Sécurigate : un scandale d'Etat bien franco français ! (15/01/2019)

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Je lis assez régulièrement la revue Nexus. Sans pour autant adhérer à toutes ses thèses. Les histoires d'extra-terrestres en particulier ne m'intéressent que médiocrement pour ne pas dire, pas du tout !

Je suis resté sur l'idée qu'il s'agirait tout bêtement d'une adaptation au goût du jour des manifestations de certains vieilles "entités" bien connues du folklore ancien. le caractère suspect, pour ne pas dire assez franchement démoniaque de certaines de ses manifestations ne me parait guère douteux, surtout dans le cas des abductions (enlèvement réel ou supposés). Cela nous renvoie à l'histoire ancienne des incubes et des succubes car il y a toujours du "sexe" à la clef.

J'ajoute que vouloir faire dépendre notre évolution technologique de communications venues d'une lointaine planète pour échapper à la férule d'un dieu créateur, c'est finalement reculer pour mieux sauter, et même sauter de plus en plus loin sans rien résoudre. Cela dit, la thèse "créationniste" est aussi douteuse car aucun théologien n'a daigné nous expliquer à quoi rime l'apparition de dinosaures et autres créatures plus ou moins antipathiques dans leur "plan divin".

Le Numéro 120 de Nexus a consacré 14 pages serrées à un scandale dont il est permis de se demander s'il finira par sortir dans la presse ordinaire. C'est assez peu probable car on est présentement trop occupé avec l'épître préparatoire de celui qui agrippe aux commandes de notre infortuné hexagone. Cette préparation en vue d'une consultation durant laquelle il sera interdit de poser les questions qui fâchent, relève d'un grossier enfumage mais il en faut peu pour complètement occuper les esprits en détournant leur regard de toutes sortes d'horreur.

Ces 14 pages s'appuie sur un site que voici :

http://www.securite-sociale-infos.net/editos/2018/article/on-ouvre

Je crains cependant que les données de ce site, du fait de leur éclatement en des pages multiples dont il est malaisé de faire la synthèse soit assez peu commode et donc peu attractif à consulter comparé à la publication que je viens d'évoquer.

Je vais essayer de résumer ce qui se passe. La sécurité Sociale doit emprunter de l'argent (et enrichir les marchés financiers) alors que les cotisations qu'on lui verse sont grevées par la mise à sa charge des dettes publiques de l'Etat n'ayant rien à voir avec l'Assurance maladie. Le privé paye les retraites du secteur public. Juridiquement les caisse de sécurité sociale n'ont aucune existence où du moins elles refusent de reconnaître et d'accepter le ou les statuts qui lui conviendraient réellement. mais il y a pire encore : l'argent des caisses de retraite se trouve à être hasardé dans des paradis fiscaux par le biais d'OPCVM (organismes de placmeent collectifsde valeurs immobilières). Voir page 26. Les revenus des placements de ces OPCVM profitent à des banques et pour la portion congrue (120 000 € contre 456 000 E dans le cas de Concorde 96) à des députés et des sénateurs. C'est ainsi qu'en parcourant un fichier de la banque d'Espagne on aurait dénombré 15 960 OPCVM pratiquant ce genre de trafic.

Je m'arrêterai là. A vous de vous renseigner plus précisément.

Inutile de vous dire que je ne suis pas le moins du monde surpris, il y a bien longtemps que je sais que le régime français est un singulier mélange d'une administration assez purement soviétique avec des pratiques relevant plutôt de ce que l'on appelle une "république bananière" où se trouve toujours des citoyens plus égaux que d'autres qui sont là uniquement pour profiter du racket subi par les plus démunis. Il me semble que ce qui se passe depuis l'entrée en scène de la révolte des "Gilets jaunes" est suffisamment parlant pour que je m'abstienne d'épiloguer.

PS : Apparemment le n° 120 en question a été piraté et est téléchargeable sur le Net mais c'est très lent et je ne sais pas ce qui en sort au bout du compte.

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