Les graisses saturées (huile de coco) à nouveau sur la sellette (17/06/2017)

huile-de-noix-de-coco-1_5641263.jpgUne fois de plus cette foutue association américaine de cardiologie (AHA) revient à la charge et met en cause l'huile de coco, surtout chauffée, comme facteur de production de "mauvais cholesterol" en préconisant les huiles végétales insaturées, le tournesol en particulier, une immonde saloperie trop riche en Omega 6 réputés inflammatoires.

http://www.ledauphine.com/france-monde/2017/06/17/non-l-h...

La tendance du côté des diététiciens sérieux consiste en un retour à un usage évidemment modéré des graisses saturées de notre alimentation ancestrale, beurre compris, si possible cru et bio. Il n'y a pas lieu de tenir compte des études invoquées qui ont probablement fait l'objet de manipulations plus ou moins incontrôlables. Du reste je ne vois pas comme on peut prouver quoique ce soit dans ce domaine sur des études forcément courtes.

J'ai vu, sur des profils protéiques à la Burkell divorcer les Apo A1 et B sur plusieurs décennies avant que des troubles cardiovasculaires ne se manifeste, ce qui, d'une part, prouve le caractère prédictif du rapport de ces deux paramètres, de préférence au bilan lipidique classique en indiquant d'autre part que la construction de la plaque d'athérome est un phénomène assez lent.

Je rappelle que le dosage de la lipoprotéine (a) est un facteur de risque avéré et que si un risque existe, la meilleure façon de le déjouer c'est d'abord une supplémentation en vitamine C + lysine + proline + glycine, un apport d'Omega 3 d'origine végétale et issue de poissons des mers froides. Le recours à des gélules de levure rouge de riz 'est envisageable à condition de supplémenter une ubiquinol.

JRW-06028-1.jpgJarrow Formulas, Red Yeast Rice + Co-Q10, 120 Capsules

Jarrow Formulas, Ubiquinol, QH+ PQQ, 60 Softgels

1 gélule matin et soir de chaque si possible.

Faire un contrôle avant et après 1 mois et demi de cure.

Un terrorisme mal ciblé

On parle beaucoup du "terrorisme", or il serait utile s'il était conçu pour cibler ponctuelles les principaux complices de Big Pharma qui oeuvrent à la désinformation du public contre certaine méthodes naturelles lorsqu'en particulier on s'ingénie à diffamer la vitamine C.

Vitamine C et infection uro-génitales

A propos de cette dernière, en contrôlant mes urines régulièrement j'ai constaté une hausse du de leur pH inexplicable par l'alimentation et l'absence de consommation d'eau bicarbonatée. J'ai ainsi constaté une infection par un germe commensal et peu dangereux. Outre que l'argent colloïdal fera l'affaire, quand j'ai parlé de ma cure de vitamine C et du "remontant" qu'elle a constitué en 4 à 5 jours, mon généraliste m'a informé qu'on préconiserait la prise de 2 g. (à 5 g.) de cette vitamine en cas d'infection urinaire ou de de séquelles d'infection prostatique. Cette pratique connue de quelques médecins ne fait pas partie des directives académiques et vise à maintenir un pH acide défavorable à la survie des germes infectieux. Leur présence provoquant un pH à tendance basique. Toutefois la vitamine C a un autre intérêt : elle augmente la vitalité des leucocytes. Outre le pH des urines, la présence de leucocytes et d'hématie indiquent la possibilité d'une infection à contrôler par CBU.

shopping.jpgConcernant le contrôle du pH, les bandelettes Alcabase sont les plus fiables et les plus lisibles. Pour des raisons d'économie couper les bandelettes en 3- 

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