Le mythe végétarien : un livre à lire impérativement (17/11/2016)
Ce livre m'a été signalé par Michel Dumestre, un naturopathe qui vient de faire paraître une traduction du livre du Dr Levy sur la vitamine C dont je rendrai compte dès réception de cet ouvrage.
Ce livre est paru en 2010 et a été traduit en français en 2013. Il m'avait complètement échappé car il a fait manifestement l'objet d'une conspiration du silence. Un site comme lanutrition.fr (animé par la bande à Souccar) a systématiquement fait l'impasse. La question est pourquoi ?
Cependant rien d'étonnant à cela ! Depuis quelque temps la secte des "Vegans" nous casse les oreilles avec sa moraline pro-animale et elle m'a semblé, ces derniers mois, prendre beaucoup de poil de la bête bien qu'elle n'en consomme pas! Je n'écoute guère la radio mais j'ai le souvenir d'avoir été récemment harcelé par de la pub pour ce régime de débiles profonds.
Un site Vegan a qualifie ce livre d'incroyablement stupide mais bien évidemment sans fournir le moindre argument. Il est du reste très curieux d'observer les réactions de violences dont sont coutumiers les végétariens et surtout les végétaliens quand on les conteste. Il n'hésite pas à accuser les carnivores d'être des monstres et on a envie de les claquer car leur "doctrine" n'est que pure sentimentalisme mal informé et ces gens qui prétendent œuvrer pour la vie, non seulement pas compris que la vie se nourrit de la vie mais seraient bien près de tuer leurs contradicteurs s'ils ne risquaient pas de se faire enfermer !
Un auteur sous haute protection
Or, on apprend que l'auteur qui est américaine, doit s'entourer de gardes du corps chaque fois qu'elle donne une conférence !
Ainsi la rage impuissante des Végans bêlants se traduit par un véritable désir de meurtre.
J'espère pouvoir disposer d'un exemplaire de cet ouvrage, on devrait m'envoyer un SP ces jours-ci. J'aurais l'occasion de mettre l'accent sur les influences "néo-spiritualistes" qui sont à l'origine de la vogue du végétarisme. La société théosophique d'une certaine Blavastsky a joué un rôle déterminant. Le premier groupe d'influence, la Végétarian Society, émane de chrétiens évangélistes, c'est-à-dire d'un milieu de souche protestante. or la Société théosophique est d'essence anglo-saxonne bien que la fondatrice soit d'origine russe et ce mouvement a manifestement rempli une mission politique assez obscure dans le cadre de la colonisation anglaise du continent indien.
Voir : http://www.vegetarismus.com/heft/f2010-3/histoire.htm
Ce résumé est fort intéressant car il montre que les influences qui sont à la base du végétarisme sont purement religieuses et il commence ainsi :
A l’origine, les humains ne se nourrissaient pas de viande. Les textes bibliques de la Genèse (1. Moïse 1;29), mais aussi les mythes et les histoires de nombreuses civilisations témoignent d’un mode de vie végétarien chez les premiers habitants de la terre. A défaut d’apporter des preuves irréfutables, tous ces récits indiquent néanmoins que la plupart des humains ne consommaient pas de viande. De tout temps, seule une petite frange aisée de la société avait la possibilité de s’approvisionner régulièrement en viande.
Ces affirmations sont contestables car en fait elles sont basées sur le mythe édénique voulant que Adam et Eve aient été frugivore. Mais fort curieusement, c'est à cause du fait qu'ils auraient croqué la pomme (restée en travers du gosier d'Adam) qu'ils ont été jetés du fameux paradis. Paradis relatif où croissait un serpent...
Pour ce qui concerne les arguments développés par l'auteur, je vous renvoie pour l'instant à ce résumé, assez mal fichu et trop répétitif qui provient sans doute d'une traduction informatique d'un original en anglais à peine retouché. Mais c'est très lisible et cela vous fournira une bonne approche.
https://blogs.mediapart.fr/abdel-b/blog/180616/le-mythe-v...
Néanmoins, vous pourrez constater qu'il existe une connivence entre l'adoption des grains (céréales) au néolithique et le capitalisme au sens large et par voie de conséquence un mode de domination qui tend à esclavagiser la majeure partie des citoyens de la planète au service d'une petite oligarchie financière. Vous allez comprendre pourquoi grâce à la petite revue de mythologie que je vous propose à présent.
Végétarisme et abêtissement religieux
Comme je viens de l'indiquer, ce sont des "superstitions" d'origine religieuse qui sont à l'origine de la propagande végétarienne. Or les religions constituées engendrent systématiquement un système hiérarchique conduisant à des inégalités. Les inégalités certes existent, il y a des gens beaux, des moches, des gens intelligents et des légions de cons et de connes bêtes et méchantes.
C'est l'Inde qui a formé le système hiérarchique le plus élaboré avec le système dit des castes. Système qui s'est imposé chez nous en Europe avec la féodalité et ses légions de serfs employés à la production agricole (culture élevage) pour le plus grand profit de quelques "dominants". Dans un certain milieu traditionaliste auquel je m'apprête à faire allusion, ce système constitue la référence et a donné lieu à l'apparition d'une fausse élite intellectuelle, que dans une "autre vie", j'ai tendu à démasquer notamment à cause des relations privilégiées qu'elle entretient avec cette religion génératrice de conflits qu'est l'Islam. Il est vrai, soit dit en passant, que les fameuses croisades ont constitué une ingérence mais hormis quelques réactionnaires catholiques personne n'aspire à convertir qui que ce soit. Nous voulons simplement conserver notre culture et entendons refuser de nous laisser imposer la charia et Cie de sorte que pour ceux qui ne sont pas contents du voyage, les frontières sont grande ouvertes au reflux.
Pour bien connaître la mentalité fondamentale des Indiens de l'Est et échapper aux clichés en vogue, il faut lire le livre de Guy Deleury, L'Inde continent rebelle...
Il est à noter que dans ce domaine, si le bouddhisme a révoqué le système des castes (au grand dam d'un auteur qui sera évoqué plus loin), le bouddhisme est responsable d'une accentuation souvent délirante en faveur du végétarisme. Cela s'explique, le bouddhisme est apparu au Vème siècle et s'avère typiquement d'un changement de perspective à caractère "sentimental". Le Bouddha, dans une vie antérieure est censé avoir sauvé quantités de gentilles bêbêtes d'où la faveur de sa religion auprès des écologistes et je trouve la majorité des néo-bouddhistes occidentaux absolument insupportables et c'est bien parmi eux que l'on trouve ces têtes à claques que sont certains "végans" donneurs de leçons.
Voici une lecture mythologique qui devrait normalement contribuer à les déstabiliser. Mais il ne faut pas se faire d'illusion, des idéologies résultent de véritables envoûtements.
Mythologie et diététique
Il existe deux sources mythologiques contradictoires qui sont résumées dans la Genèse d’une part et dans la théorie évolutionniste.
Côté biblique, c’est l’histoire de Caïn (agriculteur sédentaire) et Abel (pasteur nomade). Le sacrifice d’Abel (à base de moutons, viande + graisse) est accepté, et celui de Caïn (sacrifice « Vegan » de fruits) est boudé. Première constatation : « Dieu » n’est pas végétalien, il est franchement carnivore. Ben oui, ça va la couper à quelques uns mais quand on veut faire dans le religiosité, il faut commencer par lire ce qui est écrit ! Et puisque nous sommes censés avoir été créés à l'image de ce Dieu, il n'y a pas à tortiller, le livre évoqué évoque deux reste deux modes de digestion opposées. Les vaches ont une série de "fermentoirs" et s'engraissent en mangeant les bactéries capable de déconstruire la cellulose. Et contrairement à ce qu'on raconte nous sommes bien configurés pour nous nourrir de protéines et les protéines les plus assimilables se trouvent dans la chair animale et pas dans des végétaux qu'il faut absolument cuire à cause de composants indésirables car négatifs à l'état cru...
On notera en passant que l’on ne peut pas, du point de vue de la santé des écho systèmes, prétendre à la supériorité du sédentaire sur le pasteur : ce n’est pas le chameau qui est la figure animale dominante dans la Bible, chez les pasteurs, c’est bien le mouton qui donnera, avec le christianisme, la figure de l’agneau pascal du rachat. D'où la déviation exécrable du "victimisme" en vogue et de la manie de "repentance" qui en découle dont certains envahisseurs profitent avec la dernière des arrogances. Je ne suis porté à la violence que lorsqu'on me fait trop chier car né sous le signe de la diplomatie, je préfère la négociation à la guerre. Cependant j'enrage quand je vois les dégâts en matière de psychopathologie sociale qu'a causé dans notre monde la figure du mouton. Bref, je ne trouve pas que cet animal panurgien soit très inspirant. Il devient urgentissime de changer de paradigme !
Eh oui ! Le mouton est un loup pour la végétation et le piétinement des troupeaux est un facteur d’érosion. Le développement rapide de l'élevage de moutons n'a pas seulement bouleversé la démographie et l'activité économique du sud de la Patagonie et de la Terre de Feu, il a également eu un impact sur l'écosystème de la steppe. Des recherches suggèrent que les excréments des moutons ont pu provoquer l'eutrophisation des lagons, tels que Potrok Aike, et que les moutons ont causé une érosion considérable par endroit. Il ne font pas que manger l’herbe, ils la tonde et mettent la terre à nu. Bref, les moutons en troupeaux sont une calamité de sorte qu'en choisissant cette figure de prédilection, l'avant dernier monothéisme m'inspire bien des réticences.
Les tentatives d’explication à la préférence de « Dieu » envers la chair animale, à savoir que Yahvé aurait maudit les fruits de la terre en maudissant le sol suite à la chute de l’Eden (?) on s’en fiche de notre point de vue. Du reste, cette thèse n’est pas cohérente car selon une autre hypothèse, la terre (et ses fruits) aurait été maudites après que Caïn y ait versé le sang d’Abel. Mais enfin toute la terre n'a pas été polluée pour autant et toute mort entraîne la réintégration du sang et l'économie naturelle.
J’ajoute que s’il est cohérent, de la part de Lierre Keth, de relier l’agriculture à la capitalisation en général (stockage des grains à l’origine), l’élevage intensif fait également partie de l’agriculture que ce soit en mode sédentaire ou en mode nomade. Or l’élevage intensif n’est pas une pratique récente et l’élevage dit industriel n’est qu’un prolongement fixé du nomadisme pastoral.
De plus, les nomades n’ont que trop tendance à être des prédateurs et a razzier les sédentaires, cultivateurs ou citadins, tel est bien le milieu de Bédouins assez exécrables d’où est sorti cette religion particulièrement problématique qu’est l’Islam, une religion apparue dans un milieu de pillards dont la principale activité a consisté à amasser du butin car aux yeux de ces gens qui prétendaient à dominer le monde du haut de leurs chameaux, la terre était trop basse pour eux ! Ne pas oublier la sourate 8 intitulée Le butin…
D’après Wikipedia le mythe évoqué peut être la trace relictuelle de conflits anciens entre les cultures de type Chasseur-cueilleur ou d'éleveurs nomades, et les cultures nouvelles se développant chez les peuples qui se sédentarisent grâce à l'agriculture et à un élevage non nomade.
Lorsque ce sont des érudits académiques qui rédigent les encyclopédies, ce n’est brillant qu’assez rarement mais quand ce sont, pour une large part, des crétins bénévoles qui font dans l’encyclopédisme coopératif, ce n’est pas mieux et ça peut être pire encore… Enfin, partout, il faut en prendre et en laisser !
Tout ce qui a trait à la sédentarisation apparaît, au regard du mythe édénique comme fort postérieur à l'instant T de la Chute. Adam et Eve sont chassés du paradis terrestre où il y avait malheureusement un serpent comme interlocuteur privilégié de la femme. Ce n’est qu’après avoir croqué la pomme et s’être fait jeter que le premier couple a engendré. Là, il y a assurément un mystère car l'expression revêt désormais un caractère sexuel mais laissons cela. Peut-être qu'avant, comme dans le mythe bouddhiste, on engendrait par le regard, allez savoir !
Certes, l’errance propre au nomadisme est plus proche que le sédentarisme de l’état que l’on peut imaginer après la fameuse chute. Mais l'errance sans la culture...
En réalité, c’est le chasseur-cueilleur qui illustre le mieux la figure de l’humanité déchue si l’on tient a demeurer dans une perspective « créationniste » selon laquelle l’homme ne descendrait pas du singe. La vision évolutionniste part en fait d’un singe qui aurait appris à chasser et à faire cuire sa viande. Aux gens qui tiennent absolument a descendre d’un primate, je leur ordonne de fermer leur gueule et de dégager et de remonter dans leur arbre en foutant la paix hommes véritables.
Bref, l'évolutionnisme ne contredit pas le mythe bien que l'un et l'autre soient également sujets à caution.
Le chasseur cueilleur ne cultive rien du tout et en souvenir du paradis, il consomme des baies en saison et prélève sur la faune locale son tribut de protéines et de graisses pour subsister. Le régime originel est donc bien un régime carné qui pouvait même être assez cétogène en hiver. Agriculture vivrière et pastoralisme itinérant sont donc non pas deux états primordiaux mais des évolutions tardives toutes deux très nocives envers les écho systèmes. Et dans le régime paléo on trouve une tension naturelle avec alternance glucose/lipides, la période glucose étant courte en région tempérée. Je signale, à toutes fins utiles, que dans l'arrière pays montagneux de la Côte d'usure, les tomate ne donnent, hors serre, que vers le 14 juillet, la Touraine est plus clémente à cet égard.
Un auteur dont je tairai le nom, ne serait-ce qu’à cause de la caution indue qu’il a fournie à l’Islam au travers de son rattachement au soufisme, lequel constitue manifestement une sorte de « corps étranger » et du reste traité comme tel par les oulémas, ce personnage s’est longuement étendu sur le symbolisme de Caïn et Abel. Ce qu’il dit est intéressant mais son propos commence par une ineptie ainsi que je viens de le démontrer par un raisonnement parfaitement logique. Je cite :
En effet, dans le symbolisme biblique, Caïn est représenté avant tout comme agriculteur, Abel comme pasteur, et ils sont ainsi les types des deux sortes de peuples qui ont existé dès les origines de la présente humanité, ou du moins dès qu’il s’y est produit une première différenciation : les sédentaires, adonnés à la culture de la terre ; les nomades, à l’élevage des troupeaux. Ce sont là, il faut y insister, les occupations essentielles et primordiales de ces deux types humains ; le reste n’est qu’accidentel, dérivé ou surajouté, et parler de peuples chasseurs ou pêcheurs, par exemple, comme le font communément les ethnologues modernes (…).
On notera que la différenciation implique un avant ladite différenciation, alors pourquoi avoir omis de nous en causer. C'est que les idéologues, toutes espèces confondues, ont la sale manie de ne retenir que ce qui les arrange. Si le personnage en question avait du parler des ères de la science profane, il eu sans doute risqué de se trouver embarrassé. Contre l'évolutionisme, il s'est contenté de dire que le plus ne peut procéder du moins, ce qui est assez logique. Mais ça reste un peu court...
Le monde n’a pas commencé avec le « néolithique » !
Cet auteur, après avoir été vilipendé par les milieux universitaires et qui a fini par en conquérir les marges, a situé, sans y prendre garde, l’origine de l’humanité à la période dite "néolithique" dont voici la définition :
Le Néolithique est une période de la Préhistoire marquée par de profondes mutations techniques, économiques et sociales, liées à l'adoption par les groupes humains d'un modèle de subsistance fondé sur l'agriculture et l'élevage, et impliquant le plus souvent une sédentarisation.
Cela faisait déjà plusieurs années que je me promettais d’essayer de fustiger l’erreur de ce chef de file d’un certain traditionalisme, de sorte que la découverte de The Vegetarian Myth paru en 2010 puis traduit en 2013 a relancé mon intérêt pour cette question qui était restée pendante. Cela dit, je n'exclus pas la possibilité d'une contradiction mais il faudra argumenter sérieusement.
En fait la sédentarisation est bien le terme du processus. Sauf que si celui-ci est synonyme de "pétrification", ce qui subsiste de nomadisme relève bien d'une pure subversion cosmopolite.
Auparavant, il y a, selon l’historiographie académique officielle, les dinosaures dont la Bible ne parle pas, l’homme des cavernes et ses silex taillés pour en faire des pointes de flèches etc… Le problème étant que les mythes bibliques ou autres procèdent de trop de « raccourcis »…
Quoiqu’il en soit, d’après la Bible, le lait et le miel constituerait le nec le plus ultra de la diététique et le pastoralisme et son nomadisme serait supérieur à toute évolution ultérieure. Or il faut convenir que de nos jours le lait et son lactose sont devenu très suspects . Est-ce seulement en raison de l’altération de la matière première (alimentation vicieuse, pasteurisation, traitement UHT etc..) ?
Quand à l’option grains, les céréales à gluten sont devenues elles aussi problématiques.
Le régime « originel » est bien le régime paléo
Si donc nous voulons nous fier à une chronologie cohérente que l’homme des cavernes soit une dégénérescence d’une humanité adamique primordiale suite à diverses catastrophes cosmiques ou un produit d’évolution intermédiaire entre un primate et un homo sapiens abouti ce ne sont ni les agriculteurs, ni les éleveurs qui peuvent constituer la figure intermédiaire mais bien le chasseur-cueilleur !
Le Paléolithique est la première et la plus longue période de la Préhistoire, contemporaine du Pléistocène, durant laquelle la société humaine ne produit pas encore sa nourriture et est composée exclusivement de chasseurs-cueilleurs.
Le mythe végétarien n'es pas "un livre incroyablement stupide"
Ces précisions, étaient, me semble t-il absolument nécessaire pour répondre à l’ire qu’à provoqué la parution du livre chez les « Végans ». J'espère y avoir ajouté et contraindre ceux qui ne sont pas encore trop bouchés à réviser leurs position.
L'auteur du mythe végétarien, j'aurais plutôt parlé de "fable" car les mythes sont censés recouvrir des vérités exprimées sous une forme symbolique, a expérimenté le "véganisme" et elle explique qu'il s'est agi d'ne véritable catastrophe.
Taty Lauwers et le régime cétogènique
Ce sera le sujet de son prochain livre dont elle publie des brouillons.
Voir : http://www.taty.be/cetogene/cetogeneptdm.html#TOP
Il est devenu clair que toutes les évolutions à base scientifiques converge vers ce que l'on appelle le régime "paléo". Le régime cétogénique n'en est qu'une déclinaison. J'ai eu récemment un entretien avec une personne qui a eu un cancer de la prostate et qui suit cette diète. Il a constaté qu'il mange beaucoup moins, à moins faim et ses facultés cognitives, notamment sa mémoire s'améliorent.
Toutes les évolutions que j'ai pu constater sont en faveur d'un régime low carb, c'est-à-dire un régime où les sucres qu'ils soient "rapides" ou "lents" sont évités autant que possible. La tendance est également à revenir aux graisses saturées ancestrales. Je rappelle que c'est Geoffroy le fondateur de la Vie Claire qui a beaucoup fait pour promouvoir les huiles polyinsaturées et qui plus est trop riches en oméga 6 : le tournesol à toutes les sauces à été une catastrophe pro-inflammatoire.
Dans le résumé que j'ai indiqué, le soja est largement criminalisé. J'ai lutté contre une certaine hystérie à cet égard mais je serai peut-être amené à corriger mon jugement. De toutes façons sachez que je ne consomme guère de soja. Le tofu est insipide et difficile à rendre goûteux ou alors ca coûte la peau du cul de l'acheter déjà aromatisé. Faire du Tempeh demande un certain doigté, les protéines texturées subissent un méchant traitement de sorte si bien qu'au final je ne vois pas sous quelle forme je pourrais l'utiliser surtout de manière économique. Je n'ai absolument pas envie d'engraisser certaines marques favorites de ces "bobos" que je hais !
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