouloir dire à savoir la présence, pour ainsi dire obligatoire, d'un minimum de pratique sexuelle, à savoir la MASTURBATION !!!!!!!!!!
La question étant de savoir si on peut jouir de cette pratique, que l'on appelait jadis "vice solitaire", en regardant un camion passer, par exemple. Certes voir par exemple un camion s'enfiler dans un tunnel routier peut évoquer un phallus rentrant dans un "con" ou un cul pour parler à la mode des lettrés du XVIIème siècle.
Pour plus de précisions sur le sujet, il y en a des tonnes sur le Net, voir :
http://kelove.fr/blog/54-symboles-asexualite
L'a-sexualité n'existe pas et se confond avec le cas des "graysexuels"
En effet, on ne peut pas jouir sans qu'il n'existe un désir sexuel et les "graysexuels" ont simplement une libido faible. J'ai des raisons de penser que derrière ce que l'on appelle "a-sexualité" il faut nécessairement rechercher un traumatisme, et celui qui vient à l'esprit c'est la possibilité d'avoir subi dans l'enfance un abus sexuel quelconque en l'ayant plus ou moins refoulé.
Notez que d'après mes observations le fait d'être déficient physiquement ou psychiquement ou d'être diminué par l'âge n'empêche nullement la possibilité de désirs sexuels très forts même si ça se solde nécessairement par un frustration plus ou moins intense.
Le problème est que toutes les variantes dont fait état l'article, au demeurant largement incomplet, donne lieu à l'apparition d'associations de défense qui prétendent interdire de contester le genre de définition que je viens de mettre en cause.
Mais qui en a décidé ainsi : des médecins, des psychiatres qualifiés ?
Pas du tout ! Toutes ces déclinaisons en matière de goûts sexuels réels ou supposés relèvent de lubies inhérentes à l'idéologie "LGBTrucbidulemachin" (car on ne cesse de rajouter des lettres au "tétragramme" initial) et toute cette (censuré) vient, avec le Wokisme, la cancel culture, et j'en passe, d'Universités américaines devenues plus ou moins folles dingues.
Des "identités sexuelles"
Il existe d'un côté, vu du côté masculin l'amour des femmes (hétérosexualité) et l'amour des garçons (revêtu d'un malé-diction, l'homosexualité qui est un concept barbare de médecine légale) plus la possibilité d'un mélange des deux (bisexualité).
On a cessé de considérer l'amour du même comme une maladie mentale, c'est heureux puisque les listes officielles d'hommes tenus pour "grands" comportent une forte proportion voire une dominance de mecs qui n'appréciaient que modérément les femmes... C'est ce que mon visiteur à nié prétendant que je vois des "homos" partout. Or non seulement quand on s'est promené a Nice il m'a désigné tous ceux qu'il a croisé et à remis fréquemment, à table, le sujet sur le tapis alors qu'il était venu pour se faire traiter la une forme de médecine traditionnelle chinoise.
Et s'il faut en rester à cet interdit de discrimination, en revanche ces préférences ne doivent pas interférer avec la considération de choses plus importantes. Mon jugement sur ce qui se passe n'est pas faussé par l'une d'elles, il se trouve simplement que vu les persécutions d'autre fois il a été rendu beaucoup plus pertinents du fait d'une certaine hypersensibilité qui a du reste, à l'origine, d'autres causes que sexuelles.
Quand on dit que ces préférences doivent demeurer du domaine de la vie privée, c'est une hypocrisie et c'est faux parceque c'est très souvent impossible. Si vous habitez la campagne et que vous ne manifestez pas d'empressement envers des femmes on ne se pose pas la question de savoir si vous êtes veuf ou divorcé, on vous colle une étiquette et si vous avez un peu plus d'esprit que la moyenne çà peut susciter de la jalousie et des réactions fort peu gracieuses.
Les "hétéros" n'ont pas à se cacher, ils fondent des familles. Le juste-milieu est à trouver entre la dissimilation et la transparence revendiquée dans un peu prosélythe comme c'est le cas au sein de l'idéologie LGBT que je conchie allègrement et sans aucun complexe. Les "homos" peuvent donc choisir ouvertement de vivre ensemble sauf qu'avoir décoré l'une des possibilités du mot "mariage" a bien quoi dégoûter bon nombre d'en faire l'expérience.
Si j'avais une fortune à transmettre à un élu du même sexe, çà me ferait vraiment caguer d'avoir à passer par cette parodie devant un Maire. Fort heureusement, ou plutôt malheureusement le problème n'a pas à se poser... Malheureusement s'entend parce que ma fortune est médiocre. Pour ce qui concerne le volet "bonheur" la gérontophilie n'a pas la côte, bien au contraire. Sauf que ce qu'on baptise "pédophilie", souvent n'en est pas !
La "pédophilie" une hantise et une addiction très très contemporaine
Or il y a eu là un renversement ! Tous les anciens vous diront qu'autrefois les jeunes garçons étaient plutôt attirés par des adultes, voire s'accommodaient d'être touchés par des "vieux". D'une part parce que les moyens de contraception n'étaient pas disponibles et la possibilité d'avorter encore moins d'où relative indisponibilité des filles et en plus il est normal, pour un jeune en développement, d'éprouver le besoin d'être "reconnu" par un adulte jeune ou pas trop avachi.
J'ai commencé ma "carrière" juste au lendemain de mai 68, des garçons à peine plus âgé que la fête m'ont souvent dit que la fête était finie, c'était mieux avant, au début du siècle dernier et plus tard encore, il y avait pas de "truqueurs" ou d'agressions dans les lieux de drague etc...
Une collection d'étiquettes délirantes et largement inopérantes
Bref, je constate qu'on répand des idées complètement fausses en matière de sexualité et que l'éclatement des catégories de pratiques sexuelles et le besoin de coller des étiquettes ultra précises sur les diverses modalités objectives et surtout subjectives de ces pratiques, relève d'une certaine démence. D'abord parce que la nature humaine et la Nature tout court sont complexes, et qu'un même individu peut éprouve presque en même temps des besoins assez franchement contradictoires.
Finalement cette le produit de la "dissection" en cours des modalités de pratique sexuelles ne reflète guère qu'une sorte de peur panique devenant la fascination engendrée par la sexualité en tant que phénomène nécessairement à risques multiples soit psychologues et sanitaires...
La "théorie du genre" et les "dysphories de genre"
On ne peut faire de bonne médecine en faisant l'économie de la théorie en question et des anomalies qu'elle engendre.
Il est faux archi faux de soutenir que la notion de genre est le produit d'une culture ambiante. Hommes et femmes fonctionnent différemment du point de vue hormonal. Cela implique forcément des différentes générales de caractère.
Si je viens à caresser un chat dans la rue, sans lui soulever la queue, je sais de suite si j'ai à faire avec un matou ou une minette. Les minettes en général font des "manières" pour se faire caresser et les matous sont moins sujet à des "troubles du comportement" relevant de ce que l'on appelle "hystérie" qui a tendance à mélanger le je veux et je veux pas et tant qu'à faire à faire monter les enchères...
Normal ! Toute femme qui se respecte a, en principe, pour vocation la plus évidente de mettre bas. Pour cela il est préférable de choisir le mâle le plus offrant, le plus beau, le plus fort et dans les cas des bipèdes, le plus fortuné quand c'est possible. C'est une question de pure sécurité. On ne peut pas faire et élever des enfants et s'accommoder d'un environnement par trop spartiate alors qu'au contraire, traditionnellement les amours homosexuelles étaient le propre de la caste guerrière. On ne peut pas faire le métier le plus viril, sans risquer de tomber sous le charme de jeunes guerriers prometteurs. L'homosexualité c'était aussi le "péché philosophique" dont c'est assez normal qu'il se rencontre assez fréquemment chez les prêtres à qui on a enseigné qu'Eve s'est avérée être l'interlocutrice privilégié d'un certain serpent édénique. Le seul problème est que le "coaching" que tend à impliquer la chose est en désaccord complet avec un interdits communs aux trois monothéismes. Et à cet égard, c'est bien le christianisme qui s'est avéré le plus "toxique" alors que l'Islam vend à ses "clients" un paradis franchement bisexuel !
La culture "gay" ? Un "bourgeoisisme" excécrable
Malheureusement, la pratique de l'homosexualité est devenue une chose excessivement bourgeoise avec la culture dite "gay". J'ose dire qu'à mes yeux cela relève quasiment de l'horreur. Chacun est libre, bien entendu de ses goûts dès lors que cela ne nuit à personne mais que ce genre de finalité puisse s'imposer comme étant pratiquement la seule "norme" acceptable en la matière relève bien d'une imposture. Ce n'est pas un progrès c'est une reculade et il faut bien dire que si la monogamie homosexuelle est respectable et peut même être touchante par son aspect de fidélité, c'est tout de même contraire à la nature profonde de la chose. et qu'en fin de compte çà ne peut relever que d'exceptions en faveur desquelles la peur du Sida et la succession des crises économiques qui constituent les principales causes de la "mutation" en cours mondialement
Raison pour laquelle j'ai dit à un visiteur, si tu veux vivre une sexualité libre comme tu ne peux pas considérer les femmes honnêtes comme de simple "vide couilles" tu as d'un côté la prostitution et la chose à un prix ou l'amour des garçons ou des hommes et çà peut être gratuit avec éventuellement la possibilité d'échapper à la routine mais çà suppose des dispositions quelque peu contemplatives pour ne pas, un jour, se fracasser sur une immense frustration.
Un "barbu" particulièrement détonnant
Quand à la multiplication des "dysphorie de genre", à savoir le fait de ne pas savoir, pour une fille ou un garçon s'il est un mâle ou une femelle. Et cela nous renvoie à l'histoire célèbre de ce barbu à qui on donne du Monsieur qui répond : qui vous dit que je suis un homme et se révèle "non binaire" donc, si j'ai bien compris ni homme, ni femme ?
Le comportement de l'homme qui s'est prétendu "non binaire" sur ce plateau et qui aurait déclenché une tempête de rires sur les réseaux sociaux, procède d'une ARROGANCE et donc d'un ORGUEIL insupportable. Il existe deux genres avec la possibilité d'accidents que l'on appelle hermaphrodisme et dans ce cas, il devient nécessaire pour celui qui en est victime de faire un choix, aidé en cela pas des "psychologues" convenablement formés à cette problématique. Mais cela relève des exceptions assez rares...
Je regrette mais le présent monde est celui de la "dualité", il est donc essentiellement binaire. En matière de sexe, on peut comprendre qu'un garçon puisse avoir des traits et des comportements jugés féminins (la douceur par exemple qui n'est féminine que dans le cas de la maternité) ou qu'une femme aie des tendance viriles et soit capable de conduire un camion, un engin de travaux publics ou de mener avec fermeté et compétence une affaire ou un service quelconque.
Mais quand à se présenter au public en lui intimant l'ordre de prendre en considération des prétentions qui ne peuvent pas laisser de traces visibles, cela relève d'une aberration mentale complète car en fait la non binarité ? C'est un hermaphrodisme qui se limiterai au niveau du seul vécu subjectif. Or nous sommes tous plus ou moins "non binaires" et il n'y a que les gens les plus grossiers, les "cons" et leurs homologues féminins qui sont franchement "binaires" au point qu'on puisse avoir légitimement envie de les flinguer.
En d'autres termes, on se présente avec une apparence où domine ou le masculin ou le féminin et la société attend un comportement en rapport avec les "convenances" admises pour chaque genre de sorte que la prétention à obliger autrui à prendre en considération le statut d'exception revendiqué est non seulement abusif mais franchement risible. Je présume que l'homme que l'on voit dans la vidéo entend se réserver la possibilité d'éprouver des orgasmes à caractère féminin mais qu'est-ce qu'on en a à foutre. Si c'est le cas qu'il se fasse engager par un éditeur porno et se fasse filmer en se titillant l'anus et ou la prostate avec des instruments appropriés. Seulement je crains que ça ne fasse pas bander grand monde car cet individu s'est avéré particulièrement désagréable.
Des traitements hormonaux scandaleux avec une vague de suicides à prévoir
On en serait arrivé, m'a t-on dit à donner des hormones à des enfants de 8 ans qui veulent changer de sexe. Quand je me suis rendu compte que je n'éprouvais pas d'attirance sexuelle pour une femme, on (un oncle) m'a dit attends de grandir, çà peut changer ! Bon ça n'a pas changé mais de toutes façon il n'était aucunement question de changer de sexe bien au contraire...
Vive l'auto-sexualité !
Je dis cela en rigolant car arrivé à un âge canonique, c'est sans doute la solution la moins risquée socialement puisque cela ne sort pas du domaine privé et je pense en particulier aux merveilleuses possibilités offertes par l'invention de toute une gamme d'Aneros ou d'instruments vibrants que pas mal d'hétéros utilisent avec délice n'ayant pas le moindre doute sur leur identité de genre.
Il y aurait d'après les spécialités 6 possibilités orgasmiques masculines dont l'orgasme prostatique à ne pas confondre avec la modalité anale. Notez que c'est conforme à la symbolique des nombres puisque le nombre 6 représente un phallus se redressant. s'agissant de possibilités naturelles, il vaut mieux peut-être ne pas attendre d'être trop handicapé pour les expérimenter.
Le développement exponentiel de la pornographie concourt à l'ordre public
La pornographie n'entraîne de dommages que pour les jeunes qui commencent par là et risquent de sombrer dans une forme d'autisme. Les fausses notes sont rares en la matière virtuelle et le choix des rubriques (très étendues côté "homo") fait qu'on trouve toujours plus ou moins de choses à son goût. Mais la réalité est d'une dureté assez tranchante surtout côté féminin. Je pense du reste qu'en matière de fort et de faible, il faut inverser les propositions. Le sexe fort moralement c'est le sexe féminin. La force chez les hommes ne sert plus à grand chose vu l'existence de machines et bientôt de robots domestiques. En revanche, les choses sont ainsi faites qu'en principe un mâle ne peut subsister qu'avec un minimum d'approbation de ses pairs.
Le développement de la pornographie va de pair avec les persécutions des trente dernières années visant à décourager la fréquentation de lieux de drague "homos" à l'air libre parfois très éloignés des centre ville et qui faisaient plus ou moins désordre. Ainsi comme la nature à horreur du vide, à Nice les mecs amateurs de mecs frayaient sur et en dessous de certains blocs de la digue du port et se sont trouvés remplacés par un camps de migrants de sorte que je ne suis pas sur que l'on ait gagné au change s'agissant de prétendant à la citoyenneté hexagonale de tendance généralement hostile à nos racines chrétiennes.
Enfin, il paraît qu'en matière d'autisme sexuel comme fruit entre autres facteur d'un certain type de pornographie répandue par certains types de "mangas", les jeunes japonais mériteraient le pompon !
A cela s'ajoute à présent l'obligation d'une "distanciation sociale" imposé sous prétexte d'une fausse pandémie. Il est clair que la mesure et comble et que ça risque de péter mais c'est une illusion, je le crains... Quand on découvre a quel point la société actuelle est devenue d'une pruderie pire que celle du XIXème siècle réputé "stupide", il y a vraiment de quoi se la prendre et se la mordre !
Conclusions
Force est de constater que Mai 68 a fini par accoucher d'une véritable horreur. Il était interdit d'interdire mais à présent le mélange d'humour anglais et d'ironie à la française que je pratique après plusieurs siècles de naturalisation pourrait, si j'insistais trop, me valoir un procès en diffamation par les défenseurs de ces "nouvelles pratiques sexuelles" que j'ai ridiculisées.
Et oui l'idéologie LGBT avec ses rallonges sous forme d'ajouts kabbalistiques de lettres majuscules fait partie de ces "nouvelles religions" en forme de "carnaval" dont on doit respecter les dogmes en s'agenouillant et même en se prosternant ventre à terre !
Et bien non, je fais partie des derniers résistants qui refusent de s'aplatir et qu'on ne peut pas traiter de "réactionnaires" puisque pour moi préférer les garçons ou les hommes (encore relativement jeunes) à des femmes est chose parfaitement évidente et même très salutaire eu égard aux progrès effarent du féminisme le plus radical. Le féminisme tendant à se laisser dominer par une catégories de femmes qui, autrefois, se revendiquaient en tant que "gouines rouges du MLF". Quand je vois la terreur qui s'empare des ex "machos", je ne peux que les mépriser. La virilité n'est pas du tout du côté où elle s'affiche. Cela dit je représente une infime minorité sauf que je sais que pas mal d'hétéros pensent comme moi. Alors qu'attendent-ils pour taper du point sur la table et dire : toutes ces conneries ça suffit, ras le bol !
Fonder une famille, avec toutes les responsabilités et les charges que cela implique, sans compter les maltraitances obligatoires (11 vaccins plus ou moins bâclés voire pollués pour les nourrissons) tend à relever d'un mélange de témérité et surtout d'inconscience. Mais bon comme disait mon grand père, tous les goûts sont dans la nature. Il ne manquait pas de compléter la formule par un complément assez malsonnant dont je vous dispense volontiers et dont vous pouvez deviner la teneur s'agissant d'une substance assez verte à tous égards !
Il va de soi, encore faut-il le souligner que la remarque s'adresse à la génération montante en âge de procréer pas aux générations antérieures qui ont travaillé pour la France (ou tout autre pays) en une époque beaucoup moins noire que ce monde de dinguerie contemporaine que nous avons sous les yeux.
On me dit que beaucoup de gens sont en train de prendre conscience de la chose, personnellement j'en doute mais j'en accepte volontiers l'augure. On verra bien !
Je commence sérieusement à fatiguer et je n'aspire pas à trop radoter, je risque donc d'espacer grandement mes interventions.
J'ai le sentiment que le "daïmon" quelque peu socratique qui m'en souffle des vertes et des pas mûres, les fautes de frappe et d'inattention mise à part s'est quelque peu surpassé.
Soyez aimables, Abstenez-vous de colporter mes "salades" au sein de ces réseaux sociaux où je ne m'aventure guère ne fut-ce qu'en simple observateur. Je n'aspire aucunement à une reconnaissance universelle et mieux vaut se montrer discret si on ne veut pas se faire lyncher par la sacro sainte opinion publique de plus en plus roulée dans de la mauvaise farine par une presse à la solde de l'oligarchie de quelques milliardaires qui ont placé la plus grande partie de leur pognon chez Pfizer où, pour les petites fortunes bourgeoises chez Eurofins.
On parlais plus haut d'orgasme éjaculatoire comparé à des modalités plus subtiles, plus productives et non épuisantes et la présente prose est du genre "jaculatoire". Bien qu'il s'agisse de jaillissement (contrôlé en l’occurrence) il existe cependant une nuance : il ne s'agit pas d’éclabousser tout ! Enfin si la lecture de cette prose requiert une certaine subtilité, elle me parait à la portée d'un assez grand nombre de lecteurs. J'espère ne pas les avoir trop décoiffés...
Enfin ceusses qui seraient mal à l'aise en me lisant sont priés de se diriger vers la sortie et de commencer par se désabonner à la newsletter personne ne les obligeant à devenir masochistes...
Portez-vous bien !
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