Sida : des "autotests" non fiables en vente en pharmacie dès juillet prochain (09/03/2015)
Du Sida moderne j'en viendrai à un "Sida" apparu à la fin de l'Ancien régime pour déboucher sur l'évocation de quelques "signes des temps" dont il convient d'avoir connaissance...
Toujours dans le n° 97, Nexus met en cause à juste titre les autotests du Sida en préparation. La fiabilité de ces tests est très douteuse (risque de faux négatifs et de faux positifs) de sorte qu'en fait il ne serviront à rien puisqu'il faudra refaire le test dans un labo ou dans un centre de prophylaxie. Mais ce gadget va encore rapporter des bénéfices juteux à ses fabricants. Les tests du Sida sont de toutes façons problématiques puisque certaines protéines ne sont pas spécifiques du VIH et se rencontre dans la grippe (ou chez des femmes enceintes). D'autre part, l'infection mettant du temps à susciter des anticorps, on peut prévoir que des crétins se croyant non contaminés répandrons leurs passagers clandestins au voisinage des plages. En effet pourquoi avoir choisi juillet pour le lancement.
Les "poppers" : un révélateur du degré de prise de risques sexuels
Le même n° revient sur la thèse négationniste à propos du HIV, considéré au mieux comme un "co-facteur" dans cette perspective. On tente en particulier de faire reposer l'épidémie sur l'abus des "poppers" (nitrite d'alkyle) et l'on produit une statistique portant sur la fréquence d'usage de ce type d'excitant sexuel en distinguant un usage lourd et un usage léger.
Cette étude est critiquable pour une raison très simple : elle ne comporte aucune chiffre concernant le non usage et même si c'était le cas cela ne voudrait rien dire pour la raison suivante : ce sont surtout des "homos" ayant le feu au cul qui utilisent des poppers, l'usage des poppers concerne donc un groupe à risque dont on peut s'attendre qu'il pratique plus ou moins le barebacking (rapports sexuels non protégés). Il est donc normal que les addicts au "poppers" soient des baiseurs impénitents multipliant. En d'autres termes l'usage des "poppers" n'est révélateur que du degré de prise de risque.
Sida : rien de nouveau sous le soleil
Il est clair que l'épidémie de Sida, parce qu'elle s'est répandue d'abord parmi les "homos" qui a l'époque (années 80) étaient des "chauds lapins" (plusieurs partenaires jours pour certains excités) a pour principal véhicule une contamination sexuelle. Que le HIV ait recours à des co-facteurs c'est possible.
La cyclologie permettait de supputer l'apparition du "mariage pour tous"
Au XVIIIème siècle, époque où le milieu a commencé de se structurer telle une sorte de "franc-maçonnerie", il a existé un "Sida" resté mystérieux, c'était une maladie (vraisemblablement herpétique) appelée la cristalline. On en mourrait. Un pamphlet intitulé Les enfans de Sodome à l'Assemblée Nationale (1790) pose le modèle des revendications apparue avec l'épidémie de Sida.
Voir https://archive.org/details/lesconfdrsvrolss00maur
Voir aussi : http://culture-et-debats.over-blog.com/article-288338.html
1781 découverte d'Uranus, au début la maîtrise d'Uranus sur le signe saturnien du Verseau (Verseur d'Eau) est contestée mais cette planète deviendra un indicateur de modernisme et surtout de non conformisme. Peu de temps après ceux que l'on n'appellait pas encore "homos" (1869) sont désignés sous le terme d'uranistes. Voir :http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Heinrich_Ulrichs. Le terme vient du Banquet de Platon et de l'attribution de la Vénus Uranie (céleste) aux amoureux des garçons tandis que la Vénus Pandémos (populaire) représentée chevauchant un bouc a été dévolue aux ancêtres lointains des "hétéros".
De l'Arcadie des poètes gréco-latins à la rue du Château d'Eau
L'Arcadie des poètes mettant en scène des bergers lutinant des bergères ou plutôt d'autres bergers est une pure construction fantasmatique qui n'a jamais existé. Je tiens cela de Bernard Sergent qui avait gentiment répondu à un de mes courriers en rappelant certaines singularités d'Arcadie historiques (des sacrifices humains) voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lycaon_(Arcadie). Toujours est-il que le thème est à l'origine de biens des utopies et des fantasmagories comme dans l'histoire de rennes le Château où un tableau de Poussin est censé avoir immortalisé un paysage de la région. En fait le tombeau qui a existé là bas est une copie en ciment moderne aujourd'hui détruite.
Ce n'est pas tout, dans les années 50, le fameux Club Arcadie, premier mouvement en faveur des "homophiles" ayant précédé le FHAR apparu au lendemain de Mai 68, tenait ses assises rue du Château d'Eau (encore l'ombre de Ganymède l'échanson des Dieux olympiens devenu par suite d'une démocratisation simple pourvoyeur de "château la Pompe"). Son fondateur, André Baudry, habitait rue Jeanne d'Arc et a sollicité à l'époque l'archevêque de Reims pour l'enroler (sans succès) dans sa croisade en faveur des "gays" qui n'existaient pas encore sous ce nom. Un photographe illustrateur de la ville des Sacres, ayant été sollicité pour portraiturer le personnage recevant une pseudo "Jeanne d'Arc" devant le grand portail de sa cathédrale.
On trouve ainsi dans la geste évoquée beaucoup de coïncidences en relation avec Uranus et le Verseau. Le problème est que le Verseau reste un des domiciles deSsaturne et un signe ... diluvien... Et l'on parle beaucoup de recouvrements d'une partie des terres habitées par la montée des eaux dues à la fonte des glaces du pôle. Cependant je ne me prononcerai pas là-dessus car la thèse du réchauffement climatique m'a l'air d'une imposture inventée pour booster l'industrie par le biais d'un faux développement durable. Parmi les jalons évoqués, on trouve une annonce de la Société Théosophique dans le sens d'un androgynat futur qui affleure dans les considérations polémiques engendrés par un certain procès de Madras dans les replis duquel on découvre que le futur "Messie" concocté par ce mouvement avait été copieusement "pédophilisé" par je ne sais plus quel prêtre malade. Il est à noter que la "maladie" a fait des dégâts jusque chez les tibétains en exil. Voir les révélations du tulkou d'un certain Kalou dans le voisinage d'un temple des mille bouddhas...
Pour en revenir à la thématique du Verseau en astrologie, la cécité des astrologues patentés à l'égard du contenu "homosexuel" du mythe aura été quelque chose d'assez extraordinaire dans la mesure où un seul d'entre eux a osé aborder le sujet dans une paire d'articles au ton fort prudent et ce au début des années 80. Avec pour seul résultat un désintérêt complet de la part des collègues et un parfum de scandale et une "mise à l'index" dans un milieu qui devrait compter dans ses rangs des experts en sciences traditionnels et n'aura été constitué au final que de vieilles badernes coincées en phase soit avec une Maçonnerie complètement fossilisée, soit un mélange de catholicisme assez intégriste et d'Islam puisque l'un des vecteurs d'un détraqué suisso-américain organisait, au nom de ce dernier, des réunions en djellabahs dans une des clairières d'une forêt de l'est de la France.
Même aveuglement et même inculture du côté des "arcadiens" modernes : la notice de Wikipedia sur Arcadie contient pourtant quelques repères posés à dessein mais qui n'ont fait l'objet d'aucun développement : il faut quand même savoir que la mythologie arcadienne a joué un rôle au sein de l'élite française à la veille de la trop célèbre révolution. Il n'est donc pas étonnant qu'une de ses premières oeuvres aura consisté à abolir le péché de "sodomie".
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