L'avenir de l'homéopathie en France et ailleurs (27/02/2014)

rangement-homeopathie.jpgJe vous fait un topo de mémoire sur le pouce, certains points seront à préciser ultérieurement mais je vous fournit l'essentiel pour que vous compreniez ce qui se passe !

Une directive européenne déjà ancienne avait prévu la nécessité d'une révision des marchés nationaux des médicaments homéopathiques. C'est en cours. Il est clair qu'une parpardelle de souches vont disparaître en France car chaque labo doit adresser à l'agence concernée un dossier essentiellement bibliographique mais pas seulement.

Première remarque par exemple Arnica chez Boiron pourra être accepté et le même unitaire chez Lehning refusé ou l'inverse évidemment.

En France, Boiron a presque tout "bouffé" par rachat notamment L.H.F.. Boiron a mauvaise réputation. Déja dans les années 90, à Fréjus j'ai entendu des médecins de l'académie Hannemanienne se plaindre de l'inefficacité de médicaments bien prescrits. Comment vérifier ?

Conneries à la Michel Dogna

Dogna a accusé Boiron de calciner les souches de nosodes. Dogna raconte des conneries, divers procédés sont recommandés par la pharmacopée européenne compartant effectivement des processus de chauffage mais après consultation et étude par l'institut Pasteur de Lille il a été prouvé que sans chauffage et à partir de la D8 ou 4 CH les risques de contamination étaient écartés. Donc Boiron ne délivre plus de souche d'organothérapie en dessous de ces dilutions, de sorte qu'en France l'organothérapie qui était utilisée à partir de la D4 pour les dilutions excitatrices, les D8 étant régulatrices etc.. c'est foutu ! Pour ses basses dolutions faut se tourner vers l'Espagne auprès d'un labo de Valence dont le blaze m'échappe provisoirement.

Problème, si quelqu'un y parle français j'ai jamais pu établir une communication téléphonique ni avoir la nomemclature. Il n'envoie pas en France car paraît-il la douane veille et refoule. J'ai un pote sur place qui s'est renseigné, on conseille de passer par l'Italie. J'ai une pharmacie à un jet de pierre de la frontière mais j'ai renoncé : je cours toujours après la nomemclature !

Petite parenthèse en passant sur Michel Dogna

Le nom de Michel Dogna attire beaucoup de monde sur ce blog. Son nom est toujours en tête des "mots clefs" qui amènent des internautes à le découvrir. Et des  gens qui me lisent et l'ont connu souhaitent parfois m'en causer. Je ne souhaite pas m'acharner sur ce personnage mais j'ai ainsi appris quelques détails que j'ignorais et qu'il est bon de savoir.

Tout le monde s'accorde à dire qu'il aurait bien commencé et vite dérapé dès qu'il a compris qu'il pouvait tirer beaucoup d'argent en exploitant la crédulité des pauvres gens. L'un de mes premiers mentors l'avait en grande estime au début des années 80 mais ça a très vite basculé...

Dogna se dit ancien ingénieur chimiste et Heilpratiker d'une université allemande mais des intimes n'ont jamais vu la couleur de ses diplômes. Il est vrai que ce n'est pas le genre de chose que l'on exhibe lors de ces "congrès" qui nécessitent un oreiller confortable... Soit dit encore en passant, et ce n'est pas un crime, l'exemple venant de très haut : Dogna est toujours un chaud lapin et l'on a observé que sa photo ne vieillit pas au même rythme que le phénomène qu'elle est censé représenter... En fait elle ne vieillit pas d'un poil... Dans ces moments propices à un certain recueillement, il aurait plutôt tendance à regretter que tel "ex", une co-auteur en l’occurrence, au nom quasi biblique, lui faisait plus d'effet.

Enfin ce qui est sûr c'est que Dogna a été viré de l'AMORC une secte rosicrucienne fondée par un certain Raymond Bernard dans la (fausse) lignée d'un certain Ralph Lewis. Il apparaissait dans un costume de Air Inter où il aurait fait carrière, le costume et le bagout du personnage étant sans doute les instruments d'un charisme à l'origine d'une sorte de détournement de clientèle pour son institut holistique Issa par référence à l'essénisme.

L'essénisme parlons en ! Dogna prêche le végétarisme mais lors des repas mondains, il ne crache pas sur la viande ni dans le vin. Or certes il n'est pas alcoolique mais l'impression qu'il donne c'est qu'il est possible qu'il ne croit guère à ce qu'il raconte. Le Web n'est pas documenté sur son passage au sein de l'AMORC raison de plus pour combler cette lacune mais en revanche on trouve 4 CD de lui sur le site d'une certaine diffusion rosicrucienne qui confirme que ce passage est probablement à l'origine de son néo-spiritualisme qui a depuis viré façon "'extra-terrestre" : c'est que l'essénisme était en grande estime chez les dévots de l'AMORC. J'en sais quelque chose : une amie qui tenait table ouverte en week-end et qui fut mon élève dans le cadre d'une certaine "science traditionnelle" m'avait convié à y adhérer. Ce que je n'ai jamais consenti. Il est à noter que son mari qui était informaticien et enseignant dans une IUT avait conseillé Raymond Bernard pour l'achat d'un ordinateur et c'était, il faut le préciser, avant l'avènement de la micro informatique dans les années 1975 et je me rappelle avoir passé avec ce couple des vacances au sud de l'Espagne et c'était juste avant la mort de Franco, à ce qu'il me souvient. Tout cela pour dire qu'à l'époque les "ordis" étaient des "grosse bêtes" extrêmement coûteuse. C'est entre autres détails, cette mégalomanie instrumentale qui m'avait ancré dans l'idée que l'AMORC était surtout une "affaire commerciale" fort implantée en Afrique à l'époque.

Bref, Dogna a laissé aux gens qui l'ont connu de près, l'impression d'un homme très communicant certes mais surtout à l'affut des affaires juteuses à tous égards, qu'il s'agisse de femmes ou de pesetas. J'avais du reste noté dans mon livre sur le G5 qu'il avait proposé à la représentante de Loïc le Ribault de trahir ce dernier en lui fournissant directement le produit alors qu'il avait élaboré un trafic passant par l'Espagne puisque elle seule avait le sésame pour communiquer avec le labo qui était français. Peut-être qu'il lui a proposé une partie de jambe en l'air, je ne me souviens plus mais si c'est le cas ce trait anecdotique doit se trouver dans le livre qui je le rappelle est un véritable roman ! Roman qui m'a valu récemment des insultes auxquelles je n'ai, bien sûr, pas répondu. On tire la chasse sur ce genre de choses.

Il est confirmé que si Dogna conserve une adresse en France, il vit en Espagne. Il est possible qu'il ait fui certaines plaintes déposées en relation avec sont institut des années 1984. J'ai relevé également un histoire de vol de fichiers commercial qui aurait pu profiter à sa fille. Il a du travailler pour un commerce d'appareils paramédicaux ou quelque chose dans ce genre et ça n'aurait pas gazé.

Enfin, peu importe le détail, il reste de Dogna quelques articles intéressants mais qui sont axés sur la promotion de compléments locaux qui coûtent la peau du cul et qui sont loin, bien loin, sans doute de pouvoir remédier aux pathologies évoquées. Je pense que son charlatanisme ne peut plus être un objet de doute et avec ses penchants "extra-terrestres" vu le fiasco de 2012 si les gens n'ont pas encore compris qu'il cultive un certain alarmisme, c'est qu'ils sont bouchés.

Il y a certes de quoi se faire du souci avec la perspective du TAFT. Quant à ce qui se passe en Ukraine, si c'est sanglant, il est tout à fait normal que ce pays reste dans le giron de la Russie. L'agitation actuelle est organisée en sous mains par une certaine finance. Que ce soit celle des ex Roquefeuille, huguenots français émigrés outre Atlantique où celle de la famille à l'écusson rouge, peu importe. Nous n'avons absolument pas intérêt à ce que l'Ukraine entre dans l'Europe alors qu'il nous faudrait trouver le moyen d'en sortir sans toutefois retomber dans la fermeture et l’isolationnisme d'autrefois à propos de certains importations "complémentaires". Par exemple... 

Notez qu'un processus assez analogue avec ce qui est mis en scène dans Les sources financières du communisme de P.F. de Villemarest est en train de se rejouer. Alors je vous le dis tout net il ne faut pas se laisser prendre par les sentiments parce que des gens s'entretuent. Qu'ils se démerdent, nous n'avons pas à mettre notre nez là-dedans. Quand la Mimolette a joué les chiens courants des Américains pour aller faire la guerre contre le régime syrien, Poutine nous a évité une troisième guerre mondiale, ce dont je lui suis extrêmement reconnaissant !

Je ne pense pas que les européens occidentaux aient les clefs de compréhension nécessaires pour juger de ce qui se passe au delà de l'ex "rideau de fer". Il faut arrêter avec cette chierie qu'est l'humanitaire, alibi de bien des ingérences et d'immondes saloperies ! Est-ce clair ?

Revenons à Boiron !

Je sais qu'avant l'installation du labo à Ste Foy la direction aurait commandé une expertise géobiologique et la personne sollicitée dont je dois avoir le nom quelque part aurait rendu un rapport négatif. Si j'ai bien compris le terrain choisi serait pollué par une ancienne industrie chimique. La région de Lyon a été le berceau de la chimie hexagonale et c'est une région hyper salopée. Un musicien de ma connaissance est allé s'installer la bas, il en est résulté un handicap respiratoire avec des troubles allergiques graves soignés par excès de cortisone etc...

On critique les tubes en plastique. La douchette des pharmaciens qui émet une pollution électromagnétique annulerait l'information. Comment le savoir et donc le prouver. On est là dans la spéculation alarmiste mais il est vrai qu'un tube métallique donc une cage de Faraday serait hautement souhaitable.

Quand on voit la production industrielle de Boiron, on imagine que ces labos doivent être farcis d'installation électriques polluantes et non blindées et que si le terrain est pourri c'est pas top. D'autre part, je pense que la fabrication de l'homéopathique doit rester artisanale. Les dilutions faite avec de l'huile de coude sont toujours supérieures au procédés industriels faites par des laborantins ou laborantines qui le lundi matin s'échangent leurs exploits (sexuels et autres) du derniers week end en surveillant distraitement le cadran de leurs appareils et en se foutant complètement de ces travaux répétitifs. Là je me base sur l'expérience que j'ai d'un travail en milieu hospitaliers où au bureau les "bonnes femmes" prolongeait leurs discussions sur des chiffons en ouvrant leurs guichets avec une demi-heure de retard bon poids !

Mon expérience de Boiron. J'ai un peu perdu de vue l'homéo et ne la pratique guère à cause du manque de confiance dans le leader français. Mais récemment j'ai conseillé à un copain Argentum nitricum en lui prédisant une aggravation de ses maux d'estomac dans la demi-heure ce qui s'est produit avec du Boiron. Récemment je viens de prendre Colocunthis lors d'une crise néphrétique avec pour résultat d'exacerber la douleur mais c'était un vieux tube qui doit dater des années 80. Il faut dire que j'ai hérité d'une collection de centaines de tube dont certains doivent dater d'un demi siècle ce sont des LHF avec double tube fer + verre. je remarque du reste que les granules sont mieux conservés. des granules de Boiron et de Schmidt Nagel des années 90 ont rougi mais je les utilise quand même.

Pour en revenir à Boiron, certaines expériences prouve au moins un restant d'efficacité et je n'ai pas assez de pratique régulière pour en dire plus. Mais si c'était pas compliqué j'achèterai en Suisse, en allemande ou en Belgique voir à Londres chez Nelson.

Pour la France il y a Lenhing et la Weleda mais c'est compliqué au niveau de la distribution. Toujours en France il y a une pharmacie au Mans (St Jospeh je crois) et un pharmacien qui fait ses dilutions à partir de souche de chez Lenhing. Si ce n'était encore la complication, je prendrais mes remèdes chez lui parce que je sais qu'il contrôle mais je vous en dirai pas plus car on est là dans le subjectif...

Concernant Boiron encore je suis un peu remonté contre eux. Malgré mon souci de les défendre contre les dires mal informés de l'incontournable Dogna et dont la fille dirige "Source Blanche" je n'ai pas pu obtenir au titre de la presse un accès au site réservé aux pros qui donne accès à la nomenclature disponible. J'estime valoir très très largement les connards de journalistes spécialisés des "merdias" en médecine et il faudrait donc que je demande à mon pharmacien ses codes pour accéder au site et à la doc pro. Je pourrais, il a mis ses Codex à ma disposition mais il faut que je me déplace et je n'aime pas trop déranger les gens. J'estime donc que Boiron aurait pu faire un petit effet. Mais en France c'est le goulag. Oh l'accueil est correct mais si on ne fait pas partie de la nomenklatura on est finalement considéré comme de la merde.

Une sacré différence avec les labos Suisses ou belge. En France un exemple au sujet de mon labo d'analyse : Je suis un bon client mais si j'ai des paramètre à faire doser à Lyon faut que j'attende 8 jours pour avoir les résultats écrits par Internet. On a fini par me dire gentiment (encore heureux) que je les occupe beaucoup au téléphone, ce qui est faux. Elle a pas pensé à faire deux dossiers parce qu'il n'y avait qu'une ordonnance. C'est moi qui doit prévoir le truc !

Voyons la Suisse : accueil charmant avec l'accent de rigueur pas d'impatience. Une autre planète ! Ategis en Belgique ! On ne me demande même pas si je suis "pro", on a compris que j'étais dans le coup on me propose de m'envoyer de la doc par poste... Décidement, la France est vraiment un  pays assez pourri, si je fais la différence au sujet de l'accueil aux guichets des Mairies, de la poste et autres services, surtout dans le Sud, on est souvent traité comme indésirable. Un détail sur la postière locale : un jour je viens faire un retrait, elle oublie de me rendre ma carte mais je fais pas gaffe. Trois jours plus tard, en ville, je découvre que j'ai perdu la carte. Panique et annulation. Et je me rappelle que j'ai pupasser à la poste (Mairie) une semaine plus tôt : ah vous avez oublié la carte. On me la rends sans un mot d'excuse.L Cette connasse aurait pu me téléphoner ou même monter chez moi (60 mètres à faire) ça ne l'aurait pas tuée. Enfin je l'ai quand même guérie de ses douleurs avec le silicium. D'après ce qu'elle dit mais allez savoir. Enfin c'est le genre de bonne femme qui commence à regarder sa montre une demi heure avant l'heure et qui ne fera pas une seconde de plus... Voilà ! Ca c'est typique de la Côte d'Usure alors boudez là !

Pour en revenir à Boiron, ils compte obtenir la régularisation des 1043 (je cite de mémoire ???) souches remboursées. Les autres ils s'en tapent visiblement et contrairement à ce qu'ils raconte. La réforme les arrange, il ne conserveront que ce qui est rentable. La lithothérapie déchélatrice ? Elle va probablement passer à la casserole. Or c'est bien Boiron qui a subventionné le développement des diverses "biothérapies", gemmo, organo et all tout en subventionnant et poussant à la roue divers associations chargées de promouvoir ces disciplines dont l'apparence seulement est homéopathique. Il s'agissait d'allonger les ordonnances afin que pharmaciens et labos y trouvent leur compte. Car il est vrai que l'homéopathie en France n'est pas ruineuse, et c'est bien différent ailleurs. 11£ pour un tube moyen je crois chez Nelson; 29 FS pour un sérum tissulaire en 4 DH chez Serolab.

Pour connaître un peu la "géographie" de l'homéopathie française mais c'est pas à jour (1983) voyez Conan-Meriadec, Pezé et Ruasse, L'homéopathie aujourd'hui, vous connaissez ? Et en particulier Les faux homéopathes. Ce livre qu'on ne trouve que d'occase vaut le détour !

Il y a encore un autre labo en France c'est le préparatoire des Archets qui propose des Korsakov mais j'ai des soupçon quant aux méthodes, vu la rapidité de livraison de dilutions très élevées lorsqu'elles sont à faire, je les soupçonne d'employer un procédé apparenté à la "radionique", bref les éléments d'enquête que j'ai venant d'un copain me laissent très dubitatifs. Boiron fait aussi des Korsakov mais le problème c'est la suppression régulière de souche, alors à chaque fois faut demander au pharmacien de téléphoner, rappeler. Il pourraient au moins mettre à disposition du public leur nomemclature. Non en France il faut qu'on complique et qu'ON EMMERDE. Et bien qu'ils aillent se faire foutre où qu'ils crèvent ! J'en ai ras le bol de toujours devoir être pendu au téléphone !

Nelson à Londres ! Ils sont sur Internet, on reçoit sans problème. J'ai plusieurs tubes mais j'ai pas d'expérience probante. Mais je crois que c'est des dilutions en flexion continue. Faudrait poser la question. J'aime pas trop, ça ne veut rien dire pour moi. Mais enfin pour les nosodes de Bach c'est eux !

Concernant la réforme évoquée d'entre de jeu ! J'étais en relation avec un médecin qui devait me recontacter, je n'ai jamais eu de nouvelles. Lui et Grand Georges sont montés au créneau et ont sonné le tocsin mais ces gens là sont pas capables de faire un état clair de la situation sur le plan technico juridique et moi je suis fatigué d'essayer de rattraper la mayonnaise des uns et des autres. Il est vrai que même un juriste patenté s'y perd dans la réglementation européenne, qu'il faut ramer parmi des centaines de pages de bavardages pour trouver l'info capitale mais reprocher à la France d'être sur le point de passer Carcinosinum à la poubelle c'est donner des verges pour se faire battre. Boiron n'a jamais au grand jamais proposé cette souche.

Donc je termine en revenant au point de départ, la révision du marché va aboutir à des résultats différents selon les labos à l'intérieur de chaque pays mais différents d'un pays européen à une autre. Alors si c'est çà l'unification européenne bonjour ! Quel foutoir antidémocratique et vérolé que cette Europe de merde avec les fraises archi pestiférés d'Espagne les mêmes traitement étant interdits chez nous, ce sont les fraises de Carros qui font les frais d'une importation libre venant d'Andalousie. Notez que les fraises de Carros n'ayant aucun goût c'est pas une grosse perte. Les dernière fraise de Carpentras goûteuses dont je me souviens doivent dater de deux décennies. Les variétés disponibles à cultivées sont insipides. Les Madame Moutot viennent mal... Bref c'est la cata !

Traitement des oliviers ! Certains sont interdits en France mais les agriculteurs vont se fournir à Vintimille et dans le secteur pour finalement arroser en fraude leurs oliviers : ni vu ni connu, évidemment pas de contrôle... Je ne reviens pas sur les nouveaux moulins avec centrifugeuses supersoniques : la flotte plus l'oxydation ce n'est plus de l'huile vierge et en plus on la vend souvent en bouteille claires.

Là encore faudrait que De Lorgeril arrête de nous rebattre les oreilles avec l'huile d'olive et son régime méditerranéen, c'est pas la panacée surtout avec la dégradation des produits disponibles. Même dans la région de Nice faut fouiner sérieusement et questionner pour se procurer de l'huile potable.

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