Félinothérapie : projet de "bar à chat" à Nice (02/07/2014)
Les bars à chats sont répandus dans certains pays et la mode commence à se répandre chez nous !
Un projet à vu le jour à Nice et s'il se réalise je ne manquerai pas de le fréquenter.
Voir : http://www.nicematin.com/nice/une-ancienne-cavaliere-veut...
La chat est (avec le marsupilami...) mon animal préféré. Il n'a que des avantages : il ne tient pas trop de place, est très propre, il dégage une impression de calme incitant à la détente. J'ai toujours eu des animaux étant enfant mais suis resté longtemps sans. Jusqu'à ce qu'un minette élise domicile dans mon atelier. La cohabitation fut assez difficile au début car lorsqu'elle estimait que je ne m'occupais pas assez d'elle, elle se faisait les griffes sur les sorties d'imprimante documentaires entassées à côté de mon lit ou restée dessus. Procédé infaillible mais qui nous a valu de frôler le divorce...
Devenu veuf, j'ai décidé de ne pas me remarier, mais avant de me retrouver seul, j'avais conseillé à mon voisin de prendre un chat pour comble sa solitude suite à un divorce. Mais comme il avait plus besoin de femme que de chat, son petit matou m'a adopté et il est parfait, il me suis partout.
Bref, quoiqu'il n'y paraisse pas forcément les chats m'ont aidé à développer beaucoup de sérénité et de calme. En plus, ils ont les charmes des enfants sans les inconvénients tout en étant indépendants et l'on n'est pas obligé de les avoir tout le temps sur le dos.
J'ai développé tout un classement des humains sur la seule base de leurs attitude vis à vis des chiens et des chats. Je m'entends de préférence avec les humains "chats". Beaucoup moins avec les humains "chiens" surtout quand ils se comportent en permanence comme des "dresseurs". Avec ceux là aucune entente possible, je ne cherche même pas, j'évite de leur adresser la parole. La différence réside dans ce que le chien est un animal de meute avec forcément un leader et quand il n'est pas dans un groupe de chiens, il lui faut absolument un "maître" d'où une sujétion de l'un à l'autre. Donc les "humains chats" ne sont pas "embrigadables", tandis que les "humains chiens" le sont, à moins de vouloir être des "brigadiers" (mentalité d'adjudants). Observez les gens autour de vous, selon ces critères et vous verrez que c'est très efficace pour éviter les ennuis.
Lors d'un échange avec le Pr Joyeux, il se définissait comme "mouton" mais il est permis de douter sans pour autant le considérer comme un loup. En fait il s'agit là d'une psycho zoologie chrétienne assez foireuse car excessivement manichéennes dans laquelle il y a les moutons (servant à l'occasion de bouc émissaires) et des loups sanguinaires. Le problème est que la société actuelle a fait des loups une espèce protégée après réintroduction dans le Mercantour. Résultat : si autrefois on pouvait presque caresser les chamois car ils étaient peu farouches, à présent on n'en voit plus sans devoir utiliser une longue vue. Enfin la société humaine est à l'avenant qui protège ses propres loups notamment au moyen de lois interdisant de discriminer plusieurs espèces notamment idéologiques parmi les bipèdes.
Enfin j'apprends que pour les loups à 4 pattes, on serait sur le point d’enrôler les chasseurs pour limiter la prolifération et pour ma part je m'emploie à "tuer" les loups à deux pattes qui plombent la société par leur mercantilisme sans frein et ma foi je suis assez satisfait de mon "tableau de chasse". A qui le tour ?
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