La situation sanitaire et économique actuelle, désastreuse, pourrait grandement s'améliorer si des messages clairs étaient envoyés à la population s'agissant de la prévention possible de nombreuses formes graves de la maladie, et si on cessait enfin de demander aux généralistes de s’abstenir de tout soin actif quand ils détectent de nouveaux malades.
COVID graves, admettre l’existence des anticorps facilitateurs
Résumé
Le phénomène de facilitation des infections virales par les anticorps existe pour de nombreux virus dont les coronavirus. Au lieu de se comporter comme le décrit l’immunologie classique (effet protecteur), les anticorps permettent au virus de pénétrer plus facilement dans les cellules cibles. Ce mécanisme pourrait rendre dangereux un futur vaccin contre la Covid-19 : cet effet a été mis en évidence au cours d’essais sur des animaux avec des candidats vaccins contre le SARS1 de 2003. Cette facilitation pourrait aussi expliquer la deuxième phase de la maladie chez les patients sévèrement atteints : la phase inflammatoire aiguë serait due à la facilitation par les taux élevés d’anticorps anti-SARS-CoV-2 retrouvés exclusivement chez les patients sévèrement atteints.
Vaccin anti-Covid-19 et immunité de groupe, c’est non… et encore non !
Résumé : L’immunité de groupe est une notion qui repose uniquement sur des modélisations mathématiques tirées d’observations à partir de la rougeole pendant l’ère pré-vaccinale.
Ces modélisations et les stratégies préventives qui en sont issues ont failli à éradiquer cette maladie et failliront encore plus à maitriser le Covid-19 dû à un virus émergent, donc mal connu, dont les caractéristiques en termes épidémiologiques semblent bien loin de celui de la rougeole (d’après ce qu’on sait du SARS-CoV de 2003) et de ce qu’on a appris du SARS-CoV-2.
Les tentatives pour mettre au point un vaccin contre le SARS de 2003 (dû à un proche parent de SARS-CoV-2) ont toutes échoué depuis, en particulier à cause de la survenue de graves phénomènes immuno-pathologiques, dont la redoutable facilitation de l’infection induite par certains types d’anticorps. Pour cette raison, aucun vaccin ne devrait être commercialisé contre le Covid-19 sans que toutes les précautions aient été prises.
Les quelques essais en cours sont menés par des « start-up » et non par la grande industrie pharmaceutique qui comme à l’habitude attend pour se porter acquéreur des éventuelles découvertes futures.
IEC, sartans, statines et COVID-19, épidémie de cécité chez les « experts »
Je m'arrêterai là, le site comporte 17 pages comportant une dizaine d'articles. Je vous suggère d'utiliser la fonction de recherche avec des mots clefs. Le site ne parle pas que de Covid-19.
L'AIMSIB a aussi ses limites
Notamment à propos de Luc Montagnier que l'on le met en cause à propos de la mémoire de l'eau ou du rayonnement électromagnétiques des bactéries et des virus.
Voir l'intro de les 11 vaccins, le Nobel et les bureaucrates – Partie 1
Si j'ai un reproche à faire à ce Prix Nobel c'est quand il a adhéré à la fameuse étude indienne qui prétend avoir décelé dans la coronavirus en circulation des traces d'inclusion de VIH, de malaria. En effet, c'est bien cette prise de position qui a incité le Pr Fourtillan a accusé l'Institut Pasteur de l'avoir fabriqué et breveté avant de le répandre en Chine. Veuillez noter au passage que les dénégations de l'Institut sur son site sont le fruit d'un esprit particulièrement torturé. qui a produit 10 pages parfaitement illisibles qui se répètent en boucle.
https://www.pasteur.fr/fr/accueil/journal-recherche/actua...
Il aurait peut-être fallu commencer par souligner que cet institut privé n'a stricte aucun intérêt à vouloir produire un vaccin susceptible de faire mourir tout le monde ni d'avoir fabriqué une chimère rien que pour emmerder les Chinois. Même çà n'est pas dit clairement. Chimère ou virus naturel le coronavirus circulant ? Je suis dans l'incapacité de trancher.
Concernant les séquences prétendument incluses dans la chimère, on objecte que cela reviendrait à prétendre une relation entre plusieurs livres parce qu'on y trouverait les mêmes mots. Le problème est que l'on ne nous dit pas ce qui caractérise tel ou tel virus dans un génome...
Chimère ou pas chimère, la seule chose raisonnable est de s'en débarrasser en soignant correctement les gens et on a ce qu'il faut pour cela en prévention comme en traitement ponctuel. Point Barre !