Les vérités de "Hold Up", le documentaire qui dévoile(rait) la face caché de l'épidémie de Coronavirus (14/11/2020)

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Je vous convie a écouter attentivement ce qui s'est dit dans ce documentaire. Pas d'observations critiques majeures à faire sur les 2 premières heures. Il en fait 3 à une ou deux minutes près...

Comme il fallait s'y attendre la presse aux ordres a été unanime à crier aux "fake news". Le journal, Le Monde, ce journal putassier au possible dont il faudrait brûler le siège (avec quelques responsables pour faire bonne mesure...) s'est fendue d'une critique acerbe, voir :

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/11/12/c...

Le Monde de MERDE.JPG

Premièrement, c'est faux le documentaire de s'affranchit pas des faits à de multiples reprises. Le monde cite les cas suivants :

  1. Une remise en cause hâtive du confinement
  2. L’accusation infondée contre le docteur Fauci sur l’hydroxychloroquine et le SRAS
  3. Un imaginaire pic de mortalité après le « Lancetgate »
  4. L’intox du Rivotril et de l’euthanasie des personnes âgées
  5. L’exemple enjolivé de la Suède
  6. Une fausse information sur des « camps d’internement » Covid au Canada
  7. Un prétendu test pour détecter le Covid-19 dès 2015

Sur le 1, remise en cause hâtive du confinement :

Ce n'est pas une question importante, ce qui l'est beaucoup plus c'est le changement radical à propos des masques, utiles seulement pour les malades et les soignants au début (quand on n'en avait pas), ils sont devenus incontournables même en plein air quand il est devenu politiquement avantageux de "museler" une population rétive.

En ce qui concerne le confinement, on ne peut constater qu'une chose : l'épidémie a suivi la courbe en cloche avec chute à la belle saison comme toutes les épidémies du même type. Et il faut compter dans cette courbe au moins moitié sinon plus de décès collatéraux. Point Barre !

Sur le 2, les accusations contre le Dr Fauci

Le Monde a noyé le poisson : la question importante est bien qu'il y a eu une acharnement hystérique et parfaitement irrationnel contre la prescription de l'hydroxychloroquine et que le Dr Fauci a bien changé son fusil d'épaule. D'autre part, le journal putassier campe sur des résultats in vitro escamotant les résultats in vivo alors qu'ils sont INDISCUTABLES. A la limite on se fout du Dr Fauci.

Sur le 3, imaginaire pic de mortalité après le Lancet Gate

Le problème dans ce film, c'est qu'il fait parler des gens et a apporté rarement des graphiques. Perronne a raison de dire que l'on n'a découragé, et j'ajoute par tous les moyens, le recours à l'hydroxychloroquine. S'il manque des graphiques, il est cependant clair que bien que bidonnée l'étude rebaptisé Lancet Gate, a engendré une perte de chances pour de nombreux patients contaminés puisque de toutes façons, on  n'a guère autorisé que le recours au paracétamol !

Là encore Cette immonde putasserie qu'est Le Monde, détourne l'attention sur un faux problème, un soit disant manque de preuve par défaut de courbe alors que ce qui est indiscutable c'est que cette étude largement frauduleuse n'a pu qu'engendrer des conséquences négatives.

Sur le 4 : recours au Rivotril

Si j'ai bien compris l'abominable journal prétend que par manque de médocs de confort, on n'a pris un décret en faveur du Rivotril, utilisé pour procurer une mort douce. Premièrement, Le Monde néglige de citer les médocs qui auraient fait défaut et j'ajoute : quelle différences entre les médos out of stock et le Rivotril. Désolé, mais on est là dans la prestigiditation. Dans le pire des cas ceux qui aurait mésinterprété les faits sont LARGEMENT excusables puisque le canard inventeur de son putain de DECODEX n'est même pas foutu d'exposer clairement la situation réelle. Des mots pour ne rien dire !

Sur le 5 : l'exemple enjolivé de la Suède

Les chiffres cités attribuent à la Suède moins de morts par 1 million d'habitants : 600 contre 635 en France. Je me souviens d'article où on dit exactement le contraire, savoir plus de morts en Suède qu'en France. Mais en fait dans les 2 cas la différence est toujours minime ce qui tend à prouver que de toutes façons les résultats d'un confinement stricts sont absolument INVISIBLES.

Sur le 6 : les camps d'internement au Canada : pur Fake New !

C'est le seul point sur lequel je suis d'accord avec cette merdasse qu'est le journal Le Monde ! J'ai expliqué pourquoi dans un post antérieur.

Sur le 7 : l'antidatage d'un brevet en rapport avec la Covid 19

Je n'ai pas examiné de près la question mais là encore je pense que le journal de référence des citoyens aligné sur la voix de leur maître élyséen a raison.

J'ajoute qu'il aurait fallu consacré à Fourtillan et à ses dires une critique beaucoup plus serrée.

Mes remarques personnelles

Comme indiqué plus haut c'est à partir de la 3ème heure que ça temps à partir un peu dans tous les sens. Je pense aux histoire de 5G nécessaire à la dématérialisation des données et à une cryptomonnaie ou plutôt à la généralisation d'une circulation purement numérique de l'argent. On sort là franchement du domaine médical. Dans le cours du film il a été fait allusion a plusieurs document ou réunions élitistes ayant prévu une pandémie. Concernant celle de la Fondation Rockfeller, j'ai démontré que ses extrapolations ne peuvent s'envisager qu'en temps que formant un mélanges des 4 hypothèses présentées comme alternatives. Donc positivement la fondation n'a rien prophétisé puisque de toutes façon l'hypothèse pandémique était basée sur un virus grippal et non un coronavirus.

L'intervention, vers 2 h 39 de la sociologue Monique Pinçon-Charlot déclarant que les riches auraient le dessein de se débarrasser de milliards de bouches inutiles n'est pas si scandaleuse qu'il y a parait. Il faut rappeler à ce sujet qu'il existe un très curieux monument à ce sujet aux USA, qu'il existe des preuves concernant des vaccins à vocation "eugéniste" et que l'on est en droit de se poser des questions sur ce qui se trame derrière la montée en puissance de la confiscation, bientôt définitive, de toutes possibilité d'opposition démocratique qu'une loi d'urgence sanitaire permet de bafouer.

Disons que la troisième heure évoque des sujets qui auraient sans doute nécessité au moins 3 heures de développement mais que, dans la mesure, où l'on tend à sortir du sujet, c'est parfaitement excusable. En d'autre termes, les deux premières heures posent de véritables question en fournissant une RETROSPECTIVE MEMORIELLE CAPITALE. On peut sans doute arguer que le réalisateur, ne s'est guère foulé en faisant appel aux diverses vedettes contestataires à qui il a donné la parole, l'intérêt essentiel de ce documentaire étant qu'il a rassemblé en un seul lieu aisément consultable les problématiques en jeu.

En d'autres termes , la presse aux ordres peut raconter ce qu'elle veut, on s'en tape. Je viens de démontrer que la critique du monde ne vaut pas tripette puisque sur 7 point je n'ai trouve que deux qui soient vraiment pertinent. La perfection n'étant pas de ce monde, çà reste un bon score !

Donc, n'hésitez pas à diffuser parmi vos connaissances cette note avec le lien vers le documentaire.

Je n'ai pas trouver de moyen de le sauvegarder. Si vous en connaissez un veuillez me le signaler.

Désolidarisation de Monique Pinçon-Charlot et Douste-Blazy, ancien ministre

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Cliquer sur l'image pour aller sur Google.

La Pinçon-Charlot a manifesté des pudeurs de première communiante en regrettant d'avoir utilisé le terme d'holocauste au lieu de parler d'extermination. Je cite !

Un extrait, très partagé sur les réseaux sociaux, a particulièrement choqué : celui de la sociologue de gauche Monique Pinçon-Charlot qui compare le coronavirus à un "holocauste" visant à "éliminer la partie la plus pauvre de l’humanité, dont les riches n'ont plus besoin".

Monique Pinçon-Charlot revient elle-même sur son passage et explique sur Twitter "les regrets de (sa) présence" dans le documentaire. "Mon objectif de faire comprendre la gravité de notre avenir sur la planète m’a conduit à employer le terme inapproprié d’holocauste au lieu de celui d’extermination, et je vous présente mes excuses très sincèrement."

Bref, elle craint d'être accusé d'antisémitisme, voire , je suppose de "négationnisme" ou de "banalisation" de la Shoah. J'en rigole ! Franchement cela ne m'était pas venu à l'esprit.

La sociologue dénonce une "instrumentalisation" de ses propos

Mais la sociologue s'en prend aussi au réalisateur et au producteur, qui n'auraient pas respecté leurs engagements à son égard, sans lui transmettre les extraits de son interview qui a duré une heure. Alors que son passage dans Hold-up ne dure que deux minutes. "Je suis stupéfaite par une instrumentalisation de mes quelques mots retenus au profit non pas d’une réflexion mais d’un montage choc au service de l’émotion et la colère !" Et d'ajouter : "Mes réflexions sont tronquées."

Ce à quoi je réponds qu'il fallait évidemment s'attendre à ce que toutes les interventions soient tronquées et donc instrumentées de manière à choquer, sinon il eut fallu doubler la durée du film. Ne serait-ce que  vu la mise en scène, sur fond noir, adoptée par le réalisateur, la chose était prévisible...

C'est donc manquer de professionnalisme que de vouloir se déclarer surpris après coup. Or le défaut du film est évident : prouver l'existence d'un complot mondial. Or dans cette hypothèse le seul fait qui tient c'est la fascination de tous les gouvernements des pays riches vis-à-vis d'un virus dont il n'est absolument pas prouvé qu'il présente vraiment un caractère "pandémique" car les prévisions portant sur plusieurs millions de morts n'ont pas et ne seront pas atteintes. Toutefois, et en France particulièrement, tout a été mis en place pour emprisonner littéralement la population et tuer la révolte des "Gilets Jaunes".

Quant à Douste-Blazy, il n'a rien dit de choquant ni d'inexact qui puisse lui nuire, or il s'est gardé de faire la moindre critique précise sur d'éventuelles inexactitudes.

Conclusion

Excepté la troisième partie du film qui fait la part trop belle à une conspiration globale dans laquelle la survenance d'un virus ne serait qu'un élément déstabilisateur, il reste des question. Ce virus n'est pas aussi mortel qu'on l'a prétendu, néanmoins il a engendré et continue d'engendrer un climat de folie hystérique dont on chercherait vainement le moindre exemple dans le passé. On l'a bel et bien comparé à la peste noire ! Le problème essentiel, et il a été abondamment souligné dans ce documentaire, c'est la fabrication de la peur et son exploitation avec la certitude qu'on ne reviendra jamais en arrière et qu'on est bel et bien entré dans une dictature sanitaire irréversible dont il faut attendre le pire. Mais était-il besoin d'un film de 3 heures pour nous en convaincre?

Disons que c'est un bon résumé et comme tout résumé qui se respecte il pèche dans le détail.

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