"J'arrête la pillule !" Sabrine Débusquat, accusée de propager de la "fausse science" (et aussi considérations) (06/11/2017)

arrêt pilule.jpgAvant de parler (un peu) de ce livre, car je m'avoue incompétent dans ce domaine, qui ne me concerne pas et ne m'intéresse que médiocrement, je voudrais rappeler le contenu d'un incident qui m'a fallu des tombereaux d'injures dont certaines ont disparu emportées avec la diffamation d'un assez sinistre individu qui a sévi dans un milieu "ésotérique" assez particulier...

Voyez à ce propos : https://www.ca-se-saurait.fr/2015/11/08/blog-silicium-de-...

Je cite :

Quand vous avez une activité publique sur le Net ou publiez en tant que journaliste, comme c’est mon cas, il vous arrive parfois de recevoir, sans raison, les flots de haine de certains personnages. C’est ce qui m’est arrivé récemment avec le blogueur Jean-Daniel Metzger de Silicium Spirit dont la misogynie, la stupidité et l’agressivité se sont exprimés sans retenue alors que je venais lui apporter une précision sur un de ses articles.

Parenthèse sur un attentat "anarcho féministe"

Merci pour les compliments, je ne suis "misogyne" qu'à l'égard des dérives de certaines féministes. Et on vient de constater que l'anarcho féminisme a rejoint, sur le plan des méthodes, le terrorisme islamique, je parle de l'incendie de Meylan ! C'était évidemment prévisible et l'imbécilité de l'orthographe inclusive n'était qu'un petit prélude en mode mineur... 

A propos de cet attentat, il faut noter le SILENCE ASSOURDISSANT quand à l'absence de commentaires du haut au bas de l'échelle sociale. Bien sûr cela a été une surprise pour ceux qui nous dirigent et ils veulent éviter de jeter de l'huile sur le feu. Je n'ai pas manqué, en parlant ailleurs des problèmes posés par l'Islam, de souligner que la politique du harem et tout ce qui s'y rattache en fait de mauvais traitement, cache mal de la part des arabes en particulier un peur des femmes...

Au moins ont-ils conscience d'un différence de psychologie. Ne parlons pas d'inégalité car ça va fâcher et retenons simplement que la supériorité dans un domaine (le maniement des abstractions chez les hommes bien nés) se paient d'une infériorité dans un autre comme par exemple un caractère utopique, et l'attachement parfois stupide à des "principes" plus ou moins paralysants...

Quoiqu'il en soit l'absence de réaction, et sans doute l'impuissance à en concevoir une, tout ceci montre à quel point la majorité des mâles contemporains sont quasiment cuits à point pour accepter à peu près n'importe quoi en matière d'aliénation...

Des Tampax et de la contraception

Je reprends les reproches qui me sont faits à ce propos :

Dans un de ses articles, JD Metzger parlait d’un numéro du magazine Nexus dans lequel avait été publié un article de mon cru sur le “flux instinctif”. Pour info, le flux instinctif est une méthode naturelle qui permet de “maîtriser” le flux de sang pendant les règles afin de se passer de protections hygiéniques. Vous retenez le sang en amont dans le vagin et le relâchez quand vous allez au toilettes : plus besoin de tampons ou serviette !

La chose est facile à comprendre, décrite longuement et sans ambiguïté dans l’article et, en cas d’incompréhension persistente, une simple recherche Google éclaircit aisément l’esprit. Mais JD Metzger ne comprends toujours pas et écrit ceci à propos de mon article :

“Un article vante le flux instinctif chez les femmes. Cela ferait une économie de tampax certes mais ça ne va pas empêcher les résidus de pilules contraceptives de polluer la flotte !”

Le monsieur n’a donc pas compris que le fait de se protéger pendant les règles n’a AUCUN rapport avec la contraception (qui a pour but d’éviter une fécondation). Bon, vous me connaissez, je suis patiente, compréhensive.

Le problèmes des "résidus de pillules" (sous entendue contraceptives) est un probléme en soi

J'ai envie de hurler quand je lis cela. En effet je ne me suis soucié que de ces "résidus polluants" qui en tant que perturbateurs endocriniens s'ajoutent à d'autres saloperies dont les pesticides.

Que cette Sabrine soit butée au point de ne pas comprendre qu'il n'était nullement question de parler de contraception qui constitue un autre problème, voilà qui me sidère !

Je me contrefous de la contraception, qu'on se le dise !

Je suis obligé d'exprimer mon opinion de façon "cynique", au plein sens philosophique du terme qui n'a évidement rien de négatif car il faut faire la différence avec le sens populaire qui n'est que le produit d'une déviation purement sentimentale...

La contraception c'est le problème des femmes et des "hétéros", dont je ne suis point. Plus encore, j'en suis venu à considérer qu'être "homo", c'est relativement au malheur d'être un homme par les temps qui courent, une bénédiction providentielle ! A condition, de renoncer au "mariage" car ce n'est rien d'autre qu'un invitation à consommer. On notera que quoiqu'on fasse, et quand bien même les "homos" en viennent à se normaliser, ils seront toujours haï par une tranche de la population, ne serait-ce que par pure jalousie de la relative liberté que la chose implique. Ceux (parmi les "homos") qui ont poussé au cul les féministes dans l'espoir d'y gagner du crédit et surtout de faire prospérer leur cause ne se sont même pas rendu compte qu'ils allaient élever des "chiennes" pour les mordre... Certaines féministes ont du reste revendiqué ouvertement cette animalité, les "chiennes de garde", elles auraient pu ajoutée "enragées", sauf que la chose était claire. J'ai prédit qu'un jour viendra où ces tarées jugeront que l'homosexualité est discriminatoire à leur égard. A ce propos on a pu constater que la PMA donne lieu à des applications parfaitement discriminatoires puisque les couples lesbiens sont avantagés. Et on ose nous rabattre les oreilles avec cette foutue sacro sainte Egalité ! Bref, je n'ai pas fini de "gueuler" ! Mais parlons, sans plus tarder du livre de cette Sabrine Débusquat.

Jusqu'à présent les "homos" s'étaient illustrés principalement dans le domaine de la "philo" et si les philosophes n'ont pas toujours été gays, ils ont toujours été foncièrement misogynes. Peut-être que les plus modernes n'ont pas osé franchir le pas, tout simplement... Cette fonction consiste, quand on est dégagé d'un certain nombre de contingences, à pouvoir prendre du recul et éventuellement à pouvoir critiquer de façon plus ou moins acerbe la société. Malheureusement, quand les "homos" se sont occupés d'art, cela a donné la meilleure et surtout les pires choses... Aujourd'hui, ils en sont réduit à tomber au plus bas de l'involution et à marcher sur les traces de ce bourgeoisisme qu'ils ont honni. Je peux donc me permettre de les mépriser autant que je méprise certains hétéros.

La réception de J'arrête la pilule !

N'allez surtout pas croire que je me réjouis des critiques que l'auteur(e) s'est attirée !

Simplement elles étaient prévisibles. Elle s'est attaque à un gros marché d'une part et qui plus est à un sujet hypersensible car on vient d'interdire toute incitation au rejet de l'avortement en décidant que tout propos en faveur de ce rejet serait le produire d'une publicité unilatérale. Enfin, il y a de quoi se poser des questions car avec tous les moyens de contraception qui existe comment se fait-il que le nombre d'avortement n'ai pas sérieusement baissé ? Enfin n'ayant strictement aucune responsabilité dans le domaine je peux me permettre une liberté de parole fort appréciable !!!!!!!!!!!!!!!!!

Concernant la critique du livre évoqué, voyez vous-mêmes :

http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2871

On notera que les notes sont signée d'une "garce" (ce n'est dans mon esprit que le féminin de "garçon") qui semble être une "pointure" dans le milieu de l'épidémiologie. Bien évidemment, il ne fallait pas s'attendre à ce qu'un "gars" fut-il un grand scientifique se risque à tenir des propos aussi critiques.

Mais en quoi consiste la critique ? C'est le coup classique on reproche à l'auteur, une simple incompétence scientifique. Tout ce qu'elle reproche aux différentes générations de pilule et en particulier à la dernière serait appelé à être balayé par des études scientifiques. Mais je regrette, les risques en matière de thromboembolie sont bien établis. La pilule est anti naturelle tout simplement parce qu'elle a pour but de modifier le cours ordinaire du cycle féminin. Cette critique est odieuse dans la mesure où elle prétends confisquer le droit des particuliers à critiquer une pratique et à imposer sans partage l'opinion des prétendus scientifiques. Mais à cela je réponds que trop de "scientifiques" ont partie liée avec l'industrie pharmaceutique et sont franchement corrompus pour ne pas dire assez pourris pour que dans certains cas on leur dise d'aller se faire foutre.

Il va de soi que je ne porte pas de jugement à cet égard sur Catherine Hill l'auteur des notes, je ne la connais pas et n'ai aucune envie de la connaître. Je pense tout bêtement qu'elle a trouvé auprès de AFIS (qui n'a rien d'officiel car c'est une simple association comme il y en a des milliers) l'occasion de se singulariser.

Evidemment le Pr Joyeux qui est sans doute d'accord avec le contenu du livre, a trouvé le moyen, à propos des vaccinations de se faire mettre au ban de la société scientifique mais enfin, mis à part des crétins et des crétines, tout le monde sait que l'imposition de 11 vaccins contre 3 est un crime, que Pasteur aura été surtout un faussaire et j'ai appris, ça reste à vérifier, qu'il ne voulait pas du panthéon mais qu'on lui aurait consacré un mausolée luxueux dans les sous sol de l'Institut qui porte son nom. Si c'est le cas, on a là la preuve, que la science médicale fonctionne comme ont fonctionné les dogmes catholiques imposés sous la menace d'un très puissante et redoutable inquisition !

Donc la cause de l'arrêt de la pilule est entendue ! Que celles qui voudront persévérer ne viennent pas se plaindre des conséquences, elles auront été prévenues.

Quant aux alternatives, puisque les hommes ont la possibilité de s'envoyer en l'air plus librement, il est assez normal que les femmes revendique le même droit. Je n'ai pas étudié ces alternatives car je n'ai pas personnellement à m'en soucier. A moins humble avis et puisque les risques sanitaires sont égaux aux risques d'évènements heureux mais indésirables, je pense que le bon vieux préservatif constitue une bonne assurance. Ils sont à présent si fins et si contrôlés et si fiables (à condition de ne pas les acheter dans un distributeur automatique installé en plein soleil) qu'il n'est peut être pas nécessaire de compliquer trop les choses... 

"De la tentation de l'entre femmes"

entre femmes.jpg

Il s'agit d'un article paru dans un cahier lié au n° 2754 du Nouvel Obs. Je le scannerai s'il y a des demandes. Quelques mots suffiront. Le titre est orienté. Il met l'accent sur la tendance des femmes à se réserver des "espace de vie" réservés (écoles, clubs de gym, cercles professionnels). Toutefois en lisant attentivement l'article on constate que la réciproque existe.

L'image ci-dessus, tirée de l'article, résume bien l'état de choses actuel. L'opinion et l'influence des femmes est devenue dominante mais ce n'est pas assez ! Elle veulent influer tout en vivant à part donc de manière anti sociale. Les "inversions" de rôle chez les mecs restent minoritaires comme sur l'image. On est bien loin d'un mélange harmonieux. Enfin il faut dire  que depuis longtemps tout est chamboulé puisque la "Sagesse" (Sophia) est censée être féminine. Or les femmes, excepté une Rosa Luxembourg ne sont jamais des "révolutionnaires", elles ne veulent changer dans la société que ce qui les arrange personnellement et sauf exception elles après s'être largement accommodées des "promotions canapés" voilà qu'elles voient partout du harcèlement. S'il existe encore des porcs incorrigibles, à mon humble avis ils sont minoritaires... 

La sacro sainte mixité prend l'eau ! 

J'admets que si autrefois les femmes ne pouvaient évoluer qu'entre le cercle familial et les associations charitables, c'était un peu court. A l'école les filles cherchent à se libérer du regard des garçons et vice versa. Les écoles non mixtes connaissent des résultats supérieurs pour les deux sexes. Rien de plus chiant et haïssable que ces garçons qui éprouvent le besoin de se faire remarquer des "greluches". Ce que l'article ne précise pas c'est que les Universités américaines observe un déficit de 10 % de candidatures masculines, les femmes tendent à dominer les études supérieures. A quoi cela tient, j'en sais rien. Je viens seulement de lire un article communiqué par un correspondant et l'article ne parle que des efforts envisagé pour remédier au déséquilibre.

Je suis le dernier à penser que le modèle catholique de la famille soit le seul milieu propice à l'éducation des enfants. Il suffit de s'intéresser à la sociologie historique en remontant assez loin dans le temps et l'espèce pour constater que d'autres systèmes ont fonctionné. Même Platon a imagine je ne sais quel casernement...

De plus en plus de femmes, juste retour des choses, considérément les hommes comme simple donneurs d'orgasmes, je ne vois pas de raison de les en blâmer. Je comprends également qu'elles préfèrent élever elles-mêmes leurs mômes et il est à noter que ça arrange certains d'entre nous. Le seul problème est que si le femme est une féminisme aigrie ou une lesbienne activiste, cela risque d'avoir une très mauvaise influence sur un garçon. Déjà la petite enfance par les crèches est sous la domination exclusive de femmes et puisque l'on parle d'inégalité, et qu'il existe des mecs avec des tempéraments de "papa poule", je ne vois pas pourquoi la puériculture ne devrait pas se mixifier davantage !

Hommes et femmes se supportent de plus en plus mal !

Enfin un chose essentielle ressort de l'article c'est que hommes et femmes se supportent de plus en plus mal. Or cela n'a rien d'étonnant quand on observe les différences de psychologie. Or elle ne sont pas un produit de l'éducation, cela a pu être accentué par une certaine culture machiste mais il n'empêche que garçons et filles ne se ressemblent pas du point de vue psychologique et cela tient à un statut physiologique, hormonal en particulier. Maintenant je ne crois pas à la thèse de l'instabilité féminine, simplement le femme étant fait pour enfanter, elle est portée physiologiquement à chercher la sécurité et donc le confort, elle est forcément de tempérament plus matérialiste que l'homme. Encore que les hommes, force et de le constater, sont bien déchus...

L'avenir, je le crains, nous réserve encore pas mal d'anomalies sans doute assez imprévisibles mais je m'attends au pire !

A propos du "sixième pilier de l'Islam"

tariq ramadan.jpgLa campagne à propos de l'épidémie de harcèlement dont seraient encore victimes les femmes s'accompagne, il faut le dire d'un phénomène positif.

Avant que l'une d'elle ne porte plainte pour viol, un peu tard et c'est là le problème, un collègue de Tariq Ramadan avait, une semaine avant révélé qu'alors que ce dernier était prof de français à Genève, il aurait été viré pour avoir séduit des mineures parmi ses élèves. Dans la mesure où la Tribune de Genève soutient cette accusation et tend à équilibrer la plainte en diffamation déposée en France, l'accusation portée chez s'en trouve rendue assez vraisemblable. Il faut espérer que les juges français, classeront l'affaire sans suite au motif que si aucune preuve de viol ne peut être rapportée, la très mauvaise réputation de l'activiste qui se trouve finalement accusée de "pédophilie", du moins selon les fausses conventions actuelles, implique qu'il tende à se faire oublier. 

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