Miracle à Lourdes : le Saint Esprit souffle un "lape suce" hilarant, couillon mais révélateur... (13/11/2014)
Ces jours-ci, l'inspiration m'incitait à me lâcher et à détendre l'atmosphère pesante qui règne autour de certains "problèmes". J'ai fait quelques prières en vue d'un allègement et le "Bon Dieu" semble m'avoir entendu...Ce qui est arrivé vaut la "fellation" pour l'inflation de Rachida dati...
Dans l'émission le jour du Seigneur ce dernier dimanche, un séminariste fraîchement ordonné a fait une sacrée blague à l'Eglise. A Lourdes et en direct de la Basilique Saint Pie X, il a déclaré ceci : "Je vois que dans nos diocèses, des choses sont mises en place pour ne pas se sentir seul. Des prêtres se rencontrent assez régulièrement pour partager sur ce qu'ils vivent au quotidien. Et même si on est peu nombreux, on se serre les couilles." Etant dans un lieu saint le journaliste a eu la délicatesse de réprimer son fou rire en ne faisant aucun commentaire. Le web bruisse de la chose mais personne n'en tire les conséquences.
Enfin tout le monde sait que les "amitiés particulières" sont une spécialité des collèges de garçons surtout religieux. L'écrivain Alain Peyrefitte a arrondi la fortune de la famille par un livre qui fit l'objet d'un film du temps du noir et blanc et qui l'a lancé, l'acteur principal étant devenu son amant par la suite. Montherlant a brodé également sur le même thème avec La ville dont le prince est un enfant et j'ai lu qu'il en a repris la matière et l'a développée dans un roman publié à la fin de sa vie après mai 1968. Dès le début du christianisme les païens avaient déjà remarqué le caractère passionné de ces sortes d'amitiés chez les chrétiens.
Normal quand flotte une atmosphère d'interdit on compense par beaucoup de sentiment et d'attachement romantique... C'est une vieille recette encore très en honneur sous nos latitudes et qui inspire même des films pornos assez sophistiqués ! J'ai vu passer il n'y a pas si longtemps un extrait d'un film en anglais à base de revenants "homos" où des amours torrides entre jeunes d'une génération plus ancienne interfèrent dans une belle maison et dans la vie des habitants contemporains, des gays, après qu'un couple d'insouciants se soit envoyé en l'air dans un cimetière. Rassurez vous ça n'a rien de morbide si c'est un peu borderline. Si ça vous "titille" cherchez "The Haunting porno". Je ne me souviens que du titre, il y aurait plusieurs épisodes.
Parenthèse : Un lecteur que ça a "titillé" et qui connait mieux l'anglais que moi qui a suivi la piste me donne le compte-rendu suivant : Il y a déjà eu un film de Robert Wise, dans les années 60 qui s'intitulait "the haunting". Le titre a été traduit en Français par "la Maison du Diable". D'autre part, dans le film porno, il est fait allusion au mot "hunting" qui veut dire "chasse". Le héros a été tué dans un accident de chasse que l'on voit brièvement par flashs lorsque le héros est à son ordinateur. Il y a manifestement un jeu de mot entre "haunting" (revenant) et "hunting" (chasse). Le jeune homme tué marche dans le bois près de la maison, 100 ans plus tard. Bref! c'est un fantôme. La maison est hantée et un gars, intéressé par cette histoire, veut la racheter. Il se rend donc sur place. Celui qui le reçoit semble être le petit-fils du tueur. Il va se faire baiser par le revenant. Après, c'est moins clair... J'ai pas eu le temps de faire le tour de tout çà, grâce à torrent j'ai les 4 épisodes, si quelqu'un est "titillé" je peux mettre les 4 épisodes sur le Cloud hors choses sérieuses. Pas le temps en effet, je viens de déjeuner il était 17 heures. Enfin quelle nullité les pornos hétéros en regard de tant d'imagination mais le peu que j'ai vu n'est pas morbide. Seulement pour des "revenants" l'éclairage est parfois un peu trop cru alors ça tue un peu le charme de l'histoire...
Je ne m'attarderai pas sur ce lapsus révélateur. Bien sûr qu'on avait deviné que pas mal de séminaristes devait "se serrer les couilles" et entre nous ça vaut mieux que de se saouler au vin de messe. Enfin maintenant c'est officiel ! Les français sont volontiers anticléricaux mais ils sont indulgents, à présent il faut arrêter avec le faites ce que je dis et pas ce que je fais !
Enfin pas de quoi fouetter un chat car je me rappelle que Saint Anselm de Rielvaux aurait déclaré dans son Traité de l'amitié spirituelle, que ces amitiés si fréquentes chez les adolescents doivent être tolérées tant qu'il ne s'y glisse aucune frivolité... Selon la traduction de John Boswell, j'ai pas le bouquin, il est dans une collection hors de prix. Je cite de mémoire car le caractère si délicatement "ecclésiastique" de la formulation m'avait frappé. Les hommes, à moins de devenirs des vieux cons rassis restent des grands enfants alors l'adolescence peut bien se prolonger, où serait le problème ?
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