Furosémide, la thèse du sabotage se confirme, elle sera étouffée... (03/07/2013)
03/07: Le parquet de Paris vient de classer l'affaire sans suite alors que selon certaines sources le contrôle, sous surveillance d'huissier, des lots rappelés est loin d'être terminé. L'agence admet qu'un doute demeure alors pourquoi se précipiter à vouloir classer l'affaire ?
Il reste un mystère et je suis certain d'avoir indiqué la solution. les rares comprimés de Zopiclone ayant abouti dans un blister de Furosémide n'y on tété placés par la Saint Esprit ou par un fantôme. Il resterait 187 636 boîtes à examiner car à peine plus de 2000 ont été déconditionnées.
Une fois de plus l'incurie administrative est pointée du doigt et un stratège propose de rendre indépandante l'ASM dans le journal le Monde. Quelle connerie, il s'agirait au contraire de bien payer les foncrtionnaires chargés d'un contrôle et de les protéger au même titre qu'un donneur d'alerte afin qu'il puisse effectivement raccrocher au nez d'un ministre. L'indépendance par rapport à quoi ? Privatiser l'ASM c'est la livrer aux lobbys : certains journalistes marchent sur la tête !
28/06 : On s'achemine vers un déni. C'est comme si c'était fait. On a là unj exemple emblématique des "scandales à la française". On (Le Monde Santé) laisse à entendre que le pharmacien malouin aurait eu la berlue. C'est 3 témoins, la patient qui a rapporté le médicament, l'apothicaire et son, assistante qui sont traînés dans la boue, enfin presque ! Je cite :
http://www.lemonde.fr/sante/article/2013/06/27/pas-de-som...
Un pharmacien et une patiente victime d'hallucinations !
Le témoignage du pharmacien de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) et de sa préparatrice – qui avaient assuré avoir trouvé un somnifère Zopiclone dans une plaquette du diurétique Furosémide 40 mg de Teva ramenée par une cliente – est fragilisé par de nouveaux résultats.
Récupéré par les enquêteurs, ce blister a été soumis à des analyses chimiques, et aucune trace de Zopiclone n'y a été trouvée. Cela pourrait signifier que le premier (et unique) signalement d'une inversion de comprimés, à l'origine de l'alerte lancée le 7 juin, était erroné.
On oublie au passage un témoin, la patiente ! Et qu'attend l'Ordre toujours si prompt à signaler à la police la concurrence à son "bizness" pour crier à l'injure ?
Analyses chimique et mon cul ?
Récupéré par les enquêteurs, ce blister a été soumis à des analyses chimiques, et aucune trace de Zopiclone n'y a été trouvée. Cela pourrait signifier que le premier (et unique) signalement d'une inversion de comprimés, à l'origine de l'alerte lancée le 7 juin, était erroné.
Premièrement, je doute qu'un misérable comprimé ait pu laisser des traces suffisantes dans un blister qui soient analysable. Maintenant on a pu l'essuyer. Enfin il y aurait beaucoup à dire sur les analyses ruineuses auxquelles se livre la justice pour soit-disant discerner du Zopiclone dans les cheveux des malades susceptibles d'être décédés par manque de diurétique. Beaucoup à dire parce que c'est pas un ou deux comprimés qui après un délai si courts peuvent laisser des traces.
Enfin, d'une certaine manière la question de savoir si ces malades ont pris un somnifère à la place du diurétique est secondaire. Premièrement, ce n'est pas le somnifère qui a pu les faire claquer mais le manque de diurétique ! Or dans un cas il est établi qu'un patient a manqué 3 jours de Furosémide car il vait rapporté ses médicaments suite à l'alerte. Dans ce cas comment se fait-il qu'on ne les lui ait pas remplacés par un générique équivalent ? Vu que de toute évidence il s'agit d'un sabotage et qu'une poignée de Zoppiclone a été lancée dans la chaîne, la question n'est pas de courir après d'improbables résidus de somnifères mais d'enquêter à l'usine même sur l'existence d'un conflit de travail qui aurait été à l'origine mais je répète que personne n'y a intérêt :
- Le "Système" en général parce que ce serait la panique générale !
- Teva parce que si les langues se déliait sur les conditions probables de travail çà ferait du vilain !
- L'ensemble du milieu médical, médecins et pharmaciens compris parce que c'est pour le coup que la confiance en prendrait un coup.
Je l'ai dit et je le répète : les choses étant ce qu'elles sont, le pire est devenu possible. Un seul remède : réclamer des autogénériques quand il existent. Scruter la composition des génériques et exiger une parfaite équivalence en contrôlant les livraisons du pharmacien. Ne pas hésiter à taper du point sur le comptoir s'il change à tout bout de champ de marque !
Protection illusoire des "lanceurs d'alerte"
Depuis, Teva a continué d'examiner, devant huissiers, les boîtes qui lui remontent. Mardi 25 juin, 7 167 boîtes avaient été passées au crible (215 010 comprimés). Aucun Zopiclone n'a été trouvé.
Je regrette mais je n'en crois pas un mot. Non seulement je ne crois pas que le pharmacien est son assistante ainsique sa cliente ait pu confondre deux comprimés dissemblables. Mais les deux ou trois comprimés ayant abouti à St Malo ne pouvait pas être seuls. Il a du s'en balader 100 ou 200 dans la nature soit une poignée !
Pour que vous compreniez bien ce que je veux dire, je précise que ce que l'on appelle un acte authentique est une simple fiction juridique. Le constat d'un huissier ne vaut pas plus que celui de deux ou trois témoins qui doivent être de bonne foi ! Je regrette mais je suis bien placé pour savoir que les huissiers non seulement n'ont pas bonne presse et multiplie à outrance les actes inutiles mais c'est pire que cela. Souvenez vous du bouquin intitulé Le racket légal des huissiers.
Voir http://www.amazon.fr/racket-huissiers-m%C3%A9thodes-comment-r%C3%A9sister/dp/2226081941
Pire que cela ! Et je ne citerai encore qu'un exemple bénin : lorsqu'on créancier est absent, l'acte est déposé en Mairie, or l'huissier n'a pas obligation d'envoyer une lettre recommandé, il laisse un avis dans la boîte ou l'envoie par la poste. Ou ne l'envoit pas et qui peut l'accuser d'omission. Enfin, de telles pratiques supposent que la Poste foncitonne correctement et vous savez comme moi que c'est loin d'être le cas.
Enfin puisqu'on parle des huissiers, la multiplication des actes inutiles, les exploits dont les destinataire ne sont pas informés (quand il y a des choses intéressantes à saisir et à vendre à l'encan...), les détournement d'argent ce n'est rien en comparaison de tout ce que vous pouvez aisément imaginer. Enfin pour clore le débat j'ai le souvenir à Nice d'avoir vu passer 2 ou 3 affaires mettant en cause des huissiers dont l'incendie d'une étude ! Bien entendu, si l'enquête a abouti on a oublié d'informer la population des motifs d'une telle vengeance...
C'est l'occasion de vous signaler que quand on connait son droit on peut dans bien des cas se passer des notaires pour les ventes de biens et d'huissier pour les constats. Le problème c'est qu'il règne un tel climat de peur et un tel manque de solidarité que les témoins quand ils en existe, ils se débinent. Maintenant pour les mise en demeure, je signale que la "Cour de Casse" à édicté une jurisprudence qui dit qu'il suffit d'envoyer une lettre recommandé disant en PS : Vous recevrez le double de la présente par courrier simple et dans le courrier simple, vous recevrez le double de la présent par lettre recommandée avec accusé de réception. On peut donc faire des économies : je tiens du reste ce conseil d'un huissier honnête. Heureusement, ça existe encore même si la race est forcément en voie de disparition comme toute bonne race !
La plupart des boîtes de "médocs" ne sont pas scellées !
Enfin je rappelle que pour conserver la confiance du public, il aurait fallu confier aux pharmaciens assisté de témoins de bonne moralité la tâche consistant à déconditionner les boîtes retournées car sans mettre en cause la connivence d'un huissier, il y a 1000 occasions sur la route du retour y compris à la réception du labo d'effectuer un tri des boîtes
Je constate en effet que rares sont les médicaments dont les boîtes sont scellées sont rares ! Je pourrais citer un exemple précis. J'ai dans mon entourage une personne qui prend 9 médicaments, seulement 2 sont scellées et ce sont des princeps !
Peut-être faudrait-il commencer par obliger les labos à sceller leurs boîtes. Mais on tire les prix sur tout ! Si je demande à mon pharmacien de faire une statistique sur 100 génériques pris au hasard combien crioyez vous que l'on va trouver de % de boîtes scellées ?
Protection illusoire des lanceurs d'alerte !
Si des questions se posaient sur le signalement à l'origine de l'affaire, son directeur, Dominique Maraninchi, avait indiqué : "Il ne faut pas stigmatiser, il faut au contraire protéger les donneurs d'alerte, des personnes importantes, consciencieuses et qui permettent éventuellement de repérer un phénomène sanitaire."
Bien sûr ! Quelle monstrueuse hypocrisie ! On dit du bout des lèvres qu'il faut les protéger mais dans le même souffle on insinue que celui qui a porté le pet est probablement drogué. Or c'est un timide, il l'a dit lui-même et on joue sur du velours ! Oui je le répète le silence de l'Ordre à cet égard est consternant. Il faudrait poursuivre les journalistes qui ont insinué que le témoignage de celui par qui le scandale est arrivé ne voyait pas clair ! Comment peut-on oser alors que les comprimés ne se ressemblent pas du tout !
Enfin l'affaire est close et vous savez à présent à quoi vous en tenir !
Affaire enterrée ! Circulez il n'y a rien à voir !
Et le Monde qui est par moment la putasserie incarnée par sa façon de se mettre toujours du côté du manche de conclure :
Si les autres analyses se révélaient négatives, alors que le blister à l'origine du signalement ne contenait pas de trace de Zopiclone, nul doute que l'enquête préliminaire du parquet de Paris, notamment pour "tromperie aggravée" et "homicides et blessures involontaires", sera classée.
Enfin quoiqu'il en soit, on ne saurait nous convaincre que l'enquête a été menée comme elle devrait l'être. Ce qui est extraordinaire dans le "Système" actuel c'est qu'il n'est pas nécessaire de faire pression sur la justice pour qu'elle fasse tout ce qu'il faut pour ne pas gên,er les puissants. Nous avons ici un exemple typique de ce que l'on appelle une "dérive techicienne", celle qui consiste à pratique de sacro-saintes "analyses" pour donne rle change ! Mais bien sûr on ne va pas convoquer publiquement un expert en toxicologie pour nous dire si oui ou non des recherches aussi dispendieuses riment à quelques chose.
Mais moi qui connaît la musique j'affirme qu'elle ne pouvait rien donner. Ah si vous prenez des doses infinitésimales d'arsenic pendant des mois on en trouvera dans vos cheveux mais c'est pas une prise de Zopiclone qui peut marquer en trois jours. Ah oui, on a analysé les viscères ! Quand le produit a été métabolisé, çà sert à quoi ! Les juges ne sont pas des biologistes et si un biologistes les a conseillé c'est un crétin ou un "vendu" !
Donc il suffit de balancer le mot magique, en l'occurence le mot "analyses" pour bluffer les gens. Mais je regrette, en ce qui me concerne, j'ai horreur d'être pris pour un con et je le clame
Le seul point sur lequel il aurait fallu faire porter l'enquête c'est sur celui de savoir s'il a existé un conflit de travail qui a motivé un sabotage. C'est archi probable, c'est même la seule explication au phénomène et on peut bien dire que le mécanisme général qui fait que tout converge pour étouffer les pires scandales à quelque chose de franchement "démoniaques". Enfin, il faut bien dire que si des enquêteurs avaient été délégués pour soumettre le personnel à la question, on se fait si facilement lourder que très probablement les collègues se seraient tus. Mais j'ai confiance, c'est affaire de temps et je parie qu'un jour où l'autre la vérité sortira du puits à la faveur d'un départ à la retraite ou de je ne sais quoi ! Patience !
Enfin ceci est une invitation à ouvrir les yeux et à comprendre comment les choses fonctionnent. Ne pas mourir idiot est désormais le seul luxe que l'on puisse se permettre et c'est tous les jours à refaire ! Enfin quant à mourir, c'est le plus tard possible et d'ici là j'espère continuer à emmerder copieusement mon monde ! Et çà va mieux en le disant !
25/06 : Je dirais même consciencieusement étouffée tant les gens sont chloroformés !
Je viens de lire l'interview du pharmacien maloouin lanceur d'alerte qui a rompu son silence et conté les circonstances de sa découverte. Il en ressort que très probablement une poignée de comprimés a été balancée dans la chaîne de conditionnement qui est en cause ce qui explique qu'on n'ait retrouvé que peu de boîtes litigieuses.
Pour ma part je suis absolument convaincu qu'il y a derrière cela, une vengeance dans le cas d'un conflit du travail ce qui explique que le laboratoire n'ait pas porté plainte car si l'affaire sortait pour ce qu'elle est réellement ce serait CATASTROPHIQUE. On découvrirait, façon de parler, que l'ensemble du milieu du travail est gangréné par une surpression et éventuellement un climat de harcèlement qui plombe l'atmosphère. Normal il n'y a pas assez d'inspecteurs du travail pour faire la police. On ajoute des lois aux lois mais parrallèlement on fiat en sorte de restreindre le personnel chargé de veiller à leur application. C'est ainsi que l'on a sabordé la justice en supprimant des tribunaux d'instance et en coupant dans les budgets.
Bref, la situation est claire ! Il n'y a pas d'autre explication qu'un sabotage mais suffisamment discret pour que l'obscurité persiste. Or tout le monde, saboteur et saboté a intérêt à la fermer et l'on peut qualifier cette situation de "démoniaque" car les pouvoirs publics qui ne sont pas dupes ont eux aussi tout intérêt à ce que l'affaire soit enterrée. L'alerte a du reste été levée.
Enfin la leçon devrait inciter les patients à examiner de rpès les "médocs" qu'on leur vend et surtout à se renseigner sur les soit-disant équivalences générique car c'est du bourrage de crâne !
On parle de plus en plus d'incurie administrative mais le fond du problème dans cette histoire est discrètement évacué :le sabotage, je le répète et je persiste et signe car c'est mon droit le plus strict d'émettre une opinion tranchée quand c'est la seule explication évidente.
Voir : http://sante2020.blog.lemonde.fr/2013/06/23/furosemide-te...
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