Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations - 11 mars 2015 (17/03/2015)

J'ai mis en rouge ce qui est important : autant dire que cela mérite d'être qualifié de pervers et le propos n'est pas à mon sens suffisament agressif : on peut objecter que les vaccins combinés comprenant des vaccins facultatifs viole la liberté et en plus l'astuce permet à l'état d'être dégagé de sa responsabilité. Si les tribunaux refusaient de sanctionner cette pratique cela justifierait bien une "action terroriste" mais a t-on seulement commencé à saisir les tribunaux pour faire cesser cette pratique maffieuse à tous égards ?

Je trouve la nouvelle ligue bien "molle".... Mérite t-elle d'être soutenue ? Je ne suis pas partie prenante dans l'affaire/ Je vous engage à vous rapprocher de cette ligue et de poser la question avant de cotiser !

Bonjour à tous

La Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations a eu 60 ans en juillet dernier, et depuis 1954, en toute indépendance, elle se bat pour la liberté vaccinale.

Nous avons vu disparaître l'obligation de la vaccination antivariolique en 1984 (alors que le dernier cas de variole remontait à 1977), puis l'obligation de la vaccination anti-tuberculeuse par le BCG en 2007 (alors que son absence d'efficacité était notoire), mais de nombreux vaccins sont apparus depuis qui, même en dehors d’obligations, nécessitent la collecte et la diffusion de davantage d’informations face à un marketing d’autant plus agressif que nos contemporains retrouvent le goût de la liberté.

Car la France reste l'un des derniers pays occidentaux à conserver trois obligations vaccinales, assorties de sanctions pénales et d'insupportab

les pressions pour l'admission en crèche, à l'école et pour l'accès à diverses professions.

Néanmoins, si l'obligation de la vaccination contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP) reste inscrite dans la loi, il est impossible de satisfaire à cette obligation sans imposer à nos jeunes enfants des vaccins associés seulement recommandés, ce qui exclut le recours possible à la garantie de l'État en cas d'effets indésirables consécutifs à une vaccination obligatoire. Non seulement le seul vaccin commercialisé qui le permettait n'est plus disponible depuis juin 2008, mais nous assistons depuis plusieurs mois à une « pénurie » des vaccins associés DTP+coqueluche+Hib, tous fabricants confondus, ce qui oblige les parents désireux de vacciner leurs enfants à y ajouter le vaccin anti-hépatite B.

Le temps de la véritable liberté, assortie d'une information complète et objective sur les vaccins qui, seule, permettrait un choix en connaissance de cause, n'est visiblement pas encore venu. Il reste beaucoup à faire. Nous comptons sur vous !

 

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