Fin du régime en cours ? Ce qu'elle pourrait nous réserver... (20/12/2020)

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Vous avez bien lu : « Peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrai faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures, parce que les circonstances l’exigeront et qui rendront impossible le fait que je puisse être candidat. » Une déclaration sibylline et quelque peu menaçante qui n’a évidemment pas du tout intéressé les médias officiels mais qui a fait couler beaucoup d’encre sur les médias sociaux et dans la dissidence, comme j’appelle tout ce qui met en furie l’Establishment.

Je vous engage à lire l'article du premier mot au dernier et très attentivement....

En voici cependant les points essentiels...

1) Selon la Banque de France, le montant total de l’épargne des ménages s’élevait à 5 367 milliards d’euros au troisième trimestre 2019. Et il n’a fait qu’augmenter avec l’épargne « forcée » des consommateurs, enfermés chez eux pendant l’épidémie et de plus en plus inquiets pour l’avenir.

Début avril, les députés PS ont ouvert la danse en proposant « un prélèvement exceptionnel de solidarité sur les encours d’assurance-vie supérieurs à 30.000 euros ».

Même les quelques sous que les plus modestes d’entre nous ont déposé sur des livrets A ne sont pas à l’abri. « Est-ce que l’Etat pourrait dire demain je prends 10% sur tous les livrets A? En termes de prélèvement fiscal, rien ne l’interdirait», assure Philippe Crevel.

2) L’instrumentalisation de l’épidémie pour tétaniser et terroriser les populations a permis aux puissances d’argent d’engranger des profits considérables aux dépens des populations paralysées et d’augmenter leur pouvoir. Elle a permis de réduire les libertés individuelles et d’habituer les populations à vivre sous la botte de la police, au gré d’ordres arbitraires et iniques. Si cela ne suffit pas à faire passer des « choses dures », il reste toujours à M. l’Article 16 qui donne les pleins pouvoirs au président de la République.

A condition qu’il ne perde pas l’appui de la police et/ou de l’armée, il pourra alors faire absolument tout ce qui lui plaît, pas seulement des petites sauteries entre hommes à l’Elysée en plein couvre-feu, mais « repousser » les élections présidentielles, instaurer un état d’urgence illimité et, pourquoi pas, mettre en place une dictature à la chilienne.

Les choses semblent assez mal partie côté police, côté armée je vois mal le général de Villiers prendre la tête d'un sorte de coup d'Etat, le temps de remettre toutes les pendules à la bonne heure.

Ce qui est certain c'est que le Président hait ce peuple gaulois qui lui a tenu tête au travers des Gilets Jaunes et je le crois capable de nous faire une grosse vacherie avant de lâcher la barre rien que pour se venger de ne pouvoir se représenter.

3) Si donc y a des élections et que Macron ne puisse pas se représenter tant il s’est fait haïr des Français, il n’aura pas tout perdu pour autant. Outre que ses amis banquiers le récompenseront généreusement pour ses bons et loyaux services, l’histoire ne l’oubliera pas à la différence de Sarkozy et Hollande, les présidents petits bras à usage unique qui l’ont précédé.

Quant à vider et planquer l'argent de votre livret A je ne sais que vous dire, je ne suis pas financier pour un rond, adressez vous à Charles Gave. Si vous en convertissez le produit en or (pièces ou lingotins) payez les en liquides et ne les mettez pas dans un coffre de banque. Enfin quand vous voudrez les revendre vous risquerez une lourde taxation sur la plus value pour avoir soustrait votre fric aux spéculations des banquiers qui le font travailler. Je crains que l'on ne soit faits comme des rats.

Je vous en conjure lisez la totalité de l'article. L'article signé Dominique Muselet, je pensais qu'ils s'agissait d'un mec. Il s'avère être d'une femme et il est tout simplement remarquable à tous égards : pertinence, humour, pondération et clarté.

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