De la dioxine dans les Tampax, réactions... (16/09/2013)

Il me fallait m'attendre à des réactions suite à mes remarques en marge de l'histoire des Tampax à la dioxine qui pourrait bien être un Hoax mais c'est à vérifier. Aussi dans la mesure où il existe des alternatives écolos trancher la question ne présente pas de caractère d'urgence. Il me semble plus intéressant de rappeler qu'il existe des alternatives à la pilule et qu'à ce propos on peut au moins souligner que si le Pr joyeux n'a pas toujours été bien inspiré, cela fait longtemps qu'il a sonné le tocsin :

Quoiqu'il en soit la plupart des "souris" continuent à pisser leur résidus hormonaux et nous plombent. Mais qu'importe, je m'en fous, je distille mon eau ou j'ai recours à des filtres adéquats (charbon, osmose inverse) c'est la moindre des choses. Et après moi le déluge !

Ma prestation m'a valu une réaction d'une lectrice qui parle d'injures sexistes. Elle me reproche pêle mêle de l'irrationnalité, une réaction émotionnelle, des stéréotypes généralisateurs etc... Je n'accepterai pas l'évolution normale de la société... J'ai répondu à cette dame et je ne souhaite pas polémiquer car c'est l'un des sujets sur lesquels on a tort d'avoir raison.

La vérité quand elle ne plait pas est toujours "'injurieuse" et quand on parait marcher à contre courant, il faut s'attendre à être condamné sans appel.  je tiens quand même à préciser qu'il n'y a rien d'atrabilaire dans ma réaction et que je ne souffre pas de l'état de chose actuel. Car je n'en suis pas victime, j'avais prévu bien des choses excepté le "mariage pour tous" car même au lendemain de Mai 68 c'était impensable quoique la Sorbonne ait tendu à se transformer en un véritable lupanar avec l'avènement du FHAR ce front homosexuel d'action révolutionnaire.

Je suis si peu contre l'évolution normale de la société, que s'il n'avait tenu qu'à moi et si j'avais été Zeus en personne j'aurais déclenché un déluge contre les manifestation de rue hostile à la loi Taubira. J'aurai fait une hécatombe de ces foules manipulée par la Boutin, car s'il est une chose qui me révulse c'est la dictature des monothéismes et le moralisme nataliste et inquisitoire qui en a découlé. C'est odieux au possible ces trois sectes qui veulent imposer leurs lois. Je regrette mais toute leur doctrine est anti spirituelle car basée sur la loi du sang, or je considère que tout ce qui relève des affinités de l'esprit est par nature supérieur à cette loi du sang  et même de la race dans le cas d'une religion qui se transmet par la mère !

Et j'irai jusqu'à ouvrir une parenthèse à ce propos pour dire que je considère l'adoption comme supérieure à la procréation. Cette dernière comporte un risque, celui d'avoir sur les bras un ou une handicapée ou encore d'être inondé de filles quand on préférerait un garçon. Le seul moyen de pallier à ces aléas c'est justement l'adoption, or les possibilités sont par trop limités et ce n'était pas le cas autrefois. L'erreur de John Boswell l'historien gay américain à propos de ses "unions de même sexe" est d'avoir finalement occulté derrière un fantasme de mariage homo" une institution consistant en la création de frères comme l'indique le terme grecs (adelphopoesis). C'est de ce concept de pure solidarité qu'il aurait fallu s'inspirer au lieu de cette parodie de mariage bourgeois dont on hérité les "homos" quelques années seulement après avoir voué les "hétéros" aux gémonies. Quelle bande de cons que les stratèges du milieu LGBT qui ont forcé le monde à accouché de ce "monstre" bien conçu comme toujours pour seulement faire marcher le commerce !

Maintenant si ce monstre possède l'avantage d'obliger à terme aux "'homophobes" de fermer leur sale gueule de jaloux, ça ne m'empêche pas de dire que le "mariage homo" n'est somme toute que le résultat d'une névrose sécuritaire comme double produit d'une crise économique recessionniste et de la hantise d'une nouvelle peste apparue au début des années 80. On peut "marcher avec son temps" sans en être dupe pour autant !

Que ces fléaux disparaissent comme par magie et le multipartenariat ça repart comme au lendemain de mai 68. Encore qu'il a existé bien avant dans le la fameuse révolution estudiantine. Les gays n'ont pas attendu mai 68 pour exister du moins à Paris et à Berlin. En province c'était l'enfer et ça reste l'enfer dans la France profonde et dans les banlieues. Mais à Paname comme la pullule n'existait pas encore les garçons faisaient leur premières expériences dans les bras de leurs aînés et avaient une chance d'acquérir un peu de plomb dans la cervelle. A présent des gamines d'une vulgarité crasse les détournent à 15 ans alors que c'est à peine s'ils viennent de cesser de fêter leur mère. Le retard de maturité des garçons fasse au réalisme dévastateur et dépourvu de romantisme des filles de plus en plus délurées n'est pas une légende. Je vois ça tous les jours et je me demande comment ils peuvent arriver encore à bander pour ces garces et accepter à ce point d'être "toutoufiés" mais çà les regarde. Une partie de l'humanité me demeure un profond mystère...

Bref, on peut se demander si Mai 68 a marqué un progrès. Dans le domaine "homo" je ne crois pas. Les gens bien s'envoyaient les petits télégraphistes, les livreurs se laissaient lutiner assez facilement quoique qu'il ait fallu attendre 1982 pour que la majorité sexuelle soit rabaissée à 15 ans. Mais c'est resté théorique. On nage dans l'hypocrisie. Le détournement de mineur a je crois disparu ainsi que le délit d'attentat à la pudeur remplacé par le concept à mon avis très littéraliste et fort menaçant "d'exhibition sexuelle". Le pénaliste que je suis devenu ne considère pas que les délits en question soient équivalent. l'ancien était indexé sur ce que la société acceptait à un moment donné. Le nouveau se prête à des dérives. Il suffit d'être vu la bite à la main en pissant pour être éventuellement accusé d'exhibitionnisme. La vieille jurisprudence est en danger d'être subvertie par ce littéralisme.

Mais là je viens encore d'aborder un sujet tabou en parlant de l'usage que faisaient certains citoyens des télégraphistes en s'envoyant des faux messages... C'est devenu un sujet ultra sensible et c'est la hantise de la pédophilie entièrement fabriquée en réaction à l'abaissement de la majorité sans parler à 15 ans. En 1982 comme l'affaire du Coral qui parait avoir été montée en épingle pour les besoins de la réaction essentiellement calotine. Les femmes n'ont pas joué de rôle très apparent dans la fabrication de cette hantise trop subite pour être honnête mais c'est un des sujets qui les incitent à professer que tous les hommes sont des violeurs en puissance. Merci j'en ai assez d'entendre ces refrains éculés... Un détail en passant concernant les handicapés : on souhaite leur rendre la vie facile en ouvrant dans les bâtiments publics des portes de cathédrale donnant accès à des toilettes accessibles aux chaises roulantes mais on ne s'est pas avisé que l'adoption d'un article du code portant sur une question de barbarie interdit à tout citoyen soucieux de rester en liberté de refuser toute espèce de relation sexuelle avec un handicapé parce qu'après coup il pourrait être déclaré comme incapable de consentir puisque par essence même un handicapé est un incapable en puissance. Je me rappelle qu'à l'époque où je m'occupais beaucoup de droit avoir été consulté et avoir donné le conseil de ne jamais sous aucun prétexte souscrire à ce type de relation? Surtout dans les cas d'homos ! Aussi force est de constater que l'apparente volonté de faciliter la vie des handicapés à pour contrepartie comme effet pervers d'éloigner tous ceux qui pourraient leur apporter un peu de plaisir. Il faut se rendre à l'évidence la "surprotection" qui sévit actuellement concernant les handicapés et les mineurs et les jeunes en général concourt, du fait de la hantise évoquée, à ce qu'il faut bien appeler une perte de chance. Enfin qu'on le veuille ou non, le charme d'un garçon quand on est employeur même si on n'est pas "pédé" ça joue. Je remarque du reste à ce propos que certains immigrés savent en jouer alors que les européens trop soucieux d'un souci d'intégrité sont éliminés par les effets pervers du Système. Personnellement, ça ne me contrarie pas, j'adore quand les cons qui ont une trop haute idée d'eux-mêmes se font jeter. Soyons honnêtes, il faut un minimum de savoir vivre et de séduction pour faire sa place à moins de pouvoir s'imposer par un certain génie d'ordre intellectuel et un minimum de sens de l'humour mais là ça grince nécessairement car il y a beaucoup de complexés en ce monde... Bref les femmes en faisaient trop en matière de séduction et je me réjouis de voir qu'en voulant la barre trop haut finalement beaucoup se retrouvent à leur juste place...

Bref, je vis avec mon temps mais sans être réactionnaire j'ai le sens du relativisme et je ne suis pas persuadé que le fait de beaucoup parler d'une chose ait réellement fait progressé sa cause. Mais je tiens tout de même a dire que je ne suis pas contre la "mariage homo" pour l'excellente raison que c'est toujours un plus même s'il m'est inutile.

Je pense ainsi avoir démontré que les lieux communs issus de cette perspective progressiste qui implique de continuer que aujourd'hui est forcément mieux que ne l'a été hier est pure foutaise. Des progrès il y en a. Internet en fait partie qui permet à chacun d'exister du fin fond de sa province s'il a suffisamment de talent pour émerger dans un domaine ou un autre. Donc globalement, il y a du mieux même si dans les détails on y perd forcément. exemple : les "homos" se sont rendus compte que la "visibilité" relève d'une perspective policière de l'aveu selon Michel Foucault.

féminisme.pngPour en revenir aux excès de la gent féminine, il ne fallait pas s'attendre à ce que l'on discute mes arguments. On a beau jeu de parler de généralisations. Je vois ce que je vois : dans le cas des divorces ce sont les femmes qui sont gagnantes parce qu'elles ont pour alliées des magistrates qui appliquent un tarif sans état d'âme. On me répond que les hommes répugnent à la garde des enfants. certes c'est pas leur boulot et quand il la veulent on ne la leur accorde pas et à ma connaissance elle n'est possible qu'à partir d'un certain âge enfin il est bien clair que dans ce cas de figure les femmes gagnent sur tous les tableaux, pension alimentaire, "allocs" + les subventions des amants successifs et le respect de la vie privée interdit les contrôles qui seraient de toutes façon perçus comme une atteinte au droit à un épanouissement sexuel.

Maintenant si cette inégalité là révolte mon sens de la justice, cela ne me concerne pas et ceux qui font la bêtise de s'engager dans une entreprise aussi insécurisée que le mariage ne récoltent que ce qu'ils méritent. Car le divorce pour faute s'il existe encore n'entraîne aucune conséquence dommageable. En fait il faut bien dire que c'est un contrat qui n'en est plus un puisqu'au nom du sacro saint plaisir sexuel une femme peut divorcer sans motif et même chasser le mari d'une maison qui lui appartient en propre et cela je l'ai vu à deux reprises avec comme victime un pharmacien qui s'est reconverti en vendant des huiles essentielles. Ce con voulait m'engager pour distribuer des roses aux femmes lors de leur journée nationale. Inutile de dire que je l'ai envoyé paître avec fracas ! S'il est maso cocu et content ça le regarde!

S'il est une chose qui me débecte c'est la mauvaise foi mais comment la départager de l’irrationalité. Les femmes ont un génie particulier, celui de changer brutalement les règles du jeu quand cela ne leur convient plus.

Enfin pour en finir on me renvoie vers un site que voici :

http://www.adequations.org/spip.php?article363

Et qu'y voyons nous ? Je cite :

Les rapports sociaux entre femmes et hommes sont caractérisés, selon les pays, par des inégalités plus ou moins marquées, notamment en matière de représentation politique et d’accès aux postes de décision, de niveaux de salaires et d’accès à des emplois diversifiés, de partage des fonctions dites "reproductives" (sphère domestique : soins aux enfants, repas, ménage, etc.). D’après les Nations unies, partout dans le monde, les violences à l’égard des femmes constituent une entrave majeure au développement humain et les Etats sont amenés à légiférer sur cette question.

Ce texte est typique d'une volonté d'amalgame : on se sert d'abus notoire encore pratiqués dans certains pays dit arriérés pour justifier ici chez nous d'éternelles revendications. Il ne fait aucun doute qu'il existe des abus mais est-ce pour autant une solution que d'imposer la parité dans le domaine électoral comme cela va être le cas dans la moindre  des communes. J'ai résolu de boycotter systématiquement cette imposition d'une quantité égale de femmes et d'hommes.

Mais enfin de quel droit osons nous nous mêler de ce qui ne nous regarde pas en voulant ériger notre justice supra nationale alors que nous ex chrétiens nous venons à peine de nous délivrer de cette engeance mortelle que fut la Sainte Inquisition ! Et encore, celle-ci ne cesse de renaître de ses cendres. La controverse de Valladolid à la veille de la renaissance qui visait à déterminer si les indiens étaient des hommes ou des bêtes n'est pas si vieille. A quand remonte l'abolition de l'esclavage. Si donc nous avons accompli certaines progrès il me semble qu'il est encore un peu tôt pour avoir le culot de vouloir aligner ce qui reste des anciennes sociétés traditionnelles sur nos vues étriquées !!!!!!!!!

Ne pas oublier que la propension actuelle des Occidentaux a pratiquer partout l'ingérence sur les traces de leur ancien colonialisme est un héritage maléfique du messianisme juif revu et corrigé par les sectes chrétiennes. peut-être faut-il rappeler que l'on vient de découvrir que le monothéisme juif est une invention moderne, que ce monothéisme a été précédé d'une monolatrie en tout points égale à celle des "paganismes" environnants. Le monothéisme est à la racine de tous les totalitarismes, cette théologie là conduit à tous les excès niveleurs et je le dis elle m'est devenue excécrable sans que pour autant je sois tenté par ne "néo paganisme". La mythologie c'est certes très intéressant mais c'est de la pure littérature. Enfin quoiqu'il en soit les "scènes de ménage" des dieux olympiques, leurs baisouillages multiples et divers sont tout de même plus amusants et plus drolatiques que la pruderie ambiante qui ne cesse sous des dehors soit disant libérés de renaître indéfiniment et en catimini.

Nous vivons une "nouvelle renaissance", je ne suis pas sûr qu'elle va nous conduire à des lendemains qui chantent mais il faut relire Montaigne et Rabelais c'est une littérature de circonstance malheureusement indépassable dans son genre. 

Il n'est pas démontré que les femmes puissent avoir un droit égal à faire de la politique. Si l'on manque de candidate au point qu'il faille en arriver à imposer la parité c'est que la plupart n'éprouve pas de vocations à jouer un rôle de tribun. Alors pourquoi forcer les choses car c'est au risque de nous imposer l'incompétence voir des emmerdeuses pour le plaisir !

Je ne vois pas pourquoi les hommes devraient se mettre à la puériculture et apprécier les travaux ménagers. Je précise que ce n'est pas mon problème, je n'ai jamais eu de bonniche et même si j'en avais les moyens je n'en aurais pas. Passer le balai, la serpillière ou l'aspirateur, frotter c'est un exercice physique et comme j'en manque, je ne vais pas refiler cette occasion de me dépenser à quelqu'un d'autre. Je me borne à rechercher les solutions les plus pratiques et les plus efficientes. Un père qui donne le biberon et change les couches de son fils je trouve ça touchant. J'ai donné le biberon à ma plus jeune soeur et je n'ai pas trouvé çà humiliant. Mais entre faire quelque chose par plaisir et se le voir imposé comme une tâche authentiquement masculine c'est une autre histoire. Or cette nécessité d'un partage résulte d'abord d'un esclavagisme généralisé car avec les salaires de misères actuels, il faut que l'homme et la femme travaillent à l'extérieur avec en plus des "allocs" qui sont un moyen pour l'état d'imposer son formatage, vaccinations et tuti quanti.

Alors ça va bien et il ne faudrait pas confondre les palliatifs à l'aide desquels on remédie à une situation de crise et donc à une situation anormale et abusive avec ce que l'on prône comme étant un idéal !

Je dis non non et non ! La vocation de l'homme est à l'extérieur, celle de la femme à l'intérieur. Sauf exception mais ces exceptions doivent se justifier par des talents particuliers. En matière de politique je ne connais qu'une révolutionnaire authentique : ce fut Rosa Luxembourg ! On peut bien dire qu'elle a été supérieure à ses pairs justement parce que fut une exception. Mais la politique implique parfois des révolutions les femmes qui sont hantés par des idéaux sécuritaires du fait de leur nature première de mère ne sont absolument pas qualifiées du moins à priori pour manifester l'envergure intellectuel et le recul nécessaire à tout homme d'Etat. Car pour exercer ce don dans sa plénitude il faut pour le moins être dégagé d'un minimum de contingences. Il conviendrait même à la limite de n'être pas marié.

Je rappelle que l'histoire de la Grèce et marquée par celle de deux tyrannicides par ailleurs amants Harmonius et Aristogiton quoique la norme des relations "gays" de l'époque était foncièrement inégalitaire (pédérastie).

Bref, pour tout dire j'aurais tendance, pour faire bonne mesure, à foutre dans le même sac les "hommes à femmes" (souvent traîtres à leur race) et les femmes en matière de politique. Du moins en ce qui concerne la conduite d'un Etat. Au niveau local, c'est un peu différent : on a parfois besoin de réalisme et de sens concret pour la gestion des "collectivités locales".

Bref, je ne peux que frémir quand je constate qu'on se sert de certains abus notoires, notamment en pays islamisés, pour faire progresser et justifier certaines ambitions locales au point de continuer à vouloir nous persuader que l'Europe est toujours un enfer pour les femmes. Il faut arrêter. je ne pense pas qu'elles ont mérité le droit de vote du fait qu'elle ont fait tourner la boutique pendant que les maris ou fiancés étaient au front mais elles l'on ce droit. Que leur manque t-il ?

Les inégalités de salaires ? Je ne sache point qu'à échelon égal dans l'administration, il y aurait inégalité de salaire. En revanche il existe un concurrence naturelle entre les sexes encore faut-il préciser que les mecs ne se font pas de cadeau entre eux. Alors où est le problème. Si on a permis aux femmes d'accéder à certains travaux c'est bien avec l'arrière pensée de les exploiter. On ne leur a pas permis de travailler pour les libérer mais au contraire pour en faire des consommatrices. Et elles ont marché dans la combine. Alors je regrette mais la situation est dure pour tout le monde et il n'y a pas lieu d'adhérer aux plaintes.

Enfin on veut absolument nous convaincre que s'il existe bien des différences, elles sont malgré tout susceptible d'être traitées également. Je regrette c''est absurde. La notion d'égalité est quantitative. Alors dans cette perspective la différence ne peut se mesure qu'en terme d'inégalité avec, et c'est très aléatoire, une supériorité sous un certain rapport et une infériorité sous un autre. Or si l'on se base sur un constat physiologique, la supériorité du mâle est très relative. Sur le plan physique elle reste théorique et est battue en brèche et rendue inutile par nos machines. Sur le plan moral, je ne suis pas sur que les hommes soient mieux lotis que les femmes. Les hommes sont très sensible au sentiment de l'honneur. Je regrette mais ce n'est pas le cas des femmes du moins en général. Elle accommodent leur morale à leur propre subjectivité tandis que nous sommes naturellement assez "psycho rigides" ce qui comporte pas mal d'inconvénients en terme de sentiment de culpabilité. Nous trouvons assez normal de rendre des comptes à la société, les femmes non, je constate qu'elles s'y soustraient assez volontiers.  

Alors je pose la question qu'est ce qui manque encore au droit des femmes ici en France et en Europe ? On m'objecte qu'elle ont de petites retraites du fait de carrière discontinues. Mais ces carrières à trous ne sont pas exclusives des femmes... Enfin je note que puisque les congés maternités dus aux femmes sont un épouvantail pour certaines carrières on s'est trouvé dans le cas d'accorder aux hommes un "congé paternité" alors qu'ils n'avaient rien demandé et cela rien que pour ôter aux femmes un aléas contre productif. Quand on en arrive à ajouter aux soucis des patrons pour égaliser les chances de chaque sexe, rien ne va plus. On nage dans l'absurdité alors qu'il faudrait hausser les salaires et bannir les aides à la procréation ce qui nous permettrait du même coup de cesser d'être colonisé par toutes la misère du monde car avec l'Europe après les retombées de la décolonisation voici la horde des parasites venus d'états sous-développés économiquement et en proie à beaucoup de corruption. 

Bref quand on veut discuter d'un sujet, il ne faut pas l'envisager avec l'esprit partisan du petit côté de la lorgnette. La norme je le répète est que la femme est faite pour enfanter et garder le foyer et que si ceci peut souffrir des exceptions, mais outre que les exceptions ont toujours pour fonction de confirmer la règle, il ne faut pas tout mélanger. Des régimes différents ont existé et existent encore comme la polyandrie. Cela fonctionne mais rêver d'un matriarcat universel comme devant être le sort final de l'humanité merci bien. Le sinistre connard qui a professé que la femme est l'avenir de l'homme ne croyait pas si bien dire. Grâce aux pesticides, aux rejets des résidus de pilule contraceptive cette ère.

Enfin si la situation est devenue critique, je dois à la vérité de dire que loin de refuser de marcher avec mon temps. Je constate que puisque l'homosexualité n'est plus criminalisée et qu'elle a droit au "'mariage" c'est la reconnaissance implicite que l'on peut se passer des femmes sauf pour faire des enfants. Mais comme il suffit d'un peu de temps pour lever le tabou de la procréation médicale assistée même les inconvénients du maternisme traditionnel pourront être contournés. Et puisque mon interlocutrice me fait implicitement commandement de considérer l'évolution de la société comme "normale" comme la PMA et le recours aux "mères porteuses" finira par entrer dans les moeurs (sans pour autant mettre un terme au maternage ordinaire), je m'empresse de dire qu'en fait rien ne va vraiment changer !

Le féminisme des débuts considérait le mariage comme une forme de "prostitution bourgeoise" alors si c'est le cas, en quoi lla PMA et le recours aux mères porteuses serait-elle plus malsaine ? On peut mettre ce que l'on veut dans un contrat et si cela peut paraître sordide, il faudra peut-être en passer par là pour revaloriser la notion de famille qui n'a à mes yeux de sens qu'en tant que famille étendue (non prédatrice) ce qui n'a rien à voir avec les familles biparentales qui se tuent au boulot et qui sont la norme actuelle.

Maintenant je ne me prononce pas ni contre car le problème du merchandising de la femme en tant que mère porteuse éventuelle s'enracine dans la pauvreté ambiante. Or que fait-on pour qu'elle cesse. Quelles dispositions a t-on prise pour éradiquer les paradis fiscaux et pour endiguer les importations venant des pays où le salariat ne coûte presque rien. Vouloir moraliser certains secteurs de la société sans avoir le courage de s'attaquer aux causes lointaines des dérives c'est entuber une fois de plus le monde par des discours à côté de la plaque.

Une seule chose à vrai dire m'inquiète : le féminisme revanchard s'accompagne d'un progrès à savoir la décriminalisation de l'homosexualité mais combien de temps ça va durer ? La logique implique à terme de considérer que selon les vues actuelles du féminisme l'homosexualité exclusive a pour conséquence de néantiser complètement les femmes. Les féministes ont toléré les "pédés" tant qu'elles ont cru qu'ils pouvaient être des alliés mais a supposer qu'une majorité de mecs décident qu'après tout les bonnes femmes les emmerdent, que va t-il se passer ? Or cette possibilité est la seule issue pour se débarrasser de l'emprise des revendications illégitimes et systématiques de ces femmes qui sont remontées contre les hommes. Vous nous faites chier ! Ok ! On ne vous veut pas de mal, on ne va pas vous faire la guerre mais allez vous faire foutre : débrouillez vous avec vos consoeurs ou prenez des godes ? Vous voulez des postes de responsabilités : Ok pas de problème mais on vous demande d'avoir des comportements impartiaux et virils et on vous engage même à faire la guerre à ces hommes qui agissent par en dessous avec ces moyens pervers dont les femmes se sont fait une spécialité. A ce propos il suffit d'observer comment les choses se passent dans le milieu du travail hospitalier où les hommes finissent pas être en minorité. C'est parfois et assez souvent l'enfer ! Il faut voir les saloperies qu'elles se font entre elles et cela du bas au haut de l'échelle, avec heureusement, il est vrai des exceptions. Je n'ai pas de problèmes avec les femmes quand elles ont un comportement rationnel mais c'est très rare, or il est tout-à-fait possible de marier les qualités féminines de conciliation et masculines de rigueur. Qualités hélas de moins en moins répandues car j'observe qu'en règle assez générales les hommes sont assez dégénérés et pourquoi échapperaient-ils à la loi de l'entropie ? Il faut donc bien distinguer dans mon discours l'homme comme tel qui est assez "théorique" et qui reste à un idéal à atteindre avec l'homme de la rue dont une majorité se distinguent de moins en moins des femmes. 

Pour ce qui concerne cette possibilité d'échapper à un véritable dilemme que constitue la culture des amitiés masculines (avec ou sans sexe et on s'en faut car ce qui est précieux c'est pas le cul mais la loyauté !), je m'attends à un revirement et en général quand je me livre à ce genre de "prophétie" ça arrive avec cinq à dix ans de décalage. En fait de même si un nombre suffisant de mecs peuvent suffire à fermer un cercle, une seule femme suffit pour provoquer une rupture. Et si la figure s'entend au propre comme sujet de réflexion purement symbolique, nul ne saurait contester que cela correspond à un "sens figuré" des plus fréquent.

Leur seule puissance réside là car il n'y a pas de supériorité à héberger la vie car il faut être deux pour provoquer le phénomène. Que nous décidions d'ignorer les remontrances et les revendications et c'en est terminé de la révolte. Du reste beaucoup de femmes se plaignent qu'il n'y a plus de mecs. Evidemment à force de les faire chier avec des exigences d'un autre monde, ils vont voir ailleurs. Si les hommes sont des fauves, il n'apprécient pas la violence gratuite et préfèrent rompre le combat et aller faire leur sieste ailleurs.

Mon interlocutrice a terminé son épître en se demandant si elle ne devait pas remettre en cause mon objectivité dans d'autre domaine que celui dont on vient de parler. Ma foi mes prestations en matière de médecine sont gratuites et sans engagement. Je ne vais certainement pas me faire chier à vouloir convaincre mon lectorat de choses qui me paraissent évidente. Je soupçonne derrière cette menace voilée de m'ôter tout crédit une sorte de chantage affectif" auquel je suis, il faut le souligner, totalement imperméable. j'ai acquis un certain nombre de certitude et ce n'est pas à mon âge qu'on m'en fera changer.

La médecine comportant un volet d'hygiène publique, un minimum de considérations sociologiques est nécessaire au maintien de la bonne santé ambiante. Que les conclusions de cette sociologie aille à l'encontre des désirs des femmes, je m'en tape et je répète que je fais une place au exceptions. Et j'ajoute que ce que je déplore ce n'est pas tant que les femmes soient devenues ce qu'elles sont mais que beaucoup d'hommes et de jeunes en particuliers soient devenus très "efféminés" sans pour autant être "pédés" même s'ils en ont souvent les apparences vu que ce sont des couturiers gays qui font la mode. Qu'ils le soient souvent devenus sans avoir acquis l'immunité que procure un certain état "spirituel" qui protège des pièges de la gent féminine est certes fort regrettable mais tant pis pour eux ! Bien évidemment, les gays qui s'imaginent que le nec le plus ultra c'est de proclamer leur "auto réversibilité" n'ont évidemment rien compris à la pièce et auraient grand besoin de retourner étudier ces "humanités" dont l'éducation moderne les prive.  Sans doute faut-il remonter assez loin dans le temps pour trouver des repères fiables car déjà dans le fameux Symposium de Platon Socrate fait intervenir une certaine prêtresse arcadienne, la fameuse Diotime cette "extra terrestre" sortie de nulle part. Bref le vert était dans le fruit depuis bien longtemps déjà... 

Un de mes prochains post sera pour critiquer l'ouvrage d'un universitaire belge qui veut absolument que l'homosexualité soit génétique. J'ai découvert l'existence de ce bouquin qui renoue avec une tradition que l'on croyait oubliée depuis l'eugénisme hitlérien mais qui refait surface comme l'un des sous marins de la fausse intellectualité américaine. Cela relève de la médecine puisqu'on prétend qu'il s'agit de biologie. Mais il y aurait tellement de choses à dire que je ne sais trop comment aborder ce vaste sujet. Mais qu'importe, rien, ne presse mais il faudra consacrer quelque lignes à cette vieilles lune que l'on croyait morte...

Bon enfin, si mon propos déplaît on est libre de se désabonner ou de déserter ce blog. Il tend à devenir un peu trop populaire si j'en juge par le nombre des abonnés qui s'inscrivent chaque semaine, l'email de ma soeur servant de repère pour distinguer les nouveaux arrivants. Quant on possède un Saturne dominant en opposition à une Lune, il faut veiller à limiter son succès en évitant toute espèce de démagogie, laquelle n'apporte guère que des inconvénients en suscitant des malentendus. Je ne suis pas populiste, je suis élitiste et je considère la démocratie comme un "piège à cons". Maintenant je n'ai rien à proposer à la place, ça reste vivable moyennant la liberté d'opinion sauf la non reconnaissance du féminisme ne saurait être une "opinion". A défaut d'harmonie je suis pour l'appartheid, c'est-à-dire un minimum de développement séparé permettant à chacun de garder son âme. L'uniformisme et l'égalisation par le bas ne me convient pas ! 

En résumé je m'élève contre la prétention systématique à vouloir l'égalité pour toutes les femmes. Mon interlocutrice me reproche du reste d'être aussi injurieux à l'égard des hommes. L'injure mise à part, en vérité je ne crois pas du tout à l'égalité, les hommes ne sont pas en soi supérieurs aussi doivent faire leurs preuves pour être admis à certains postes. Je rappelle que si la Beauvoir s'est trompée en disant qu'on ne naît pas femme on le devient, la formule s'applique, comme l'a bien vu Elisabeth Badinter aux garçons à qui on demande beaucoup. la société actuelle leur demande du reste de moins en moins et leur permet certaines élégances autrefois proscrites, le piège ce serait justement de croire que parme qu'il leur est désormais permis d'être plus ou moins "pédés", il seraient "libérés". En réalité pendant que les garçons s'amusent, les féministes conquiert le terrain. Du reste il suffit d'observer comment les maghrébines se libèrent de la tutelle de leurs frères : elles s'investissent en particulier dans les milieux hospitaliers pour conquérir leur indépendance en tant qu'aide soignantes au minimum pendant que leur gros benêts de frères, élevés comme des petits princes en sont réduits, à trafiquer au risque de la prison ou d'une balle perdue. Et ces européens qui se marient avec des musulmanes en se les imaginant soumises risquent de se réveiller mais un peu tard. Enfin je ne crois pas que les musulmanes aient besoin du secours de leur aînées du MLF, il faut se rappeler que les harems communiquaient par les terrasses. Bref on n'est pas sorti de l'auberge mais à tout prendre je préfère encore ces africaines qui savent élever leurs gosses et qu'un bout de chiffon coloré habille aux nouvelles amazones en particulier quand elles se conjuguent à la française car passé la frontière les choses ne sont pas si dramatiques. Les italiennes ont encore une élégance innée et une joie de vivre et en fait de féminisme c'est d'abord des mijaurées françaises qui posent de sérieux problème. La France est malheureusement devenue la caisse de résonance du pire !  

Personne ne dispose de droit acquis à ceci ou à cela. Je n'entends pas réduire les femmes à garder la maison et les enfants mais en revanche j'affirme qu'avant de pouvoir prétendre à gérer des affaires publiques, il faudrait peut-être commencer par savoir tenir un ménage et un budget. Toujours les déformations réductrices. Est-ce que j'ai dit quelque part que les femmes n'avaient pas droit à faire du commerce et des affaires. Au contraire, je reconnais que dans ce domaine elles sont sans doute plus douées et plus diplomate que je ne puis l'être, alors il ne faut pas me faire dire ce que je n'ai pas dit. Un monde où il n'y aurait que des mères de famille d'un côté et des travailleurs de l'autre serait bien triste. Ce qui m'est insupportable c'est l'imposition de la mixité à tout crin et la disparition des espaces purement masculins. Oui c'est INTOLERABLE et INSUPPORTABLE.

A ce propos il est remarquable d'avoir à considérer que dans la région où je vis il existait une institution très particulière. Les "cercles paysans". Des lieux purement masculins où les hommes jouaient aux cartes pendant que les femmes étaient à la messe. Il n'avaient le droit de boire de vin qu'à partir de midi et il disposaient d'un espace inviolable pour discuter de leurs affaires en tant que cultivateurs ou chasseurs. Bien sûr cela ne correspond plus à aucun besoin actuel et ces derniers vestiges de non mixité sont en train de disparaître. Il est vrai que ce ne sera pas une grosse perte car il ne s'y passait plus rien de palpitant. C'est pas un truc très alléchant pour un "intello" qui n'a que faire des discussions de café" du commerce. Mais bon ça ressemblait un peu aux clubs anglais où s'élaborait la politique de la nation. Concernant l'Inde, le percement du canal de Suez a été une catastrophe et a permis aux femmes anglaise de venir se mêler de la gestion de ce continent avec pour effet d'inciter les colons qui vivaient volontiers avec des femmes du cru à prendre leurs distance.

Il n'y a pas à dire de quelque côté que l'on se tourne c'est partout la Bérézina partout les femmes veulent se mêler de faire leur police. Il leur arrivait de jouer un rôle consistant à calmer le jeu dans les combats de coqs voilà qu'à présent au lieu d'exercer un rôle pacificateur, elles préfèrent y participer plus ou moins directement. Les exceptions existent malheureusement elles sont rares. Quand aux copies, à tout prendre je préfère les originaux et les ramener à la raison pose moins de problème que de calmer certaines prétentions des nouvelles amazones revanchardes.

Bref et en résumé qu'une femme se plaigne d'une discrimination injustifiée, s'il est en mon pouvoir de lui venir en aide et si elle possède les qualités pour revendiquer chose je le ferai mais il ne saurais être question d'adhérer en bloc au procès généralisé des féministes consistant à répéter jusqu'à nous en faire péter les tympans qu'il n'y a pas assez d'égalité. Je note que quand je pose la question de savoir pourquoi on a d'excellentes musiciennes et des bonnes pédagogues, on recherche vainement des compositrices ayant percé, quand je demande qu'on me cite une philosophe authentique, j'attends toujours des réponses. La dernière question je l'ai posée à un ami prof de philo dans une école privée bretonne. Cela fait des années qu'il sèche... Maintenant compte tenu que la nouvelle philo c'est l'oeuvre des BHV et des "Finecrote" et autres zèbres ultra politisés, il ne devrait tout de même pas être si difficile de dépasser ce niveau d'assez colossale nullité... Mais enfin on ne demande pas non plus aux femmes d'être des héros quand nous tous sommes condamnés à résister par l'individualisme. On leur demande simplement de cesser de nous les casser avec des exigences hors de saison. Enfin au lieu de revendiquer je constate que certaines travaillent sur le terrain à rechercher des solutions de développement durables. Ca c'est intéressant mais les mobilisations égalitaristes, basta on en a assez !

Ce qui est exaspérant au possible c'est ce sempiternel discours qui en raison d'une sorte de "colonisation" ancestrale tend à vouloir justifier toutes les licences. Nous n'allons pas payer indéfiniment les abus de nos ancêtres, DESOLE IL Y A PRESCRIPTION !

Une juste appréciation des choses est un facteur déterminant de la bonne santé ambiante !

Dernière nouvelle : vous ne pouvez plus accéder au forum Doctossimo sans devoir vous farcir plusieurs minutes de pub incontournable. Des pubs majoritairement à l'adresse des "bonne femmes", là je craque trop c'est trop ! Ce même jour un copain m'a convié à écouter sur RTL une émission en direct. Impossible d'accéder au "direct". Là encore je suis tombé sur une pub de merde avec une conne maniant un fer à repasser ou je ne sais quoi. Qu'est-ce que j'en ai à foutre des "fers à repasser" mes chemises elles se repassent toute seule sur mon torse.

Vraiment là j'en ai marre ! L'envahissement de ce déluge de "féminitude" est un cancer invasif, là ce que je viens de noter, cette offensive brutale de la "pub". Que les féministes commencent par lutter contre ce déluge mercantile et après on recausera de leurs problèmes si problème il y a !

Bref, je refuse de mâcher mes mots. Il n'est pas possible de transiger avec cette subversion. Combien de temps faudra t-il répéter que l'on n'a pas permis aux femmes de travailler pour se libérer mais pour consommer et on est noyé sous la pub pour des chiffons des ustensiles ménagers. Vraiment ras le bol !

Il faut le dire sans ambages : la seule révolution efficace pour mettre un terme à cette prolifération ce serait qu'une majorité de mecs deviennent "pédés" ! D'abord ça ferait du bien à la planète parce que ça ferait moins de naissance, moins de surconsommation et moins de pollution.

Mais on va peut être arriver au même résultat par un processus beaucoup plus dramatique, à savoir le déclenchement d'une 3ème guerre mondiale et avec les menaces pesant sur la Syrie et la volonté de prendre de vitesse le processus de désarmement initié par la Russie, c'est bien partie ! 

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